19-08-2020, 10:45 AM
Voila une nouvelle suite, ça faisait longtemps non :'( mais bref bonne lecture
— Salut ! Moi, c’est Thibaut.
Après quelques secondes de silence, Nicolas prit la parole :
— Bah, bienvenue dans la famille ! Et toi, Thomas, comment t’as fait pour cacher ça à ton frère que tu aimes ?
— Eh, bah, je suis resté à l’internat les week-ends !
Tout le monde se mit à rire.
— C’est donc pour ça… enfin pour lui que tu restais à l’internat les week-ends ? reprit Jeanne.
— Au début, non ; mais après, oui.
—Et toi, Patrick, tu m’as caché, ça ?
— Thomas m’a demandé de garder ça secret, et je n’ai qu’une parole !
Après cette petite surprise, la soirée pouvait enfin commencer. Nous nous sommes tous dirigés au salon pour commencer ou continuer l’apéritif.
Vers 21h30, nous sommes passés à table, où nous avons fait plus ample connaissance avec Thibaut. Personne n’a abordé le sujet des remarques de Thomas, et c’est mieux, je pense.
J’avais raison ! Après deux entrées et deux plats, plus personne n’avait faim. On est donc passé aux cadeaux, afin de digérer un peu pour le dessert.
Jeanne et Patrick ont offert à ma mère une paire de boucles d’oreilles Dior, et, en retour elle offrit un parfum Angel à Jeanne et le parfum Hugo Boss « The scent » à Patrick. Nicolas, Thomas et moi, avons eu le droit à une petite enveloppe chacun de la part de nos parents respectifs avec un bonus des parents de l’autre. Jeanne fut gênée par le fait qu’elle avait acheté des boucles d’oreilles Swarovski pour la « copine » de Thomas, ce qui fit rire tout le monde. Du coup, il s’en sortit avec une belle enveloppe lui aussi.
Après les embrassades de remerciements, Nicolas, Thomas, Thibaut et moi sommes montés dans ma chambre. Juste avant de monter, Patrick m’interpela :
— Tiens, dit-il en me tendant un petit paquet emballé.
— Merci, mais qu’est-ce que c’est ? demandé-je en commençant à le déballer.
— Si j’étais toi, j’attendrais avant de le déballer.
— D’accord, je vous fais confiance.
— Ah, et attends aussi que Thomas et Thibaut ne soient pas là, ils auront pareil un peu plus tard.
— OK.
Et il repartit vers Jeanne et ma mère tandis que je montais l’escalier.
Quand je suis arrivé dans ma chambre, Nicolas était allongé sur mon lit, et Thomas et Thibaut étaient assis dans le fond de ma chambre presque cachés derrière mon bureau à s’embrasser.
— Ça va ? On ne vous gêne pas trop ? dis-je en riant.
Ils passèrent au rouge en quelques secondes, réalisant qu’ils venaient de se faire cramer, et, apparemment, Nicolas était d’humeur taquine, vu qu’il en rajouta une couche :
— S’il faut, on fournit les capotes, hein Julien ?
— Bah oui, je laisse même mon lit !
Un léger sourire se dessina sur leurs visages, et Thomas répondit :
— Non, c’est bon, on en est pas encore là, et t’inquiète, frangin, papa m’en a déjà donné au début de l’année « au cas où ».
— Ah, je vois, et moi rien !
— C’est ça, être le p’tit dernier.
— Le p’tit con, oui.
Et nous avons tous éclaté de rire. Après nous être remis, j’ai repris la conversation :
— D’ailleurs Thomas, je te retourne la question : c’est qui qui la met à l’autre ?
— Haha, on verra bien ! Et je l’ai mérité celle-ci.
— T’inquiète, tu t’es excusé, je te taquine juste un peu. Mais bref, comment vous vous êtes rencontrés ?
— Ah c’est compliqué…
— T’arrête de te foutre de lui, dit Thibaut en riant.
