Chapitre 27
Gralik, tout excité à l'idée du piège qu'il va tendre à son amant, lance négligemment sa veste dans un coin de la demeure. Il se dirige vers un rangement, afin de choisir une petite bouteille rectangulaire. Sans perdre de temps, il s'attelle à la préparation d'une soupe.
Après un bon moment, car le jeune aime prendre son temps, la réalisation du repas touche à sa fin et Gralik sert la soupe dans deux bols d'ivoire. Il les dispose et prépare la table dans ses moindres détails, toujours le sourire aux lèvres en pensant à ce qui va suivre.
Il entend la porte s'ouvrir et panique un court instant, avant de finalement verser une toute petite rasade du petit flacon dans le bol de Jérémy.
Ce dernier entre dans la pièce, embrasse son colocataire, avant de le remercier pour cette attention. Gralik, ne voulant pas paraître suspect avec sa bouteille à la main, il préfère la poser sur la table, l'air de rien, en espérant que Jérémy n'y prête pas attention.
Elle contient une potion conçue pour exacerber à l'extrême les instincts sexuels masculins. Elle est d'ailleurs si puissante, que dans la plupart des cas une cuillère suffit pour transformer un respectable prophète de village en un véritable dépravé.
Si cette préparation est parfois utilisée comme l'est le viagra sur Terre, les jeunes l'utilisent plutôt pour son effet sur le comportement.
Jérémy étant Terrien, il ne connaît rien de cet élixir et c'est pourquoi le piéger avec promet d'être assez drôle, voire mémorable.
- Alors ? Comment s'est passée cette deuxième journée ? Pas trop dur d'assister Vena ? demande Gralik.
- Oh, sincèrement, elle est sympa... Bon, elle me crie pas mal dessus mais à mon avis, c'est plus pour se donner un genre... Mais je l'aime bien, car elle parle beaucoup et j'apprends pas mal de choses sur ton monde. Bon, par contre quand elle me demande d'aller lui chercher quelque chose dont j'ignore l'existence, ou qui qui est introuvable, c'est moins évident ! D'ailleurs encore merci pour cet après-midi, sans toi je n'aurais pas réussi à lui trouver un Daukn...
- J'suis content que ça se passe bien, en fait j'appréhendais un peu... Souvent les gens qui travaillent avec elle finissent par en avoir assez de son caractère spécial et ils partent vite, dit Gralik, en portant le bol à ses lèvres, aussitôt imité par son homme.
- Excellente ta soupe ! complimente Jérémy.
Gralik ne peut s'empêcher de sourire, ce que Jérémy ne rate pas.
- Qu'est-ce qui te fait rire ?
- Rien, c'est toi... répond l'autochtone, en constatant que le bol de Jérémy est déjà vide. Je vais t'en rechercher, espèce d'ogre !
- Qu'est-ce qu'il y a dans la bouteille ? demande le Terrien, intrigué lorsqu'il pose son regard sur le flacon.
- Rien, c'est de l'eau... Une vieille bouteille que je viens de retrouver mais utilise plutôt la grande, ça m'évitera de remplir les deux... ment Gralik.
- Elle est bizarre ton eau, elle est un peu grasse... commente Jérémy, en étalant une goutte sur son doigt, avant de l'enfourner dans sa bouche pour goûter.
- Attends, montre-moi ça... fait Gralik, cachant tant bien que mal sa gêne.
- Mais c'est excellent ce truc ! s'exclame-il avant de porter la bouteille à sa bouche et d'avaler une grande quantité de liquide.
- Héo ! Oh ! NON ! bondit Gralik, effaré.
Surpris par tant de véhémence, Jérémy stoppe son geste et regarde son chéri, l'air interrogatif. Soudain, son corps est parcouru par un frisson, sans qu'il n'en comprenne la raison. Il n'entend plus Gralik parler mais sa seule vue entraîne un effet immédiat et spectaculaire. Son sexe se déploie dans son pantalon, à une vitesse phénoménale, presque douloureuse.
