24-07-2023, 04:01 PM
J'allais au coin où, quelques années plus tôt, j'avais trouvé mes silex taillés. J'en trouvais plusieurs autres que je ramassais. Un peu plus loin dans le talus qui s'était éboulé c'est un empilement de pierres plates qui m’interpella. Je réussis à soulever l’une de celles-ci… que je relâchais aussi vite.
Je venais de découvrir un cadavre. La terre avait rempli une partie de la tombe mais je pus voir, en la soulevant de nouveau, qu'il y avait des offrandes. Il y avait des pots qui dépassaient encore. Je fis quelques photos et je remis tout en place. Puis je retournais voir les autres.
Les jumeaux me voyant revenir coururent vers moi.
– Papa, Papa, on a trouvé des os et un crane. Marius y dit que c'est préhistérique.
– préhistorique, mon chéri et vous avez trouvé ça où ?
– Là où on avait trouvé notre trésor. Et toi tu as trouvé des pierres ?
– Oui je vais les montrer à Marius, on va voir si elles lui plaisent aussi.
Marius, tu en penses quoi de ça ?
En disant ça je posais devant lui trois pointes de flèches, une pointe de lance et une hache polie.
– Mais, mais, mais ! Où as-tu trouvé ça ?
– Dans un endroit un peu plus loin, où j'en avais déjà trouvé. Et regarde ce que j'ai découvert d’autres.
Je montrais les photos de ma trouvaille.
– Toi aussi tu as trouvé un squelette, Papa. Marius il dit qu'il va téléphoner à son prof de la fac mais que il faut aussi appeler les gendarmes.
– Alors, si Marius le dit, on va le faire de suite. Tu téléphones à ton prof, et moi aux flics ?
Quand j'eus les gendarmes en ligne, ils furent tout excités et m’annoncèrent qu’ils arrivaient de suite avec le légiste. Le prof de Marius arrivait aussi. On mangea et je descendis au bord de la route pour attendre tout ce petit monde. Les gendarmes arrivèrent les premiers et quelques minutes après ce fut le prof de Marius. Et on grimpa jusqu'au premier 'cadavre’.
Le légiste examina les os et convint que, même si cet homme avait été assassiné, comme le laissait présager l'enfoncement de sa boite crânienne, ça remontait à l'âge du bronze. Et il dit de même, pour celui que j'avais trouvé. Les gendarmes firent un procès-verbal et repartirent.
Marius et son prof retournèrent à la première tombe. Ils ne la fouillèrent pas mais ils remirent en place les pierres pour la protéger. Les jumeaux et Hans étaient partis en vadrouille à la recherche de nouveaux trésors.
Ils revinrent bredouilles …
On rentra à la maison. Marius et son prof me demandèrent si je les autorisais à faire des fouilles.
Je m'en moquais un peu qu'ils en fassent ou pas, parce que, à part pour les champignons, je n'allais jamais là-bas. Je leur donnais mon accord. Mais comme la mauvaise saison arrivait, ils ne viendront que l'an prochain fin mai début juin. La date était encore à définir. Ils me tiendraient au courant.
Ils partirent en emportant le trésor des jumeaux qui, tiraient la gueule, à cause de ça, et les silex que j'avais trouvé ainsi que ceux que j'avais trouvé il y a quelques années.
On était fin octobre et les garçons commençaient déjà à parler du père Noël. Si Adeline était encore gamine et voulait des dinettes et des poupées, les garçons, eux, voulaient déjà des tablettes d'où ils pourraient aller sur internet. Ça me faisait peur. Mais c'est vrai que la plupart des jouets que les garçons de leur âge voulaient, ne les intéressaient plus du tout.
Le 11 novembre on avait prévu d'aller chez Rémi et Joris à Lyon. Mais ça ne se fit pas, à la dernière minute, parce que la grand-mère de Rémi allait mal et ils allaient la voir avant qu'il ne soit trop tard. Du coup, on allait rester à la maison mais on eut une très grosse surprise.
