Récits érotiques - Slygame
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Lui (Gay) - Ivan055 - 22-07-2020

Bonjour, voici la troisième fois que je publie ce récit, j'espère qu'ici il sera bien accueilli.

Chapitre: 1, Partie 1

Je cours encore et encore, mais ils me rattrapent. J’essaie de les semer, mais rien n’y fait. Ils gagnent encore du terrain. Eh merde ! Ils m’ont contourné, ils sont aussi devant. Une seule solution : forcer le passage !!

Echec, ils m’ont attrapé.

— Non, lâchez-moi !

— Je ne crois pas, non !

Un d’eux lève son poing et …

« AHHH !!! »

Je me réveille en sueur, je regarde mon téléphone : il est 2h36 du matin. Ma mère arrive en vitesse, inquiète.

— Qu’est-ce qu’il y a, bichon ?!

— Rien, rien. Et, maman, je t’ai déjà dit d’arrêter de m’appeler comme ça. J’ai 17 ans.

— Oui, pardon. Recouche-toi ? Demain, c’est la rentrée.

— Ah oui, super ! Bonne nuit.

Bon, à la fin, je n’ai pas réussi ou osé me rendormir. Je me suis levé 30 minutes plus tôt que prévu, j’en ai profité pour prendre une douche et déjeuner. Mais, bref, je suis parti pour prendre mon bus, et oh, surprise, en retard ! J’ai dû y aller à vélo : super !!

J’arrive devant le lycée, je dis bonjour à mes amis. Après avoir fait un bref tour devant les emplacements de classe, j’ai dû me rendre où, au troisième étage, bien sûr !

Donc, rentrée en classe assez calme. J’ai brièvement survolé les têtes pour voir de possibles connaissances, mais mon attention est restée sur un élève je ne l’avais jamais vu. La prof arrive, fait son speech habituel et fait l’appel : pendant celui-ci, j’ai pu apprendre qu’il s’appelait Nicolas.

« Julien »

Je peux aussi remarquer qu’il est gaucher.

« Julien ! »

Je vois aussi qu’il a les yeux verts : c’est rare, je crois

— JULIEN !!!!

— Euh, oui.

— C’est la troisième fois que je t’appelle, tu veux une heure pour le premier jour ?

— Ah bah, excusez-moi, je n’ai pas entendu.

— Ça ira pour cette fois. Bref, continuons.

L’appel fini, elle annonça la venue d’un nouvel élève dans l’établissement, et lui demanda de se lever. Il s’agissait de celui que je n’ai jamais vu, je m’en doutais un peu.

—  Alors je vous présente Nicolas, votre nouveau petit, euh, grand camarade... Je vous demande de l’accueillir comme il se doit et de lui faire découvrir l’établissement.

Effectivement, il était grand : je dirais au pifomètre une taille de 1m79/81. A la fin de la matinée, je l’ai intercepté, et je lui ai proposé de manger avec moi et mes amis afin de faire connaissance. Il a accepté sans aucune hésitation. On est donc allés au réfectoire où j’ai pu lui présenter mes amis :

Jean le boute-en-train du groupe,

Henri le bipolaire compulsif, comme on dit,

Marie la psychologue,

Roger qui (on ne sait pas trop),

Et enfin Justine, ma copine.

La pause méridienne s’est bien passée, on a tous bien rigolé. Nicolas s’est bien entendu avec les autres.

Les cours de l’après-midi ont été super-chiants. Nan mais, qui a eu l’idée magnifique de mettre une heure de philo suivie d’une heure d’anglais !!!! Je déteste cette personne sans la connaître, mais, heureusement, Nicolas était là, on n’a pas arrêté de parler. J’ai pu apprendre énormément de choses sur lui. Il a un petit frère, ses parents sont encore mariés et il vit à cinq minutes de chez moi.

