04-08-2023, 07:06 PM
– Les garçons, vos chiens c'est des bébés loup. Ils doivent avoir trois mois, ce qui est étonnant. Habituellement ils naissent fin février ou début mars. Ils doivent être d’une des louves qui ont été réintroduites dans le pays.
– Mince ! Tu en es sur, Papé ?
– Oh, que oui. Quand j'étais gamin, il y en avait encore pas mal, ici. C'est mon grand-père qui a piégé le dernier en 22.
– Tu as connu des loups, ici ?
– Oui, Gus, mais ça fait très longtemps.
– Mais pourquoi ton grand-père, il l'a tué, le dernier loup ?
– Parce qu’il mangeait les agneaux et les moutons. Et quand ils les mangeaient ça faisait des sous en moins.
– Mais les nôtres on leur dira que c'est interdit de les manger.
– Et comment vous les avez appelés ?
– On leur a pas donné de nom encore.
– C'est l'année des R, je crois.
– Ça veut dire quoi l'année des airs, Papé ?
– Ça veut dire que leurs noms doivent commencer par un R.
– j'ai une idée, Chip. Si on les appelait Rémus et Romulus. Tu veux lequel toi ?
– Romulus, Papa et ça sera lui.
– D’accord, le mien sera Rémus. Mais comment on les reconnaît, après ?
– Je crois que j'ai des rubans de couleur dans ma boite à couture, il n'y a qu'à leur en mettre un à chacun.
– Ah oui bonne idée, Mamé. Tu as un crayon aussi pour marquer leur nom dessus ?
– Mais oui, j'ai ça aussi.
Et quand vous descendrez en ville faire les courses, vous leur achèterez un collier.
– Mamé je peux prendre de l'essuie-tout ?
– Oui, Chip, mais tu veux en faire quoi ?
– Rémus a fait pipi, je dois nettoyer.
– Laisse, je le ferai.
– Non Mamé, on a promis à Papa de le faire, alors on le fait.
– Tu sais où il est, alors vas te servir.
– Chip apporte le rouleau, Romulus a fait pipi aussi.
– Au fait Papé, Holly devient de plus en plus grosse.
Tu crois qu'il faut que j'appelle le véto ?
– Je ne sais pas , tu lui téléphones et tu vois ce qu'il te dit. Et à l'occasion dis-lui de monter des puces pour tes… chiens.
On resta encore un moment puis on rentra. Hans était réveillé et habillé. Il faisait la liste des choses qui nous manquaient. Il proposa qu'on aille faire les courses aujourd’hui. Ça ne m'enchantais pas et il fallait reconnaître que je lui laissais volontiers les tâches 'ménagères’. Il fallut bien sûr emmener les chiens pour leur faire essayer les colliers.
On fit les courses et par chance l'animalerie était ouverte. On y acheta tout ce qu'il fallait. Et c'est en laisse, avec un collier et une laisse rouge pour Rémus et bleue pour Romulus, que les garçons sortirent. On avait même fait graver des médailles avec mon numéro de portable.
On rentra juste à temps pour faire une raclette. Et l'après-midi on alla nettoyer les chevaux. Tim m'avait dit où mettre le fumier. Les garçons jouaient avec les chevaux et les chiots. Ça courait dans tous les sens. Ils allaient bien dormir ce soir.
Puis arriva le moment de la douche. Celle de Rémus et de Romulus parce qu'on avait acheté aussi du shampooing anti puces et anti parasites. Les garçons la prirent en même temps qu’eux. Je ne vous parle pas de l'état de la salle de bain après …
On soupa et on monta coucher tout ce petit monde après avoir fait faire pipi aux chiens, bien sûr. Je mis les chiots sur de vielles couvertures qu'on avait déposées pour eux mais sournoisement, Gus me dit :
– Tu sais Papa, quand tu vas partir, il vont pleurer et on va être obligé de les faire dormir avec nous, comme hier. Tu devrais les mettre dans notre lit.