Comme je vous l'ai dit Nick vivait depuis quelques temps avec la sœur de Tonin. Du coup, sachant qu’on n’avait plus d’occupation le 11, on était invités à manger chez eux.
Pendant ses vacances d’été, il était allé présenter sa dulcinée à sa famille anglaise.
Depuis, Tonin et lui avaient loué une villa et ils y vivaient à quatre. Eh oui, parce que Tonin aussi avait fini par se trouver une copine.
Quand on arriva chez eux la table était déjà mise et il y avait des assiettes en plus. Ils attendaient d'autres invités qui arrivèrent un peu avant midi.
Nick alla ouvrir et fit entrer Victoria qui était accompagnée d'un couple la cinquantaine. Voyant leur arrière-grand-mère les jumeaux coururent vers elle et l’embrassèrent. Elle s'approcha de moi et on se fit la bise aussi.
– Jean-François, Gus, Chip je vous présente les parents de Nick et de votre maman. Lord Bradley et Lady Rose.
– Enchanté de vous connaître, jeunes gens.
Je leur serrais la main et, devant les mains tendues, les jumeaux firent de même. Victoria tiqua mais ne dit rien. Les jumeaux repartirent jouer comme si de rien n’était. Victoria alla s'asseoir avec eux. Les jumeaux l'inondaient de nouvelles. Ils sautaient du coq à l’âne. Les mules, Holly, leur trésor que des messieurs avaient emporté, Adeline, le Père Noël … Tout y passait.
On passa à table après un apéritif digne d'un resto 5 *. Les parents de Nick parlaient à tout le monde… sauf à mes fils et moi. Et si au début ils avaient fait l'effort de dire un mot à chacun, sauf nous, maintenant ils ne parlaient plus qu'avec Victoria, Hans et Nick.
Le repas était délicieux. Fanny et Héléna, les copines respectives de Nick et de Tonin avaient géré ça comme des chefs, mais... Lady Rose trouvait à redire sur tout et faisait des réflexions détournées à voix haute. Même Victoria à un moment lui demanda de se modérer. Lord Bradley prit la défense de son épouse. Mais cela était dit sans cri, de manière sournoise et avec un sourire de faux cul. Tonin, Fanny et Héléna ne comprenaient pas les sous-entendus. Les jumeaux parlaient avec tout le monde, faisant leurs intéressants. Ils eurent droit à une réflexion en sous-entendu de Lady Rose. Mais les jumeaux la comprirent et au lieu de faire l'effort de parler en anglais ou en français, langue qu'elle comprenait parfaitement.
Ils la snobèrent et finalement ils se parlèrent en hollandais. Les parents de Nick firent encore quelques réflexions piquantes et Nick craqua, il se leva rouge de colère. Et cria :
– Ça suffit, dehors tous les deux. C'en est assez de vos réflexions.
– Nick, calme-toi s'il te plait.
– Fanny, depuis qu'ils sont là, ils ne font que critiquer. Alors maintenant ça suffit comme ça. C'est vous qui avez demandé à nous voir et pas l’inverse. On se passait très bien de vous et de votre mode de vie de merde.
Vous dites que Jean-François et Hans élèvent mal les jumeaux ? Et vous comment vous nous avez élevé Anna et moi ? En nous mettant dans des pensionnats, en nous mettant la pression pour que nous soyons dignes de notre rang. Le résultat que vous avez obtenu c'est que ma sœur est partie de la maison à 17 ans et moi à 20. ils les aiment et ils en ont fait des personnes normales et aimantes.
Quels grands-parents dignes de ce nom serrent la main à leurs petits enfants ? Même la reine leur a donné un baiser et vous, même pas, vous êtes tellement imbus de vos personnes et de vos titres que vous dégouliner de suffisance. Vous me dégoutez !
– Nick, s'il te plait, calme-toi.
– Non grand-mère, je ne me calmerai pas. C'est inadmissible de se faire insulter sous son propre toit et par ses parents en prime.
– Ça y est tu as fini ta crise ? Comment oses-tu nous parler sur ce ton ? Nous sommes tes parents et tu nous dois le respect.
