Chapitre 28
- Fais-moi l'amour, maintenant ! dit Jérémy, en retournant une nouvelle fois son autochtone, avant de se placer ostensiblement.
Malgré qu'il en ait eu bien assez, Gralik ne peut résister à l'appel de cette chute de rein si parfaite, qui n'attend que son attention.
Pour stimuler davantage la virilité de l'autochtone, si c'est encore possible, Jérémy se recule vers son amant et plaque son fessier contre le sexe de Gralik, avant de commencer une série de mouvements des plus suggestifs.
L'autochtone commence à y approcher ses doigts mais Jérémy l'arrête et guide la hampe luisante de désir directement en lui.
- Je ne veux pas te faire mal...
- T'inquiète pas. Vas y ! répond Jérémy, en reculant brutalement contre Gralik, s'empalant ainsi sur son sexe bandé.
Le Terrien étant plus que préparé, il ne ressent aucune douleur mais immédiatement cette chaleur qui diffuse en lui une sensation de plénitude des plus enivrantes.
Les assauts commencent d'abord à une vitesse modérée, puis se font de plus en plus fougueux et désordonnés. Jérémy sent les bourses de son chéri cogner contre ses fesses imberbes, ce qui amplifie encore son érection déjà solide. Après un instant, Gralik prend confiance et plonge son vit plus intensément dans ce fourreau si chaud, percutant la zone sensible, qui envoie des vagues de chaleur de plus en plus rapprochées.
Aux soupirs de son amant, Gralik s'en aperçoit et se retire pour laisser le Terrien se retourner, de manière à obtenir un meilleur angle. Une fois sur le dos, les assauts charnels reprennent de plus belle et Gralik s'active à caresser cette tige gorgée de sang et de désir qui ne demande que ça.
Le Terrien n'en peut plus et halète de plaisir, la bouche constamment ouverte, tant il est secoué de frissons.
Alors qu'Gralik s'apprête à se répandre dans un copieux orgasme, des coups sont frappés à la porte et surpris, il arrête net ses va-et-vient.
- Continue ! supplie son amant. Il finira bien par partir !
L'autochtone s'exécute mais coupé dans son élan et un peu stressé, il est plus discret cette fois...
BOUM BOUM BOUM !
- Laisse, on s'en fout ! insiste Jérémy, furieux contre l'importun.
Mais Adel, qui est le villageois de l'autre côté de la porte ne l'entend pas de cette oreille. Après avoir frappé encore quelques coups, il entre sans invitation. C'est un grand métis, de vingt-cinq ans à la coiffure impressionnante par sa hauteur.
- Les mecs ! J'ai besoin de vous pour... s'interrompt-il, en comprenant pourquoi les hôtes l'ont ignoré.
- ...
- Finalement, je trouverai quelqu'un d'autre, désolé ! se reprend-il, avant de faire volte-face, gêné.
- Reste-là et viens avec nous ! J'en veux encore ! fait Jérémy, aussi capricieux qu'un enfant.
- Heu... il lui arrive quoi là ?
- Il a avalé une bouteille de ma potion...
- Celle à laquelle je pense ?
- Oui, celle-là... souffre Gralik, las.
- Ah... Okay.
- Tu viens nous rejoindre ? fait Jérémy, sans vraiment savoir s'il s'agit d'un ordre ou d'une demande.
- Heu... Bah fais ce qu'il demande, si le cœur t'en dit ! lâche Gralik, qui n'arrive pas à tenir le rythme de son amant devenu insatiable.
Plutôt deux fois qu'une, le jeune homme ôte son pantalon et vient s'asseoir sur le torse de Jérémy, ce dernier lui gobe immédiatement le vit, pour y appliquer sa langue. Adel prend rapidement de la vigueur sous l'effet de ce traitement.
Gralik, qui récupère rapidement son érection, reprend son offensive, tout en titillant le gland de son amant, avec la douceur de ses doigts. Les cris étouffés du Terrien, qui gobe le sexe très épais du nouvel arrivant et les grimaces de ce dernier sous l'effet du plaisir, excitent Gralik, qui accélère. Lorsque la pression devient extrême, son ventre se contracte et, dans un râle, son membre expulse une quantité impressionnante de nectar, qui vient inonder les entrailles de Jérémy.
Ce dernier, après un soupir de bien être, renverse Adel et s'attelle à la tâche de préparer son intimité tout en poursuivant sa fellation très appliquée. Le métis est aux anges et laisse faire les mains expertes du jeune homme.
Lorsque Jérémy le juge prêt, il se redresse, pour le pénétrer d'un coup sec, avant de s'activer directement en lui. Au départ, Adel serre les dents mais se détend progressivement, jusqu'à ce que l'excitation reprenne ses droits.
Jérémy accentue encore la cadence, en cramponnant fermement les reins d'Adel, n'hésitant pas à parfois aller malaxer ses fesses.