Je lui ai donc dit que, s’il voulait, il pouvait passer quand il voulait, sauf le mercredi après-midi. Je ne lui ai pas dit que c’est parce que c’est le moment où ma mère fait venir ses conquêtes. Après, je ne suis pas censé le savoir non plus !

---------------------------------------------

Cela fait une semaine que la rentrée est passée, et je crois que, mis à part le lundi, j’idolâtre la personne qui a fait les emplois du temps. Au lieu de finir à 18h au maximum, nos heures de cours les plus tardives sont de 15h à 16h. Du coup, je pourrai passer plus de temps avec Justine, surtout qu’en ce moment ce n’est pas si facile entre nous, à cause de ce qui s’est passé cet été.

A la fin du cours du fameux cours d’anglais du lundi, Nicolas est venu me parler :

— Euh …Dis-moi, Julien, je peux passer samedi prochain ?

— Bah, bien sûr ! Tu passes quand tu veux sauf le mercredi. Samedi, personne n’est là.

— Ok cool. Alors samedi à 14h ?

— Quoi !? Si tard ? Vient vers 10h30, tu mangeras chez moi.

— Ah bah, OK, samedi 10h30.

— Ok cool ! Passe une bonne soirée, à demain !

— Salut, à demain !

Dans l’ensemble, la semaine s’est bien passée, mis à part les disputes avec Justine qui deviennent de plus en plus fréquentes. Mais bon, à côté, on sortait avec Nicolas, on trainait en attendant les autres, on allait à l’Alexandre III, le bar qui est à deux cents mètres du lycée. En plus, le patron c’est mon oncle. Du coup, c’était un peu devenu notre QG avec les autres.

------------------------------

Samedi est arrivé. Je me réveille à 7h30 quand mon alarme sonne. Je me lève, et BAM ! Le doigt de pied dans le coin du lit. La journée commence bien ! Je prends une douche : plus d’eau chaude, merci maman ! Je reporte ma douche, et, pendant que je déjeune, j’ai l’impression subite qu’aujourd’hui j’avais quelque chose de prévu. Après avoir cherché de longues minutes, je n’arrive pas à trouver ce que j’avais possiblement de prévu et pense donc que ce n’est que le fruit de mon imagination. Je remonte prendre une douche avec 3h de retard. Il est 10h35.

Et voilà qu’en plein milieu de ma douche, j’entends la sonnette retentir dans toute la maison. Je sors en vitesse, enfile une serviette autour de ma taille, et cours à toute allure vers la porte. J’ouvre celle-ci, et aperçois Nicolas qui rougit et dit d’un ton fort gêné :

« Je te dérange peut-être. Je repasse plus tard, à plus ».




Re : Lui (Gay) - Ivan055 - 22-07-2020

Voici la deuxième partie, en espérant qu'elle vous plaira !

Partie: 2

J’attrape son bras et dis :

—  Non, non ! Tu restes ici.  Tout en le tirant vers moi.

— Ecoute, je vais finir ma douche vite fait bien fait, et pendant ce temps…. Bah, tu …. Tu visites.

— Oh, OK.

— Allez, à tout de suite.

— OK.

— Ah, tant que j’y pense : si tu montes à l’étage, ne va pas dans la dernière porte à gauche. C’est la chambre de ma mère, pas le droit de rentrer. Et ne va pas non plus à la première à droite, c’est là que je prends ma douche, et j’en pense que t’en a déjà assez vu !

— Ah, ah ! C’est sûr !

A la fin de la douche la plus rapide de ma vie, 6 minutes top chrono, je suis descendu. Il n’avait pas bougé d’un poil.

— Bah, qu’est-ce que tu fais encore là ? T’as visité ?

— Ah euh… Non.

— Bon, pas grave. Je te fais une visite rapide.

