31-07-2023, 04:18 PM
– Papa, on a trouvé des petits chiens ! Tu as vu comme ils sont beaux. On peut les garder ?
– Vous les sortez d’où ?
– On les a vu courir, alors on est allé voir et on les a trouvés là.
Les chiots tremblaient dans leurs bras et ils étaient maigre à faire peur. Ils me faisaient de la peine. Et je crois que je n'étais pas le seul à en éprouver.
– Papa, on peut les garder ?
– Vous ne vous rendez pas compte du travail que c'est de s'occuper de petits chiens. Ils vont tout manger, faire pipi de partout, voler vos chaussettes …
– allez Papa, dit oui s'il te plaît, on te promet de s'en occuper et de tout nettoyer quand ils feront des saletés. Tu veux bien, dis ?
– Il n'y a pas que moi qui doit décider de ça. C'est une grosse responsabilité.
– Papa Hans, on peut les garder ? S'il te plaîiiit !
Hans se tourna vers moi et me fit un clin d'œil discret.
– Si on les garde c'est vous qui en serez responsable. Il faudra leur donner à manger et à boire, les brosser, les laver, ramasser leurs crottes, passer l'aspirateur dedans parce qu'il y aura des poils de partout !
– on fera tout ce que tu veux, Papa Hans.
– Il faudra aussi continuer à vous occuper des chevaux et des mules. Vous l'avez promis à Louis.
– Promis, juré, on fera tout ce que tu nous demanderas.
– Les garçons, vous savez ce que je pense des promesses, quand j'en fais une je la tiens. Alors si une seule fois vous ne le faites pas c'est fini, je redescendrai la jument et les mules à Louis et j'emmènerai les chiens à la SPA. Et ça, moi, je vous en fait la promesse.
Tous savaient que j'étais sérieux en disant ça. Je vis les jumeaux qui se parlaient à l’oreille.
– on te le promet.
– Dans ce cas c'est d’accord, on les garde.
Ils nous remercièrent d’un tas de bisous, Hans et moi, et toute la troupe retourna chez nos amis. Je vis Tonin fouiller dans un placard peu après qu'on fut rentré et il en sortit une boite. Puis il alla au frigo et sortit un plat qui contenait du riz. Il mélangea la boite avec le riz, y ajouta un peu de jus du rôti qu'on avait mangé à midi et il le posa par terre.
– Les jumeaux, lâchez vos chiens et laissez-les venir manger. Ils doivent avoir faim.
Les jumeaux déposèrent les chiots près du plat. Les bêtes le reniflèrent et un des deux y gouta. Ça dut lui plaire parce qu'il commença à en avaler de grosses bouchées. Son frère l’imita, aussitôt. Et bien vite, le plat fut vide. Tonin, toujours lui, leur avait posé une gamelle d’eau. Les chiots burent puis ils cherchèrent un coin tranquille où ils se roulèrent en boule et s’endormirent.
– Et vous les jumeaux, vous n'avez pas une petit faim, aussi ? Ça vous direz une petite part de tarte ?
– Oh oui, s'il te plaît Fanny.
– Et tu sais s'il reste du gâteau de midi on veut bien aussi. Nos papas nous ont dit que c'était pas bien de gaspiller la nourriture.
– Dans ce cas je vais aussi vous en donner une grosse part à chacun, ça vous ira ?
– Moi aussi j'en veux bien deux grosses parts, Fanny.
– Pas pour toi Nick.
– Mais pourquoi ? Tu es injuste ma chérie.
– Je ne ferai que te répéter ce que disait ma grand-mère en parlant des hommes et je la site : 'On n'a jamais vu un bon coq gras'
– Justement Fanny, je voulais prendre un peu des forces pour… tu vois ce que je veux dire.
– Ha, ha, oui moi aussi j'en veux deux grosses parts.
– Tu ne vas pas t'y mettre aussi Tonin.
– Pourquoi Héléna ? Tu ne veux pas que je sois en forme pour faire un peu de sport en chambre ce soir ?
– Comme si tu avais besoin de ça pour être en forme !
– Toi aussi tu sautes sur les lits, Tonin ?
– Pourquoi tu me demandes ça, Gus ?
– Bin parce que tu dis que tu fais du sport en chambre. Nous avec Chip quand on fait du sport dans la chambre, on saute sur les lits.
