20-08-2020, 03:31 PM
2eme ANNEE Fêtes de fin d’année : (75 /150) (Au cirque) (Deuxième jour)
Le cirque se réveille tranquillement et les bruits caractéristiques des gens au travail résonnent un peu partout.
Bien sûr dans les roulottes de nos vacanciers, ce sont encore des ronflements qui amènent les contres mesures à ce brouhaha familier.
***/***
- Rejoins l’avion Florian !!
- Tu crois qu’il t’entend ?
- C’est le seul moment ! Il faut qu’il comprenne qu’il doit retourner là-bas !
- Quelque chose le bloque pour qu’il le fasse pourtant.
- Je sais mais il faut absolument qu’il passe outre et qu’il m’y ramène.
- Je croyais que ce n’était pas si urgent ? C’est toi-même qui le dis pourtant ?
- Trop de choses se trament et je serais plus rassuré une fois de retour auprès des nôtres, je pourrai mieux le protéger.
- Je sens aussi le danger autour de lui, te rends tu comptes que c’est de ta faute ?
- J’ai été l’élément déclencheur je le reconnais, Maintenant je n’interviens quasiment plus du tout sache le.
- Comment ça !!! Ce n’est pas possible !!! Cette race n’est pas encore prête, de loin s’en faut, à suivre ce chemin !!!
***/***
Toujours ses voix dans ma tête !! Qu’est-ce que ça signifie enfin !! J’ouvre les yeux en me redressant vivement et en regardant tout autour de moi afin de voir si vraiment il n’y a personne, la roulotte est nimbée de lumière mais vide à part mes compagnons toujours endormis.
Une idée me vient soudainement et je me penche au pied du lit pour constater comme je m’y attendais que « Kinou » est bien là lui aussi avec les yeux braqués sur moi.
- Tu entends des voix dans ta tête toi aussi ?
- Rrrr !!!
- C’est bien ce qu’il me semblait, il n’y a que quand tu es proche de moi que je les entends.
- Rrrr !!!
- Je sais !! Tu n’y comprends rien toi non plus !!
Un mouvement contre moi et un bras qui vient doucement se poser sur ma poitrine me fait penser à autre chose de plus plaisant pour moi.
Je me rallonge lentement en tournant ma tête vers le beau gosse endormi tout contre moi et souris tendrement devant le spectacle de ses mèches blondes lui recouvrant une partie du visage et le faisant passer pour un ange venu du ciel.
Je repose doucement son bras sur son ventre et je laisse glisser ma main dans les couvertures en le caressant du bout des doigts.
Je rencontre très vite son gland décalotté et tout raidi de sa bandaison matinale, pas de slip ni de boxer car cette nuit nous nous sommes serrés nus pour nous endormir.
Mon majeur passe doucement dessus et le caresse comme le ferait une plume sur toute la longueur de sa hampe le faisant par réflexe se décoller de son pubis et laissant libre court au reste de mes doigts d’aller se perdre dans sa toison aux poils doux comme de la soie.
Mon autre main repousse la couette pour que mes yeux puissent enfin se rassasier de ce que mon sens du toucher remonte déjà à mon cerveau, celui-ci commence à se connecter en mode accro de ce corps dont je ne me lasserai jamais d’en abreuver tous mes sens.
Je me glisse petit à petit vers ce sexe qui m’attire et me fait saliver de désir, mes lèvres se posent sur le gland humide déjà de l’effet de mes caresses.
Je le masse avec une extrême douceur avec ma bouche chaude en laissant pointer le bout de ma langue pour recueillir cette saveur légèrement sucrée dont je raffole.
Mon excitation monte de plusieurs crans quand j’entends un bref gémissement de plaisir s’échapper de sa bouche, son corps toujours endormi se tend à la recherche d’une caresse plus virile et moins évanescente.
Un petit bruit un peu plus loin me fait lever les yeux et je manque d’exploser de rire quand j’aperçois « Ju » qui est exactement dans la même position que moi vis-à-vis de Maxime et qui me fixe, les yeux allumés par l’excitation.
Je mets un petit coup de langue sur le gland de Thomas aussitôt imité par Julien qui donne le même plaisir à Maxime.
Il lèche ensuite toute la hampe de son compagnon par le dessous, ce que je m’empresse de faire au mien dans la seconde qui suit.
Il attend que ce soit moi maintenant qui fasse le premier pas qu’il imite aussitôt après, ce petit jeu nous allume et nous déchaîne de plus en plus.
Nos "petits" copains ont droit alors à une merveilleuse pipe qui commence à les tordre de plaisirs dans leur sommeil, c’est comme un concours amical maintenant entre Julien et moi à celui qui fera jouir en premier son ami.