– Je ne vous dois rien et encore moins le respect parce que le respect ça se mérite. Alors pour la dernière fois je vous demande de partir avant que je vous botte le cul pour vous faire sortir de chez nous.
Son père et sa mère se levèrent et quittèrent la maison. Les jumeaux étaient venus se réfugier contre moi et ils pleuraient en silence. Victoria se leva à son tour.
– Je m'en vais aussi, Nick, mais sache que je ne t'en veux pas pour ce que tu as dit à tes parents. Je m'excuse de leur attitude et je vais de ce pas en parler avec eux. Je vous remercie pour cet excellent repas. Je vous donnerai bientôt de mes nouvelles.
– Mamé pourquoi ils ne nous aiment pas Papy et Mamy Lord ?
– Ce n'est pas qu'ils ne vous aiment pas, ils vous aiment à leur façon comme ils ont aimé leurs enfants. C’est-à-dire mal. Mais vous êtes encore trop petits pour comprendre.
Elle nous embrassa tous et partit. Nick avait la tête entre les mains et pleurait à chaude larmes. Fanny alla s'asseoir à côté de lui pour le consoler. Tonin et Héléna ne comprenaient toujours pas ce qu'il s'était passé. Hans le leur expliqua.
Nick releva la tête.
– Maintenant ma famille c'est vous. J'ai honte de ce qu'ils ont fait et dit, j'ai honte d'avoir été comme eux.
– Tu as changé Nick mais toi tu t'es rendu compte de ton erreur. Tu es notre famille aux jumeaux à Hans et à moi par les liens du sang, mais surtout parce qu'on t'aime et qu'on t'apprécie énormément.
– Bon, on les mange ces gâteaux ou on les donnent aux chiens ?
– Wouf, wouf, wouf …
– WOU, wou, wou ,wouuuuuuu.
– C'est compris, deux grosses part pour vous, les jumeaux.
Le repas se finit, plus dans la bonne humeur. On alla faire une promenade digestive dans la campagne environnante et au détour d'un chemin, les jumeaux, qui gambadaient devant nous, partirent en courant et s'enfoncèrent dans les fourrés. Ils en ressortirent, le temps qu'on arrive à leur niveau. Tous les deux portaient… quelque chose de poilu.
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Je venais de découvrir un cadavre. La terre avait rempli une partie de la tombe mais je pus voir, en la soulevant de nouveau, qu'il y avait des offrandes. Il y avait des pots qui dépassaient encore. Je fis quelques photos et je remis tout en place. Puis je retournais voir les autres.
Les jumeaux me voyant revenir coururent vers moi.
– Papa, Papa, on a trouvé des os et un crane. Marius y dit que c'est préhistérique.
– préhistorique, mon chéri et vous avez trouvé ça où ?
– Là où on avait trouvé notre trésor. Et toi tu as trouvé des pierres ?
– Oui je vais les montrer à Marius, on va voir si elles lui plaisent aussi.
Marius, tu en penses quoi de ça ?
En disant ça je posais devant lui trois pointes de flèches, une pointe de lance et une hache polie.
– Mais, mais, mais ! Où as-tu trouvé ça ?
– Dans un endroit un peu plus loin, où j'en avais déjà trouvé. Et regarde ce que j'ai découvert d’autres.
Je montrais les photos de ma trouvaille.
– Toi aussi tu as trouvé un squelette, Papa. Marius il dit qu'il va téléphoner à son prof de la fac mais que il faut aussi appeler les gendarmes.
– Alors, si Marius le dit, on va le faire de suite. Tu téléphones à ton prof, et moi aux flics ?
Quand j'eus les gendarmes en ligne, ils furent tout excités et m’annoncèrent qu’ils arrivaient de suite avec le légiste. Le prof de Marius arrivait aussi. On mangea et je descendis au bord de la route pour attendre tout ce petit monde. Les gendarmes arrivèrent les premiers et quelques minutes après ce fut le prof de Marius. Et on grimpa jusqu'au premier 'cadavre’.