Après cette brève visite, nous somme montés dans ma chambre, où nous avons joué sur ma console. A la fin, je l’ai supplié de ne dire à personne qu’il m’avait exterminé une bonne dizaine de fois sur Call of Duty. Vers 12h30, on a commencé à avoir faim. Je lui ai donc dit de descendre au salon pendant que je faisais à manger. Même si faire à manger n’est pas le terme que je devrais utiliser pour réchauffer le plat de la veille ! Sûr la boîte que ma mère avait prévue, elle avait laissé un post-it où il était inscrit :

« J’en ai mis un peu plus vu que vous serez 2. »

La réponse à la question que je me suis posé tout le long de mon petit déjeuner était sous mes yeux !

Pendant le repas, je n’ai pas changé mes bonne veille habitudes, qui consistent à regarder mon feuilleton télé. Il s’est avéré que Nicolas regarde le même !

Après manger, nous avons fait nos devoir, enfin on a essayé ! L’appel de la console fut plus attirant que les manuels de maths et de français !! Cette fois-ci, c’est lui qui m’a supplié de ne dire à personne que je l’avais éclaté en deux. Demande que j’aie bien évidement refusée, il me prit et me poussa sur le lit, sur lequel on a chahuté pendant plusieurs minutes. Jusqu’à ce que je reçoive un message :

Justine ❤ : Salut Julien, faut qu’on parle !

Moi : Oui, qu’est-ce qu’il y a ?

Justine : C’est qui Sophie ? Tu me trompes c’est ça !

Moi : Dis-moi, tu l’as vu où cette « Sophie » en question ?

Justine : Elle t’a ajouté en amis sur Facebook hier !

Moi : Ah, cette Sophie !

Justine : Oui, cette Sophie ! C’est qui cette salope encore ?

Moi : Alors déjà, tu te calmes, car c’est ma cousine, et tu vas arrêter d’être hyper jalouse comme ça tout le temps, et comment ça, encore ?

Justine : Je dois te rappeler Charlotte !

Moi : Je dois te rappeler qu’on était plus ensemble !

Justine : Oui, mais quand même !

Moi : Dans ce cas, tu veux peut-être que l’on parle de :

Marc, Thomas, Théo, Philipe

Maxime, Mattéo, Thibault

Pierre, Hervé, Jacque, Paul

Michael sans oublier mon correspondant, Konnard

Et il me semble que nous étions ensemble, nan ?

Jutine :Oh, et c’est moi la jalouse !!! T’es qu’un pauvre mec.

Moi : C’est moi, le pauvre mec ?!

Justine : Ouais, t’es qu’un connard, je te quitte ! Salut !

Je ne sais même pas pourquoi, sur ces mots j’ai fondu en larmes. Je l’aime sûrement encore mais là je ne pouvais plus supporter ses crises, je dois tourner la page.

Avec cette agitation, j’avais totalement oublié Nicolas qui était là, à se demander pourquoi je m’étais mis dans cet état. Je lui ai donc montré la conversation, sa réaction a été de dire :

— Tu sais … Vu ce qu’elle t’a dit, Justine, elle ne te mérite pas et non l’inverse. Je sais…enfin je pense que ça doit être dur pour toi, mais ne t’inquiète pas. Je vais t’aider à traverser cette étape difficile.

Ces mots m’ont tout de suite réconforté. J’ai séché mes larmes, dit merci à Nicolas, et supprimé le numéro de Justine !

Pendant l’heure qui suivit, Nicolas et moi étions allongés sur mon lit, à parler de tout et de rien, et à nous faire des blagues. Et j’ai pu remarquer que ça faisait longtemps que je n’avais pas ri.

Mais une de ses phrases a percuté, je ne sais pas pourquoi. Il m’a dit :

— Tu sais, de beaux bruns aux yeux bleus comme toi, on n’en trouve pas beaucoup. Justine ne sait pas ce qu’elle perd.

Ma réaction fut d’éclater de rire, mais maintenant, j’ai l’impression qu’il y avait quelque chose derrière ces mots…. Et puis nan, je dois encore me faire des idées !

