24-07-2023, 11:33 AM
Chapitre 067 : « vacances d’été. »
Le reste du vol se passa sans plus de surprises ni de problèmes, ne serait ce le steward qui visiblement essaie de se placer avec si peu de succès que finalement il lâche l’affaire, cherchant parmi les autres passagers masculins celui qui pourrait le rejoindre en soirée à l’hôtel pour être son partenaire durant la durée de l’escale.
***/***
Le reste du trajet se passe en autocar, tous préférant cela au train qui n’a pas et de loin s’en faut une réputation d’hygiène irréprochable, mais plutôt de nid à maladies diverses et variées.
L’autocar par contre est d’une propreté étonnante, faisant honneur à l’entreprise de transport et c’est donc dans cette saine atmosphère qu’ils parcourent les kilomètres restant.
L’arrivée en gare routière suivi d’une bonne heure de marche avec le nécessaire de camping et les sacs à dos, termine de les mettre sur les rotules et ils leurs faut un temps de récupération avant de songer à monter les tentes, l’emplacement où ils se sont arrêtés étant l’endroit idéal pour ce qu’ils comptent y faire, ils se retrouvent donc face à la plage à l’intérieur d’une petite crique naturelle les cachant de la route royale.
Le campement prend finalement tournure tandis que la nuit commence à tomber, les retrouvant tous en cercle devant un feu de bois dans l’espace réservé à cet effet entre les quatre tentes.
Le repas ne s’éternise pas, déjà à cause de la fatigue qu’ils ressentent, mais également du peu de nourriture qu’ils transportaient, prévoyant que deux d’entre eux le lendemain retournerait à la ville la plus proche pour louer un véhicule et faire des provisions dignes de ce nom.
Kai en entendant son nom comme celui des deux désignés à cette corvée reste semblable à lui-même, en donnant brut de décoffrage la première pensée qui lui vient.
- Quel est le « nullos » qui s’est chargé d’organiser le voyage ?
- Pourquoi cette question ?
- Tu nous as fait marché pendant plus d’une heure pour nous dire qu’il nous faut demain louer une voiture, tu n’aurais pas pu y penser avant ? mais non, c’était bien mieux de me jouer un tour sur la venue d’Anthony, pas vrai ?
Charles soupire d’exaspération, ne s’attendant pas à ce que le petit bulldog reprenne sa véritable nature aussi rapidement alors qu’il a passé la journée à couver des yeux son maintenant officiel petit copain.
- C’est pour mieux te faire râler mon enfant !
- Vraiment très drôle !
Heureusement qu’Anthony en sentant le changement de vent venir prend l’initiative de donner le top départ vers les tentes, déjà pour calmer le jeu, mais également avec la ferme intention de s’occuper comme il se doit de celui qui tel un coq sur un tas de fumier, ne l’excite pas moins de la plus belle des façons.
Il se lève donc rapidement pour prendre Kai par le bras en le faisant se lever à son tour.
- Allez oust !! au lit tout le monde !! Je présume que vous avez tous sommeil ?
- Pourquoi, pas toi ?
- Si bien sûr, mais avant ça j’ai depuis ce matin ce que l’on peut appeler un besoin urgent ! Hi ! Hi !
Le petit blond perd de suite toute l’animosité qui lui était venue, pour dévorer à nouveaux des yeux celui qui en une simple phrase lui promet déjà un début de nuit sans doute inoubliable qui marquera sans aucun doute leur première fois.
Les voilà donc partis tous les deux sans attendre le départ des autres couples, c’est derniers les regardent s’éloigner avec le regard marquant bien l’amusement de cette scénette sans équivoque.
Pourtant un sujet que tous avaient sans doute oublié se pose alors à eux et c’est Louis qui le premier l’aborde en observant ses mains.
- On fait comment pour se laver ?
- Oups !! J’avoue que j’ai zappé le truc.
- Suffit de rester comme ça pour cette nuit, nous verrons demain s’il est possible de trouver une solution, sinon au pire nous devrons changer de place. Il me semble qu’il y a un camping à quelques kilomètres, dans ce cas nous ne laisserions que le stricte nécessaire ici pour la journée et nous le rejoindrons le soir pour dormir.
