26-06-2023, 06:04 PM
– Les gamins sont passés où ?
– Je les ai vu se parler à l'oreille et ils sont partis en courant vers la maison. Vois-les, ils reviennent.
Et arrivés à notre niveau ils cachèrent leurs mains dans le dos en approchant.
– Stop, vous cachez quoi dans votre dos ?
– Rien.
– Montrez-moi vos mains… Et c'est quoi, ce sucre ?
– On avait un peu faim encore.
– Mais oui, c'est ça, appelez-moi couillon aussi ! Bon vous lui donnez mais vous mettez la main bien à plat. Et chacun son tour.
– Hi ; hi ! Ça chatouille quand elle nous mange dans la main.
– Elle m'a mis plein de la bave sur la main.
– Non Gus, ne t'essuie pas sur ton shor...
– Trop tard, Papa.
– Oui, je vois ça. Bon allez, on la laisse tranquille maintenant.
– Encore un peu, Papa. Elle est trop jolie. On l'aime déjà.
Et il est vrai qu'à partir de ce jour, entre Holly et nous, ça a été une véritable histoire d’amour.
(Et, bien des années plus tard, quand il fallut la faire euthanasier, ce fut un réel drame familial.)
On rentra à la maison où on eut la visite de Gaston puis des parents de Tim suivi de Tim et de Mary, tous venus voir la bête. Et chaque fois, Holly curieuse s'approcha et se laissa caresser.
– j'en connais un qui va bander rien qu'à la voir.
– De qui tu parles, Gaston ?
– De Louis, pardi, ça a toujours été son rêve d'avoir un cheval de trait. Mais un comme ça, je savais même pas que ça existait.
– Papa, ça veut dire quoi bander ?
– Ça veut dire être très, très, très content. Ou tu peux dire aussi tarpin content. C'est même mieux.
– Dis Gaston, tu crois que Louis il voudra nous laisser les mules pour mettre avec Holly ?
– Vous lui demanderez samedi, il vient les monter avec quelques chevaux. Au fait, je ne sais pas si tu as fait attention mais hier, des gars sont venus entreposer des matériaux dans la remise de ta maison du village.
– Ah non, je ne le savais pas. Je téléphonerai à Sylvio pour savoir où ça en est. Je sais que les travaux devrait commencer bientôt mais je ne sais pas quand, exactement.
C'est vrai qu'au village on n'avait pas de caméras mais entre Gaston et mes grands-parents il n'y avait pas grand-chose qui leur échappait.
Renseignements pris, Sylvio m'apprit qu'il avait trouvé une entreprise qui allait me refaire entièrement la maison, au budgets prévu. Le patron devait me contacter sous peu pour m'en parler.
Le soir, j'eus un coup de fil de Rémi.
– Salut Bé, comment vous allez ?
– En pleine forme et vous ?
– On va bien aussi, merci. Je t'appelle parce que j'ai enfin reçu une réponse des avocats anglais et qu'ils m'ont envoyé le testament de l'arrière-grand-père mais aussi les bilans des 3 dernières années.
Je te fais un résumé succinct. Ils sont d'excellents gestionnaires. Ils ont su diversifier les placements et ils gèrent ça à la perfection. Tu veux qu'on fasse quoi ?
– Je ne sais pas. Toi, tu me conseilles quoi ?
– Je serais toi, je prendrais acte et je leur donnerais un pouvoir pour continuer à gérer les biens des jumeaux, avec un droit de regard.
– Nous avons été invités par Victoria, l'arrière-grand-mère des jumeaux, le week-end dernier et les grands-parents des jumeaux ne sont même pas venus les voir. Par contre il y avait du beau monde avec nous. Dis-moi, Joris est là ?
– Oui, il nous écoute.
– Salut Bé.
– Salut Joris, je t'envoie des photos pour vous montrer avec qui on a passé le week-end.
– Ok, je prends mon portable.
– Envoyé.
– Oui je viens de les recevoir. Mais… t'es sérieux là, t'étais vraiment avec eux ?
– La preuve. Tu ne nous reconnais pas ?
– Oh, nom de… ! Tu as même joué au rugby avec ?
– Oui.
– Et vous avez pris aussi la douche ?
– Bin, oui…
– Mais putain, tu vas cracher le morceau.
– Mais, Joris, tu veux savoir quoi, grand curieux ?
– Bin, s'il a une grosse bite et un beau cul.
– Hé, hé ! Je te signale quand même que ses deux cousins sont à côté de moi et t'écoutent aussi.
– Ha, ha, ha ! Bin justement, ils pourront confirmer tes dires.
– Alors, tu vas être déçu, parce qu'il a un beau cul mais assez poilu et il n’est pas circoncis et sa bite au repos est de bonne taille, sans être géante, un peu comme celle de Rémi. Tu es content ? Et, non, je t’annonce de suite que je n'ai pas pris de photo sous la douche.
– Bon, les filles, quand vous aurez fini de vous extasier devant l'anatomie du prince Harry, on pourra continuer à parler de choses sérieuses ?