– Tu sais ce que je vous ai dit, Gus. Je ne veux pas qu'ils dorment dans votre lit.
– Mais si tu les mets à nos pieds, ils y resteront surement.
– On fera comme pour les moutons, on leur dira qu'ils n'ont pas le droit de venir dedans avec nous.
– Tu sais Bé, je pense que les jumeaux ont raison, s'ils leur interdisent, les bébés vont obéir.
Devant autant de mauvaise foi qu'est-ce-que je pouvais faire ? Je pris les chiots et je les mis au pied du lit en soufflant. On redescendit avec Hans.
– Je ne sais pas si on a bien fait pour les petits loups.
– Tu voulais qu'on fasse quoi Bé ? On ne pouvait quand même pas les laisser là.
– Non, mais j'aurais pu les descendre à un vétérinaire. Et il en aurait fait ce qu'il voulait.
– Moi, je pense que c'est une bonne expérience pour les jumeaux. Ça va les responsabiliser. Tu sais point de vue études ils en sont au programme de CM1. Et ils n'ont pas encore cinq ans. je voudrais, avec ton accord, leur faire passer un test de QI.
– Je veux bien, mais ça va servir à quoi ?
– Ça va me permettre de voir jusqu'où je peux les pousser. À l'heure actuelle ils parlent anglais mieux qu'un jeune de 12 ans provenant d'un quartier populaire de Londres et leur Hollandais est pas mal non plus. Je commence le latin et le grec avec eux. Ça se passe assez bien.
– Tu vas faire d'eux des singes savants.
– Pour ce qui est du singe, avec un papa qui doit avoir des gènes de Bonobo dans les siens, il ne faut pas s’étonner.
– Ose me dire que tu n'aimes pas cette part en moi.
– Oh que non, j'avoue même que j'en raffole. Et si on montait explorer cette part bestiale de ta personnalité ?
Je me levais pour aller fermer les volets de l'entrée tandis que Hans faisait de même avec ceux de derrière. On allait monter quand son téléphone sonna. On fut surpris parce qu'il était rare qu'on nous téléphone à, passer, 10 heures du soir. C'était Victoria.
– Bonsoir Hans, Jean-François est avec toi ?
– Oui Grand-mère, il nous écoute.
– Je vous appelle pour le mail que la chancellerie de la reine vous a envoyé. Vous n'y avez pas encore répondu.
– C'est que je ne suis pas encore convaincu du fait qu'ils soient faits duc leur apporte un avantage quelconque.
– Financièrement, pour le moment, non. Plus tard la couronne leur allouera des bourses pour qu'ils puissent intégrer des écoles prestigieuses. Mais je vous passe quelqu'un qui voudrait vous parler et essayer de vous convaincre à son tour.
– Salut Jean-François, salut Hans, c’est William.
Jeff, tu nous l'as dit et répété, tu es fier d'être un roturier. Ça je peux l’accepter. Mais donne cette chance à tes fils d'être ducs. Ils côtoieront ainsi des personnes pouvant influer sur leurs vies professionnelles. Et j'ai besoin d’eux.
– Tu as besoin d'eux William ? Comment ça ?
– L'an prochain je me marie et j'aimerai que les petits portent la traîne de Cath. C'est un service personnel que je te demande. Cath aimerait les rencontrer. Tu crois que c'est faisable ?
– Si votre emploi du temps n'est pas trop chargé, venez passer quelques jours à la maison.
– Je ne disais pas ça pour ça, Jeff, on voulait vous inviter ici à Londres.
– En ce moment c'est un peu compliquer pour nous de nous déplacer. Les jumeaux ont des petits chiens qu'il faut surveiller comme du lait sur le feu, tellement ils font des bêtises. Et notre jument est proche de pouliner.
– D’accord, j'en parle à Cath et je te dis nos disponibilités.
Bonne soirée et, s'il te plaît Jeff, accepte que les jumeaux soient faits ducs. Ça va mettre un peu de jeunesse, de dynamisme, de naturel et de gaieté parmi tout ce petit monde qui vit en vase clos. Je vous repasse Victoria.