– Oui, mais Héléna me gronde à chaque fois.
– Nous aussi nos papas nous grondent, alors on le fait un peu quand ils sont pas là.
Le gouter fini, les jumeaux allèrent voir les chiots et s'endormirent à même le sol, sur le tapis. Et bientôt ils ne formèrent qu'une seule masse compacte. Fanny alla chercher un plaid et les couvrit.
On discuta jusqu'à l'heure du souper c'est les bonnes odeurs qui réveillèrent les chiens et les jumeaux qui, sur les conseils de Tonin, les sortirent pour qu'ils fassent pipi.
Et comme les jumeaux avaient envie ils firent le long d'un tronc d'arbre et les chiots aussi. Puis ils rentrèrent. On mangea les restes et on rentra.
Il fallut que je me fâche, parce que les jumeaux voulaient que les chiots dorment dans leur lit. Puis je rejoignis Hans qui se douchait.
– Bé, ça te dirait de tester quelque chose ?
– Qu'est-ce-que tu veux tester, Hans ?
Il commença à me palper çà et là avant de dire :
– Tu te souviens de ce qu'a dit Fanny, qu'il n'y avait pas de bon coq gras. Je voudrais bien tester ça.
– Tu ne t'en souviens plus, depuis hier soir ?
– Si, mais que très vaguement. Alors je voudrais bien retester à nouveau. Par exemple, ce qu'il va se passer, si je continue à te toucher le bout de viande.
– Je pense qu'il va devenir tout dur, qu'il va se mettre à baver et que finalement il va vomir son lait. Tu sais Hans, j'aime bien quand mon sexe est fiévreux. Par contre il aime bien se cacher dans des trous humides et chauds.
– Ah oui, comme ça il aime se cacher ?
Hans se pencha et parlant à mon sexe :
– Ça te dit une partie de cache-cache avec moi ? C'est toi qui te cache.
Et il goba ma queue. Je le laissais s'amuser sans bouger. Je sentis sa main qui cherchait la mienne et quand il la trouva, il la posa derrière sa tête. Je savais ce qu'il voulait. Il aimait que je le force un peu à avaler en gorge profonde, tout comme il aimait, quand je le prenais, que je lui claque les fesses. On joua une petit moment à ce jeu et comme j'allais jouir, il stoppa.
Il me prit par la main et me conduisit dans la chambre et se mit à quatre pattes sur le lit. Il avait écarté les jambes de façon à ce que sa rosette m'attire… et ça ne manqua pas. Je me mis à genoux entre ses jambes qui dépassaient du lit et je commençais par pétrir ses fesses avant d'approcher ma bouche de sa rondelle rose dont je m'occupais un grand moment. Je le branlais de temps à autre ou je jouais aussi avec ses seins.
Le rendant dingue !
– Prends moi s'il te plaît Bé, j'en peux plus d’attendre.
Je fis ce qu'il me demandait. On commença par la levrette, en passant par la cuillère, puis il me chevaucha et j'éjaculais en lui en missionnaire. Il voulut se branler mais je retirais sa main et posais mes fesses sur sa figure. À son tour il me bouffa le cul et ma bite commença à refrétiller, sous ce plaisant traitement.
Quand je fus prêt, je me retournais, je l'embrassais longuement et… je m'assis d'un coup sur sa queue raide et baveuse.
Je commençais à faire quelques vas et viens quand il me demanda de ne plus bouger.
– Arrête Bé, sinon je vais jouir.
Je stoppais un moment en jouant avec ses seins. Et il me dit que je pouvais recommencer à bouger.
Ma queue était raide et bavait beaucoup. Hans ramassait avec son doigt ma mouille. Je sentais ma jouissance monter mais je devais la jouer fine pour réussir à ce que Hans ne jouisse pas trop vite et que je puisse jouir en même temps que lui.
Ça ne se produisit pas. Il me féconda et il se retira pour venir avaler ma queue baveuse. Il ne dut pas me sucer longtemps pour avaler ma production qu'il vint partager avec moi en me roulant une pelle bien baveuse.