Ce dernier ne peut retenir de petits couinements et la vue de ce spectacle finit par rendre une partie de sa vigueur à Gralik, qui s'essuie le sexe. Ce dernier se niche dernière Jérémy, pour mieux caresser chaque recoin de son corps.
Soudain, la respiration du métis se saccade et Jérémy le pilonne plus fortement, jusqu'à ce que son sexe crache quatre puissants jets du liquide précieux. Il se retire et vient s'écrouler sur le lit, désireux de retrouver un rythme respiratoire normal.
- C'est fini tu crois ?
- NON ! Pas tout de suite ! proteste Jérémy, qui tire Gralik par la main.
Il se lève et le positionne délicatement derrière le lit, le sexe au niveau de l'arrière de sa tête.
Jérémy embrasse Gralik quelques instants, avant de revenir devant Adel, pour s'allonger sur le dos devant lui, jambes écartées. Le métis comprend parfaitement et dirige sa virilité vers l'intimité du Terrien, alors que celui-ci fait basculer sa tête en arrière. Il se retrouve devant la hampe de Gralik, à l'envers et la cueille entre ses lèvres.
Malgré les intentions plutôt claires de Jérémy, Adel est partagé entre désir et appréhension et préfère s'assurer que tout va bien.
- Tu es prêt ?
- Oui, n'hésite pas ! répond-il, difficilement.
Le métis lubrifie son membre trapu, avant de rejoindre ce fourreau, l'élargissant légèrement lors du premier passage. Les râles de Jérémy indiquent clairement au jeune homme qu'il apprécie ce renouvellement de sensations.
Gralik sent de nouveau l'extase arriver, les décharges de chaleur engendrées par la bouche de son amant se diffusant en lui. Il jouit à nouveau entre les lèvres du Terrien, alors que celui-ci ferme les yeux, comme emporté par un nuage... jusqu'à ce qu'Adel, qui accélère ses va-et-viens en sentant monter sa sève, s'enfonce une dernière fois en lui, avec plus d'énergie qu'avant.
- HAN ! hurle Jérémy, alors que le choc contre sa prostate déclenche une éruption de plaisir le faisant venir à son tour, dans un bruyant orgasme.
Ils tombent les uns sur les autres, épuisés et se regardent sans prononcer un mot, les effets de leur béatitude n'étant pas encore tout à fait retombés.
- Encore une fois ! réclame Jérémy, toujours en pleine forme.
- Oh non... soupirent ses acolytes, exténués.
- Fais-moi l'amour, maintenant ! dit Jérémy, en retournant une nouvelle fois son autochtone, avant de se placer ostensiblement.
Malgré qu'il en ait eu bien assez, Gralik ne peut résister à l'appel de cette chute de rein si parfaite, qui n'attend que son attention.
Pour stimuler davantage la virilité de l'autochtone, si c'est encore possible, Jérémy se recule vers son amant et plaque son fessier contre le sexe de Gralik, avant de commencer une série de mouvements des plus suggestifs.
L'autochtone commence à y approcher ses doigts mais Jérémy l'arrête et guide la hampe luisante de désir directement en lui.
- Je ne veux pas te faire mal...
- T'inquiète pas. Vas y ! répond Jérémy, en reculant brutalement contre Gralik, s'empalant ainsi sur son sexe bandé.
Le Terrien étant plus que préparé, il ne ressent aucune douleur mais immédiatement cette chaleur qui diffuse en lui une sensation de plénitude des plus enivrantes.
Les assauts commencent d'abord à une vitesse modérée, puis se font de plus en plus fougueux et désordonnés. Jérémy sent les bourses de son chéri cogner contre ses fesses imberbes, ce qui amplifie encore son érection déjà solide. Après un instant, Gralik prend confiance et plonge son vit plus intensément dans ce fourreau si chaud, percutant la zone sensible, qui envoie des vagues de chaleur de plus en plus rapprochées.
Aux soupirs de son amant, Gralik s'en aperçoit et se retire pour laisser le Terrien se retourner, de manière à obtenir un meilleur angle. Une fois sur le dos, les assauts charnels reprennent de plus belle et Gralik s'active à caresser cette tige gorgée de sang et de désir qui ne demande que ça.
Le Terrien n'en peut plus et halète de plaisir, la bouche constamment ouverte, tant il est secoué de frissons.
Alors qu'Gralik s'apprête à se répandre dans un copieux orgasme, des coups sont frappés à la porte et surpris, il arrête net ses va-et-vient.
- Continue ! supplie son amant. Il finira bien par partir !
L'autochtone s'exécute mais coupé dans son élan et un peu stressé, il est plus discret cette fois...
BOUM BOUM BOUM !
- Laisse, on s'en fout ! insiste Jérémy, furieux contre l'importun.
Mais Adel, qui est le villageois de l'autre côté de la porte ne l'entend pas de cette oreille. Après avoir frappé encore quelques coups, il entre sans invitation. C'est un grand métis, de vingt-cinq ans à la coiffure impressionnante par sa hauteur.
