20-08-2020, 03:22 PM
3ème suite
Le lendemain, catastrophe, malgré une vidange matinale mon sexe précédait le reste de mon corps lorsque je pénétrais dans la vaste cuisine où une bonne odeur de café régnait et un copieux petit déjeuner, fort appétissant, m'attendait. Martha aussi m'atten-dait, vêtue de la même nuisette qu'hier soir, laissant deviner deux généreux seins et une jambe qui remontait très haut, jusqu'à l'aine. Le spectacle était certainement très beau, très attirant, mais moi, petit puceau, je ne pouvais plus faire un pas d'autant que cette fois mon pénis était quasiment à l'horizontale et qu'en plus il était à moitié décalotté, laissant percevoir un petit bout rose et humide, attirant pour toute personne normalement constituée : et Martha devait être normalement constituée car elle me dit
- Allez, ne soit pas timide, approche-toi et vient m'embrasser avant de te mettre à table. Hum ! tu sens bon le jeune fauve, allez, viens !
Je me dirigeais vers elle, lentement, et j'allais l'embrasser sur la joue lorsqu'au dernier moment elle tourna la tête et mes lèvres aboutirent sur ses lèvres à elle et ce fut un vrai baiser car elle avait pris ma tête dans ses mains pour la retenir : je sentis sa langue qui força sans difficulté le barrage de mes lèvres tandis que je serais désespérément mes dents jusqu'au moment où elle me conseilla de me relaxer, ce que je fis involontairement de sorte que nos langues purent faire connaissance. Dès cet instant, je ne réalisais plus vraiment ce qui se passait, sa langue s'enroulait autour de la mienne me donnant une sensation que je n'avais jamais ressentie, elle n'avait plus besoin de me tenir la tête, d'instinct j'appuyais mon visage, cherchant à enfoncer le plus profondément possible mon organe lingual : c'était divin et d'autant plus que dans le même temps, une main avait saisi mes testicules et les malaxaient avec douceur. Je crus que j'allais m'évanouir, tellement le ressenti était nouveau et violent
- Oh, je sens que mon petit puceau va avoir sa première éjaculation par une main autre que la sienne, oui, laisse-toi aller, je sens les contractions, les spasmes de ta queue qui accélèrent, oui, je suis sûr que tu sens ta semence qui commence son cheminement jusqu'à la libération. Oui, vas-y, voilà tu gicles dans mes mains, oui, tu gémis, tu gémis plus fort et tu hurles, tu hurles de jouissance.
- Ah, c'est trop bon, je… je… je et ce sont plusieurs jets puissants qui se répandirent un peu partout.
- C'est bien mon petit, je sens que tous les deux on va passer des moments très forts, tu verras, je vais t'apprendre un tas de choses, tu vas faire jouir les femmes qui t'adoreront, tu vas rendre fou les hommes et ils te rendront fou.
Allons, passons à table tu dois avoir faim
Quel petit déjeuner mémorable, pour la première fois j'avais embrassé une femme et une femme m'avait embrassé. Pour la première fois j'avais éjaculé sous les caresses d'une femme et quelle femme, j'avais joui comme jamais. Pour la première fois également, une femme m'avait laissé entendre que je deviendrais fou avec et pour les hommes. Que de perspectives envoutantes, qu'allais-je devenir, un amant ou une pute, un malade du sexe ou un être attentionné, une expérience unique et temporaire ou deviendrais-je une autre personne, dans la durée d'une relation aimante ?
Une certaine routine s'était établi entre Martha et moi : j'arrivais le vendredi en fin d'après-midi chez elle et je rentrais chez moi le dimanche dans la belle chambre que je partageais avec Jean-Marie, un ado du même âge que moi et assez timide. J'avais eu de la chance car en réponse à une petite annonce chez l'épicier du coin Josepha, la mère, m'avait proposé une chambre contre un soutien scolaire pour son fils. Rapidement, j'eu l'autorisation de faire un peu de cuisine si je remettais la pièce en ordre, ce qui signifiait que souvent je me tapais la vaisselle de notre ménage à trois ! Jean-Marie avait une jolie bouille et un corps un peu en surpoids, mais de manière raisonnable. Vu que nous avions des horaires scolaires très similaires, nous prîmes rapidement l'habitude d'occuper la salle de bain ensemble, d'autant que celle-ci était assez grande et avec une belle douche italienne. Stressés, il nous est arrivé une première fois de nous doucher ensemble ce qui personnellement ne me gênait pas vu que j'étais actuellement attiré par les femmes, et Martha en particulier. Par contre je remarquais assez vite que mon copain avait tendance à loucher sur mon corps ; cela m'amusait, je laissais faire sans rien dire, mais, petit à petit, des idées un peu coquines me venaient à l'esprit mais je ne faisais absolument aucune tentative car, d'abord, il ne me tentait pas vraiment et, surtout, je ne voulais pas risquer de perdre ma chambre qui ne me coutait rien. Mais c'est vrai qu'il était mignon mon blondinet ! Et puis, j'avais Martha chez qui, outre les weekends j'allais également passé occasionnellement la soirée et la nuit du mercredi au jeudi.
