24-05-2023, 06:15 AM
Chapitre 041 : « Premier semestre universitaire. »
- N’as-tu pas peur que cet engouement pour eux finisse par percer le secret de leurs origines ou tout du moins de celle de celui qui nous intéresse, déjà qu’ils ne devaient pas se rencontrés avec nos enfants et maintenant voilà qu’ils risquent d’amener sur eux l’attention des médias s’ils découvrent qui se cache derrière ces animations.
- Tu sais tout comme moi qu’il n’était plus temps d’interdire quoi que ce soit puisqu’ils s’étaient déjà rencontrés, interférer maintenant serait contreproductif et je pense d’après les informations que je reçois qu’ils ne sont pas près de faire le rapprochement avec leur lieu de naissance. De plus qui les aides en leurs louant le club le plus huppé de la capitale ? qui s’apprête à lancer des invitations pour des concerts VIP ?
- Je suis pris comme toi tu l’es par la rapidité des évènements, comment aurais-je pu refuser à mon fils de disposer une fois par semaine de ce club qui un jour comme tout le reste lui appartiendra.
François soupire, tout en esquissant un sourire qui en dit long à Marcel sur son état d’esprit sur cette affaire.
- Je vois que nous sommes tous les deux pris dans un tourbillon que nous ne pouvons que suivre du regard, est-ce que ce sourire que je vois sur ton visage a un rapport quelconque avec le grand prince Louis ?
- Pourquoi d’un seul coup mon fils arrive-t-il dans cette discussion ?
- Parce qu’il fait parti intégrante du fameux tourbillon, en tout cas il ne pourra jamais être critiquer sur sa façon d’être avec des personnes que beaucoup parmi nos « riches » confrères nommeraient de « basses naissances ».
- Pourquoi en serait-il autrement, moi-même je ne dénigre jamais personne quel que soit son statut social, du moins il me semble !
- Oui, mais là il y va fort reconnait le en s’affichant naturellement avec trois orphelins, boursiers qui plus est.
- Preuve qu’ils ont été reconnus et qu’ils méritent d’étudier dans nos meilleures universités. Tu parles de mon fils, mais pour le tien c’est pareil.
- Charles n’a jamais été un garçon à voir les choses comme la majorité le font, il n’a toujours voulu ne dépendre que de lui depuis qu’il a eu l’âge de prendre ses distances d’avec le confort et l’argent familial.
La conversation s’éternise quelque peu sur le sujet qui bientôt ne trouve plus guère de grains à moudre, aussi reprennent-ils là où ils en étaient arrêtés sur les divers rapports financiers du royaume.
Ce n’est que quelques heures plus tard, que le sujet refait surface alors qu’ils le croyaient pourtant clos, du moins pour cette longue journée.
C’est l’annonce d’un visiteur surprise qui remet l’affaire des trois orphelins à l’ordre du jour, ce dernier n’étant pas moins que l’inspecteur spécial, ami d’université de François, qui en apprenant son arrivée s’est levé sans plus de formalité pour aller l’accueillir en le prenant dans ses bras.
André Lebrun reste comme à son habitude quelques instants à reprendre ses esprits, conscient que son ami en le recevant de la sorte n’est absolument pas mentalement dans son rôle de roi du pays, mais bien de retour dans celui de jeune prince espiègle avec qui, lui et quelques autres, ont fait les quatre cent coups.
André attend que l’étreinte se desserre, pour aller serrer la main de Marcel qu’il connait bien lui aussi depuis cette époque hélas bien loin derrière eux.
- Quel bon vent t’amène ? je n’ai pas été informé de ton retour, ta mission s’est-elle bien passée ?
Le regard allant du roi vers son cousin fait bien comprendre à François ce qui le retient de parler, aussi le rassure-t-il en les invitant tous deux à s’assoir.
- Tu connais mon cousin, je n’ai pas de secrets pour lui et comme tu le sais, il est le père adoptif d’un des deux bébés.
André se décontracte alors, maintenant qu’il a reçu l’aval de sa majesté pour révéler ce qu’il a apprit et qui l’a fait revenir au plus vite sans prévenir.
- J’ai retrouvé l’origine de l’envoie du fichier vidéo, c’est l’un des enfants de l’orphelina qui l’a envoyé sans se rendre compte de se qu’il faisait. Je n’ai donc pris aucune sanction contre lui, juste que je l’ai informé des lois sur le droit à l’image, d’autant plus quand l’affaire concerne des mineurs.
- Bien ! j’imagine que ce n’est pas cela qui t’a fait revenir aussi rapidement.
- Etant sur place, j’ai investigué auprès du personnel et ce que j’ai appris conforte en tous points l’idée que je m’étais déjà faite sur eux.
- Je sais bien que tu les idolâtres ! Hi ! Hi !