— OK, OK, on est dans la même chambre à l’internat.
— D’accord, repris Nicolas, et vous êtes combien dans la chambre ?
— Normalement quatre, mais y’en a un qui faisait le con, il a été viré de l’internat après avoir utilisé un extincteur sur les surveillants…
Rien que d’y penser, j’ai envie de rire ! Après, y’avait un autre, mais, un jour, il est rentré plus tôt alors, que Thibaut et moi étions en
train de nous embrasser. Après, il nous a menacé de le dire à tout le monde si on ne faisait pas ce qu’il voulait. On a obéi pendant une semaine, et, après, on est allés voir un surveillant. Il est passé en conseil de discipline, car il en n’était pas à sa première connerie, lui aussi.
— Heureusement pour nous, il n’a rien dit, repris Thibaut.
— Eh tu n’as rien dit à la maison !
— Bah, papa était au courant, je lui en ai parlé le jour de la sortie pêche. Il a même rencontré Thibaut deux, trois fois avant aujourd’hui.
— Donc, papa n’est pas allé à la salle de sport, ces deux dernières semaines.
— Ah, ah, non, on a fait tout le contraire, glaces et tout le tralala !
— Ah, bah, d’accord…
Nous avons été interrompus par ma mère qui toqua à la porte :
— Les garçons, on va passer aux desserts.
Car oui, là aussi un seul ne suffisait pas…
— OK, on arrive.
Nous sommes tous descendus, et nous avons vu la table ornée d’une bûche, des brioches aux fruits confits, un mille-feuilles au pain
d’épice et tellement d’autres choses... Je suis bien content d’avoir dû m’occuper des crevettes en fait !
Après la fin du repas, nous sommes remontés dans ma chambre pendant que Patrick, Jeanne ainsi que ma mère buvaient un café ou un digestif.
Une fois dans ma chambre, nous avons repris notre conversation sur mon lit.
— Sinon, ça fait combien de temps vous deux ? demandais-je
— Alors…
Thomas compta sur ses doigts.
— Je n’arrive pas à calculer, mais c’est environ une semaine après notre première rencontre.
— D’accord.
Nous avons parlé de tout et de rien pendant une bonne heure, puis Thomas, Thibaut, Patrick et Jeanne sont partis vers une heure du
matin. Apparemment, Thibaut allait dormir avec Thomas pour ce soir, d’après ce que j’avais compris, puisque la famille de Thibaut fêtait Noël le 25.
Nous aussi, généralement, on le fêtait le 25, pour que mon oncle, qui faisait une soirée spéciale Noël le 24, puisse le fêter avec nous.
Mais cette année, vu qu’il y avait Nicolas et sa famille, on allait fêter Noël deux fois. Super, j’allais prendre trois kilos en deux jours !
Une fois qu’ils étaient partis, Nicolas et moi avons aidé ma mère à débarrasser la table, puis nous sommes allés nous coucher. On ferait la vaisselle demain matin.
Ma mère m’avertit qu’elle devait partir en urgence au bar de mon oncle, il avait eu un problème avec une fuite d’eau. Elle nous a dit de ne pas l’attendre pour dormir, et qu’elle reviendrait deux heures plus tard minimum.
Quelques minutes après nous être couchés, Nicolas mit sa main sur mon torse, et commença à me caresser.
— Tu sais, Julien, c’est Noël ce soir.
— Oui, je sais, mais pourquoi tu me dis ça ?
— Bah, qu’on pourrait s’offrir un petit cadeau.
Sa dernière phrase sonnait avec un ton très sensuel. J’ai aussitôt pensé au cadeau de Patrick. J’ai couru vers mon bureau pour l’ouvrir, et je suis tombé sur une boîte de lubrifiant accompagné d’un petit mot :
— Faites-vous plaisir, et protégez-vous ! Patrick.
Ça tombait à pic !