Cette routine était très agréable pour moi, nous sortions au théâtre, au cinéma, nous mangions souvent au restaurant, nous allions volontiers danser et je sentais de nombreux regards sur notre couple, assez inhabituel vu la différence d'âge, tant de femmes que d'hommes mais j'avoue, un peu naïvement, ne pas savoir si c'était Martha ou moi-même qui attirait les regards. J'avais la belle vie, d'autant que ma compagne avait simplifié notre relation financière : elle me versait un montant fixe chaque mois, montant auquel s'ajouterait, de cas en cas, une indemnité si une femme ou un homme participait à nos ébats. Jusqu'à présent, ce n'était que des femmes où mon rôle était essentiellement passif, les deux femmes aimant que je les regarde faire l'amour, s'embrasser ou fouiller dans leurs chattes. Je dois reconnaître que j'étais satisfait du rôle qui m'était attribué car ces ébats entre femmes ne m'attiraient pas vraiment.
Martha était bien entendu au courant de mes conditions de logement et, plus particulièrement, de l'attirance que je semblais exercer sur Jean-Marie mais je la rassurais en lui disant que, de mon point de vue, c'était purement platonique : c'est alors
- Tu sais Antoine, si tu as envie de t'amuser avec ton Jean-Marie, car je trouve que tu m'en parles bien souvent, il ne faut surtout pas te gêner, bien au contraire, tu peux même l'amener ici pour être plus tranquille !
- Merci, c'est gentil mais tu sais, je ne suis pas encore certain d'avoir envie d'un garçon même si ses fesses sont effectivement attirantes mais je crois, surtout, que lui serait tout-à-fait favorable à un rapprochement car j'ai remarqué que son sexe avait de plus en plus tendance à être bandé… Et puis tu sais, je n'ai jamais touché un homme, même pas mon cousin Paul
- Et cela te dirait d'essayer une fois ?
Prudemment, je ne répondis pas car, franchement, je n'en savais rien.
Quelques jours plus tard, nous prenions l'apéritif Martha et moi, il devait être vers les 19 heures lorsque la sonnette se manifesta
- Ah, Henri, quel plaisir de te voir, il y a longtemps que tu ne m'avais pas rendu visite. Entre, cela tombe bien, j'ai mon jeune ami qui est là et nous étions en train de prendre un verre
Je n'avais pas prêté attention à la personne à la porte lorsque Henri entra dans le vaste salon où j'avais déjà passé tant de bons, de très bons moments avec Martha et ses amies. L'homme, en me voyant, s'arrêta pile, resta la bouche ouverte, son visage rougit quelque peu : il faut dire que mon aspect ne correspondait pas à celui d'une première entrevue entre gens de bonne société : J'avais encore ma chemise mais celle-ci était grande ouverte sur ma poitrine, imberbe soit dit en passant, ma braguette ouverte laissait voir un adorable petit slip rouge sur le devant duquel on pouvait voir une tache humide
Martha fit assoir son hôte, elle se plaça à ses côtés et le Henri en question se trouvait entre nous deux de sorte que je n'avais plus Martha comme voisine ce qui me frustra quelque peu car nous ne pourrions pas, de toute évidence, continuer notre petit jeu.
Du coup, je regardais plus attentivement l'intru et je dû admettre que c'était un bel homme malgré son âge, un très bel homme même, avec des cheveux grisonnants, impeccablement rasé, habillé avec une élégante simplicité. Il n'avait pas un poil de graisse, où tout au moins cela ne se voyait pas, et j'avais l'impression qu'il était bien musclé. A l'observer pendant qu'il parlait avec Martha, je sentais mon sexe durcir et je me plus à me demander s'il en était de même pour lui ce qui était stupide car il ne s'occupait pas du tout de moi, pour l'instant tout au moins. Ce n'était plus un sexe que j'avais dans mon sous-vêtement, mais une vrai barre qui tendait au maximum mon petit slip rouge : au premier regard, n'importe qui s'apercevrait de mon excitation et il fallut que ce soit juste à ce moment que le téléphone sonne et que Martha passe dans son bureau en s'excusant vis-à-vis d'Henri.