- Je ne m’en cache pas, ils sont en tous points ce que n’importe quel parent souhaiterait que son enfant devienne en grandissant.
- Et donc ? qu’as-tu appris qui t’amène ici sans prévenir ?
- C’est justement en disant ses mêmes paroles devant le conseillé d’éducation que j’ai perçue venant de lui un petit sourire sarcastique, je lui ai donc demandé ce qui le lui avait amené et sa réponse m’a tout d’abord pris de court.
- Que t’a-t-il donc dit ?
- Qu’ils devraient s’assurer aux dortoirs de l’université que l’isolation phonique de la chambre soit meilleure que celle des chambres de l’orphelina.
- Pourquoi donc ?
- Parce que figure-toi que nos trois loustics bien sous tous rapports, s’en donnent à cœur joie depuis le début de leur puberté en découvertes sexuelles et que depuis leurs départs, l’orphelina a retrouvé un calme qu’il avait perdu ces quatre ou cinq dernières années.
Alors que le roi montre un visage démontrant bien qu’il cherche à comprendre le sens des paroles de son ami, Marcel pour sa part a parfaitement compris de quoi il retourne et du coup il retient difficilement l’envie de rire qui le prend, connaissant parfaitement les tendances sexuelles du jeune Louis pour l’avoir plusieurs fois entendu en parler alors qu’il se croyait seul avec son fils et Marc comme confidents.
Du coup il préfère attendre que la parole vienne de son cousin, ne sachant pas vraiment quelles sont ses pensées à ce sujet.
- Par découvertes sexuelles, tu parles bien de ce que je crois comprendre ?
- Comment le saurais-je ?
- Jusqu’où ont été ses découvertes ?
- Jusqu’au plus qu’elles auraient pu aller si mes informations sont justes.
- Tu veux dire jusqu’à…
François fait le geste sans équivoque qui mime l’accouplement, recevant en contrepartie le hochement de tête affirmatif de l’inspecteur.
- Tous les trois ? même… lui ?
- Tous les trois en effet et j’ai appris dernièrement qu’ils se seraient mit en colocation avec le grand prince Louis, Charles et Marc, voilà pourquoi je suis venu au plus vite vous avertir.
François semble perdu dans ses pensées, tandis que l’inspecteur se pince les lèvres et que Marcel cherche les paroles qui vont bien pour détendre l’atmosphère.
- Cela ne veut pas dire que nos enfants sont comme eux et s’ils le sont et bien… c’est sûr que beaucoup les envieront, après tout, ces garçons sont tous d’un physique éminemment accrocheur et nous ne sommes plus à l’âge des cavernes il me semble.
- Nous n’y sommes peut-être plus, mais n’oublies pas que mon fils doit garder une certaine réserve en public, ce n’est pas un enfant comme les autres, il arrive en second pour la succession au trône et en cas ou quelque chose de terrible arriverait à son frère ainé, il aura comme devoir de faire naitre la génération qui devra lui succéder.
- Allons… allons… nous n’en sommes pas là à nous faire peur pour des choses qui n’ont quasiment aucunes chances à voir le jour. Au pire il y aura toujours un moyen d’enfanter un héritier, la médecine fait des miracles de nos jours.
Marcel pour détourner l’attention sur ce sujet éminemment sensible, il interroge à nouveau l’inspecteur pour entendre s’il a autre chose à rapporter.
- Y a-t-il autre chose à savoir sur ta mission ?
- Plusieurs des personnels et des pensionnaires les plus âgés que j’ai audité m’ont rapporté les mêmes interrogations qu’ils ou elles se sont posées en diverses occasions.
- Du genre ?
- Souvent des oublis ou des choses qu’ils ou elles ressentent comme des pertes de mémoires, quand ils ou elles se retrouvent dans certains lieux ou encore certaines situations sans pouvoir mettre le doigt dessus. Je me suis demandé alors si cela n’aurait pas été fait consciemment, justement pour qu’ils ou elles ne révèlent pas un quelconque secret.
- Tu penses à un pouvoir psychique, une sorte d’hypnose venant de ce garçon.
- D’après tous ces dires, cela serait relativement ressent et ne s’est plus produit depuis leurs départs, alors oui, j’aurais tendance à dire qu’il y a très certainement quelque chose qui s’est développé ressèment dans son cerveau, ma venue était également dans le but de vous demander d’éclaircir ce point, en trouvant un moyen de lui faire passer un scanner ou tout autre moyen médicale de découvrir ce à quoi nous attendre de sa part dans les années à venir.
- N’allons pas tout de suite vers des solutions radicales, il n’y a aucune preuve pour l’instant que ce pouvoir existe en lui et il arrive à tout le monde d’avoir des moments d’oublis, ou même de se dire qu’on a la sensation d’avoir déjà vécu la même scène, sans pour cela avoir été hypnotiser ou je ne sais quoi d’autre.