Je connais autant les points faibles de Thomas que lui ceux de Maxime et les deux garçons jouissent presque dans un ensemble parfait, emplissant nos bouches de leurs semences du matin.
Nous recouvrons nos copains justes au moment où ils s’éveillent après un dernier spasme d’orgasme et comprennent en nous regardant mort de rires qu’ils ont eus droit à leurs petites gâteries sous l’œil d’un spectateur.
- (Maxime à Thomas) Comment c’était pour toi « Thom » ?
- (Thomas à Maxime) Plutôt pas mal !! Et pour toi ?
- Il y a du plus je trouve ! Sans doute l’émulation de faire mieux que son voisin Hi ! Hi !
- Ouaih Hi ! Hi ! Ça doit être ça ! Dis voir « Maxou » ? Ils ont eu droit à leurs boissons chaudes et pas nous ?
- Ah ouaih tiens !! C’est vrai ça !!
Je m’allonge sur le dos imité presque immédiatement par Julien, je vire la couette d’un mouvement théâtrale qui les fait sourire :
- Le perco est branché mon « Thominou », tu n’as plus qu’à te servir ta bolée Hi ! Hi !
Julien ne peut empêcher un regard envieux devant la chose que déballe impudiquement son copain, il vire à son tour la couette en riant de la comparaison et s’adresse à « Max »...
- Idem pour toi mon grand Hi ! Hi ! Mais là désolé, je n’ai que la version une tasse Hi ! Hi !
2eme ANNEE Fêtes de fin d’année : (76 /150) (Au cirque) (Deuxième jour) (suite)
Alice ouvre un œil et admire un instant les lumières que le soleil entrant par les fenêtres irise sur le plafond de la roulotte.
Elle se demande un instant où elle est avant de se rappeler amusée qu’elle est ici en vacances et que le corps blotti tout contre elle est celui de son chéri.
Alice tourne son visage vers celui d’Anthony et admire ses traits magnifiques et sereins dans son sommeil, ses lèvres s’approchent alors et butinent sur l’arête du nez qui fronce sous la chatouille.
Deux yeux d’un bleu azur s’ouvrent alors, surmontés par une chevelure presque blonde dont Baptiste lui a révélé qu’elle le devenait complètement l’été au contact prolongé du soleil.
Le handicap d’Anthony étant intérieur, ses yeux ressemblent à ceux d’un voyant et ne serait-ce la fixité qu’ils ont quand il est éveillé, personne n’en verrait la différence et beaucoup y succomberaient en les contemplant comme elle le fait actuellement.
- (Anthony d’une voix douce) Tu es réveillée, je le sens.
- Depuis pas longtemps rassure-toi.
- Ah !!
Alice lui caresse les cheveux en souriant béatement, son cœur bat plus rapidement qu’à l’habitude quand il est près d’elle et elle connaît suffisamment les choses pour savoir qu’elle est folle de lui et que rien ne pourra jamais le lui enlever.
Ils ne prononcent plus une parole, profitant juste de ce contact et de la chaleur de leurs corps.
Alice fixe la couette au niveau de l’entrejambe du garçon et sourit en observant les petits soubresauts qui petit à petit donnent une forme plus que subjective formant au final un magnifique chapiteau.
Chapiteau dont elle ne se lasse pas de regarder avec curiosité et envie mais qu’elle n’ose pas encore s’approprier comme elle en a le désir, tout simplement de peur de le choquer.
Il faut dire aussi que pour elle, même si elle connaît dans le principe ce qui se cache sous le drap par quelques sites visités sur internet et quelques films regardés avec curiosité ; son inexpérience est tout aussi totale que celle du jeune homme quand à ce qu’il en est de la vision et du contact réel de cette chose qui maintenant est dressée fièrement sous ses yeux, seulement préservé à sa vue par le drap et à seulement quelques centimètres d’elle.
Carole la regarde depuis quelques minutes et comprend le trouble de la jeune fille qui est devenue maintenant une de ses meilleures amies, elle a moins de scrupule et c’est avec un frisson d’envie qu’elle glisse la main sous le drap et caresse doucement le sexe de Flavien qui en est au même point de raidissement que son copain.
Quand Alice s’aperçoit enfin que son amie l’observe avec le sourire, elle voit également le mouvement de va-et-vient de sa main sur le bas-ventre de Flavien et se mord la lèvre tellement elle désire elle aussi découvrir l’intimité d’Anthony et lui donner ce plaisir qu’elle voit dans le sourire de plus en plus resplendissant du beau blond toujours endormi au côté de Carole.