- Ne devrions-nous pas prévenir nos deux loustics qu’ils calment leurs ardeurs pour ce soir ?
- Pourquoi donc ! Hi ! Hi ! Laisse-les donc sentir le fauve toute la nuit.
***/***
« Sous la tente d’Anthony et de Kai. »
Anthony entre en premier, forcer de se mettre à quatre pattes pour pénétrer sous la petite tente deux places ne pouvant servir qu’à passer la nuit, suivit par Kai qui voyant le tableau se positionne derrière lui en montrant bien ses intentions à prendre le rôle actif.
Anthony se laisse faire un moment, amuser de le voir s’exciter tel un jeune chien cherchant à couvrir sa femelle, il le laisse même descendre son pantalon et son sous vêtement, attendant le moment précis où le blondinet se déhanche pour se débarrasser des siens pour se retourner et inverser les rôles, le maintenant les jambes repliées vers sa tête aider par les deux vêtements qu’il a encore aux chevilles et qui l’entravent suffisamment pour arriver sans trop de problèmes à ses fins.
L’impression pour Anthony de dresser un cheval sauvage l’excite encore plus, laissant le blondinet se contorsionner dans tous les sens pour éviter ce qui de toute façon finira bien par arriver et semble inéluctable.
Les ruades perdent petit à petit de leurs forces et surtout de leurs convictions à vouloir reprendre le dessus, le sexe raide et déjà suintant fortement du petit blond montrant bien la raison de sa perte de résistance.
Anthony pourtant hésite à aller dés le départ de leur relation au but ultime, sans avoir avant cela prit le temps aux câlins et aux préliminaires qui sont pour lui tout aussi excitant.
Kai ressent l’hésitation de son chéri, il est déjà pour sa part trop partie dans son besoin de recevoir cette virilité dans son intimité pour en interrompre le processus et du coup il attrape la chose vibrante à portée de mains, pour le mettre devant le fait accompli après avoir donné un coup de hanche sportif digne d’un acrobate de cirque.
- Arrhhh !! C’est bon… continu…
Au son de cette voix en pamoison, le cerveau d’Anthony ne fait qu’un tour et oublie ses hésitations pour prendre la relève, pour à son tour lui donner sa pitance tant réclamée en le pourfendant sans faillir, lui apportant le plaisir demander ou plutôt exiger.
La toile n’étant et de loin pas insonorisée, leurs compagnons de voyage entendent alors le concert de râles, de gémissements, de cris et de bruits facilement reconnaissable, qui au final les mettra dans un tel état d’excitation qu’ils en oublieront l’aspect absence d’hygiène, pour se retrouver au petit matin à dégager des odeurs pour le moins désagréables, qui finalement une fois devant le feu raviver et leurs bols de café en mains, les éclatent de rires en se demandant comment se présenter à l’accueil du camping sans donner à première vue une mauvaise impression d’eux.
***/***
« Plus tard dans la journée. »
Charles et Daniel jouant de leurs facultés spéciales réussirent à se faufiler dans la partie sanitaire du camping en trompant le lecteur de badge y donnant l’accès, rien de plus simple ensuite une fois propre sur eux de louer deux huttes parmi celles restées disponibles pour le temps qu’ils comptent passer dans la région.
C’est donc un peu plus tard dans l’après midi qu’ils se retrouvent à l’endroit de leur premier campement, y ayant laissé quasiment tout en place pour y passés les journées entières.
Charles sort alors l’appareil qui selon ses calculs devrait être capable de prendre la main sur la navette pour quelques ordres de bases.
Il va pour en actionner la mise en service quand quelque chose en lui l’en empêche, se tournant hésitant vers Daniel qui comprend bien ses craintes et tente de le rassurer.
- Si tu as peur que cela ne réactive la balise, je te répondrais que de toute façon le mal a été déjà fait il y a dix neuf ans et que s’ils sont à ta recherche cela ne changera rien au final.
- Sauf si personne ne l’avait encore capté et que c’est notre intervention qui le fait.
Daniel replonge dans les souvenirs de cette période, qui après plus d’un millénaire a vu la navette recevoir l’es conditions attendues pour sortir de sa longue veille et pour ensuite mettre en œuvre la sortie de non-temps du fœtus, en respectant scrupuleusement sa programmation d’origine.