– Bonne soirée à toi aussi William.
– Jean-François, pour quelles raisons ne veux tu pas que les jumeaux soient ducs ?
– Ce n'est pas que je ne le veux pas, c'est juste que je voudrais qu'ils prennent eux même la décision. Et qu'ils sont encore trop petits pour le faire.
– Je peux comprendre tes réticences, mais de fait, ils sont ducs, que tu le veuilles ou non.
– Je vous promets qu'on va y réfléchir sérieusement Victoria et qu'on va vous donner notre réponse le plus rapidement possible.
– Je compte sur vous, je vous embrasse tous les quatre.
elle raccrocha.
– Tu en penses quoi de ce coup de fil, Hans ?
– Je ne sais pas. Ce qu'il s’est passé chez Nick et Tonin a dû remonter jusqu'à la reine. C'est vrai que ma mère n'est pas cool non plus avec l’étiquette, mais elle n'est pas aussi collet montée que sa sœur . D'ailleurs mes cousins Hollandais voudraient vous connaître aussi. Mais, tu verras, ils sont beaucoup plus cools que ceux d’Angleterre. Pourquoi tu souris, Bé ?
– Ça fait 4 ans qu'on est ensemble et c'est juste maintenant qu'ils veulent nous connaître. On peut dire que vous êtes spontanés dans ta famille.
– Disons que ma mère a fortement influencé mon père. Et mes cousins n'ont pas voulu s'en mêler. Mais depuis qu'ils savent que vous avez passé le test avec Elisabeth II, ils vous considèrent comme des personnes civilisées et fréquentables.
– Mais c'est vraiment n'importe quoi, Hans !
– Je sais, Bé, mais ça se passe comme ça, dans le gotha des familles royales.
– Tu te sens d'expliquer aux jumeaux ce que ça va signifier pour eux d'être ducs ?
– Je vais essayer et je demanderai à Victoria de m'aider aussi pour certains points de détail qui ne sont pas évidents même pour moi. C'est bien plus simple en Hollande. Et je comprends aussi que tu ne veuilles pas qu'ils le soient.
– Mince ! Tu en es sur, Papé ?
– Oh, que oui. Quand j'étais gamin, il y en avait encore pas mal, ici. C'est mon grand-père qui a piégé le dernier en 22.
– Tu as connu des loups, ici ?
– Oui, Gus, mais ça fait très longtemps.
– Mais pourquoi ton grand-père, il l'a tué, le dernier loup ?
– Parce qu’il mangeait les agneaux et les moutons. Et quand ils les mangeaient ça faisait des sous en moins.
– Mais les nôtres on leur dira que c'est interdit de les manger.
– Et comment vous les avez appelés ?
– On leur a pas donné de nom encore.
– C'est l'année des R, je crois.
– Ça veut dire quoi l'année des airs, Papé ?
– Ça veut dire que leurs noms doivent commencer par un R.
– j'ai une idée, Chip. Si on les appelait Rémus et Romulus. Tu veux lequel toi ?
– Romulus, Papa et ça sera lui.
– D’accord, le mien sera Rémus. Mais comment on les reconnaît, après ?
– Je crois que j'ai des rubans de couleur dans ma boite à couture, il n'y a qu'à leur en mettre un à chacun.
– Ah oui bonne idée, Mamé. Tu as un crayon aussi pour marquer leur nom dessus ?
– Mais oui, j'ai ça aussi.
Et quand vous descendrez en ville faire les courses, vous leur achèterez un collier.
– Mamé je peux prendre de l'essuie-tout ?
– Oui, Chip, mais tu veux en faire quoi ?
– Rémus a fait pipi, je dois nettoyer.
– Laisse, je le ferai.
– Non Mamé, on a promis à Papa de le faire, alors on le fait.
– Tu sais où il est, alors vas te servir.
– Chip apporte le rouleau, Romulus a fait pipi aussi.
– Au fait Papé, Holly devient de plus en plus grosse.