Le corps d’Alice frissonne et tremble de désirs, sa main se pose sur le torse musclé d’Anthony et virevolte en lui prodiguant des caresses qui érigent les petits tétons dont les pointes bien dures se frottent dans sa paume faisant pousser au jeune homme un soupir involontaire de plaisirs contenus.
Anthony sent la progression de cette main douce et agile sur son corps, ses muscles durcissent au passage de ces doigts si électrisants qu’il a du mal à rester stoïque afin de ne pas l’effaroucher et qu’elle n’enlève cette main dont son vœu le plus cher serait qu’elle aille cueillir son sexe si bandé qu’il lui en fait mal dans le ventre.
Carole fait un petit clin d’œil à son amie en lui montrant à travers le drap le « massage » toute en longueur de sa main sur le sexe de Flavien.
Un mouvement de tête lui fait comprendre qu’elle doit en faire autant car elle aussi suit la progression du plaisir sur le visage d’Anthony et comprend avec son expérience maintenant acquise, qu’il n’est plus loin de la jouissance mais qu’il n’osera pas pousser plus loin si cela ne vient pas d’Alice.
Anthony tremble maintenant car la main est à la limite de sa toison pubienne, et seul l’élastique de son boxer empêche son sexe d’aller s’y nicher comme son envie le lui demande de plus en plus impérativement.
Il sent ses testicules se coller à son scrotum et les fourmillements sur son gland de plus en plus gonflé lui font comprendre qu’il n’est plus loin de s’abandonner à l’éjaculation que tous ses sens réclament.
Alice perçoit les prémices du plaisir sur le visage d’Anthony, quand ses yeux se ferment et que ses lèvres s’entrouvrent pour exhaler une plainte presque inaudible mais à la sensualité telle qu’elle la fait frissonner.
Elle sent alors que le garçon qui commence à s’arquer tous muscles tendus, n’attend plus qu’elle le libère enfin.
Sa main se glisse alors sous la ceinture du boxer et se saisit du sexe vibrant et d’une douceur telle qu’elle en mouille d’un coup sa petite culotte, ce simple geste déclenche l’orgasme d’Anthony qui se cabre et pousse un râle rauque.
Alice soulève le drap juste à temps pour que le premier jet de délivrance fuse sur les pectoraux saillant du jeune homme, plusieurs autres moins puissants s’enchaînent jusqu’à ce que le garçon vidé de sa substance virile s’affaisse à nouveau sur le matelas en respirant très fort, vaincu par un plaisir inégalé pour lui jusqu’alors.
Carole a tout suivi et son visage est marqué par le trouble d’avoir assisté à l’orgasme d’Anthony, sa main sans contrôle s’est retrouvée plus active encore sur le mât dressé de Flavien qui la surprend en jouissant à son tour en exhalant de sa gorge un son animal.
Les deux femmes se regardent et sourient de leur complicité, leurs yeux toutefois sont attirés par quelque chose de pas commun qui les éclate soudainement d’un rire hystérique.
Elles viennent d’apercevoir les deux pieds de Flavien trop grand pour le lit, les doigts de pieds en éventails pâmés eux aussi par l’orgasme qu’a pris le garçon dans son sommeil sous les manipulations coquines de sa compagne.
Flavien ouvre les yeux et se redresse, comprend très vite ce qu’il vient de se passer et sans plus se démonter que ça, lance d’une voix encore rauque :
- Ça s’appelle prendre son pied ou alors je n’y connais vraiment rien !
Il regarde ahuri les deux jeunes femmes pliées de rires à en pleurer.
- Eh bien quoi ? Qu’est-ce que j’ai dit ??
2eme ANNEE Fêtes de fin d’année : (77 /150) (Au cirque) (Deuxième jour) (suite)
Erwan s’est levé tôt ce matin, il descend rapidement prendre son petit-déjeuner en se renseignant sur l’endroit où le cirque s’est installé et comment s’y rendre le plus aisément.
La femme de l’accueil lui donne un dépliant en lui traçant au stabilo le chemin à suivre ainsi que la ligne de bus à prendre.
Il la remercie et termine son café et ses toasts, puis remonte dans sa chambre se doucher et s’habiller.
Une fois prêt, il note sur une feuille où il se rend afin que ses parents ne le cherchent pas et la dépose à la femme qui lui promet de la leur donner dès qu’ils descendront à leurs tours.
L’arrêt de bus ne se trouve pas trop loin de l’hôtel et il ne lui faut qu’à peine vingt minutes pour en redescendre à quelques centaines de mètres de l’immense chapiteau.