Les deux semaines qui suivirent, je n’ai pas arrêté de parler à Nicolas. Il me semble même qu’un soir, on a fait nuit blanche à parler de tout et de rien. D’ailleurs, c’est durant cette nuit que j’ai eu réponse à ma question de la rentrée : il fait 1m79 comme moi. Bon on a moins rigolé au moment où le prof de physique nous a dit à grande voix :

« Pour fêter la réouverture du deuxième Labo de chimie, CONTROLE ! »

Dans tous les cas, ça ne changera pas ma moyenne dans cette matière. Au fil de nos longues conversations, j’ai appris que tous les étés, Nicolas, son frère et son père allaient faire du camping sauvage en Ardèche. Nicolas m’a proposé de demander à son père si je pouvais venir avec eux cet été. J’ai dit que j’allais réfléchir, mais je dois avouer que j’étais attiré par cette « aventure » En plus, ce serait l’occasion de découvrir de nouvelles choses, peut-être.

Il m’a aussi proposé de venir chez lui une après-midi ou une journée : « c’est toi qui vois » me dit-il. Je lui ai donc dit sur le ton de l’humour :

— Oula, tu prends un risque là ! Alors, je viens le samedi à 10h30 et je repars le lendemain à la même heure.

— OK ! Je vois ça avec mes parents.

— Ah OK. Bah, tu me dis. A demain, au lycée !

— OK. Je te dis ça demain, à plus !

Le lendemain, Nicolas m’attendait devant le lycée avec un large sourire sur son visage. Il m’annonça que ses parents avaient accepté que je vienne dormir le week-end prochain.

Le même jour, la moitié des profs étaient absents, merci la grève générale ! Une semaine qui commençait comme ça ne pouvait qu’être bonne !

Le mercredi, cette semaine de rêve fut interrompue par un élément que j’avais retiré de ma vie, Justine ! Deux de ses amies sont venues me voir et m’ont fait la morale, m’ont expliqué que j’étais un monstre de la quitter alors qu’elle m’aimait. Qu’elle avait fait plein d’efforts pour supporter mes crises de jalousie.

Je n’y croyais pas, elle racontait à tout le monde que c’était moi qui l’avais quitté. Mais pourquoi elle fait ça !

Nicolas, qui avait écouté la conversation de loin, est venu me voir pour me dire qu’il ne fallait pas m’en faire et que dans deux trois jours tout le monde aurait oublié. Ce scénario me paraissait plus que probable, je m’y suis donc tenu.

Le reste de la semaine, j’ai ignoré les assauts des amies de Justine, qui une fois sont carrément venues à dix ! Je ne sais pas si c’est marrant ou pitoyable, vu que j’étais attaqué pour une chose dont j’étais la victime. Mais bon, je les laissais s’amuser un peu et, si ça durait trop longtemps à mon gout, j’avais toujours la possibilité de leur montrer les messages.


Re : Lui (Gay) - Ivan055 - 22-07-2020

Voici la Suite, après ça les publication vont prendre un autre rythme, je publier juste ce qui à déjà était publier sur m'autre forum.

Chapitre: 2, Partie 1

Le samedi matin, mon réveil sonne à 6h30 : c’est que j’avais sûrement quelque chose de prévu ! Je descends à la cuisine et trouve ma mère. J’en profite pour lui demander si j’avais prévu quelque chose, pour que je me réveille si tôt. Elle éclate de rire et dit :

— Ah, Julien ! Je crois que pire tête en l’air que toi, ça n’existe pas !

— Donc, j’ai quelque chose de prévu aujourd’hui. Je vais aller voir dans ma chambre, si je peux m’en souvenir !

— Ne va pas te torturer le cerveau pendant une heure, je te connais. Je vais te le dire.

— Oh, merci, maman ! Dis-moi tout.

— Tu vas dormir chez Nicolas, je crois, et tu pars dans 3h20. Et te connaissant, tu n’as pas fait ta valise et tu ne sais pas quoi mettre dedans !