Le reste du vol se passa sans plus de surprises ni de problèmes, ne serait ce le steward qui visiblement essaie de se placer avec si peu de succès que finalement il lâche l’affaire, cherchant parmi les autres passagers masculins celui qui pourrait le rejoindre en soirée à l’hôtel pour être son partenaire durant la durée de l’escale.
***/***
Le reste du trajet se passe en autocar, tous préférant cela au train qui n’a pas et de loin s’en faut une réputation d’hygiène irréprochable, mais plutôt de nid à maladies diverses et variées.
L’autocar par contre est d’une propreté étonnante, faisant honneur à l’entreprise de transport et c’est donc dans cette saine atmosphère qu’ils parcourent les kilomètres restant.
L’arrivée en gare routière suivi d’une bonne heure de marche avec le nécessaire de camping et les sacs à dos, termine de les mettre sur les rotules et ils leurs faut un temps de récupération avant de songer à monter les tentes, l’emplacement où ils se sont arrêtés étant l’endroit idéal pour ce qu’ils comptent y faire, ils se retrouvent donc face à la plage à l’intérieur d’une petite crique naturelle les cachant de la route royale.
Le campement prend finalement tournure tandis que la nuit commence à tomber, les retrouvant tous en cercle devant un feu de bois dans l’espace réservé à cet effet entre les quatre tentes.
Le repas ne s’éternise pas, déjà à cause de la fatigue qu’ils ressentent, mais également du peu de nourriture qu’ils transportaient, prévoyant que deux d’entre eux le lendemain retournerait à la ville la plus proche pour louer un véhicule et faire des provisions dignes de ce nom.
Kai en entendant son nom comme celui des deux désignés à cette corvée reste semblable à lui-même, en donnant brut de décoffrage la première pensée qui lui vient.
- Quel est le « nullos » qui s’est chargé d’organiser le voyage ?
- Pourquoi cette question ?
- Tu nous as fait marché pendant plus d’une heure pour nous dire qu’il nous faut demain louer une voiture, tu n’aurais pas pu y penser avant ? mais non, c’était bien mieux de me jouer un tour sur la venue d’Anthony, pas vrai ?
Charles soupire d’exaspération, ne s’attendant pas à ce que le petit bulldog reprenne sa véritable nature aussi rapidement alors qu’il a passé la journée à couver des yeux son maintenant officiel petit copain.
- C’est pour mieux te faire râler mon enfant !
- Vraiment très drôle !
Heureusement qu’Anthony en sentant le changement de vent venir prend l’initiative de donner le top départ vers les tentes, déjà pour calmer le jeu, mais également avec la ferme intention de s’occuper comme il se doit de celui qui tel un coq sur un tas de fumier, ne l’excite pas moins de la plus belle des façons.
Il se lève donc rapidement pour prendre Kai par le bras en le faisant se lever à son tour.
- Allez oust !! au lit tout le monde !! Je présume que vous avez tous sommeil ?
- Pourquoi, pas toi ?
- Si bien sûr, mais avant ça j’ai depuis ce matin ce que l’on peut appeler un besoin urgent ! Hi ! Hi !
Le petit blond perd de suite toute l’animosité qui lui était venue, pour dévorer à nouveaux des yeux celui qui en une simple phrase lui promet déjà un début de nuit sans doute inoubliable qui marquera sans aucun doute leur première fois.
Les voilà donc partis tous les deux sans attendre le départ des autres couples, c’est derniers les regardent s’éloigner avec le regard marquant bien l’amusement de cette scénette sans équivoque.
Pourtant un sujet que tous avaient sans doute oublié se pose alors à eux et c’est Louis qui le premier l’aborde en observant ses mains.
- On fait comment pour se laver ?
- Oups !! J’avoue que j’ai zappé le truc.
- Suffit de rester comme ça pour cette nuit, nous verrons demain s’il est possible de trouver une solution, sinon au pire nous devrons changer de place. Il me semble qu’il y a un camping à quelques kilomètres, dans ce cas nous ne laisserions que le stricte nécessaire ici pour la journée et nous le rejoindrons le soir pour dormir.
- Ne devrions-nous pas prévenir nos deux loustics qu’ils calment leurs ardeurs pour ce soir ?
