19-09-2023, 11:01 AM
(Modification du message : 19-09-2023, 11:02 AM par Philou0033.)
Phil et Bruno regagnent la tente d’intendance où les autres animateurs sont présents. Pour tous, c’est le moment de faire de débriefing du camp. Avant de commencer, Bruno raconte ce qu’il a entendu lorsqu’il était à côté de la tente de la patrouille des Éléphants. Les scouts semblent ravis du camp et ils en garderont de très bons souvenirs. Phil lui aussi fait part du même ressenti.
Bruno félicite alors Alex, Gaby et Phil pour leur implication en tant qu’animateur à part entière à l’issue de ce camp. Les deux intendants, Patrick et Roger ne sont pas oubliés. C’est alors Phil qui prend la parole, il remercie tous les gars présents, car il a pu compter sur leurs aides, leurs conseils et leur amitié scoute.
C’est ensuite au tour de Patrick, l’intendant, de dire un mot. Il souligne l’excellente entente entre les animateurs et les intendants, mais aussi l’entente entre les scouts. Il dit avoir passé un des meilleurs camp depuis longtemps en tant que cuistot mais aussi lorsqu’il était lui aussi encore animateur.
Il est temps pour les animateurs et les intendants d’aller se coucher. C’est le moment tant attendu après une longue journée de camp, fusse-t-elle la dernière. Chacun se prépare, débarbouillage, lavage des dents et passage par les feuillées.
Tous se glissent dans leur sac de couchage. C’est le moment d’échanger encore quelques paroles. Alex et Gaby discutent entre eux, ils semblent « perturbés », c’est moi qui leur demande ce qui les embêtent. Gaby mime alors avec sa main le geste de la masturbation. Il semble donc que Gaby et Alex ont leurs sexes bandés et qu’ils ont une irrésistible envie de se donner du plaisir. Je souris, je suis aussi dans le même état. Il est vrai que ce n’est pas évident de se soulager lorsque la proximité des autres membres est trop présente.
C’est moi qui commence alors dans son sac de couchage à se caresser doucement. Les deux autres compères s’en rendent compte et eux aussi se caressent alors lascivement, attendant de voir la réaction des autres. C’est Ghislain qui emboite le pas, on peut voir qu’il se caresse aussi. Il ne faut pas attendre longtemps pour que les quatre garçons se masturbent sans vergogne. Bruno l’a remarqué et dit alors : « Vous avez raison les gars, ce n’est pas la peine de rester si chaste, c’est même bon pour la santé ! » Tous se sont mis à rire. C’est donc ensemble que les animateurs et les intendants se branlent individuellement sous leur duvet pour enfin se libérer de toute la tension accumulée. Je pense alors très, très fort à mon Ben d’amour qui est déjà rentré du camp de la meute. Je m’imagine à ses côtés lorsque je me donne du plaisir, je m’imagine que c’est Benoit qui me procure tant de bonheur physique. On peut entendre des râles de jouissance, c’est signe que les corps et les âmes sont au nirvana !
Il est inutile de dire que tous les garçons se sont endormis comme des masses après ce réconfort intime et personnel, même si cela avait été fait en communauté !
Le jour se lève, les scouts sont réveillés et les petits-déjeuners sont engloutis. Les scouts savent qu’il va falloir remettre l’endroit de camp en ordre. C’est donc le moment de remettre le terrain de camp en état impeccable. Tous les scouts ayant fini de faire leur sac se place en ligne pour ratisser le terrain en vue de ramasser les déchets éventuels restant. Il ne faut pas plus de dix minutes pour effectuer cette tâche, à part deux ou trois morceau de papier, rien d’autre n’a été retrouvé. C’est alors le rangement des tous les troncs de sapins utilisés pour les constructions dans un coin de la prairie. Les deux intendants ont concocté une bonne soupe accompagnée de sandwichs en guise de repas de midi, soit le dernier repas du camp avant de quitter les lieux.
C’est le moment de quitter le camp. Les scouts prennent leurs sacs à dos et se rendent pédestrement en direction de la gare en vue de prendre le train pour regagner la capitale. Tous sont heureux d’avoir passé un très bon camp et à la fois triste que celui-ci soit déjà arrivé à son terme.
Le voyage en train se passe au mieux, les scouts discutent entre eux. Je passe aussi de rangées en rangées pour parler avec les jeunes. C’est important pour moi de prendre « la température » et de savoir comment les ados ont vécu leur camp. Il faut bien comprendre qu’entre moi et les scouts il n’y a que trois ou quatre ans de différence, il est pratiquement le même âge. Les scouts sont semble-t-il contents de mon implication et de celle des deux autres néo-animateurs, ils ont été à la hauteur et le respect a été de mise entre eux tous !
Après les moments d’échanges, je rejoins les animateurs. Bruno me demande ce que j’ai retenu de ceux-ci, je raconte donc ce qu’ils en retiennent, soit beaucoup de positif, dans la lignée de la loi scoute.