— Eh, eh, oui…

— C’est pour ça que je t’ai fait une liste : elle est sur la table du salon.

— Ah, merci.

Effectivement, je n’avais rien fait, mais elle a eu tort sur le fait que je ne savais pas quoi mettre dedans ! Je sais qu’il faut mettre des vêtements et des affaires de toilette et peut-être autre chose… Bon, je vais regarder sa liste.

Je fais ma valise et descends pour prendre quelque chose à manger. Car oui, faire une valise creuse l’appétit ! Ma mère était partie depuis quelques minutes et m’a laissé une assiette avec 2 tartines de confiture. Confiture d’orange que je déteste…. Bon, c’est l’intention qui compte. Je me suis fait deux tartines rapidement et je suis parti. Après 3 minutes de marche, je me dis que mon sac est vachement léger. Je pense que je suis capable d’avoir pris le mauvais sac, je regarde et vois que j’avais juste oublié mon sac ! Je me mets donc à courir vers chez moi pour récupérer mon sac et repars. Finalement, j’arrive avec 10 minutes d’avance. Je sonne chez Nicolas. Au passage, je remarque le magnifique parterre de fleur. Un homme vient m’ouvrir.

— Ah, je suppose que tu es Julien.

— Oui, Monsieur.

— Tu peux m’appeler Patrick.

— D’accord, Mons…Patrick.

— Nicolas dort encore. Pose tes affaires là et va t’installer sur le canapé. Tu verras peut-être ma femme.

Je m’exécute pendant que le père de Nicolas va dans le couloir pour le réveiller. Lors de mon arrivée au salon, je me fais intercepter par une voix :

— Julien ?

— Euh, oui, c’est moi.

— Super ! Moi, c’est Jeanne, la mère de Nicolas. Tu veux quelque chose à boire ?

— Un verre d’eau s’il vous plaît.

— D’accord, je t’amène ça.

Le père de Nicolas revient dans le salon et me questionne sur mes études, ma famille et pleins d’autres choses, quand Nicolas entre en caleçon dans le salon en bâillant. Lorsqu’il m’aperçoit, il devient rouge et part en courant dans sa chambre. Son père et moi avons éclaté de rire. Au retour de Nicolas, totalement habillé, il vient se joindre à la conversation. On parle de tout et n’importe quoi, quand nous sommes interrompus par une voix :

— Fini de papoter ! A table, maintenant ! »

On venait de passer 2 h à parler. Après un très bon repas, Nicolas m’invite à venir avec lui dans sa chambre. Il me fait entrer et ferme la porte. Je découvre un style totalement différent du reste de la maison. Des posters de sport, des photos, des coupes et des médailles, tout en passant par une montagne de jeux. Soudain, je le vois courir et enlever quelques photos qu’il avait mises au mur. Je m’interroge, et lui demande pourquoi. Il me dit que c’étaient des photos « dossier » sur lui. Je regrette finalement de pas avoir fait le tour de la chambre avant de tout scruter du regard. Il me propose donc de m’installer au bureau et me dit :

— T’a pris, tes cahiers ?

— Ah, désolé, non.

— Putain, t’es chiant ! Je te l’ai rappelé toute la semaine !

— Oui, je sais, désolé.

— T’inquiète pas, je te fais marcher. C’est trop facile avec toi !

— Nan, mais t’es con, toi ! J’y croyais !

On a éclaté de rire et, au final, nous avons joué sur son PC. Au bout d’une heure de jeu, il me demande si j’ai pris mon maillot de bain.

— Tu me fais encore marcher, c’est ça ?

— Là, non ! Et je te l’ai vraiment rappelé toute la semaine ! Pas grave… j’en ai deux.

— Ah, d’accord.

Il va vers son armoire et me jette au visage le maillot de bain.

— Oh, désolé.