Je me suis jeté sur Nicolas, et j’ai commencé à l’embrasser. Ses mains caressaient ma nuque et mon dos, tandis que les miennes caressaient ses cuisses et son torse. Ma main droite commença à s'immiscer entre ses jambes pour tâtonner ses testicules pendant que l'autre lui titillait les tétons. Nicolas, de son côté, n'était pas inactif : pendant que sa main droite me maintenait la nuque, pour appuyer notre baisé, sa main gauche commençait déjà à la découverte de mon anus.
Il ne mit pas longtemps à essayer de rentrer un doigt, qui ne passa pas. Il prit le flacon de lubrifiant que j’avais posé sur le lit, et il s’en mit un peu sur ses doigts, pour se remettre à son activité précédente. Grâce au lubrifiant, son doigt rentra presque tout de suite. Je fus étonné par la découverte de cette sensation nouvelle, étrange mais agréable. J'en ai arrêté mes caresses. Il en inséra un deuxième et le troisième ne tarda pas à les rejoindre.
Il les fit ressortir et rentrer à plusieurs reprises en quelques petites minutes, jusqu'à ce qu'il estime que mon anus soit assez dilaté. J'ai attrapé une capote qui se trouvait dans le tiroir de la table de nuit, et je lui ai mise en la déroulant sur son membre, tout en le branlant pour maintenir son érection.
Je me suis mis sur le dos, Nicolas se positionnant en face de moi. Il me regarda dans les yeux pour me demander si j’étais prêt. Je lui ai donné mon accord avec un hochement de tête, puis j’ai écarté mes fesses pour qu'il puisse s'immiscer dans mon intimité. Il avança tout doucement, petit à petit. Il arrêta sa pénétration quand il me vit faire une grimace et reprit son avancée quelques secondes après.
Une fois au fond, Nicolas resta sans bouger quelques instants pour que je puisse m'habituer. Il commença ensuite à faire des va-et-vient dont le rythme changeait sans cesse. La sensation procurée par ce traitement était indescriptible, mais une chose était sûre : elle était magnifiquement bonne. Je vis que Nicolas prenait aussi beaucoup de plaisir.
Sa respiration devenait de plus en plus bruyante jusqu’à se transformer en petits cris de plaisir, et, au bout de quelques minutes, il déversa sa semence dans le fond du préservatif, dans un râle de bonheur. Il s’effondra sur moi et m’embrassa de nouveau.
Après avoir repris nos esprits, j’ai regardé Nicolas et lui ai dit :
— À mon tour !
J’ai repris mes caresses où je les avais laissées. Ma main droite s'immisça à nouveau entre ses jambes, et de ma main gauche j’ai attrapé sa nuque afin de rapprocher sa bouche de la mienne.
Nicolas de son côté prit en main mon membre et le masturba lentement afin qu’il reprenne de l’ampleur. Après quelques instant, je dis à Nicolas de se mettre à quatre pattes, et je pris le tube de lubrifiant pour en mettre sur mes doigts. J’en ai inséré un pour commencer, et il rentra assez facilement, j’y ai donc mis un deuxième. J’ai essayé d’en mettre un troisième, mais son trou était encore trop serré.
Après un petit moment de va-et-vient. J’ai enfilé un préservatif, et me suis positionné devant son anus. Je me suis rapproché petit à petit tout en regardant Nicolas qui me fit un sourire même si j’ai pu sentir une légère appréhension dans son regard.
Je me suis inséré en essayant de ne pas aller trop vite. Une fois mon sexe en lui, je suis resté sans mouvement, le temps qu'il s'habitue à ce corps étranger en lui. J’ai commencé à faire de petits aller-retours en lui, et il émit des gémissements. Au bout de quelques minutes, j'ai accéléré mes mouvements, cette sensation était géniale ! J’ai senti que j’arrivais au point de non-retour. J’ai accéléré mes va-et-vient, et j’ai déversé à mon tour ma semence au fond du préservatif.
Épuisés par l’effort, nous nous sommes endormis quelques minutes plus tard.