Le légiste examina les os et convint que, même si cet homme avait été assassiné, comme le laissait présager l'enfoncement de sa boite crânienne, ça remontait à l'âge du bronze. Et il dit de même, pour celui que j'avais trouvé. Les gendarmes firent un procès-verbal et repartirent.
Marius et son prof retournèrent à la première tombe. Ils ne la fouillèrent pas mais ils remirent en place les pierres pour la protéger. Les jumeaux et Hans étaient partis en vadrouille à la recherche de nouveaux trésors.
Ils revinrent bredouilles …
On rentra à la maison. Marius et son prof me demandèrent si je les autorisais à faire des fouilles.
Je m'en moquais un peu qu'ils en fassent ou pas, parce que, à part pour les champignons, je n'allais jamais là-bas. Je leur donnais mon accord. Mais comme la mauvaise saison arrivait, ils ne viendront que l'an prochain fin mai début juin. La date était encore à définir. Ils me tiendraient au courant.
Ils partirent en emportant le trésor des jumeaux qui, tiraient la gueule, à cause de ça, et les silex que j'avais trouvé ainsi que ceux que j'avais trouvé il y a quelques années.
On était fin octobre et les garçons commençaient déjà à parler du père Noël. Si Adeline était encore gamine et voulait des dinettes et des poupées, les garçons, eux, voulaient déjà des tablettes d'où ils pourraient aller sur internet. Ça me faisait peur. Mais c'est vrai que la plupart des jouets que les garçons de leur âge voulaient, ne les intéressaient plus du tout.
Le 11 novembre on avait prévu d'aller chez Rémi et Joris à Lyon. Mais ça ne se fit pas, à la dernière minute, parce que la grand-mère de Rémi allait mal et ils allaient la voir avant qu'il ne soit trop tard. Du coup, on allait rester à la maison mais on eut une très grosse surprise.
Comme je vous l'ai dit Nick vivait depuis quelques temps avec la sœur de Tonin. Du coup, sachant qu’on n’avait plus d’occupation le 11, on était invités à manger chez eux.
Pendant ses vacances d’été, il était allé présenter sa dulcinée à sa famille anglaise.
Depuis, Tonin et lui avaient loué une villa et ils y vivaient à quatre. Eh oui, parce que Tonin aussi avait fini par se trouver une copine.
Quand on arriva chez eux la table était déjà mise et il y avait des assiettes en plus. Ils attendaient d'autres invités qui arrivèrent un peu avant midi.
Nick alla ouvrir et fit entrer Victoria qui était accompagnée d'un couple la cinquantaine. Voyant leur arrière-grand-mère les jumeaux coururent vers elle et l’embrassèrent. Elle s'approcha de moi et on se fit la bise aussi.
– Jean-François, Gus, Chip je vous présente les parents de Nick et de votre maman. Lord Bradley et Lady Rose.
– Enchanté de vous connaître, jeunes gens.
Je leur serrais la main et, devant les mains tendues, les jumeaux firent de même. Victoria tiqua mais ne dit rien. Les jumeaux repartirent jouer comme si de rien n’était. Victoria alla s'asseoir avec eux. Les jumeaux l'inondaient de nouvelles. Ils sautaient du coq à l’âne. Les mules, Holly, leur trésor que des messieurs avaient emporté, Adeline, le Père Noël … Tout y passait.
On passa à table après un apéritif digne d'un resto 5 *. Les parents de Nick parlaient à tout le monde… sauf à mes fils et moi. Et si au début ils avaient fait l'effort de dire un mot à chacun, sauf nous, maintenant ils ne parlaient plus qu'avec Victoria, Hans et Nick.
Le repas était délicieux. Fanny et Héléna, les copines respectives de Nick et de Tonin avaient géré ça comme des chefs, mais... Lady Rose trouvait à redire sur tout et faisait des réflexions détournées à voix haute. Même Victoria à un moment lui demanda de se modérer. Lord Bradley prit la défense de son épouse. Mais cela était dit sans cri, de manière sournoise et avec un sourire de faux cul. Tonin, Fanny et Héléna ne comprenaient pas les sous-entendus. Les jumeaux parlaient avec tout le monde, faisant leurs intéressants. Ils eurent droit à une réflexion en sous-entendu de Lady Rose. Mais les jumeaux la comprirent et au lieu de faire l'effort de parler en anglais ou en français, langue qu'elle comprenait parfaitement.