- N’as-tu pas peur que cet engouement pour eux finisse par percer le secret de leurs origines ou tout du moins de celle de celui qui nous intéresse, déjà qu’ils ne devaient pas se rencontrés avec nos enfants et maintenant voilà qu’ils risquent d’amener sur eux l’attention des médias s’ils découvrent qui se cache derrière ces animations.
- Tu sais tout comme moi qu’il n’était plus temps d’interdire quoi que ce soit puisqu’ils s’étaient déjà rencontrés, interférer maintenant serait contreproductif et je pense d’après les informations que je reçois qu’ils ne sont pas près de faire le rapprochement avec leur lieu de naissance. De plus qui les aides en leurs louant le club le plus huppé de la capitale ? qui s’apprête à lancer des invitations pour des concerts VIP ?
- Je suis pris comme toi tu l’es par la rapidité des évènements, comment aurais-je pu refuser à mon fils de disposer une fois par semaine de ce club qui un jour comme tout le reste lui appartiendra.
François soupire, tout en esquissant un sourire qui en dit long à Marcel sur son état d’esprit sur cette affaire.
- Je vois que nous sommes tous les deux pris dans un tourbillon que nous ne pouvons que suivre du regard, est-ce que ce sourire que je vois sur ton visage a un rapport quelconque avec le grand prince Louis ?
- Pourquoi d’un seul coup mon fils arrive-t-il dans cette discussion ?
- Parce qu’il fait parti intégrante du fameux tourbillon, en tout cas il ne pourra jamais être critiquer sur sa façon d’être avec des personnes que beaucoup parmi nos « riches » confrères nommeraient de « basses naissances ».
- Pourquoi en serait-il autrement, moi-même je ne dénigre jamais personne quel que soit son statut social, du moins il me semble !
- Oui, mais là il y va fort reconnait le en s’affichant naturellement avec trois orphelins, boursiers qui plus est.
- Preuve qu’ils ont été reconnus et qu’ils méritent d’étudier dans nos meilleures universités. Tu parles de mon fils, mais pour le tien c’est pareil.
- Charles n’a jamais été un garçon à voir les choses comme la majorité le font, il n’a toujours voulu ne dépendre que de lui depuis qu’il a eu l’âge de prendre ses distances d’avec le confort et l’argent familial.
La conversation s’éternise quelque peu sur le sujet qui bientôt ne trouve plus guère de grains à moudre, aussi reprennent-ils là où ils en étaient arrêtés sur les divers rapports financiers du royaume.
Ce n’est que quelques heures plus tard, que le sujet refait surface alors qu’ils le croyaient pourtant clos, du moins pour cette longue journée.
C’est l’annonce d’un visiteur surprise qui remet l’affaire des trois orphelins à l’ordre du jour, ce dernier n’étant pas moins que l’inspecteur spécial, ami d’université de François, qui en apprenant son arrivée s’est levé sans plus de formalité pour aller l’accueillir en le prenant dans ses bras.
André Lebrun reste comme à son habitude quelques instants à reprendre ses esprits, conscient que son ami en le recevant de la sorte n’est absolument pas mentalement dans son rôle de roi du pays, mais bien de retour dans celui de jeune prince espiègle avec qui, lui et quelques autres, ont fait les quatre cent coups.
André attend que l’étreinte se desserre, pour aller serrer la main de Marcel qu’il connait bien lui aussi depuis cette époque hélas bien loin derrière eux.
- Quel bon vent t’amène ? je n’ai pas été informé de ton retour, ta mission s’est-elle bien passée ?
Le regard allant du roi vers son cousin fait bien comprendre à François ce qui le retient de parler, aussi le rassure-t-il en les invitant tous deux à s’assoir.
- Tu connais mon cousin, je n’ai pas de secrets pour lui et comme tu le sais, il est le père adoptif d’un des deux bébés.
André se décontracte alors, maintenant qu’il a reçu l’aval de sa majesté pour révéler ce qu’il a apprit et qui l’a fait revenir au plus vite sans prévenir.
- J’ai retrouvé l’origine de l’envoie du fichier vidéo, c’est l’un des enfants de l’orphelina qui l’a envoyé sans se rendre compte de se qu’il faisait. Je n’ai donc pris aucune sanction contre lui, juste que je l’ai informé des lois sur le droit à l’image, d’autant plus quand l’affaire concerne des mineurs.
- Bien ! j’imagine que ce n’est pas cela qui t’a fait revenir aussi rapidement.
- Etant sur place, j’ai investigué auprès du personnel et ce que j’ai appris conforte en tous points l’idée que je m’étais déjà faite sur eux.
- Je sais bien que tu les idolâtres ! Hi ! Hi !
- Je ne m’en cache pas, ils sont en tous points ce que n’importe quel parent souhaiterait que son enfant devienne en grandissant.