Lorsqu'Gralik capte le regard fou que lui adresse maintenant son colocataire, tout tremblant, il sait déjà à quoi s'attendre. Il est un peu inquiet, car étant donné la forte dose ingurgitée, il est plus que probable que sa farce se retourne contre lui mais il va falloir assumer.
Jérémy se jette littéralement contre lui, l'embrassant à pleine bouche, en se frottant contre son corps, complètement ivre de désir. Le jeune homme peut déjà sentir contre lui l'énorme bosse qui déforme l'entrejambe du Terrien.
Sans aucune inhibition, il lui ôte ses vêtements à la hâte, en en déchirant certains au passage. Il cède parfois quelques instant à l'envie qui le tenaille de caresser, lécher, ou encore mordiller certaines parcelles de sa peau si mate.
Jérémy se désape à une vitesse folle et envoie voler ses chaussures au loin. Il porte Gralik jusqu'au grand lit, avant de se laisser tomber avec lui. Sans perdre de temps, il fond sur l'entrejambe qui se raidit et l'enfourne directement dans sa bouche, comme la plus délicieuse des friandises. Il s'imprègne durant plusieurs minutes du goût si caractéristique, si... unique de l'extrémité de cette lance de désir si fièrement dressée. Gralik halète, transporté aux portes du paradis par les sensations que la langue qui joue avec son prépuce et flatte son gland lui procure.
Pendant cette fellation ininterrompue, Jérémy pivote et se place au-dessus de l'autochtone pour lui présenter son vit dur comme de l'acajou, qui se cogne contre son menton. Gralik le gobe sans faire de manières et ils passent ainsi un long moment de plaisir partagé. Naturellement, Jérémy ne peut pas beaucoup se contenir et il vient titiller la rosette de son homme, qui est déjà presque dépassé par sa propre extase.
N'y tenant plus, Jérémy accélère les mouvements de ses phalanges, tout en continuant de parcourir le gland humide avec sa langue, couvert par les gémissements de son compagnon. Ce dernier peine à retenir la jouissance et la laisse partiellement s'échapper entre les lèvres du Terrien.
Le ventre de l'autochtone se contracte et il se mord la lèvre sous l'effet du trop-plein de sensations. Il respire bruyamment pendant un instant, avant de récupérer le contrôle.
Jérémy comprend bien l'état de son amant et toujours livré à sa quête de plaisir, il le retourne avec douceur, bien que rapidement. Une fois en position, il avance son sexe, trempé de salive vers ce fessier et s'y introduit lentement...
L'effet du stimulant est maintenant à son zénith et le jeune homme tremble de tous ses membres, alors qu'il fait coulisser son sexe. Une fois son bassin collé aux fesses de Gralik, il abandonne toute idée de contrôle et se retire du fourreau avant de s'y réengager dans la foulée. Gralik lâche un cri, surpris mais la douleur est éphémère et il n'a pas besoin de demander quoi que ce soit pour que son amant poursuive.
Jérémy, en sueur, se couche entièrement contre son amant. Il s'agrippe fermement à ses épaules, y plante presque ses ongles et pilonne son compagnon avec tant de force que celui-ci ne peut retenir de bruyants soupirs de bien-être.
La volupté semble durer pour toujours et si Gralik est de nouveau au bord de l'extase, Jérémy est parcouru de décharges de plaisir mais semble n'être jamais satisfait et cherche toujours plus.
Après encore quelques instants, Jérémy se redresse et saisit son amant par les hanches, avant de s'activer en lui avec une vitesse et une force accrue, avant de jouir copieusement en lui. Cet orgasme est de loin le plus important de sa vie, il en oublie d'ailleurs de respirer pendant les derniers assauts.
- HAN ! C'était super, Jérem'... souffle Gralik, qui s'écroule sur le matelas, bien fatigué.
- À ton tour.