Tu crois qu'il faut que j'appelle le véto ?
– Je ne sais pas , tu lui téléphones et tu vois ce qu'il te dit. Et à l'occasion dis-lui de monter des puces pour tes… chiens.
On resta encore un moment puis on rentra. Hans était réveillé et habillé. Il faisait la liste des choses qui nous manquaient. Il proposa qu'on aille faire les courses aujourd’hui. Ça ne m'enchantais pas et il fallait reconnaître que je lui laissais volontiers les tâches 'ménagères’. Il fallut bien sûr emmener les chiens pour leur faire essayer les colliers.
On fit les courses et par chance l'animalerie était ouverte. On y acheta tout ce qu'il fallait. Et c'est en laisse, avec un collier et une laisse rouge pour Rémus et bleue pour Romulus, que les garçons sortirent. On avait même fait graver des médailles avec mon numéro de portable.
On rentra juste à temps pour faire une raclette. Et l'après-midi on alla nettoyer les chevaux. Tim m'avait dit où mettre le fumier. Les garçons jouaient avec les chevaux et les chiots. Ça courait dans tous les sens. Ils allaient bien dormir ce soir.
Puis arriva le moment de la douche. Celle de Rémus et de Romulus parce qu'on avait acheté aussi du shampooing anti puces et anti parasites. Les garçons la prirent en même temps qu’eux. Je ne vous parle pas de l'état de la salle de bain après …
On soupa et on monta coucher tout ce petit monde après avoir fait faire pipi aux chiens, bien sûr. Je mis les chiots sur de vielles couvertures qu'on avait déposées pour eux mais sournoisement, Gus me dit :
– Tu sais Papa, quand tu vas partir, il vont pleurer et on va être obligé de les faire dormir avec nous, comme hier. Tu devrais les mettre dans notre lit.
– Tu sais ce que je vous ai dit, Gus. Je ne veux pas qu'ils dorment dans votre lit.
– Mais si tu les mets à nos pieds, ils y resteront surement.
– On fera comme pour les moutons, on leur dira qu'ils n'ont pas le droit de venir dedans avec nous.
– Tu sais Bé, je pense que les jumeaux ont raison, s'ils leur interdisent, les bébés vont obéir.
Devant autant de mauvaise foi qu'est-ce-que je pouvais faire ? Je pris les chiots et je les mis au pied du lit en soufflant. On redescendit avec Hans.
– Je ne sais pas si on a bien fait pour les petits loups.
– Tu voulais qu'on fasse quoi Bé ? On ne pouvait quand même pas les laisser là.
– Non, mais j'aurais pu les descendre à un vétérinaire. Et il en aurait fait ce qu'il voulait.
– Moi, je pense que c'est une bonne expérience pour les jumeaux. Ça va les responsabiliser. Tu sais point de vue études ils en sont au programme de CM1. Et ils n'ont pas encore cinq ans. je voudrais, avec ton accord, leur faire passer un test de QI.
– Je veux bien, mais ça va servir à quoi ?
– Ça va me permettre de voir jusqu'où je peux les pousser. À l'heure actuelle ils parlent anglais mieux qu'un jeune de 12 ans provenant d'un quartier populaire de Londres et leur Hollandais est pas mal non plus. Je commence le latin et le grec avec eux. Ça se passe assez bien.
– Tu vas faire d'eux des singes savants.
– Pour ce qui est du singe, avec un papa qui doit avoir des gènes de Bonobo dans les siens, il ne faut pas s’étonner.
– Ose me dire que tu n'aimes pas cette part en moi.
– Oh que non, j'avoue même que j'en raffole. Et si on montait explorer cette part bestiale de ta personnalité ?
Je me levais pour aller fermer les volets de l'entrée tandis que Hans faisait de même avec ceux de derrière. On allait monter quand son téléphone sonna. On fut surpris parce qu'il était rare qu'on nous téléphone à, passer, 10 heures du soir. C'était Victoria.
– Bonsoir Hans, Jean-François est avec toi ?