Le lendemain, catastrophe, malgré une vidange matinale mon sexe précédait le reste de mon corps lorsque je pénétrais dans la vaste cuisine où une bonne odeur de café régnait et un copieux petit déjeuner, fort appétissant, m'attendait. Martha aussi m'atten-dait, vêtue de la même nuisette qu'hier soir, laissant deviner deux généreux seins et une jambe qui remontait très haut, jusqu'à l'aine. Le spectacle était certainement très beau, très attirant, mais moi, petit puceau, je ne pouvais plus faire un pas d'autant que cette fois mon pénis était quasiment à l'horizontale et qu'en plus il était à moitié décalotté, laissant percevoir un petit bout rose et humide, attirant pour toute personne normalement constituée : et Martha devait être normalement constituée car elle me dit
- Allez, ne soit pas timide, approche-toi et vient m'embrasser avant de te mettre à table. Hum ! tu sens bon le jeune fauve, allez, viens !
Je me dirigeais vers elle, lentement, et j'allais l'embrasser sur la joue lorsqu'au dernier moment elle tourna la tête et mes lèvres aboutirent sur ses lèvres à elle et ce fut un vrai baiser car elle avait pris ma tête dans ses mains pour la retenir : je sentis sa langue qui força sans difficulté le barrage de mes lèvres tandis que je serais désespérément mes dents jusqu'au moment où elle me conseilla de me relaxer, ce que je fis involontairement de sorte que nos langues purent faire connaissance. Dès cet instant, je ne réalisais plus vraiment ce qui se passait, sa langue s'enroulait autour de la mienne me donnant une sensation que je n'avais jamais ressentie, elle n'avait plus besoin de me tenir la tête, d'instinct j'appuyais mon visage, cherchant à enfoncer le plus profondément possible mon organe lingual : c'était divin et d'autant plus que dans le même temps, une main avait saisi mes testicules et les malaxaient avec douceur. Je crus que j'allais m'évanouir, tellement le ressenti était nouveau et violent
- Oh, je sens que mon petit puceau va avoir sa première éjaculation par une main autre que la sienne, oui, laisse-toi aller, je sens les contractions, les spasmes de ta queue qui accélèrent, oui, je suis sûr que tu sens ta semence qui commence son cheminement jusqu'à la libération. Oui, vas-y, voilà tu gicles dans mes mains, oui, tu gémis, tu gémis plus fort et tu hurles, tu hurles de jouissance.
- Ah, c'est trop bon, je… je… je et ce sont plusieurs jets puissants qui se répandirent un peu partout.
- C'est bien mon petit, je sens que tous les deux on va passer des moments très forts, tu verras, je vais t'apprendre un tas de choses, tu vas faire jouir les femmes qui t'adoreront, tu vas rendre fou les hommes et ils te rendront fou.
Allons, passons à table tu dois avoir faim
Quel petit déjeuner mémorable, pour la première fois j'avais embrassé une femme et une femme m'avait embrassé. Pour la première fois j'avais éjaculé sous les caresses d'une femme et quelle femme, j'avais joui comme jamais. Pour la première fois également, une femme m'avait laissé entendre que je deviendrais fou avec et pour les hommes. Que de perspectives envoutantes, qu'allais-je devenir, un amant ou une pute, un malade du sexe ou un être attentionné, une expérience unique et temporaire ou deviendrais-je une autre personne, dans la durée d'une relation aimante ?
Une certaine routine s'était établi entre Martha et moi : j'arrivais le vendredi en fin d'après-midi chez elle et je rentrais chez moi le dimanche dans la belle chambre que je partageais avec Jean-Marie, un ado du même âge que moi et assez timide. J'avais eu de la chance car en réponse à une petite annonce chez l'épicier du coin Josepha, la mère, m'avait proposé une chambre contre un soutien scolaire pour son fils. Rapidement, j'eu l'autorisation de faire un peu de cuisine si je remettais la pièce en ordre, ce qui signifiait que souvent je me tapais la vaisselle de notre ménage à trois ! Jean-Marie avait une jolie bouille et un corps un peu en surpoids, mais de manière raisonnable. Vu que nous avions des horaires scolaires très similaires, nous prîmes rapidement l'habitude d'occuper la salle de bain ensemble, d'autant que celle-ci était assez grande et avec une belle douche italienne. Stressés, il nous est arrivé une première fois de nous doucher ensemble ce qui personnellement ne me gênait pas vu que j'étais actuellement attiré par les femmes, et Martha en particulier. Par contre je remarquais assez vite que mon copain avait tendance à loucher sur mon corps ; cela m'amusait, je laissais faire sans rien dire, mais, petit à petit, des idées un peu coquines me venaient à l'esprit mais je ne faisais absolument aucune tentative car, d'abord, il ne me tentait pas vraiment et, surtout, je ne voulais pas risquer de perdre ma chambre qui ne me coutait rien. Mais c'est vrai qu'il était mignon mon blondinet ! Et puis, j'avais Martha chez qui, outre les weekends j'allais également passé occasionnellement la soirée et la nuit du mercredi au jeudi.