Erwan regarde un long moment par curiosité l’effervescence des employés déjà au travail si tôt le matin, il cherche aussi à s’y repérer dans toutes ses roulottes et caravanes en faisant presque le tour.
Deux hommes le regardent depuis qu’il est arrivé et voyant qu’il reprend sa marche vers le cirque, l’intercepte gentiment mais de façon très professionnelle afin de ne courir aucun risque en cas de problème.
Malgré tout le garçon ne leur semble pas être bien méchant, tout au plus curieux et c’est donc tout en douceur qu’ils se renseignent sur lui.
- Bonjour jeune homme !!
- Bonjour messieurs !!
- Le cirque n’ouvre qu’en fin d’après-midi et il est interdit au public dans la journée, mais peut-être ne le saviez-vous pas ?
- (Erwan en toute bonne foi) Heu non !! J’arrive de Paris et je venais juste rendre visite à un ami qui doit justement être dans ce cirque.
Le deuxième homme fixe depuis le début le garçon en cherchant où il a pu déjà le rencontrer, sa mémoire lui fait défaut et ça l’agace quelque peu.
Pourtant il est absolument certain de le connaître et c’est avec beaucoup de curiosité qu’il en parle à son collègue.
- J’ai l’impression d’avoir déjà vu ce jeune homme, pas toi ?
L’autre homme beaucoup plus jeune.
- Non ! Je ne vois pas !
- Je n’arrive pas à mettre le doigt sur où et quand, mais j’en suis quasiment sûr !!
Erwan qui connaît la présence des hommes à son père fait vite le rapprochement.
- Vous ne seriez pas de la DST par hasard ?
- (Le plus jeune) Comment tu peux savoir ça toi ?
Le plus vieux a le déclic :
- Bordel !! Tu es le fiston du patron ? Je me disais aussi que ta tête ne me semblait pas inconnue !! Tu ne renieras pas ton père en tous les cas.
- (Le plus jeune ahuri) Maintenant que tu le dis, ça parait évidant.
Le plus vieux en lui tendant la main :
- Erwan ? C’est ça ?
Erwan en souriant car il n’est pas peu fier d’avoir les mêmes traits que son père :
- Exact et je viens voir Florian mon copain.
- (Le plus jeune amusé) Encore un !! Décidément !!
Le plus vieux devant l’air surpris d’Erwan :
- C’est qu’il y en a déjà un tas ici de ses amis au jeune Florian et ça ne nous facilite pas toujours la tâche.
- (Erwan) Et si j’ai bien tout compris hier, vous n’avez pas fini. Mais c’est à mon père de vous en parler, il sera là dans la matinée je pense.
- (Le plus jeune) Le patron est à Aix ??
- (Erwan) Oui mais normalement il est en vacances avec ma mère et moi, nous sommes juste venus pour voir « Flo » car il paraît qu’il va participer au spectacle.
Les deux hommes se regardent et éclatent de rires.
Erwan à moitié surpris seulement :
- Quelque chose me dit qu’il a déjà commencé, je me trompe ?
- (Le plus jeune) Oh non !! Hi ! Hi !
- (Le plus vieux) Viens avec nous, on va te conduire jusqu’à lui.
Erwan sourit et marche derrière eux en se demandant pendant qu’ils traversent le cirque, ce qu’a bien pu inventer son copain pour faire à ce point rire ses hommes qui ont pour mission de le protéger.
C’est sous le barnum qui sert de réfectoire qu’il aperçoit la tignasse rousse rebelle de son ami, Erwan est impressionné de voir autant de monde attablé autour de lui.
Mais pas autant assurément que Florian quand il l’aperçoit et qu’il se lève d’un bond le sourire jusqu’aux oreilles pour l’accueillir.
- « Wanou » ????
Erwan est troublé par cet accueil, c’est à ce moment-là en voyant le visage radieux de son ami qui arrive sur lui en courant, qu’il se rend compte que pour Florian il compte beaucoup également.
- Waouh !! Comment je suis content de te voir !!!
Erwan va pour lui serrer la main, mais un élan, qu’il ne contrôle absolument pas, lui fait prendre son copain par la taille et lui faire la bise.
Cela ne trouble pas Florian qui apparemment apprécie tout particulièrement cette marque supplémentaire d’amitié et qui lui rend sa bise avec le même plaisir évident.
- Viens que je te présente à mes amis, tu restes par ici longtemps ?
- Normalement c’est prévu pour la durée des fêtes, mais en fait ça dépendra de mon père.