– Oui Grand-mère, il nous écoute.
– Je vous appelle pour le mail que la chancellerie de la reine vous a envoyé. Vous n'y avez pas encore répondu.
– C'est que je ne suis pas encore convaincu du fait qu'ils soient faits duc leur apporte un avantage quelconque.
– Financièrement, pour le moment, non. Plus tard la couronne leur allouera des bourses pour qu'ils puissent intégrer des écoles prestigieuses. Mais je vous passe quelqu'un qui voudrait vous parler et essayer de vous convaincre à son tour.
– Salut Jean-François, salut Hans, c’est William.
Jeff, tu nous l'as dit et répété, tu es fier d'être un roturier. Ça je peux l’accepter. Mais donne cette chance à tes fils d'être ducs. Ils côtoieront ainsi des personnes pouvant influer sur leurs vies professionnelles. Et j'ai besoin d’eux.
– Tu as besoin d'eux William ? Comment ça ?
– L'an prochain je me marie et j'aimerai que les petits portent la traîne de Cath. C'est un service personnel que je te demande. Cath aimerait les rencontrer. Tu crois que c'est faisable ?
– Si votre emploi du temps n'est pas trop chargé, venez passer quelques jours à la maison.
– Je ne disais pas ça pour ça, Jeff, on voulait vous inviter ici à Londres.
– En ce moment c'est un peu compliquer pour nous de nous déplacer. Les jumeaux ont des petits chiens qu'il faut surveiller comme du lait sur le feu, tellement ils font des bêtises. Et notre jument est proche de pouliner.
– D’accord, j'en parle à Cath et je te dis nos disponibilités.
Bonne soirée et, s'il te plaît Jeff, accepte que les jumeaux soient faits ducs. Ça va mettre un peu de jeunesse, de dynamisme, de naturel et de gaieté parmi tout ce petit monde qui vit en vase clos. Je vous repasse Victoria.
– Bonne soirée à toi aussi William.
– Jean-François, pour quelles raisons ne veux tu pas que les jumeaux soient ducs ?
– Ce n'est pas que je ne le veux pas, c'est juste que je voudrais qu'ils prennent eux même la décision. Et qu'ils sont encore trop petits pour le faire.
– Je peux comprendre tes réticences, mais de fait, ils sont ducs, que tu le veuilles ou non.
– Je vous promets qu'on va y réfléchir sérieusement Victoria et qu'on va vous donner notre réponse le plus rapidement possible.
– Je compte sur vous, je vous embrasse tous les quatre.
elle raccrocha.
– Tu en penses quoi de ce coup de fil, Hans ?
– Je ne sais pas. Ce qu'il s’est passé chez Nick et Tonin a dû remonter jusqu'à la reine. C'est vrai que ma mère n'est pas cool non plus avec l’étiquette, mais elle n'est pas aussi collet montée que sa sœur . D'ailleurs mes cousins Hollandais voudraient vous connaître aussi. Mais, tu verras, ils sont beaucoup plus cools que ceux d’Angleterre. Pourquoi tu souris, Bé ?
– Ça fait 4 ans qu'on est ensemble et c'est juste maintenant qu'ils veulent nous connaître. On peut dire que vous êtes spontanés dans ta famille.
– Disons que ma mère a fortement influencé mon père. Et mes cousins n'ont pas voulu s'en mêler. Mais depuis qu'ils savent que vous avez passé le test avec Elisabeth II, ils vous considèrent comme des personnes civilisées et fréquentables.
– Mais c'est vraiment n'importe quoi, Hans !
– Je sais, Bé, mais ça se passe comme ça, dans le gotha des familles royales.
– Tu te sens d'expliquer aux jumeaux ce que ça va signifier pour eux d'être ducs ?
– Je vais essayer et je demanderai à Victoria de m'aider aussi pour certains points de détail qui ne sont pas évidents même pour moi. C'est bien plus simple en Hollande. Et je comprends aussi que tu ne veuilles pas qu'ils le soient.