12-05-2023, 04:14 PM
Bonjour à vous !
Voici une petite suit qui, j'espère vous plaira et même, pourquoi pas ?, vous donnera un petit coup de chaud...
Le restaurant était petit et assez sombre mais accueillant et les tables disposées de manière à préserver une certaine intimité. Le contenu des assiettes des clients qui étaient en train de manger semblait appétissant et effectivement les mets qui nous furent servis étaient corrects, tout comme la bouteille de bordeaux que Jean-Paul avait commandée.
J'étais un peu crispé car le restaurant où nous nous trouvions n'était pas dans la catégorie de ceux que je fréquente normalement. De plus un "quelque chose" dans l'atmosphère de ce lieu me troublait, notamment les convives qui s'y trouvaient, essentiellement des hommes.
À une table voisine que je ne voyais que par un miroir, je crus d'abord qu'un des clients était unijambiste mais en regardant plus attentivement je constatais que la jambe absente appuyait simplement mais avec conviction sur l'entre-jambe de son vis-à-vis. Ce même vis-à-vis me semblait quelque peu déhanché vers le troisième occupant de cette table avec une main sous la nappe. Ces trois personnes discutaient comme si de rien n'était et pourtant il se passait quelque chose !
Jean-Paul ne me regardait pas vraiment, il avait le regard perdu dans le vague jusqu'à ce que je réalise qu'il fixait un miroir qui était orienté de manière telle qu'on voyait sous la table. Et sous la table il se passait des choses assez étonnantes…
Ma serviette étant tombée je me penchais pour la ramasser et j'en profitais pour rapidement contrôler le pantalon de toile de mon compagnon. Je ne vis rien de suspect, la fermeture-éclair était fermée et nulle bosse ne se manifestait.
Je descendis aux toilettes afin de satisfaire un besoin naturel, le lieu était d'une propriété impeccable, il n'y avait personne d'autre que moi. En voulant remonter dans le restaurant, je me suis un peu perdu dans le dédale de couloirs de ce vieux bâtiment.
Au pied de l'escalier, je croisais un homme d'une bonne quarantaine d'années qui me regarda d'abord d'un regard étonné puis me fit un large sourire lorsque nous nous croisâmes. Le couloir était étroit de sorte que nos deux corps ne purent éviter de se frôler. J'eus l'impression que sa main s'était attardé une fraction de secondes sur le devant de mon pantalon et que son sourire s'était accentué. Il ouvrit une porte et pénétra dans une pièce qui ressemblait à un vestiaire. Avant de refermer la dite porte, il la laissa ouverte quelques instants de plus que strictement nécessaire, il continuait à me regarder et son sourire avait envahi tout son visage. À mon tour, je pris un air aimable, je jetais brièvement un regard dans ce local et je vis des hommes qui étaient en train de se dévêtir. Je compris alors que c'était l'entrée d'un sauna. Cette brève vision m'avait émoustillé au point que je faillis oublier Jean-Paul et l'objectif que je m'étais fixé pour lui. En haut, mon compagnon était en grande discussion avec une personne âgée dont le bas du corps s'appuyait contre le bord de la table où Jean-Paul avait sa main.
Je questionnais mon hôte sur l'existence d'une pièce mystérieuse, il me sembla qu'il rougissait légèrement. Il parut réticent lorsque je suggérais d'aller voir ce qu'il s'y passait car entre temps j'avais observé un mouvement de personne qui descendaient l'étroit escalier menant aux toilettes. Vu l'étroitesse de ce lieu d'aisance, j'en conclus que c'était le sauna qui attirait tout ce monde. J'insistais et finalement Jean-Paul ne put faire autrement que de m'accompagner.