— Pas grave. Déjà que tu m’en prêtes un, on va dire que c’est ma punition.

— Oh, tu peux avoir autre chose comme punition !

— ah, bon, comment ça ?

— Rien, rien, je n’ai rien dit. Bon, on y va.

— Bah, on n’est même pas en maillot !

— Ah oui c’est vrai

Suite à ces mots, il enlève son pantalon, son T-shirt, puis me regarde et fait voler son caleçon. J’ai immédiatement tourné le regard.

— C’est bon, tu peux arrêter de cacher tes yeux ! Dit-il en riant

— Je sors chercher des serviettes, mets ton maillot pendant ce temps.

Il sort et ferme la porte. Je me lève et me déshabille. Je m’apprêtais à mettre mon maillot de bain quand quelqu’un ouvre la porte. J’attrape en vitesse mes vêtements et cache mon sexe avec. C’est Nicolas qui revient avec les serviettes.

— Oh, t’a pas fini.  S’exprime-t’il, en se retournant.

— C’est bon, tu peux finir. Rajoute-t’il, sur un ton légèrement gêné. Je retire donc mes mains et mets mon maillot de bain et dis à Nicolas que c’est bon. Lorsqu’il se retourne, il éclate de rire et dit :

— C’est moi qui te fais cet effet ?

Je regarde mon maillot et vois que mon sexe est en érection. Je mets vite mes mains dessus et deviens rouge.

— Rho, c’est bon, on a tous la même et ça arrive à tout le monde. Les toilettes sont à gauche si tu veux t’en débarrasser. Dit-il avec un clin d’œil

— Ah, euh, d’accord.

Il était hors de question que je m’en débarrasse de cette façon, encore plus s’il le savait. J’ai donc pensé à tout et n’importe quoi, et, en 2 minutes, l’affaire était réglée.

Nous sommes donc allés dehors. Dès que nous étions à environs 1 mètre de la piscine, Nicolas s’est tourné vers moi avec un grand sourire et me dit :

— J’espère que tu sais nager !

— Hein quo..quoi ?

Je n’ai même pas eu le temps d’en dire plus qu’il m’avait déjà pris et jeté dans l’eau. Au moment de ressortir, je lui ai tendu la main pour qu’il m’aide à sortir, mais au lieu de ça, je l’ai tiré avec moi dedans. Après avoir chahuté pendant une bonne heure dans la piscine, nous sommes sortis et allés à la douche successivement.

Quand nous allions rentrer dans sa chambre, sa mère nous a interceptés pour savoir si on voulait faire un jeu de société. Nous avons accepté. Nous avons joué au Monopoly pendant tout le reste de l’après-midi et mes connaissances en économie m’ont enfin servi ! J’ai gagné cinq parties sur sept.

Après avoir rangé le jeu, nous avons mangé puis nous avons regardé la 7ème compagnie et sommes allés dans la chambre de Nicolas. On a encore un peu parlé, puis nous sommes couchés :

— Euh, Julien, généralement, je dors en caleçon, mais, si ça te dérange, je dors en pyjama.

— Non, non, pas de souci, je fais la même.

— Bah, c’est cool ça.

Avant d’aller se coucher, Nicolas est allé boire un verre d’eau. J’en ai profité pour aller regarder les photos « dossier » qu’il avait cachées ce matin. Heureusement pour moi, j’ai vu qu’il les avait mises dans le tiroir gauche de son bureau. Je les ai donc prises, et j’ai éclaté de rire en les voyant, des photos de lui bébé, déguisé ou pendu par les pieds alors qu’il faisait de la tyrolienne. Quand je l’ai entendu arriver, je les ai vite remises à leur place, et me suis jeté sous la couette comme si de rien n’était.

Au moment où il s’est couché, je n’ai pas pu retenir mon rire en le voyant. Il m’a demandé ce que j’avais, je lui ai donc dit que j’avais regardé ses photos. Il s’est jeté sur moi et a commencé à me chatouiller et me tenir pour éviter que je bouge.