– C'est pas de ma faute, Rémi, c'est ton chéri qui me pose des questions, alors je lui réponds.
– Bin quoi, je me renseigne juste comme ça, par curiosité.
– Bon, ça suffit tous vos cancans. on reprend, Bé.
S'en suivit une discussion qui dura une bonne heure et Hans et Nick donnèrent aussi quelques indications sur les rouages officieux de la famille. Cela aidera plus tard Rémi dans ses négociations.
Je lui parlais aussi de ma décision de refaire la maison du village et il me dit qu'à l'occasion ils passeraient nous voir et me proposer des solutions pour payer moins d’impôts. Ce que, bien sûr, j’acceptais. Finalement on monta se coucher.
Hans et moi, on était d'humeur badine. Et on donna libre cours à notre envie. Et par deux fois, même.
On avait fini nos galipettes et :
– Hans, tu crois que Nick baise une nana chaque fois qu'il sort avec Tonin ?
– Comment ça se fait que tu penses à ça, toi ?
– Nous on le fait en moyenne tous les deux jours, souvent plus, même, mais c'est de ta faute tu m'inspires trop. Et Nick c'est une ou deux fois par semaine et je n'en suis pas si sûr que ça.
– Tu m'as dit que quand il était à Londres c'était tous les soirs. Ici, on peut dire qu'il est au régime sec.
– Il n'est pas très bavard sur ses exploits sexuels, très discret même. Il m'a vaguement parlé d'une meuf qu'ils se refilaient mais il ne s'est pas étendu sur le sujet.
– Oh, après tout, c'est ses affaires. Il faisait quoi comme études lui ?
– Il a commencé tout un tas de premières années qu'il n'a jamais finies. Il est doué mais il ne s'en donne pas la peine. On dort ?
On se fit un bisou et Hans se cala contre moi… et c'est comme ça qu'on se réveilla le lendemain matin. Je m'habillais et je descendis faire le café. Comme Nick tardait, je remontais à sa chambre et après avoir frappé, comme il ne répondait pas, j’entrais. Il dormait à poil sur son lit et son érection matinale était au beau fixe. Je le secouais.
– Nick, c'est l’heure!
Il s'assit sur le bord du lit et marmonna :
– J’arrive dans cinq minutes.
On passa la journée à bosser et le soir, quand on rentra, mes grands-parents et Cyprien étaient là. En fait, tout le monde était dans le parc d’Holly. Les gosses lui faisait une beauté, Gus était sur son dos et il la brossait, Chip, lui, lui brossait les flancs tandis qu'Adeline lui peignait les poils longs qu'elle avait aux pattes.
– Je les ai vu se parler à l'oreille et ils sont partis en courant vers la maison. Vois-les, ils reviennent.
Et arrivés à notre niveau ils cachèrent leurs mains dans le dos en approchant.
– Stop, vous cachez quoi dans votre dos ?
– Rien.
– Montrez-moi vos mains… Et c'est quoi, ce sucre ?
– On avait un peu faim encore.
– Mais oui, c'est ça, appelez-moi couillon aussi ! Bon vous lui donnez mais vous mettez la main bien à plat. Et chacun son tour.
– Hi ; hi ! Ça chatouille quand elle nous mange dans la main.
– Elle m'a mis plein de la bave sur la main.
– Non Gus, ne t'essuie pas sur ton shor...
– Trop tard, Papa.
– Oui, je vois ça. Bon allez, on la laisse tranquille maintenant.
– Encore un peu, Papa. Elle est trop jolie. On l'aime déjà.
Et il est vrai qu'à partir de ce jour, entre Holly et nous, ça a été une véritable histoire d’amour.
(Et, bien des années plus tard, quand il fallut la faire euthanasier, ce fut un réel drame familial.)
On rentra à la maison où on eut la visite de Gaston puis des parents de Tim suivi de Tim et de Mary, tous venus voir la bête. Et chaque fois, Holly curieuse s'approcha et se laissa caresser.
– j'en connais un qui va bander rien qu'à la voir.
– De qui tu parles, Gaston ?
– De Louis, pardi, ça a toujours été son rêve d'avoir un cheval de trait. Mais un comme ça, je savais même pas que ça existait.
– Papa, ça veut dire quoi bander ?
– Ça veut dire être très, très, très content. Ou tu peux dire aussi tarpin content. C'est même mieux.
– Dis Gaston, tu crois que Louis il voudra nous laisser les mules pour mettre avec Holly ?
– Vous lui demanderez samedi, il vient les monter avec quelques chevaux. Au fait, je ne sais pas si tu as fait attention mais hier, des gars sont venus entreposer des matériaux dans la remise de ta maison du village.
– Ah non, je ne le savais pas. Je téléphonerai à Sylvio pour savoir où ça en est. Je sais que les travaux devrait commencer bientôt mais je ne sais pas quand, exactement.
C'est vrai qu'au village on n'avait pas de caméras mais entre Gaston et mes grands-parents il n'y avait pas grand-chose qui leur échappait.