Voila pour cette suite, j'espère qu'elle vous a plu !
— Salut ! Moi, c’est Thibaut.
Après quelques secondes de silence, Nicolas prit la parole :
— Bah, bienvenue dans la famille ! Et toi, Thomas, comment t’as fait pour cacher ça à ton frère que tu aimes ?
— Eh, bah, je suis resté à l’internat les week-ends !
Tout le monde se mit à rire.
— C’est donc pour ça… enfin pour lui que tu restais à l’internat les week-ends ? reprit Jeanne.
— Au début, non ; mais après, oui.
—Et toi, Patrick, tu m’as caché, ça ?
— Thomas m’a demandé de garder ça secret, et je n’ai qu’une parole !
Après cette petite surprise, la soirée pouvait enfin commencer. Nous nous sommes tous dirigés au salon pour commencer ou continuer l’apéritif.
Vers 21h30, nous sommes passés à table, où nous avons fait plus ample connaissance avec Thibaut. Personne n’a abordé le sujet des remarques de Thomas, et c’est mieux, je pense.
J’avais raison ! Après deux entrées et deux plats, plus personne n’avait faim. On est donc passé aux cadeaux, afin de digérer un peu pour le dessert.
Jeanne et Patrick ont offert à ma mère une paire de boucles d’oreilles Dior, et, en retour elle offrit un parfum Angel à Jeanne et le parfum Hugo Boss « The scent » à Patrick. Nicolas, Thomas et moi, avons eu le droit à une petite enveloppe chacun de la part de nos parents respectifs avec un bonus des parents de l’autre. Jeanne fut gênée par le fait qu’elle avait acheté des boucles d’oreilles Swarovski pour la « copine » de Thomas, ce qui fit rire tout le monde. Du coup, il s’en sortit avec une belle enveloppe lui aussi.
Après les embrassades de remerciements, Nicolas, Thomas, Thibaut et moi sommes montés dans ma chambre. Juste avant de monter, Patrick m’interpela :
— Tiens, dit-il en me tendant un petit paquet emballé.
— Merci, mais qu’est-ce que c’est ? demandé-je en commençant à le déballer.
— Si j’étais toi, j’attendrais avant de le déballer.
— D’accord, je vous fais confiance.
— Ah, et attends aussi que Thomas et Thibaut ne soient pas là, ils auront pareil un peu plus tard.
— OK.
Et il repartit vers Jeanne et ma mère tandis que je montais l’escalier.
Quand je suis arrivé dans ma chambre, Nicolas était allongé sur mon lit, et Thomas et Thibaut étaient assis dans le fond de ma chambre presque cachés derrière mon bureau à s’embrasser.
— Ça va ? On ne vous gêne pas trop ? dis-je en riant.
Ils passèrent au rouge en quelques secondes, réalisant qu’ils venaient de se faire cramer, et, apparemment, Nicolas était d’humeur taquine, vu qu’il en rajouta une couche :
— S’il faut, on fournit les capotes, hein Julien ?
— Bah oui, je laisse même mon lit !
Un léger sourire se dessina sur leurs visages, et Thomas répondit :
— Non, c’est bon, on en est pas encore là, et t’inquiète, frangin, papa m’en a déjà donné au début de l’année « au cas où ».
— Ah, je vois, et moi rien !
— C’est ça, être le p’tit dernier.
— Le p’tit con, oui.
Et nous avons tous éclaté de rire. Après nous être remis, j’ai repris la conversation :
— D’ailleurs Thomas, je te retourne la question : c’est qui qui la met à l’autre ?
— Haha, on verra bien ! Et je l’ai mérité celle-ci.
— T’inquiète, tu t’es excusé, je te taquine juste un peu. Mais bref, comment vous vous êtes rencontrés ?
— Ah c’est compliqué…
— T’arrête de te foutre de lui, dit Thibaut en riant.
— OK, OK, on est dans la même chambre à l’internat.