- Maurice est là ? C’est cool !! Allez viens !! Tout le monde nous regarde en se demandant quoi Hi ! Hi !
Le cirque se réveille tranquillement et les bruits caractéristiques des gens au travail résonnent un peu partout.
Bien sûr dans les roulottes de nos vacanciers, ce sont encore des ronflements qui amènent les contres mesures à ce brouhaha familier.
***/***
- Rejoins l’avion Florian !!
- Tu crois qu’il t’entend ?
- C’est le seul moment ! Il faut qu’il comprenne qu’il doit retourner là-bas !
- Quelque chose le bloque pour qu’il le fasse pourtant.
- Je sais mais il faut absolument qu’il passe outre et qu’il m’y ramène.
- Je croyais que ce n’était pas si urgent ? C’est toi-même qui le dis pourtant ?
- Trop de choses se trament et je serais plus rassuré une fois de retour auprès des nôtres, je pourrai mieux le protéger.
- Je sens aussi le danger autour de lui, te rends tu comptes que c’est de ta faute ?
- J’ai été l’élément déclencheur je le reconnais, Maintenant je n’interviens quasiment plus du tout sache le.
- Comment ça !!! Ce n’est pas possible !!! Cette race n’est pas encore prête, de loin s’en faut, à suivre ce chemin !!!
***/***
Toujours ses voix dans ma tête !! Qu’est-ce que ça signifie enfin !! J’ouvre les yeux en me redressant vivement et en regardant tout autour de moi afin de voir si vraiment il n’y a personne, la roulotte est nimbée de lumière mais vide à part mes compagnons toujours endormis.
Une idée me vient soudainement et je me penche au pied du lit pour constater comme je m’y attendais que « Kinou » est bien là lui aussi avec les yeux braqués sur moi.
- Tu entends des voix dans ta tête toi aussi ?
- Rrrr !!!
- C’est bien ce qu’il me semblait, il n’y a que quand tu es proche de moi que je les entends.
- Rrrr !!!
- Je sais !! Tu n’y comprends rien toi non plus !!
Un mouvement contre moi et un bras qui vient doucement se poser sur ma poitrine me fait penser à autre chose de plus plaisant pour moi.
Je me rallonge lentement en tournant ma tête vers le beau gosse endormi tout contre moi et souris tendrement devant le spectacle de ses mèches blondes lui recouvrant une partie du visage et le faisant passer pour un ange venu du ciel.
Je repose doucement son bras sur son ventre et je laisse glisser ma main dans les couvertures en le caressant du bout des doigts.
Je rencontre très vite son gland décalotté et tout raidi de sa bandaison matinale, pas de slip ni de boxer car cette nuit nous nous sommes serrés nus pour nous endormir.
Mon majeur passe doucement dessus et le caresse comme le ferait une plume sur toute la longueur de sa hampe le faisant par réflexe se décoller de son pubis et laissant libre court au reste de mes doigts d’aller se perdre dans sa toison aux poils doux comme de la soie.
Mon autre main repousse la couette pour que mes yeux puissent enfin se rassasier de ce que mon sens du toucher remonte déjà à mon cerveau, celui-ci commence à se connecter en mode accro de ce corps dont je ne me lasserai jamais d’en abreuver tous mes sens.
Je me glisse petit à petit vers ce sexe qui m’attire et me fait saliver de désir, mes lèvres se posent sur le gland humide déjà de l’effet de mes caresses.
Je le masse avec une extrême douceur avec ma bouche chaude en laissant pointer le bout de ma langue pour recueillir cette saveur légèrement sucrée dont je raffole.
Mon excitation monte de plusieurs crans quand j’entends un bref gémissement de plaisir s’échapper de sa bouche, son corps toujours endormi se tend à la recherche d’une caresse plus virile et moins évanescente.
Un petit bruit un peu plus loin me fait lever les yeux et je manque d’exploser de rire quand j’aperçois « Ju » qui est exactement dans la même position que moi vis-à-vis de Maxime et qui me fixe, les yeux allumés par l’excitation.
Je mets un petit coup de langue sur le gland de Thomas aussitôt imité par Julien qui donne le même plaisir à Maxime.
Il lèche ensuite toute la hampe de son compagnon par le dessous, ce que je m’empresse de faire au mien dans la seconde qui suit.
Il attend que ce soit moi maintenant qui fasse le premier pas qu’il imite aussitôt après, ce petit jeu nous allume et nous déchaîne de plus en plus.
Nos "petits" copains ont droit alors à une merveilleuse pipe qui commence à les tordre de plaisirs dans leur sommeil, c’est comme un concours amical maintenant entre Julien et moi à celui qui fera jouir en premier son ami.