Cette routine était très agréable pour moi, nous sortions au théâtre, au cinéma, nous mangions souvent au restaurant, nous allions volontiers danser et je sentais de nombreux regards sur notre couple, assez inhabituel vu la différence d'âge, tant de femmes que d'hommes mais j'avoue, un peu naïvement, ne pas savoir si c'était Martha ou moi-même qui attirait les regards. J'avais la belle vie, d'autant que ma compagne avait simplifié notre relation financière : elle me versait un montant fixe chaque mois, montant auquel s'ajouterait, de cas en cas, une indemnité si une femme ou un homme participait à nos ébats. Jusqu'à présent, ce n'était que des femmes où mon rôle était essentiellement passif, les deux femmes aimant que je les regarde faire l'amour, s'embrasser ou fouiller dans leurs chattes. Je dois reconnaître que j'étais satisfait du rôle qui m'était attribué car ces ébats entre femmes ne m'attiraient pas vraiment.
Martha était bien entendu au courant de mes conditions de logement et, plus particulièrement, de l'attirance que je semblais exercer sur Jean-Marie mais je la rassurais en lui disant que, de mon point de vue, c'était purement platonique : c'est alors
- Tu sais Antoine, si tu as envie de t'amuser avec ton Jean-Marie, car je trouve que tu m'en parles bien souvent, il ne faut surtout pas te gêner, bien au contraire, tu peux même l'amener ici pour être plus tranquille !
- Merci, c'est gentil mais tu sais, je ne suis pas encore certain d'avoir envie d'un garçon même si ses fesses sont effectivement attirantes mais je crois, surtout, que lui serait tout-à-fait favorable à un rapprochement car j'ai remarqué que son sexe avait de plus en plus tendance à être bandé… Et puis tu sais, je n'ai jamais touché un homme, même pas mon cousin Paul
- Et cela te dirait d'essayer une fois ?
Prudemment, je ne répondis pas car, franchement, je n'en savais rien.
Quelques jours plus tard, nous prenions l'apéritif Martha et moi, il devait être vers les 19 heures lorsque la sonnette se manifesta
- Ah, Henri, quel plaisir de te voir, il y a longtemps que tu ne m'avais pas rendu visite. Entre, cela tombe bien, j'ai mon jeune ami qui est là et nous étions en train de prendre un verre
Je n'avais pas prêté attention à la personne à la porte lorsque Henri entra dans le vaste salon où j'avais déjà passé tant de bons, de très bons moments avec Martha et ses amies. L'homme, en me voyant, s'arrêta pile, resta la bouche ouverte, son visage rougit quelque peu : il faut dire que mon aspect ne correspondait pas à celui d'une première entrevue entre gens de bonne société : J'avais encore ma chemise mais celle-ci était grande ouverte sur ma poitrine, imberbe soit dit en passant, ma braguette ouverte laissait voir un adorable petit slip rouge sur le devant duquel on pouvait voir une tache humide
Martha fit assoir son hôte, elle se plaça à ses côtés et le Henri en question se trouvait entre nous deux de sorte que je n'avais plus Martha comme voisine ce qui me frustra quelque peu car nous ne pourrions pas, de toute évidence, continuer notre petit jeu.
Du coup, je regardais plus attentivement l'intru et je dû admettre que c'était un bel homme malgré son âge, un très bel homme même, avec des cheveux grisonnants, impeccablement rasé, habillé avec une élégante simplicité. Il n'avait pas un poil de graisse, où tout au moins cela ne se voyait pas, et j'avais l'impression qu'il était bien musclé. A l'observer pendant qu'il parlait avec Martha, je sentais mon sexe durcir et je me plus à me demander s'il en était de même pour lui ce qui était stupide car il ne s'occupait pas du tout de moi, pour l'instant tout au moins. Ce n'était plus un sexe que j'avais dans mon sous-vêtement, mais une vrai barre qui tendait au maximum mon petit slip rouge : au premier regard, n'importe qui s'apercevrait de mon excitation et il fallut que ce soit juste à ce moment que le téléphone sonne et que Martha passe dans son bureau en s'excusant vis-à-vis d'Henri.