— D’accord, repris Nicolas, et vous êtes combien dans la chambre ?
— Normalement quatre, mais y’en a un qui faisait le con, il a été viré de l’internat après avoir utilisé un extincteur sur les surveillants…
Rien que d’y penser, j’ai envie de rire ! Après, y’avait un autre, mais, un jour, il est rentré plus tôt alors, que Thibaut et moi étions en
train de nous embrasser. Après, il nous a menacé de le dire à tout le monde si on ne faisait pas ce qu’il voulait. On a obéi pendant une semaine, et, après, on est allés voir un surveillant. Il est passé en conseil de discipline, car il en n’était pas à sa première connerie, lui aussi.
— Heureusement pour nous, il n’a rien dit, repris Thibaut.
— Eh tu n’as rien dit à la maison !
— Bah, papa était au courant, je lui en ai parlé le jour de la sortie pêche. Il a même rencontré Thibaut deux, trois fois avant aujourd’hui.
— Donc, papa n’est pas allé à la salle de sport, ces deux dernières semaines.
— Ah, ah, non, on a fait tout le contraire, glaces et tout le tralala !
— Ah, bah, d’accord…
Nous avons été interrompus par ma mère qui toqua à la porte :
— Les garçons, on va passer aux desserts.
Car oui, là aussi un seul ne suffisait pas…
— OK, on arrive.
Nous sommes tous descendus, et nous avons vu la table ornée d’une bûche, des brioches aux fruits confits, un mille-feuilles au pain
d’épice et tellement d’autres choses... Je suis bien content d’avoir dû m’occuper des crevettes en fait !
Après la fin du repas, nous sommes remontés dans ma chambre pendant que Patrick, Jeanne ainsi que ma mère buvaient un café ou un digestif.
Une fois dans ma chambre, nous avons repris notre conversation sur mon lit.
— Sinon, ça fait combien de temps vous deux ? demandais-je
— Alors…
Thomas compta sur ses doigts.
— Je n’arrive pas à calculer, mais c’est environ une semaine après notre première rencontre.
— D’accord.
Nous avons parlé de tout et de rien pendant une bonne heure, puis Thomas, Thibaut, Patrick et Jeanne sont partis vers une heure du
matin. Apparemment, Thibaut allait dormir avec Thomas pour ce soir, d’après ce que j’avais compris, puisque la famille de Thibaut fêtait Noël le 25.
Nous aussi, généralement, on le fêtait le 25, pour que mon oncle, qui faisait une soirée spéciale Noël le 24, puisse le fêter avec nous.
Mais cette année, vu qu’il y avait Nicolas et sa famille, on allait fêter Noël deux fois. Super, j’allais prendre trois kilos en deux jours !
Une fois qu’ils étaient partis, Nicolas et moi avons aidé ma mère à débarrasser la table, puis nous sommes allés nous coucher. On ferait la vaisselle demain matin.
Ma mère m’avertit qu’elle devait partir en urgence au bar de mon oncle, il avait eu un problème avec une fuite d’eau. Elle nous a dit de ne pas l’attendre pour dormir, et qu’elle reviendrait deux heures plus tard minimum.
Quelques minutes après nous être couchés, Nicolas mit sa main sur mon torse, et commença à me caresser.
— Tu sais, Julien, c’est Noël ce soir.
— Oui, je sais, mais pourquoi tu me dis ça ?
— Bah, qu’on pourrait s’offrir un petit cadeau.
Sa dernière phrase sonnait avec un ton très sensuel. J’ai aussitôt pensé au cadeau de Patrick. J’ai couru vers mon bureau pour l’ouvrir, et je suis tombé sur une boîte de lubrifiant accompagné d’un petit mot :
— Faites-vous plaisir, et protégez-vous ! Patrick.
Ça tombait à pic !