- Et donc ? qu’as-tu appris qui t’amène ici sans prévenir ?
- C’est justement en disant ses mêmes paroles devant le conseillé d’éducation que j’ai perçue venant de lui un petit sourire sarcastique, je lui ai donc demandé ce qui le lui avait amené et sa réponse m’a tout d’abord pris de court.
- Que t’a-t-il donc dit ?
- Qu’ils devraient s’assurer aux dortoirs de l’université que l’isolation phonique de la chambre soit meilleure que celle des chambres de l’orphelina.
- Pourquoi donc ?
- Parce que figure-toi que nos trois loustics bien sous tous rapports, s’en donnent à cœur joie depuis le début de leur puberté en découvertes sexuelles et que depuis leurs départs, l’orphelina a retrouvé un calme qu’il avait perdu ces quatre ou cinq dernières années.
Alors que le roi montre un visage démontrant bien qu’il cherche à comprendre le sens des paroles de son ami, Marcel pour sa part a parfaitement compris de quoi il retourne et du coup il retient difficilement l’envie de rire qui le prend, connaissant parfaitement les tendances sexuelles du jeune Louis pour l’avoir plusieurs fois entendu en parler alors qu’il se croyait seul avec son fils et Marc comme confidents.
Du coup il préfère attendre que la parole vienne de son cousin, ne sachant pas vraiment quelles sont ses pensées à ce sujet.
- Par découvertes sexuelles, tu parles bien de ce que je crois comprendre ?
- Comment le saurais-je ?
- Jusqu’où ont été ses découvertes ?
- Jusqu’au plus qu’elles auraient pu aller si mes informations sont justes.
- Tu veux dire jusqu’à…
François fait le geste sans équivoque qui mime l’accouplement, recevant en contrepartie le hochement de tête affirmatif de l’inspecteur.
- Tous les trois ? même… lui ?
- Tous les trois en effet et j’ai appris dernièrement qu’ils se seraient mit en colocation avec le grand prince Louis, Charles et Marc, voilà pourquoi je suis venu au plus vite vous avertir.
François semble perdu dans ses pensées, tandis que l’inspecteur se pince les lèvres et que Marcel cherche les paroles qui vont bien pour détendre l’atmosphère.
- Cela ne veut pas dire que nos enfants sont comme eux et s’ils le sont et bien… c’est sûr que beaucoup les envieront, après tout, ces garçons sont tous d’un physique éminemment accrocheur et nous ne sommes plus à l’âge des cavernes il me semble.
- Nous n’y sommes peut-être plus, mais n’oublies pas que mon fils doit garder une certaine réserve en public, ce n’est pas un enfant comme les autres, il arrive en second pour la succession au trône et en cas ou quelque chose de terrible arriverait à son frère ainé, il aura comme devoir de faire naitre la génération qui devra lui succéder.
- Allons… allons… nous n’en sommes pas là à nous faire peur pour des choses qui n’ont quasiment aucunes chances à voir le jour. Au pire il y aura toujours un moyen d’enfanter un héritier, la médecine fait des miracles de nos jours.
Marcel pour détourner l’attention sur ce sujet éminemment sensible, il interroge à nouveau l’inspecteur pour entendre s’il a autre chose à rapporter.
- Y a-t-il autre chose à savoir sur ta mission ?
- Plusieurs des personnels et des pensionnaires les plus âgés que j’ai audité m’ont rapporté les mêmes interrogations qu’ils ou elles se sont posées en diverses occasions.
- Du genre ?
- Souvent des oublis ou des choses qu’ils ou elles ressentent comme des pertes de mémoires, quand ils ou elles se retrouvent dans certains lieux ou encore certaines situations sans pouvoir mettre le doigt dessus. Je me suis demandé alors si cela n’aurait pas été fait consciemment, justement pour qu’ils ou elles ne révèlent pas un quelconque secret.
- Tu penses à un pouvoir psychique, une sorte d’hypnose venant de ce garçon.
- D’après tous ces dires, cela serait relativement ressent et ne s’est plus produit depuis leurs départs, alors oui, j’aurais tendance à dire qu’il y a très certainement quelque chose qui s’est développé ressèment dans son cerveau, ma venue était également dans le but de vous demander d’éclaircir ce point, en trouvant un moyen de lui faire passer un scanner ou tout autre moyen médicale de découvrir ce à quoi nous attendre de sa part dans les années à venir.
- N’allons pas tout de suite vers des solutions radicales, il n’y a aucune preuve pour l’instant que ce pouvoir existe en lui et il arrive à tout le monde d’avoir des moments d’oublis, ou même de se dire qu’on a la sensation d’avoir déjà vécu la même scène, sans pour cela avoir été hypnotiser ou je ne sais quoi d’autre.
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