Je connais autant les points faibles de Thomas que lui ceux de Maxime et les deux garçons jouissent presque dans un ensemble parfait, emplissant nos bouches de leurs semences du matin.
Nous recouvrons nos copains justes au moment où ils s’éveillent après un dernier spasme d’orgasme et comprennent en nous regardant mort de rires qu’ils ont eus droit à leurs petites gâteries sous l’œil d’un spectateur.
- (Maxime à Thomas) Comment c’était pour toi « Thom » ?
- (Thomas à Maxime) Plutôt pas mal !! Et pour toi ?
- Il y a du plus je trouve ! Sans doute l’émulation de faire mieux que son voisin Hi ! Hi !
- Ouaih Hi ! Hi ! Ça doit être ça ! Dis voir « Maxou » ? Ils ont eu droit à leurs boissons chaudes et pas nous ?
- Ah ouaih tiens !! C’est vrai ça !!
Je m’allonge sur le dos imité presque immédiatement par Julien, je vire la couette d’un mouvement théâtrale qui les fait sourire :
- Le perco est branché mon « Thominou », tu n’as plus qu’à te servir ta bolée Hi ! Hi !
Julien ne peut empêcher un regard envieux devant la chose que déballe impudiquement son copain, il vire à son tour la couette en riant de la comparaison et s’adresse à « Max »...
- Idem pour toi mon grand Hi ! Hi ! Mais là désolé, je n’ai que la version une tasse Hi ! Hi !
2eme ANNEE Fêtes de fin d’année : (76 /150) (Au cirque) (Deuxième jour) (suite)
Alice ouvre un œil et admire un instant les lumières que le soleil entrant par les fenêtres irise sur le plafond de la roulotte.
Elle se demande un instant où elle est avant de se rappeler amusée qu’elle est ici en vacances et que le corps blotti tout contre elle est celui de son chéri.
Alice tourne son visage vers celui d’Anthony et admire ses traits magnifiques et sereins dans son sommeil, ses lèvres s’approchent alors et butinent sur l’arête du nez qui fronce sous la chatouille.
Deux yeux d’un bleu azur s’ouvrent alors, surmontés par une chevelure presque blonde dont Baptiste lui a révélé qu’elle le devenait complètement l’été au contact prolongé du soleil.
Le handicap d’Anthony étant intérieur, ses yeux ressemblent à ceux d’un voyant et ne serait-ce la fixité qu’ils ont quand il est éveillé, personne n’en verrait la différence et beaucoup y succomberaient en les contemplant comme elle le fait actuellement.
- (Anthony d’une voix douce) Tu es réveillée, je le sens.
- Depuis pas longtemps rassure-toi.
- Ah !!
Alice lui caresse les cheveux en souriant béatement, son cœur bat plus rapidement qu’à l’habitude quand il est près d’elle et elle connaît suffisamment les choses pour savoir qu’elle est folle de lui et que rien ne pourra jamais le lui enlever.
Ils ne prononcent plus une parole, profitant juste de ce contact et de la chaleur de leurs corps.
Alice fixe la couette au niveau de l’entrejambe du garçon et sourit en observant les petits soubresauts qui petit à petit donnent une forme plus que subjective formant au final un magnifique chapiteau.
Chapiteau dont elle ne se lasse pas de regarder avec curiosité et envie mais qu’elle n’ose pas encore s’approprier comme elle en a le désir, tout simplement de peur de le choquer.
Il faut dire aussi que pour elle, même si elle connaît dans le principe ce qui se cache sous le drap par quelques sites visités sur internet et quelques films regardés avec curiosité ; son inexpérience est tout aussi totale que celle du jeune homme quand à ce qu’il en est de la vision et du contact réel de cette chose qui maintenant est dressée fièrement sous ses yeux, seulement préservé à sa vue par le drap et à seulement quelques centimètres d’elle.
Carole la regarde depuis quelques minutes et comprend le trouble de la jeune fille qui est devenue maintenant une de ses meilleures amies, elle a moins de scrupule et c’est avec un frisson d’envie qu’elle glisse la main sous le drap et caresse doucement le sexe de Flavien qui en est au même point de raidissement que son copain.
Quand Alice s’aperçoit enfin que son amie l’observe avec le sourire, elle voit également le mouvement de va-et-vient de sa main sur le bas-ventre de Flavien et se mord la lèvre tellement elle désire elle aussi découvrir l’intimité d’Anthony et lui donner ce plaisir qu’elle voit dans le sourire de plus en plus resplendissant du beau blond toujours endormi au côté de Carole.