Le train arrive en gare, c’est le moment du débarquement. Tout se fait dans l’ordre et le calme. Les scouts reprennent leur sacs à dos et c’est à pied qu’ils rejoignent le local où les parents les attendent de pied ferme. Inutile de dire que ce sont des embrassades et des câlins échangés entre enfants et parents. Luc, le chef d’unité est également présent, il sait que tout s’est bien passé et que les jeunes sont ravis de leur camp.
Luc demande que tous les scouts se rassembler. Ils leur dit qu’il est très impressionné par l’attitude de tous les scouts durant toute la durée du camp. Il demande que les patrouilles se placent de façon à marquer la fin du camp par les cris de patrouille et ensuite le cri de la troupe. C’est donc sur un « Scout toujours prêt » que le camp est officiellement clôturé !
Alors que quelques scouts et leurs parents quittent le local, c’est Jean-Philippe qui me demande de l’accompagner pour voir ses parents. C’est la maman, Irma, qui me salue en me remerciant pour l’aide apportée à son garçon. Jean-Philippe lui a raconté ce qu’il a vécu au camp et mon intervention. Il a raconté l’épisode de son pipi culotte en dormant et de l’attitude positive des scouts de sa patrouille ainsi que de l’épisode de la colique et de ses implications. Je suis un peu déboussolé, je me rends compte que Jean-Philippe a raconté des moments « particuliers » vécus lors du camp. Bref les deux parents sont pleinement satisfaits de savoir que leur fils a été accompagné comme il se doit lors de son premier camp scout. Puis c’est avec le sourire de Jean-Philippe qui annonce à ses parents qu’il a été totémisé sous le totem de « moustique » !
Gilbert, le papa de Jean-Philippe, me remercie ainsi que les autres animateurs pour notre implication auprès des jeunes. Je lui réponds alors que c’est normal, que ça fait partie de l’engagement pris au sein de la troupe et de l’unité scoute. Alors que je poursuis la conversation avec Jean-Philippe et ses parents, j’entends appeler près de nous : « Phil, oh Phil ! » je reconnais bien entendu la voix de Benoît. Mon chéri est venu aussi pour m’accueillir. Gilbert me dit, vas-y, encore merci pour « Moustique ». J’ai un large sourire à leur adresse avant de me ruer vers mon Ben d’amour !
Nous tombons dans les bras l’un de l’autre, des larmes de joie perles sous nos yeux, nos bouches se cherchent, elles se retrouvent, nous nous embrassons quelque secondes. Il y a du monde près de nous, nous faisons alors profil bas pour ne pas heurter certaines personnes. Nous n’avons eu aucun reproche de la part de ceux qui sont auprès de nous. Je vois le regard amusé de Jean-Philippe qui ponctue notre embrassade par un large sourire et un clin d’œil. Il est incroyable ce gars, ouvert et très sociable au fil du temps !
Bruno félicite alors Alex, Gaby et Phil pour leur implication en tant qu’animateur à part entière à l’issue de ce camp. Les deux intendants, Patrick et Roger ne sont pas oubliés. C’est alors Phil qui prend la parole, il remercie tous les gars présents, car il a pu compter sur leurs aides, leurs conseils et leur amitié scoute.
C’est ensuite au tour de Patrick, l’intendant, de dire un mot. Il souligne l’excellente entente entre les animateurs et les intendants, mais aussi l’entente entre les scouts. Il dit avoir passé un des meilleurs camp depuis longtemps en tant que cuistot mais aussi lorsqu’il était lui aussi encore animateur.
Il est temps pour les animateurs et les intendants d’aller se coucher. C’est le moment tant attendu après une longue journée de camp, fusse-t-elle la dernière. Chacun se prépare, débarbouillage, lavage des dents et passage par les feuillées.
Tous se glissent dans leur sac de couchage. C’est le moment d’échanger encore quelques paroles. Alex et Gaby discutent entre eux, ils semblent « perturbés », c’est moi qui leur demande ce qui les embêtent. Gaby mime alors avec sa main le geste de la masturbation. Il semble donc que Gaby et Alex ont leurs sexes bandés et qu’ils ont une irrésistible envie de se donner du plaisir. Je souris, je suis aussi dans le même état. Il est vrai que ce n’est pas évident de se soulager lorsque la proximité des autres membres est trop présente.
C’est moi qui commence alors dans son sac de couchage à se caresser doucement. Les deux autres compères s’en rendent compte et eux aussi se caressent alors lascivement, attendant de voir la réaction des autres. C’est Ghislain qui emboite le pas, on peut voir qu’il se caresse aussi. Il ne faut pas attendre longtemps pour que les quatre garçons se masturbent sans vergogne. Bruno l’a remarqué et dit alors : « Vous avez raison les gars, ce n’est pas la peine de rester si chaste, c’est même bon pour la santé ! » Tous se sont mis à rire. C’est donc ensemble que les animateurs et les intendants se branlent individuellement sous leur duvet pour enfin se libérer de toute la tension accumulée. Je pense alors très, très fort à mon Ben d’amour qui est déjà rentré du camp de la meute. Je m’imagine à ses côtés lorsque je me donne du plaisir, je m’imagine que c’est Benoit qui me procure tant de bonheur physique. On peut entendre des râles de jouissance, c’est signe que les corps et les âmes sont au nirvana !