Je crois l'avoir dit, j'apprécie les fesses de mes partenaires et même si Jean-Paul appartenait à Armand, je savais par mes mains et mes yeux qu'il en avait une paire terriblement plaisante. Alors que nous étions dans le vestiaire pour nous déshabiller, il se pencha en avant pour défaire les lacets de ses chaussures. Sa braguette déjà à moitié descendue favorisa la baisse de son pantalon, découvrant le haut de ses fesses, l'objet de ma convoitise. L'occasion était trop belle, mes mains se glissèrent sur son dos et empoignèrent ses deux lobes rebondis et fermes à souhait. Je perçus une odeur particulière, pas désagréable du tout, qui émanait de son sous-vêtement.
J'eus à peine le temps d'en profiter que mon compagnon s'est brusquement levé et se rhabillait tout en m'ordonnant d'en faire autant
- Viens, dit-il, on va chez moi, je n'en peux plus ici !
En sortant je me vis dans une glace et je me mis à rire, j'avais ma chemisette à moitié à l'air libre et, surtout, une grosse bosse sur ma braguette mi-ouverte. Mon compagnon était dans une situation presque normale car avant de m'enjoindre de le suivre il avait eu le temps de mettre un peu d'ordre dans sa tenue alors que moi, il m'avait brusquement pris par la main et tirer dehors. En arrivant au pied de son immeuble j'étais à nouveau présentable, tout au moins extérieurement.
J'étais installé dans son salon et je me demandais si je ne devrais pas me mettre complètement nu lorsque Jean-Paul arriva avec un plateau plein d'amuse-gueule et une bouteille de Champagne avec deux flûtes. Il était intégralement nu en remplissant nos verres posés sur la table basse, il en saisit un et tout en me regardant droit dans les yeux, il plongea son sexe dedans tout en retroussant son prépuce au maximum. Il fit deux pas dans ma direction, approcha son sexe de ma bouche où il le fit entrer le plus possible tout en me disant
- Maintenant tu boiras "mon" Champagne en me léchant, puis tu boiras le verre dans lequel j'ai trempé ma queue et tu ne quitteras pas cet appartement avant que tu m'aies fait durcir et éjaculer. Tu peux tout faire pour y arriver, absolument tout ! Tu as bien compris ?
- Je ferai tout mon possible mais il faudra…
- Il n'y a pas de mais, je veux bander, je veux éjaculer, quand tu sortiras d'ici, je veux être un homme, un vrai… comme toi !
- [silence de part et d'autre]
- …et ce n'est qu'avec toi que j'y arriverai et c'est avec toi que je veux y parvenir !
La situation était paradoxale car j'avais décidé depuis quelque temps de le déniaiser afin de le sortir de l'influence plus que néfaste de son oncle, ou parrain selon les jours, et également pour essayer de lui redonner confiance si toutefois il n'était pas trop tard. Et maintenant c'était lui qui, avec une certaine autorité, m'enjoignait de m'occuper de lui. La demande n'était certes pas désagréable car Jean-Paul était un beau garçon, élancé avec une peau légèrement foncée, comme les Andalous du sud de l'Espagne. Je savais que son sexe avait une élégance qui s'alliait parfaitement à son allure générale lorsqu'il se présentait devant son oncle en entrant dans le vaste salon. Il était long et fin, légèrement plus foncé que le reste de son corps et son gland, lorsqu'il était apparent, était rose pâle, avec une couronne bien marquée qui devait donner un relief particulier si on le prenait en bouche (ce que je n'avais jamais eu le droit de faire en raison de la règle imposée "que les mains").
J'hésitais encore sur la suite à donner à sa demande mais il avait déjà pris les devants : il avait rempli un verre à ras bord et y replongea son sexe d'un seul coup, il ne put retenir un sursaut dû à la fraîcheur du liquide. En raison du théorème des vases communicants, le champagne se répandit sur ses testicules avant de rejoindre le sol en coulant le long de sa jambe.
Il saisit ma tête avec une certaine brutalité pour la diriger vers sa queue en m'enjoignant impérativement de faire mon travail, de le lécher partout où il était mouillé par la boisson. Ma bouche s'était spontanément ouverte et je découvrais ce mélange inhabituel de l'alcool et du précum. J'oubliais ma mission première, le lécher, pour faire tourner ma langue autour de son gland et sous cette couronne que j'avais déjà eu l'occasion d'observer chez son oncle.