On alla se rincer sous la douche, on se coucha et on s’endormit , entre deux bisous…
Le lendemain en me levant je passais par la chambre des jumeaux. Comme je m'y attendais, les chiots dormaient entre eux. Mon intrusion ne réveilla personne. Je descendis et je bus mon premier café tranquillement. Je préparais le petit-déjeuner du reste de la famille et je regardais mes mails en attendant que quelqu'un se lève.
Il y en avait un de Victoria. Et un autre de la chancellerie anglaise. J'ouvris celui de Victoria qui m'annonçait… celui de la chancellerie. Je l'ouvris donc.
Je vais vous le résumer. En gros, il disait que les jumeaux seraient bien intronisés Duc, ensemble. Sans devoir faire un édit spécial, car le cas s'était présenté en 1217. Comme dans l’affolement, dû à ce doublé, personne ne se souvenait lequel des deux était né le premier, le roi de l'époque, Henri III, les nomma ducs tous les deux. Depuis ça avait fait jurisprudence, même si le cas ne s'était plus présenté depuis des lustres.
Un peu plus loin on me proposait plusieurs dates et elles étaient toutes assez proches, l’une de l’autre. Enfin, pas pour tout de suite mais peu après les 5 ans des garçons.
Ah, ça bougeait à l’étage. Les garçons descendaient en portant les chiots. Ils me firent un bisou chacun et à ma demande, ils les sortirent et ils firent pipi. Puis ils rentrèrent vite. Je donnais leur bibous aux garçons et les chiots réclamèrent. Je fis cuire du riz et des steaks hachés. Du coup, les garçons en voulurent un aussi pour leur petit-déjeuner. Je mélangeais le tout et j'attendis que ça refroidisse suffisamment avant de leur donner.
– Montez-vous habiller, il faut aller s'occuper des chevaux.
– On peut emmener les chiens avec nous ?
– Si vous voulez mais il faudra faire attention à ce qu'ils ne touchent pas la clôture.
Quand ils redescendirent on alla s'occuper des chevaux qui intimidaient beaucoup les petits chiens qui se cachaient derrière les jumeaux. Holly les renifla et les jugea inoffensifs. On les brossa et on leur donna à manger. Puis on rentra. Hans dormait toujours. On alla voir mes parents et mes grands-parents avec les chiots. Cyprien les regarda de près et la sentence tomba.
– Vous les sortez d’où ?
– On les a vu courir, alors on est allé voir et on les a trouvés là.
Les chiots tremblaient dans leurs bras et ils étaient maigre à faire peur. Ils me faisaient de la peine. Et je crois que je n'étais pas le seul à en éprouver.
– Papa, on peut les garder ?
– Vous ne vous rendez pas compte du travail que c'est de s'occuper de petits chiens. Ils vont tout manger, faire pipi de partout, voler vos chaussettes …
– allez Papa, dit oui s'il te plaît, on te promet de s'en occuper et de tout nettoyer quand ils feront des saletés. Tu veux bien, dis ?
– Il n'y a pas que moi qui doit décider de ça. C'est une grosse responsabilité.
– Papa Hans, on peut les garder ? S'il te plaîiiit !
Hans se tourna vers moi et me fit un clin d'œil discret.
– Si on les garde c'est vous qui en serez responsable. Il faudra leur donner à manger et à boire, les brosser, les laver, ramasser leurs crottes, passer l'aspirateur dedans parce qu'il y aura des poils de partout !
– on fera tout ce que tu veux, Papa Hans.
– Il faudra aussi continuer à vous occuper des chevaux et des mules. Vous l'avez promis à Louis.
– Promis, juré, on fera tout ce que tu nous demanderas.
– Les garçons, vous savez ce que je pense des promesses, quand j'en fais une je la tiens. Alors si une seule fois vous ne le faites pas c'est fini, je redescendrai la jument et les mules à Louis et j'emmènerai les chiens à la SPA. Et ça, moi, je vous en fait la promesse.
Tous savaient que j'étais sérieux en disant ça. Je vis les jumeaux qui se parlaient à l’oreille.
– on te le promet.
– Dans ce cas c'est d’accord, on les garde.
Ils nous remercièrent d’un tas de bisous, Hans et moi, et toute la troupe retourna chez nos amis. Je vis Tonin fouiller dans un placard peu après qu'on fut rentré et il en sortit une boite. Puis il alla au frigo et sortit un plat qui contenait du riz. Il mélangea la boite avec le riz, y ajouta un peu de jus du rôti qu'on avait mangé à midi et il le posa par terre.