Il est inutile de dire que tous les garçons se sont endormis comme des masses après ce réconfort intime et personnel, même si cela avait été fait en communauté !
Le jour se lève, les scouts sont réveillés et les petits-déjeuners sont engloutis. Les scouts savent qu’il va falloir remettre l’endroit de camp en ordre. C’est donc le moment de remettre le terrain de camp en état impeccable. Tous les scouts ayant fini de faire leur sac se place en ligne pour ratisser le terrain en vue de ramasser les déchets éventuels restant. Il ne faut pas plus de dix minutes pour effectuer cette tâche, à part deux ou trois morceau de papier, rien d’autre n’a été retrouvé. C’est alors le rangement des tous les troncs de sapins utilisés pour les constructions dans un coin de la prairie. Les deux intendants ont concocté une bonne soupe accompagnée de sandwichs en guise de repas de midi, soit le dernier repas du camp avant de quitter les lieux.
C’est le moment de quitter le camp. Les scouts prennent leurs sacs à dos et se rendent pédestrement en direction de la gare en vue de prendre le train pour regagner la capitale. Tous sont heureux d’avoir passé un très bon camp et à la fois triste que celui-ci soit déjà arrivé à son terme.
Le voyage en train se passe au mieux, les scouts discutent entre eux. Je passe aussi de rangées en rangées pour parler avec les jeunes. C’est important pour moi de prendre « la température » et de savoir comment les ados ont vécu leur camp. Il faut bien comprendre qu’entre moi et les scouts il n’y a que trois ou quatre ans de différence, il est pratiquement le même âge. Les scouts sont semble-t-il contents de mon implication et de celle des deux autres néo-animateurs, ils ont été à la hauteur et le respect a été de mise entre eux tous !
Après les moments d’échanges, je rejoins les animateurs. Bruno me demande ce que j’ai retenu de ceux-ci, je raconte donc ce qu’ils en retiennent, soit beaucoup de positif, dans la lignée de la loi scoute.
Le train arrive en gare, c’est le moment du débarquement. Tout se fait dans l’ordre et le calme. Les scouts reprennent leur sacs à dos et c’est à pied qu’ils rejoignent le local où les parents les attendent de pied ferme. Inutile de dire que ce sont des embrassades et des câlins échangés entre enfants et parents. Luc, le chef d’unité est également présent, il sait que tout s’est bien passé et que les jeunes sont ravis de leur camp.
Luc demande que tous les scouts se rassembler. Ils leur dit qu’il est très impressionné par l’attitude de tous les scouts durant toute la durée du camp. Il demande que les patrouilles se placent de façon à marquer la fin du camp par les cris de patrouille et ensuite le cri de la troupe. C’est donc sur un « Scout toujours prêt » que le camp est officiellement clôturé !
Alors que quelques scouts et leurs parents quittent le local, c’est Jean-Philippe qui me demande de l’accompagner pour voir ses parents. C’est la maman, Irma, qui me salue en me remerciant pour l’aide apportée à son garçon. Jean-Philippe lui a raconté ce qu’il a vécu au camp et mon intervention. Il a raconté l’épisode de son pipi culotte en dormant et de l’attitude positive des scouts de sa patrouille ainsi que de l’épisode de la colique et de ses implications. Je suis un peu déboussolé, je me rends compte que Jean-Philippe a raconté des moments « particuliers » vécus lors du camp. Bref les deux parents sont pleinement satisfaits de savoir que leur fils a été accompagné comme il se doit lors de son premier camp scout. Puis c’est avec le sourire de Jean-Philippe qui annonce à ses parents qu’il a été totémisé sous le totem de « moustique » !
Gilbert, le papa de Jean-Philippe, me remercie ainsi que les autres animateurs pour notre implication auprès des jeunes. Je lui réponds alors que c’est normal, que ça fait partie de l’engagement pris au sein de la troupe et de l’unité scoute. Alors que je poursuis la conversation avec Jean-Philippe et ses parents, j’entends appeler près de nous : « Phil, oh Phil ! » je reconnais bien entendu la voix de Benoît. Mon chéri est venu aussi pour m’accueillir. Gilbert me dit, vas-y, encore merci pour « Moustique ». J’ai un large sourire à leur adresse avant de me ruer vers mon Ben d’amour !
Nous tombons dans les bras l’un de l’autre, des larmes de joie perles sous nos yeux, nos bouches se cherchent, elles se retrouvent, nous nous embrassons quelque secondes. Il y a du monde près de nous, nous faisons alors profil bas pour ne pas heurter certaines personnes. Nous n’avons eu aucun reproche de la part de ceux qui sont auprès de nous. Je vois le regard amusé de Jean-Philippe qui ponctue notre embrassade par un large sourire et un clin d’œil. Il est incroyable ce gars, ouvert et très sociable au fil du temps !