- Je t'ai dit de me lécher, pas de jouer, alors lèche !
Je quittais à regret cette sucette et ma langue se rendit sur son entrejambe pour se porter sur les testicules où je retrouvais le goût du champagne. Je me donnais beaucoup de peine ce qui fut facile car j'appréciais une certaine rudesse de la peau. En réalité, l'enveloppe de ses petites boules était la douceur même, l'apparente rugosité n'était en fait que la chair de poule qui s'était emparée de cette partie de son anatomie. Je compris que c'était chez lui une région très sensible car il me sembla entendre quelques soupirs. Mais, surtout, son pénis avait changé de consistance : ce n'était pas encore à proprement parler une érection, loin de là, mais ce n'était plus une "bite-molle".
Je l'ai regardé, j'ai croisé son regard et, pour la première fois, il a esquissé un sourire. Il m'a pris par la main et m'a entraîné dans sa chambre. Il y avait un grand lit sur lequel trônait un énorme nounours dont la fourrure était maculée de taches suspectes dont la provenance, pour moi, était évidente.
Au bout d'un moment, j'ai proposé un autre jeu : je prenais une bonne gorgée de champagne pétillant mais sans l'avaler, je plaquais ma bouche sur la sienne et nous procédions alors à un transfert de propriété ou, à tout le moins, à un transvasement. Les fuites étaient abondantes ce dont nous ne nous préoccupions pas trop car le sentiment de sentir le Champagne descendre entre nos deux corps, s'infiltrer dans les moindres interstices était enivrant surtout en pensant que j'allais promener ma langue sur ce corps encore juvénile pour tenter de récupérer un maximum de cette boisson hors de prix.
Jean-Paul avait soudain perdu l'équilibre et était tombé sur le bord de son lit, les jambes pendant dans le vide. Des draps de couleur rose se dégageait une odeur parfumée légèrement enivrante et pourtant délicieuse. Mon sexe était encore caché par mon boxer mais il était évident qu'il avait pris une dimension digne de la vision que j'avais sous les yeux, au point que je me suis demandé si les draps n'avaient pas été imprégnés d'un produit aphrodisiaque car il n'y avait pas que moi qui étais pris d'une frénésie orgasmique : mon compagnon, de manière beaucoup plus modeste, avait maintenant une érection qui se manifestait non seulement par un sérieux début de rigidité mais également par un gland abondamment luisant par les sécrétions internes que produisait l'ambiance du moment.
D'un geste lascif, Jean-Paul avait baissé mon sous-vêtement jusque sur mes genoux et je le voyais regarder mon bas-ventre avec un regard concupiscent, comme si c'était la première fois qu'il pouvait admirer ce petit chef d'œuvre du corps masculin. Je ne me trompais guère car, avec une timidité presque attendrissante, il avait saisi mon pénis qu'il garda en main un long moment, sans faire le moindre mouvement, avant de commencer un très léger va-et-vient sur ma tige qui dégoulinait de précum.
J'observais mon ami, il se passait régulièrement la langue sur ses lèvres, il souriait en sentant dans sa main les spasmes que je ne parvenais pas toujours à réprimer, il jouait avec mon prépuce en le tirant sur mon gland pour, ensuite, le retirer avec une extrême lenteur ce qui accentuait encore la sensation de pré-extase que je sentais monter très lentement mais de manière inexorable, qui, d'ici un moment deviendrait inévitable. Alors que je me démenais pour l'amener à ce moment si spécial qu'il ne connaissait pas encore, j'eux conscience que ce serait un comble que ce soit moi qui parvienne le premier à cet état proche du nirvana. Je me ressaisis et je réussis à faire baisser la tension qui s'était emparée de mon corps pour ne plus me consacrer qu'au plaisir de Jean-Paul, plaisir que je sentais proche. Il avait fermé les yeux, tout son visage respirait l'attente de quelque chose qu'il ne connaissait pas mais qu'il voulait intensément. Tous ses muscles étaient tendus, son sexe avait pris depuis un moment une dureté impressionnante, son méat s'était agrandi comme pour favoriser la sortie de son sperme, je sentais et voyais les premiers spasmes libératoires, sa respiration s'était accélérée, ses ronronnements s'étaient transformés en des grognements de plus en plus audibles. Il avait pris une de mes mains dans la sienne, comme pour se donner du courage, il la serrait de plus en plus fort. Son corps s'arc- boutait en créant comme une arche sous laquelle ses lobes fessiers s'ouvraient d'une manière telle que sa collerette, totalement imberbe, s'affichait comme une invitation à la violer.