- Hein ?
Gralik, tout excité à l'idée du piège qu'il va tendre à son amant, lance négligemment sa veste dans un coin de la demeure. Il se dirige vers un rangement, afin de choisir une petite bouteille rectangulaire. Sans perdre de temps, il s'attelle à la préparation d'une soupe.
Après un bon moment, car le jeune aime prendre son temps, la réalisation du repas touche à sa fin et Gralik sert la soupe dans deux bols d'ivoire. Il les dispose et prépare la table dans ses moindres détails, toujours le sourire aux lèvres en pensant à ce qui va suivre.
Il entend la porte s'ouvrir et panique un court instant, avant de finalement verser une toute petite rasade du petit flacon dans le bol de Jérémy.
Ce dernier entre dans la pièce, embrasse son colocataire, avant de le remercier pour cette attention. Gralik, ne voulant pas paraître suspect avec sa bouteille à la main, il préfère la poser sur la table, l'air de rien, en espérant que Jérémy n'y prête pas attention.
Elle contient une potion conçue pour exacerber à l'extrême les instincts sexuels masculins. Elle est d'ailleurs si puissante, que dans la plupart des cas une cuillère suffit pour transformer un respectable prophète de village en un véritable dépravé.
Si cette préparation est parfois utilisée comme l'est le viagra sur Terre, les jeunes l'utilisent plutôt pour son effet sur le comportement.
Jérémy étant Terrien, il ne connaît rien de cet élixir et c'est pourquoi le piéger avec promet d'être assez drôle, voire mémorable.
- Alors ? Comment s'est passée cette deuxième journée ? Pas trop dur d'assister Vena ? demande Gralik.
- Oh, sincèrement, elle est sympa... Bon, elle me crie pas mal dessus mais à mon avis, c'est plus pour se donner un genre... Mais je l'aime bien, car elle parle beaucoup et j'apprends pas mal de choses sur ton monde. Bon, par contre quand elle me demande d'aller lui chercher quelque chose dont j'ignore l'existence, ou qui qui est introuvable, c'est moins évident ! D'ailleurs encore merci pour cet après-midi, sans toi je n'aurais pas réussi à lui trouver un Daukn...
- J'suis content que ça se passe bien, en fait j'appréhendais un peu... Souvent les gens qui travaillent avec elle finissent par en avoir assez de son caractère spécial et ils partent vite, dit Gralik, en portant le bol à ses lèvres, aussitôt imité par son homme.
- Excellente ta soupe ! complimente Jérémy.
Gralik ne peut s'empêcher de sourire, ce que Jérémy ne rate pas.
- Qu'est-ce qui te fait rire ?
- Rien, c'est toi... répond l'autochtone, en constatant que le bol de Jérémy est déjà vide. Je vais t'en rechercher, espèce d'ogre !
- Qu'est-ce qu'il y a dans la bouteille ? demande le Terrien, intrigué lorsqu'il pose son regard sur le flacon.
- Rien, c'est de l'eau... Une vieille bouteille que je viens de retrouver mais utilise plutôt la grande, ça m'évitera de remplir les deux... ment Gralik.
- Elle est bizarre ton eau, elle est un peu grasse... commente Jérémy, en étalant une goutte sur son doigt, avant de l'enfourner dans sa bouche pour goûter.
- Attends, montre-moi ça... fait Gralik, cachant tant bien que mal sa gêne.
- Mais c'est excellent ce truc ! s'exclame-il avant de porter la bouteille à sa bouche et d'avaler une grande quantité de liquide.
- Héo ! Oh ! NON ! bondit Gralik, effaré.
Surpris par tant de véhémence, Jérémy stoppe son geste et regarde son chéri, l'air interrogatif. Soudain, son corps est parcouru par un frisson, sans qu'il n'en comprenne la raison. Il n'entend plus Gralik parler mais sa seule vue entraîne un effet immédiat et spectaculaire. Son sexe se déploie dans son pantalon, à une vitesse phénoménale, presque douloureuse.