Le corps d’Alice frissonne et tremble de désirs, sa main se pose sur le torse musclé d’Anthony et virevolte en lui prodiguant des caresses qui érigent les petits tétons dont les pointes bien dures se frottent dans sa paume faisant pousser au jeune homme un soupir involontaire de plaisirs contenus.
Anthony sent la progression de cette main douce et agile sur son corps, ses muscles durcissent au passage de ces doigts si électrisants qu’il a du mal à rester stoïque afin de ne pas l’effaroucher et qu’elle n’enlève cette main dont son vœu le plus cher serait qu’elle aille cueillir son sexe si bandé qu’il lui en fait mal dans le ventre.
Carole fait un petit clin d’œil à son amie en lui montrant à travers le drap le « massage » toute en longueur de sa main sur le sexe de Flavien.
Un mouvement de tête lui fait comprendre qu’elle doit en faire autant car elle aussi suit la progression du plaisir sur le visage d’Anthony et comprend avec son expérience maintenant acquise, qu’il n’est plus loin de la jouissance mais qu’il n’osera pas pousser plus loin si cela ne vient pas d’Alice.
Anthony tremble maintenant car la main est à la limite de sa toison pubienne, et seul l’élastique de son boxer empêche son sexe d’aller s’y nicher comme son envie le lui demande de plus en plus impérativement.
Il sent ses testicules se coller à son scrotum et les fourmillements sur son gland de plus en plus gonflé lui font comprendre qu’il n’est plus loin de s’abandonner à l’éjaculation que tous ses sens réclament.
Alice perçoit les prémices du plaisir sur le visage d’Anthony, quand ses yeux se ferment et que ses lèvres s’entrouvrent pour exhaler une plainte presque inaudible mais à la sensualité telle qu’elle la fait frissonner.
Elle sent alors que le garçon qui commence à s’arquer tous muscles tendus, n’attend plus qu’elle le libère enfin.
Sa main se glisse alors sous la ceinture du boxer et se saisit du sexe vibrant et d’une douceur telle qu’elle en mouille d’un coup sa petite culotte, ce simple geste déclenche l’orgasme d’Anthony qui se cabre et pousse un râle rauque.
Alice soulève le drap juste à temps pour que le premier jet de délivrance fuse sur les pectoraux saillant du jeune homme, plusieurs autres moins puissants s’enchaînent jusqu’à ce que le garçon vidé de sa substance virile s’affaisse à nouveau sur le matelas en respirant très fort, vaincu par un plaisir inégalé pour lui jusqu’alors.
Carole a tout suivi et son visage est marqué par le trouble d’avoir assisté à l’orgasme d’Anthony, sa main sans contrôle s’est retrouvée plus active encore sur le mât dressé de Flavien qui la surprend en jouissant à son tour en exhalant de sa gorge un son animal.
Les deux femmes se regardent et sourient de leur complicité, leurs yeux toutefois sont attirés par quelque chose de pas commun qui les éclate soudainement d’un rire hystérique.
Elles viennent d’apercevoir les deux pieds de Flavien trop grand pour le lit, les doigts de pieds en éventails pâmés eux aussi par l’orgasme qu’a pris le garçon dans son sommeil sous les manipulations coquines de sa compagne.
Flavien ouvre les yeux et se redresse, comprend très vite ce qu’il vient de se passer et sans plus se démonter que ça, lance d’une voix encore rauque :
- Ça s’appelle prendre son pied ou alors je n’y connais vraiment rien !
Il regarde ahuri les deux jeunes femmes pliées de rires à en pleurer.
- Eh bien quoi ? Qu’est-ce que j’ai dit ??
2eme ANNEE Fêtes de fin d’année : (77 /150) (Au cirque) (Deuxième jour) (suite)
Erwan s’est levé tôt ce matin, il descend rapidement prendre son petit-déjeuner en se renseignant sur l’endroit où le cirque s’est installé et comment s’y rendre le plus aisément.
La femme de l’accueil lui donne un dépliant en lui traçant au stabilo le chemin à suivre ainsi que la ligne de bus à prendre.
Il la remercie et termine son café et ses toasts, puis remonte dans sa chambre se doucher et s’habiller.
Une fois prêt, il note sur une feuille où il se rend afin que ses parents ne le cherchent pas et la dépose à la femme qui lui promet de la leur donner dès qu’ils descendront à leurs tours.
L’arrêt de bus ne se trouve pas trop loin de l’hôtel et il ne lui faut qu’à peine vingt minutes pour en redescendre à quelques centaines de mètres de l’immense chapiteau.