Je me suis jeté sur Nicolas, et j’ai commencé à l’embrasser. Ses mains caressaient ma nuque et mon dos, tandis que les miennes caressaient ses cuisses et son torse. Ma main droite commença à s'immiscer entre ses jambes pour tâtonner ses testicules pendant que l'autre lui titillait les tétons. Nicolas, de son côté, n'était pas inactif : pendant que sa main droite me maintenait la nuque, pour appuyer notre baisé, sa main gauche commençait déjà à la découverte de mon anus.
Il ne mit pas longtemps à essayer de rentrer un doigt, qui ne passa pas. Il prit le flacon de lubrifiant que j’avais posé sur le lit, et il s’en mit un peu sur ses doigts, pour se remettre à son activité précédente. Grâce au lubrifiant, son doigt rentra presque tout de suite. Je fus étonné par la découverte de cette sensation nouvelle, étrange mais agréable. J'en ai arrêté mes caresses. Il en inséra un deuxième et le troisième ne tarda pas à les rejoindre.
Il les fit ressortir et rentrer à plusieurs reprises en quelques petites minutes, jusqu'à ce qu'il estime que mon anus soit assez dilaté. J'ai attrapé une capote qui se trouvait dans le tiroir de la table de nuit, et je lui ai mise en la déroulant sur son membre, tout en le branlant pour maintenir son érection.
Je me suis mis sur le dos, Nicolas se positionnant en face de moi. Il me regarda dans les yeux pour me demander si j’étais prêt. Je lui ai donné mon accord avec un hochement de tête, puis j’ai écarté mes fesses pour qu'il puisse s'immiscer dans mon intimité. Il avança tout doucement, petit à petit. Il arrêta sa pénétration quand il me vit faire une grimace et reprit son avancée quelques secondes après.
Une fois au fond, Nicolas resta sans bouger quelques instants pour que je puisse m'habituer. Il commença ensuite à faire des va-et-vient dont le rythme changeait sans cesse. La sensation procurée par ce traitement était indescriptible, mais une chose était sûre : elle était magnifiquement bonne. Je vis que Nicolas prenait aussi beaucoup de plaisir.
Sa respiration devenait de plus en plus bruyante jusqu’à se transformer en petits cris de plaisir, et, au bout de quelques minutes, il déversa sa semence dans le fond du préservatif, dans un râle de bonheur. Il s’effondra sur moi et m’embrassa de nouveau.
Après avoir repris nos esprits, j’ai regardé Nicolas et lui ai dit :
— À mon tour !
J’ai repris mes caresses où je les avais laissées. Ma main droite s'immisça à nouveau entre ses jambes, et de ma main gauche j’ai attrapé sa nuque afin de rapprocher sa bouche de la mienne.
Nicolas de son côté prit en main mon membre et le masturba lentement afin qu’il reprenne de l’ampleur. Après quelques instant, je dis à Nicolas de se mettre à quatre pattes, et je pris le tube de lubrifiant pour en mettre sur mes doigts. J’en ai inséré un pour commencer, et il rentra assez facilement, j’y ai donc mis un deuxième. J’ai essayé d’en mettre un troisième, mais son trou était encore trop serré.
Après un petit moment de va-et-vient. J’ai enfilé un préservatif, et me suis positionné devant son anus. Je me suis rapproché petit à petit tout en regardant Nicolas qui me fit un sourire même si j’ai pu sentir une légère appréhension dans son regard.
Je me suis inséré en essayant de ne pas aller trop vite. Une fois mon sexe en lui, je suis resté sans mouvement, le temps qu'il s'habitue à ce corps étranger en lui. J’ai commencé à faire de petits aller-retours en lui, et il émit des gémissements. Au bout de quelques minutes, j'ai accéléré mes mouvements, cette sensation était géniale ! J’ai senti que j’arrivais au point de non-retour. J’ai accéléré mes va-et-vient, et j’ai déversé à mon tour ma semence au fond du préservatif.
Épuisés par l’effort, nous nous sommes endormis quelques minutes plus tard.
Voila pour cette suite, j'espère qu'elle vous a plu !