Ils la snobèrent et finalement ils se parlèrent en hollandais. Les parents de Nick firent encore quelques réflexions piquantes et Nick craqua, il se leva rouge de colère. Et cria :
– Ça suffit, dehors tous les deux. C'en est assez de vos réflexions.
– Nick, calme-toi s'il te plait.
– Fanny, depuis qu'ils sont là, ils ne font que critiquer. Alors maintenant ça suffit comme ça. C'est vous qui avez demandé à nous voir et pas l’inverse. On se passait très bien de vous et de votre mode de vie de merde.
Vous dites que Jean-François et Hans élèvent mal les jumeaux ? Et vous comment vous nous avez élevé Anna et moi ? En nous mettant dans des pensionnats, en nous mettant la pression pour que nous soyons dignes de notre rang. Le résultat que vous avez obtenu c'est que ma sœur est partie de la maison à 17 ans et moi à 20. ils les aiment et ils en ont fait des personnes normales et aimantes.
Quels grands-parents dignes de ce nom serrent la main à leurs petits enfants ? Même la reine leur a donné un baiser et vous, même pas, vous êtes tellement imbus de vos personnes et de vos titres que vous dégouliner de suffisance. Vous me dégoutez !
– Nick, s'il te plait, calme-toi.
– Non grand-mère, je ne me calmerai pas. C'est inadmissible de se faire insulter sous son propre toit et par ses parents en prime.
– Ça y est tu as fini ta crise ? Comment oses-tu nous parler sur ce ton ? Nous sommes tes parents et tu nous dois le respect.
– Je ne vous dois rien et encore moins le respect parce que le respect ça se mérite. Alors pour la dernière fois je vous demande de partir avant que je vous botte le cul pour vous faire sortir de chez nous.
Son père et sa mère se levèrent et quittèrent la maison. Les jumeaux étaient venus se réfugier contre moi et ils pleuraient en silence. Victoria se leva à son tour.
– Je m'en vais aussi, Nick, mais sache que je ne t'en veux pas pour ce que tu as dit à tes parents. Je m'excuse de leur attitude et je vais de ce pas en parler avec eux. Je vous remercie pour cet excellent repas. Je vous donnerai bientôt de mes nouvelles.
– Mamé pourquoi ils ne nous aiment pas Papy et Mamy Lord ?
– Ce n'est pas qu'ils ne vous aiment pas, ils vous aiment à leur façon comme ils ont aimé leurs enfants. C’est-à-dire mal. Mais vous êtes encore trop petits pour comprendre.
Elle nous embrassa tous et partit. Nick avait la tête entre les mains et pleurait à chaude larmes. Fanny alla s'asseoir à côté de lui pour le consoler. Tonin et Héléna ne comprenaient toujours pas ce qu'il s'était passé. Hans le leur expliqua.
Nick releva la tête.
– Maintenant ma famille c'est vous. J'ai honte de ce qu'ils ont fait et dit, j'ai honte d'avoir été comme eux.
– Tu as changé Nick mais toi tu t'es rendu compte de ton erreur. Tu es notre famille aux jumeaux à Hans et à moi par les liens du sang, mais surtout parce qu'on t'aime et qu'on t'apprécie énormément.
– Bon, on les mange ces gâteaux ou on les donnent aux chiens ?
– Wouf, wouf, wouf …
– WOU, wou, wou ,wouuuuuuu.
– C'est compris, deux grosses part pour vous, les jumeaux.
Le repas se finit, plus dans la bonne humeur. On alla faire une promenade digestive dans la campagne environnante et au détour d'un chemin, les jumeaux, qui gambadaient devant nous, partirent en courant et s'enfoncèrent dans les fourrés. Ils en ressortirent, le temps qu'on arrive à leur niveau. Tous les deux portaient… quelque chose de poilu.
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