Je pense qu’on faisait pas mal de bruit, vu que ses parents sont venus et ont ouvert la porte pour voir ce qui se passait. C’est à ce moment qu’une vision m’est passée dans la tête : deux mecs en caleçon, l’un sur l’autre, sous la couette, tard le soir. J’espère que les parents de Nicolas n’ont pas pensé à la même chose que moi.

Sa mère prit la parole :

— Vous ne pensez pas que vous avez passé l’âge de faire ça ? Allez, hop ! Au lit, maintenant.

Puis ils ressortirent en fermant la porte. Nous étions tous les deux allongés sur le dos et essoufflés. Il y avait une ambiance dans la chambre… ou plutôt… je ne sais pas, en fait, c’était quelque chose d’indescriptible. J’ai regardé Nicolas, je voyais dans ses yeux la même chose. Et je ne sais pourquoi, nous nous somme approchés lentement l’un de l’autre. Nos visages étaient écartés de quelques centimètres seulement. Je pouvais sentir son souffle chaud. J’avais l’impression de tout ressentir au maximum : mon cœur qui battait, mes poils se hérissaient, ainsi que mes longues respirations. Au bout de quelques minutes comme ça, à se regarder, nos lèvres se sont approchées les unes des autres pour enfin se rencontrer. Après ce petit baiser, il me dit :

— Julien, je crois que je t’aime.

— Je crois que moi aussi.

Sur ces mots, nous nous sommes endormis presque collés l’un à l’autre.

Voila pour cette première partie de deuxième chapitre, en espèrant qu'elle vous à plus j'attends vos retours avec impatiente !


Re : Lui (Gay) - emmanolife - 22-07-2020

Smile
Salut Ivan. Heureux de te trouver ici.


Re : Lui (Gay) - Ivan055 - 22-07-2020

Salut, et moi heureux d'être venu ici car sur l'autre site limite ils m'ont dis que je n'avais pas ma place.. Enfaîte il l'a dit.


Re : Lui (Gay) - Tommy06 - 22-07-2020

Tiens t'es ici toi?  Wink


Re : Lui (Gay) - Ivan055 - 22-07-2020

Bah t'a bien vu que le mec m'a assez remonté


Re : Re : Lui (Gay) - Tommy06 - 22-07-2020

(22-07-2020, 05:29 PM)Ivan055 link a écrit :Bah t'a bien vu que le mec m'a assez remonté
Ba tu lui as bien répondu XD


Re : Lui (Gay) - Ivan055 - 22-07-2020

Oui


Re : Lui (Gay) - Shadow - 22-07-2020

Et j ai bien fais d ouvrir un compte ici pour vous suivre


Re : Lui (Gay) - Ivan055 - 22-07-2020

Ah heureux de te voir aussi


Re : Lui (Gay) - emmanolife - 22-07-2020

On t'a demandé d'arrêter le récit dans Scribay ?
Pourtant, il n'y a pas de sexe, que je sache.
Alors si ce n'est pas pour le sexe entre ados, c'est pour quelle raison ?
Ce sont des vrais ayatollahs sur cette plate-forme.



Re : Lui (Gay) - emmanolife - 22-07-2020

Je viens de voir le dialogue sur le récit de Tommy06.
Tu peux encore dire que tu as changé d'avis et que tu reviens sur Scribay, Ivano.  Smile Il ne faut pas se laisser marcher sur les pieds par un crétin : en partant, tu lui donnes raison.


Re : Lui (Gay) - Ivan055 - 23-07-2020

On peut en parler en mp plutôt


Re : Lui (Gay) - Tommy06 - 23-07-2020

Super récit.
Pas sur que je puisse supporter la mère de julien, elle a l'air de beaucoup parler et de se mêler de se qui ne la regarde pas. Peut être qu'elle s'améliorera.
Sinon continue comme ça  Wink Wink