- Les mecs ! J'ai besoin de vous pour... s'interrompt-il, en comprenant pourquoi les hôtes l'ont ignoré.
- ...
- Finalement, je trouverai quelqu'un d'autre, désolé ! se reprend-il, avant de faire volte-face, gêné.
- Reste-là et viens avec nous ! J'en veux encore ! fait Jérémy, aussi capricieux qu'un enfant.
- Heu... il lui arrive quoi là ?
- Il a avalé une bouteille de ma potion...
- Celle à laquelle je pense ?
- Oui, celle-là... souffre Gralik, las.
- Ah... Okay.
- Tu viens nous rejoindre ? fait Jérémy, sans vraiment savoir s'il s'agit d'un ordre ou d'une demande.
- Heu... Bah fais ce qu'il demande, si le cœur t'en dit ! lâche Gralik, qui n'arrive pas à tenir le rythme de son amant devenu insatiable.
Plutôt deux fois qu'une, le jeune homme ôte son pantalon et vient s'asseoir sur le torse de Jérémy, ce dernier lui gobe immédiatement le vit, pour y appliquer sa langue. Adel prend rapidement de la vigueur sous l'effet de ce traitement.
Gralik, qui récupère rapidement son érection, reprend son offensive, tout en titillant le gland de son amant, avec la douceur de ses doigts. Les cris étouffés du Terrien, qui gobe le sexe très épais du nouvel arrivant et les grimaces de ce dernier sous l'effet du plaisir, excitent Gralik, qui accélère. Lorsque la pression devient extrême, son ventre se contracte et, dans un râle, son membre expulse une quantité impressionnante de nectar, qui vient inonder les entrailles de Jérémy.
Ce dernier, après un soupir de bien être, renverse Adel et s'attelle à la tâche de préparer son intimité tout en poursuivant sa fellation très appliquée. Le métis est aux anges et laisse faire les mains expertes du jeune homme.
Lorsque Jérémy le juge prêt, il se redresse, pour le pénétrer d'un coup sec, avant de s'activer directement en lui. Au départ, Adel serre les dents mais se détend progressivement, jusqu'à ce que l'excitation reprenne ses droits.
Jérémy accentue encore la cadence, en cramponnant fermement les reins d'Adel, n'hésitant pas à parfois aller malaxer ses fesses.
Ce dernier ne peut retenir de petits couinements et la vue de ce spectacle finit par rendre une partie de sa vigueur à Gralik, qui s'essuie le sexe. Ce dernier se niche dernière Jérémy, pour mieux caresser chaque recoin de son corps.
Soudain, la respiration du métis se saccade et Jérémy le pilonne plus fortement, jusqu'à ce que son sexe crache quatre puissants jets du liquide précieux. Il se retire et vient s'écrouler sur le lit, désireux de retrouver un rythme respiratoire normal.
- C'est fini tu crois ?
- NON ! Pas tout de suite ! proteste Jérémy, qui tire Gralik par la main.
Il se lève et le positionne délicatement derrière le lit, le sexe au niveau de l'arrière de sa tête.
Jérémy embrasse Gralik quelques instants, avant de revenir devant Adel, pour s'allonger sur le dos devant lui, jambes écartées. Le métis comprend parfaitement et dirige sa virilité vers l'intimité du Terrien, alors que celui-ci fait basculer sa tête en arrière. Il se retrouve devant la hampe de Gralik, à l'envers et la cueille entre ses lèvres.
Malgré les intentions plutôt claires de Jérémy, Adel est partagé entre désir et appréhension et préfère s'assurer que tout va bien.
- Tu es prêt ?
- Oui, n'hésite pas ! répond-il, difficilement.
Le métis lubrifie son membre trapu, avant de rejoindre ce fourreau, l'élargissant légèrement lors du premier passage. Les râles de Jérémy indiquent clairement au jeune homme qu'il apprécie ce renouvellement de sensations.
Gralik sent de nouveau l'extase arriver, les décharges de chaleur engendrées par la bouche de son amant se diffusant en lui. Il jouit à nouveau entre les lèvres du Terrien, alors que celui-ci ferme les yeux, comme emporté par un nuage... jusqu'à ce qu'Adel, qui accélère ses va-et-viens en sentant monter sa sève, s'enfonce une dernière fois en lui, avec plus d'énergie qu'avant.
- HAN ! hurle Jérémy, alors que le choc contre sa prostate déclenche une éruption de plaisir le faisant venir à son tour, dans un bruyant orgasme.
Ils tombent les uns sur les autres, épuisés et se regardent sans prononcer un mot, les effets de leur béatitude n'étant pas encore tout à fait retombés.
- Encore une fois ! réclame Jérémy, toujours en pleine forme.
- Oh non... soupirent ses acolytes, exténués.