Erwan regarde un long moment par curiosité l’effervescence des employés déjà au travail si tôt le matin, il cherche aussi à s’y repérer dans toutes ses roulottes et caravanes en faisant presque le tour.
Deux hommes le regardent depuis qu’il est arrivé et voyant qu’il reprend sa marche vers le cirque, l’intercepte gentiment mais de façon très professionnelle afin de ne courir aucun risque en cas de problème.
Malgré tout le garçon ne leur semble pas être bien méchant, tout au plus curieux et c’est donc tout en douceur qu’ils se renseignent sur lui.
- Bonjour jeune homme !!
- Bonjour messieurs !!
- Le cirque n’ouvre qu’en fin d’après-midi et il est interdit au public dans la journée, mais peut-être ne le saviez-vous pas ?
- (Erwan en toute bonne foi) Heu non !! J’arrive de Paris et je venais juste rendre visite à un ami qui doit justement être dans ce cirque.
Le deuxième homme fixe depuis le début le garçon en cherchant où il a pu déjà le rencontrer, sa mémoire lui fait défaut et ça l’agace quelque peu.
Pourtant il est absolument certain de le connaître et c’est avec beaucoup de curiosité qu’il en parle à son collègue.
- J’ai l’impression d’avoir déjà vu ce jeune homme, pas toi ?
L’autre homme beaucoup plus jeune.
- Non ! Je ne vois pas !
- Je n’arrive pas à mettre le doigt sur où et quand, mais j’en suis quasiment sûr !!
Erwan qui connaît la présence des hommes à son père fait vite le rapprochement.
- Vous ne seriez pas de la DST par hasard ?
- (Le plus jeune) Comment tu peux savoir ça toi ?
Le plus vieux a le déclic :
- Bordel !! Tu es le fiston du patron ? Je me disais aussi que ta tête ne me semblait pas inconnue !! Tu ne renieras pas ton père en tous les cas.
- (Le plus jeune ahuri) Maintenant que tu le dis, ça parait évidant.
Le plus vieux en lui tendant la main :
- Erwan ? C’est ça ?
Erwan en souriant car il n’est pas peu fier d’avoir les mêmes traits que son père :
- Exact et je viens voir Florian mon copain.
- (Le plus jeune amusé) Encore un !! Décidément !!
Le plus vieux devant l’air surpris d’Erwan :
- C’est qu’il y en a déjà un tas ici de ses amis au jeune Florian et ça ne nous facilite pas toujours la tâche.
- (Erwan) Et si j’ai bien tout compris hier, vous n’avez pas fini. Mais c’est à mon père de vous en parler, il sera là dans la matinée je pense.
- (Le plus jeune) Le patron est à Aix ??
- (Erwan) Oui mais normalement il est en vacances avec ma mère et moi, nous sommes juste venus pour voir « Flo » car il paraît qu’il va participer au spectacle.
Les deux hommes se regardent et éclatent de rires.
Erwan à moitié surpris seulement :
- Quelque chose me dit qu’il a déjà commencé, je me trompe ?
- (Le plus jeune) Oh non !! Hi ! Hi !
- (Le plus vieux) Viens avec nous, on va te conduire jusqu’à lui.
Erwan sourit et marche derrière eux en se demandant pendant qu’ils traversent le cirque, ce qu’a bien pu inventer son copain pour faire à ce point rire ses hommes qui ont pour mission de le protéger.
C’est sous le barnum qui sert de réfectoire qu’il aperçoit la tignasse rousse rebelle de son ami, Erwan est impressionné de voir autant de monde attablé autour de lui.
Mais pas autant assurément que Florian quand il l’aperçoit et qu’il se lève d’un bond le sourire jusqu’aux oreilles pour l’accueillir.
- « Wanou » ????
Erwan est troublé par cet accueil, c’est à ce moment-là en voyant le visage radieux de son ami qui arrive sur lui en courant, qu’il se rend compte que pour Florian il compte beaucoup également.
- Waouh !! Comment je suis content de te voir !!!
Erwan va pour lui serrer la main, mais un élan, qu’il ne contrôle absolument pas, lui fait prendre son copain par la taille et lui faire la bise.
Cela ne trouble pas Florian qui apparemment apprécie tout particulièrement cette marque supplémentaire d’amitié et qui lui rend sa bise avec le même plaisir évident.
- Viens que je te présente à mes amis, tu restes par ici longtemps ?
- Normalement c’est prévu pour la durée des fêtes, mais en fait ça dépendra de mon père.
- Maurice est là ? C’est cool !! Allez viens !! Tout le monde nous regarde en se demandant quoi Hi ! Hi !
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