Renseignements pris, Sylvio m'apprit qu'il avait trouvé une entreprise qui allait me refaire entièrement la maison, au budgets prévu. Le patron devait me contacter sous peu pour m'en parler.
Le soir, j'eus un coup de fil de Rémi.
– Salut Bé, comment vous allez ?
– En pleine forme et vous ?
– On va bien aussi, merci. Je t'appelle parce que j'ai enfin reçu une réponse des avocats anglais et qu'ils m'ont envoyé le testament de l'arrière-grand-père mais aussi les bilans des 3 dernières années.
Je te fais un résumé succinct. Ils sont d'excellents gestionnaires. Ils ont su diversifier les placements et ils gèrent ça à la perfection. Tu veux qu'on fasse quoi ?
– Je ne sais pas. Toi, tu me conseilles quoi ?
– Je serais toi, je prendrais acte et je leur donnerais un pouvoir pour continuer à gérer les biens des jumeaux, avec un droit de regard.
– Nous avons été invités par Victoria, l'arrière-grand-mère des jumeaux, le week-end dernier et les grands-parents des jumeaux ne sont même pas venus les voir. Par contre il y avait du beau monde avec nous. Dis-moi, Joris est là ?
– Oui, il nous écoute.
– Salut Bé.
– Salut Joris, je t'envoie des photos pour vous montrer avec qui on a passé le week-end.
– Ok, je prends mon portable.
– Envoyé.
– Oui je viens de les recevoir. Mais… t'es sérieux là, t'étais vraiment avec eux ?
– La preuve. Tu ne nous reconnais pas ?
– Oh, nom de… ! Tu as même joué au rugby avec ?
– Oui.
– Et vous avez pris aussi la douche ?
– Bin, oui…
– Mais putain, tu vas cracher le morceau.
– Mais, Joris, tu veux savoir quoi, grand curieux ?
– Bin, s'il a une grosse bite et un beau cul.
– Hé, hé ! Je te signale quand même que ses deux cousins sont à côté de moi et t'écoutent aussi.
– Ha, ha, ha ! Bin justement, ils pourront confirmer tes dires.
– Alors, tu vas être déçu, parce qu'il a un beau cul mais assez poilu et il n’est pas circoncis et sa bite au repos est de bonne taille, sans être géante, un peu comme celle de Rémi. Tu es content ? Et, non, je t’annonce de suite que je n'ai pas pris de photo sous la douche.
– Bon, les filles, quand vous aurez fini de vous extasier devant l'anatomie du prince Harry, on pourra continuer à parler de choses sérieuses ?
– C'est pas de ma faute, Rémi, c'est ton chéri qui me pose des questions, alors je lui réponds.
– Bin quoi, je me renseigne juste comme ça, par curiosité.
– Bon, ça suffit tous vos cancans. on reprend, Bé.
S'en suivit une discussion qui dura une bonne heure et Hans et Nick donnèrent aussi quelques indications sur les rouages officieux de la famille. Cela aidera plus tard Rémi dans ses négociations.
Je lui parlais aussi de ma décision de refaire la maison du village et il me dit qu'à l'occasion ils passeraient nous voir et me proposer des solutions pour payer moins d’impôts. Ce que, bien sûr, j’acceptais. Finalement on monta se coucher.
Hans et moi, on était d'humeur badine. Et on donna libre cours à notre envie. Et par deux fois, même.
On avait fini nos galipettes et :
– Hans, tu crois que Nick baise une nana chaque fois qu'il sort avec Tonin ?
– Comment ça se fait que tu penses à ça, toi ?
– Nous on le fait en moyenne tous les deux jours, souvent plus, même, mais c'est de ta faute tu m'inspires trop. Et Nick c'est une ou deux fois par semaine et je n'en suis pas si sûr que ça.
– Tu m'as dit que quand il était à Londres c'était tous les soirs. Ici, on peut dire qu'il est au régime sec.
– Il n'est pas très bavard sur ses exploits sexuels, très discret même. Il m'a vaguement parlé d'une meuf qu'ils se refilaient mais il ne s'est pas étendu sur le sujet.
– Oh, après tout, c'est ses affaires. Il faisait quoi comme études lui ?
– Il a commencé tout un tas de premières années qu'il n'a jamais finies. Il est doué mais il ne s'en donne pas la peine. On dort ?
On se fit un bisou et Hans se cala contre moi… et c'est comme ça qu'on se réveilla le lendemain matin. Je m'habillais et je descendis faire le café. Comme Nick tardait, je remontais à sa chambre et après avoir frappé, comme il ne répondait pas, j’entrais. Il dormait à poil sur son lit et son érection matinale était au beau fixe. Je le secouais.
– Nick, c'est l’heure!
Il s'assit sur le bord du lit et marmonna :
– J’arrive dans cinq minutes.
On passa la journée à bosser et le soir, quand on rentra, mes grands-parents et Cyprien étaient là. En fait, tout le monde était dans le parc d’Holly. Les gosses lui faisait une beauté, Gus était sur son dos et il la brossait, Chip, lui, lui brossait les flancs tandis qu'Adeline lui peignait les poils longs qu'elle avait aux pattes.