Lorsqu'Gralik capte le regard fou que lui adresse maintenant son colocataire, tout tremblant, il sait déjà à quoi s'attendre. Il est un peu inquiet, car étant donné la forte dose ingurgitée, il est plus que probable que sa farce se retourne contre lui mais il va falloir assumer.
Jérémy se jette littéralement contre lui, l'embrassant à pleine bouche, en se frottant contre son corps, complètement ivre de désir. Le jeune homme peut déjà sentir contre lui l'énorme bosse qui déforme l'entrejambe du Terrien.
Sans aucune inhibition, il lui ôte ses vêtements à la hâte, en en déchirant certains au passage. Il cède parfois quelques instant à l'envie qui le tenaille de caresser, lécher, ou encore mordiller certaines parcelles de sa peau si mate.
Jérémy se désape à une vitesse folle et envoie voler ses chaussures au loin. Il porte Gralik jusqu'au grand lit, avant de se laisser tomber avec lui. Sans perdre de temps, il fond sur l'entrejambe qui se raidit et l'enfourne directement dans sa bouche, comme la plus délicieuse des friandises. Il s'imprègne durant plusieurs minutes du goût si caractéristique, si... unique de l'extrémité de cette lance de désir si fièrement dressée. Gralik halète, transporté aux portes du paradis par les sensations que la langue qui joue avec son prépuce et flatte son gland lui procure.
Pendant cette fellation ininterrompue, Jérémy pivote et se place au-dessus de l'autochtone pour lui présenter son vit dur comme de l'acajou, qui se cogne contre son menton. Gralik le gobe sans faire de manières et ils passent ainsi un long moment de plaisir partagé. Naturellement, Jérémy ne peut pas beaucoup se contenir et il vient titiller la rosette de son homme, qui est déjà presque dépassé par sa propre extase.
N'y tenant plus, Jérémy accélère les mouvements de ses phalanges, tout en continuant de parcourir le gland humide avec sa langue, couvert par les gémissements de son compagnon. Ce dernier peine à retenir la jouissance et la laisse partiellement s'échapper entre les lèvres du Terrien.
Le ventre de l'autochtone se contracte et il se mord la lèvre sous l'effet du trop-plein de sensations. Il respire bruyamment pendant un instant, avant de récupérer le contrôle.
Jérémy comprend bien l'état de son amant et toujours livré à sa quête de plaisir, il le retourne avec douceur, bien que rapidement. Une fois en position, il avance son sexe, trempé de salive vers ce fessier et s'y introduit lentement...
L'effet du stimulant est maintenant à son zénith et le jeune homme tremble de tous ses membres, alors qu'il fait coulisser son sexe. Une fois son bassin collé aux fesses de Gralik, il abandonne toute idée de contrôle et se retire du fourreau avant de s'y réengager dans la foulée. Gralik lâche un cri, surpris mais la douleur est éphémère et il n'a pas besoin de demander quoi que ce soit pour que son amant poursuive.
Jérémy, en sueur, se couche entièrement contre son amant. Il s'agrippe fermement à ses épaules, y plante presque ses ongles et pilonne son compagnon avec tant de force que celui-ci ne peut retenir de bruyants soupirs de bien-être.
La volupté semble durer pour toujours et si Gralik est de nouveau au bord de l'extase, Jérémy est parcouru de décharges de plaisir mais semble n'être jamais satisfait et cherche toujours plus.
Après encore quelques instants, Jérémy se redresse et saisit son amant par les hanches, avant de s'activer en lui avec une vitesse et une force accrue, avant de jouir copieusement en lui. Cet orgasme est de loin le plus important de sa vie, il en oublie d'ailleurs de respirer pendant les derniers assauts.
- HAN ! C'était super, Jérem'... souffle Gralik, qui s'écroule sur le matelas, bien fatigué.
- À ton tour.
- Hein ?