– Les jumeaux, lâchez vos chiens et laissez-les venir manger. Ils doivent avoir faim.
Les jumeaux déposèrent les chiots près du plat. Les bêtes le reniflèrent et un des deux y gouta. Ça dut lui plaire parce qu'il commença à en avaler de grosses bouchées. Son frère l’imita, aussitôt. Et bien vite, le plat fut vide. Tonin, toujours lui, leur avait posé une gamelle d’eau. Les chiots burent puis ils cherchèrent un coin tranquille où ils se roulèrent en boule et s’endormirent.
– Et vous les jumeaux, vous n'avez pas une petit faim, aussi ? Ça vous direz une petite part de tarte ?
– Oh oui, s'il te plaît Fanny.
– Et tu sais s'il reste du gâteau de midi on veut bien aussi. Nos papas nous ont dit que c'était pas bien de gaspiller la nourriture.
– Dans ce cas je vais aussi vous en donner une grosse part à chacun, ça vous ira ?
– Moi aussi j'en veux bien deux grosses parts, Fanny.
– Pas pour toi Nick.
– Mais pourquoi ? Tu es injuste ma chérie.
– Je ne ferai que te répéter ce que disait ma grand-mère en parlant des hommes et je la site : 'On n'a jamais vu un bon coq gras'
– Justement Fanny, je voulais prendre un peu des forces pour… tu vois ce que je veux dire.
– Ha, ha, oui moi aussi j'en veux deux grosses parts.
– Tu ne vas pas t'y mettre aussi Tonin.
– Pourquoi Héléna ? Tu ne veux pas que je sois en forme pour faire un peu de sport en chambre ce soir ?
– Comme si tu avais besoin de ça pour être en forme !
– Toi aussi tu sautes sur les lits, Tonin ?
– Pourquoi tu me demandes ça, Gus ?
– Bin parce que tu dis que tu fais du sport en chambre. Nous avec Chip quand on fait du sport dans la chambre, on saute sur les lits.
– Oui, mais Héléna me gronde à chaque fois.
– Nous aussi nos papas nous grondent, alors on le fait un peu quand ils sont pas là.
Le gouter fini, les jumeaux allèrent voir les chiots et s'endormirent à même le sol, sur le tapis. Et bientôt ils ne formèrent qu'une seule masse compacte. Fanny alla chercher un plaid et les couvrit.
On discuta jusqu'à l'heure du souper c'est les bonnes odeurs qui réveillèrent les chiens et les jumeaux qui, sur les conseils de Tonin, les sortirent pour qu'ils fassent pipi.
Et comme les jumeaux avaient envie ils firent le long d'un tronc d'arbre et les chiots aussi. Puis ils rentrèrent. On mangea les restes et on rentra.
Il fallut que je me fâche, parce que les jumeaux voulaient que les chiots dorment dans leur lit. Puis je rejoignis Hans qui se douchait.
– Bé, ça te dirait de tester quelque chose ?
– Qu'est-ce-que tu veux tester, Hans ?
Il commença à me palper çà et là avant de dire :
– Tu te souviens de ce qu'a dit Fanny, qu'il n'y avait pas de bon coq gras. Je voudrais bien tester ça.
– Tu ne t'en souviens plus, depuis hier soir ?
– Si, mais que très vaguement. Alors je voudrais bien retester à nouveau. Par exemple, ce qu'il va se passer, si je continue à te toucher le bout de viande.
– Je pense qu'il va devenir tout dur, qu'il va se mettre à baver et que finalement il va vomir son lait. Tu sais Hans, j'aime bien quand mon sexe est fiévreux. Par contre il aime bien se cacher dans des trous humides et chauds.
– Ah oui, comme ça il aime se cacher ?
Hans se pencha et parlant à mon sexe :
– Ça te dit une partie de cache-cache avec moi ? C'est toi qui te cache.
Et il goba ma queue. Je le laissais s'amuser sans bouger. Je sentis sa main qui cherchait la mienne et quand il la trouva, il la posa derrière sa tête. Je savais ce qu'il voulait. Il aimait que je le force un peu à avaler en gorge profonde, tout comme il aimait, quand je le prenais, que je lui claque les fesses. On joua une petit moment à ce jeu et comme j'allais jouir, il stoppa.