- Pourquoi donc ! Hi ! Hi ! Laisse-les donc sentir le fauve toute la nuit.
***/***
« Sous la tente d’Anthony et de Kai. »
Anthony entre en premier, forcer de se mettre à quatre pattes pour pénétrer sous la petite tente deux places ne pouvant servir qu’à passer la nuit, suivit par Kai qui voyant le tableau se positionne derrière lui en montrant bien ses intentions à prendre le rôle actif.
Anthony se laisse faire un moment, amuser de le voir s’exciter tel un jeune chien cherchant à couvrir sa femelle, il le laisse même descendre son pantalon et son sous vêtement, attendant le moment précis où le blondinet se déhanche pour se débarrasser des siens pour se retourner et inverser les rôles, le maintenant les jambes repliées vers sa tête aider par les deux vêtements qu’il a encore aux chevilles et qui l’entravent suffisamment pour arriver sans trop de problèmes à ses fins.
L’impression pour Anthony de dresser un cheval sauvage l’excite encore plus, laissant le blondinet se contorsionner dans tous les sens pour éviter ce qui de toute façon finira bien par arriver et semble inéluctable.
Les ruades perdent petit à petit de leurs forces et surtout de leurs convictions à vouloir reprendre le dessus, le sexe raide et déjà suintant fortement du petit blond montrant bien la raison de sa perte de résistance.
Anthony pourtant hésite à aller dés le départ de leur relation au but ultime, sans avoir avant cela prit le temps aux câlins et aux préliminaires qui sont pour lui tout aussi excitant.
Kai ressent l’hésitation de son chéri, il est déjà pour sa part trop partie dans son besoin de recevoir cette virilité dans son intimité pour en interrompre le processus et du coup il attrape la chose vibrante à portée de mains, pour le mettre devant le fait accompli après avoir donné un coup de hanche sportif digne d’un acrobate de cirque.
- Arrhhh !! C’est bon… continu…
Au son de cette voix en pamoison, le cerveau d’Anthony ne fait qu’un tour et oublie ses hésitations pour prendre la relève, pour à son tour lui donner sa pitance tant réclamée en le pourfendant sans faillir, lui apportant le plaisir demander ou plutôt exiger.
La toile n’étant et de loin pas insonorisée, leurs compagnons de voyage entendent alors le concert de râles, de gémissements, de cris et de bruits facilement reconnaissable, qui au final les mettra dans un tel état d’excitation qu’ils en oublieront l’aspect absence d’hygiène, pour se retrouver au petit matin à dégager des odeurs pour le moins désagréables, qui finalement une fois devant le feu raviver et leurs bols de café en mains, les éclatent de rires en se demandant comment se présenter à l’accueil du camping sans donner à première vue une mauvaise impression d’eux.
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« Plus tard dans la journée. »
Charles et Daniel jouant de leurs facultés spéciales réussirent à se faufiler dans la partie sanitaire du camping en trompant le lecteur de badge y donnant l’accès, rien de plus simple ensuite une fois propre sur eux de louer deux huttes parmi celles restées disponibles pour le temps qu’ils comptent passer dans la région.
C’est donc un peu plus tard dans l’après midi qu’ils se retrouvent à l’endroit de leur premier campement, y ayant laissé quasiment tout en place pour y passés les journées entières.
Charles sort alors l’appareil qui selon ses calculs devrait être capable de prendre la main sur la navette pour quelques ordres de bases.
Il va pour en actionner la mise en service quand quelque chose en lui l’en empêche, se tournant hésitant vers Daniel qui comprend bien ses craintes et tente de le rassurer.
- Si tu as peur que cela ne réactive la balise, je te répondrais que de toute façon le mal a été déjà fait il y a dix neuf ans et que s’ils sont à ta recherche cela ne changera rien au final.
- Sauf si personne ne l’avait encore capté et que c’est notre intervention qui le fait.
Daniel replonge dans les souvenirs de cette période, qui après plus d’un millénaire a vu la navette recevoir l’es conditions attendues pour sortir de sa longue veille et pour ensuite mettre en œuvre la sortie de non-temps du fœtus, en respectant scrupuleusement sa programmation d’origine.
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