Il me prit par la main et me conduisit dans la chambre et se mit à quatre pattes sur le lit. Il avait écarté les jambes de façon à ce que sa rosette m'attire… et ça ne manqua pas. Je me mis à genoux entre ses jambes qui dépassaient du lit et je commençais par pétrir ses fesses avant d'approcher ma bouche de sa rondelle rose dont je m'occupais un grand moment. Je le branlais de temps à autre ou je jouais aussi avec ses seins.
Le rendant dingue !
– Prends moi s'il te plaît Bé, j'en peux plus d’attendre.
Je fis ce qu'il me demandait. On commença par la levrette, en passant par la cuillère, puis il me chevaucha et j'éjaculais en lui en missionnaire. Il voulut se branler mais je retirais sa main et posais mes fesses sur sa figure. À son tour il me bouffa le cul et ma bite commença à refrétiller, sous ce plaisant traitement.
Quand je fus prêt, je me retournais, je l'embrassais longuement et… je m'assis d'un coup sur sa queue raide et baveuse.
Je commençais à faire quelques vas et viens quand il me demanda de ne plus bouger.
– Arrête Bé, sinon je vais jouir.
Je stoppais un moment en jouant avec ses seins. Et il me dit que je pouvais recommencer à bouger.
Ma queue était raide et bavait beaucoup. Hans ramassait avec son doigt ma mouille. Je sentais ma jouissance monter mais je devais la jouer fine pour réussir à ce que Hans ne jouisse pas trop vite et que je puisse jouir en même temps que lui.
Ça ne se produisit pas. Il me féconda et il se retira pour venir avaler ma queue baveuse. Il ne dut pas me sucer longtemps pour avaler ma production qu'il vint partager avec moi en me roulant une pelle bien baveuse.
On alla se rincer sous la douche, on se coucha et on s’endormit , entre deux bisous…
Le lendemain en me levant je passais par la chambre des jumeaux. Comme je m'y attendais, les chiots dormaient entre eux. Mon intrusion ne réveilla personne. Je descendis et je bus mon premier café tranquillement. Je préparais le petit-déjeuner du reste de la famille et je regardais mes mails en attendant que quelqu'un se lève.
Il y en avait un de Victoria. Et un autre de la chancellerie anglaise. J'ouvris celui de Victoria qui m'annonçait… celui de la chancellerie. Je l'ouvris donc.
Je vais vous le résumer. En gros, il disait que les jumeaux seraient bien intronisés Duc, ensemble. Sans devoir faire un édit spécial, car le cas s'était présenté en 1217. Comme dans l’affolement, dû à ce doublé, personne ne se souvenait lequel des deux était né le premier, le roi de l'époque, Henri III, les nomma ducs tous les deux. Depuis ça avait fait jurisprudence, même si le cas ne s'était plus présenté depuis des lustres.
Un peu plus loin on me proposait plusieurs dates et elles étaient toutes assez proches, l’une de l’autre. Enfin, pas pour tout de suite mais peu après les 5 ans des garçons.
Ah, ça bougeait à l’étage. Les garçons descendaient en portant les chiots. Ils me firent un bisou chacun et à ma demande, ils les sortirent et ils firent pipi. Puis ils rentrèrent vite. Je donnais leur bibous aux garçons et les chiots réclamèrent. Je fis cuire du riz et des steaks hachés. Du coup, les garçons en voulurent un aussi pour leur petit-déjeuner. Je mélangeais le tout et j'attendis que ça refroidisse suffisamment avant de leur donner.
– Montez-vous habiller, il faut aller s'occuper des chevaux.
– On peut emmener les chiens avec nous ?
– Si vous voulez mais il faudra faire attention à ce qu'ils ne touchent pas la clôture.
Quand ils redescendirent on alla s'occuper des chevaux qui intimidaient beaucoup les petits chiens qui se cachaient derrière les jumeaux. Holly les renifla et les jugea inoffensifs. On les brossa et on leur donna à manger. Puis on rentra. Hans dormait toujours. On alla voir mes parents et mes grands-parents avec les chiots. Cyprien les regarda de près et la sentence tomba.