Ce que je fis, ma volonté pas plus que mon index ne résistèrent à cet appel, ce dernier enrobé des secrétions de plus en plus abondantes pénétra sans problème dans l'intimité la plus profonde de Jean-Paul. Il poussa un premier grand cris suivi d'un véritable tremblement de terre lorsque, pour la première fois, il expulsa un premier jet de sperme. Dans la lancée, mes testicules suivirent le mouvement. Ce qui suivit est inénarrable, nous y passâmes toute la nuit. Jean-Paul n'était, par moment, plus véritablement conscient de ce qu'il vivait, il était dépassé par ses sensations, par le plaisir que lui procurait son corps, la joie qui avait envahi son cerveau d'avoir enfin réalisé son rêve. Il découvrait la douceur de la peau sous les caresses toutes de délicatesses. Jamais il n'avait imaginé, même dans ses rêves les plus fous que l'orgasme imminent puisse être interrompu pour laisser place à une déception telle que l'envie de recommencer pour s'approcher une nouvelle fois d'une sublime jouissance.
Moi-même, pour la première fois depuis n° 3, je découvrais que les véritables sentiments n'avaient pas besoin d'une dépense d'énergie aveugle mais que l'approche pas à pas permettait l'épanouissement de la véritable sexualité. Je tenais son pénis dans la main, je survolais ses testicules, je me promenais dans sa raie en effleurant l'entrée de son puits d'amour. Brusquement, je sentis une puissance inexorable qui expulsa violemment et pourtant dans une grande sérénité, ma semence.
À ce moment précis, je pris conscience de la vanité de la vie que je menais jusqu'à ce jour : je décidai de changer de cap.
Voici une petite suit qui, j'espère vous plaira et même, pourquoi pas ?, vous donnera un petit coup de chaud...
Le restaurant était petit et assez sombre mais accueillant et les tables disposées de manière à préserver une certaine intimité. Le contenu des assiettes des clients qui étaient en train de manger semblait appétissant et effectivement les mets qui nous furent servis étaient corrects, tout comme la bouteille de bordeaux que Jean-Paul avait commandée.
J'étais un peu crispé car le restaurant où nous nous trouvions n'était pas dans la catégorie de ceux que je fréquente normalement. De plus un "quelque chose" dans l'atmosphère de ce lieu me troublait, notamment les convives qui s'y trouvaient, essentiellement des hommes.
À une table voisine que je ne voyais que par un miroir, je crus d'abord qu'un des clients était unijambiste mais en regardant plus attentivement je constatais que la jambe absente appuyait simplement mais avec conviction sur l'entre-jambe de son vis-à-vis. Ce même vis-à-vis me semblait quelque peu déhanché vers le troisième occupant de cette table avec une main sous la nappe. Ces trois personnes discutaient comme si de rien n'était et pourtant il se passait quelque chose !
Jean-Paul ne me regardait pas vraiment, il avait le regard perdu dans le vague jusqu'à ce que je réalise qu'il fixait un miroir qui était orienté de manière telle qu'on voyait sous la table. Et sous la table il se passait des choses assez étonnantes…
Ma serviette étant tombée je me penchais pour la ramasser et j'en profitais pour rapidement contrôler le pantalon de toile de mon compagnon. Je ne vis rien de suspect, la fermeture-éclair était fermée et nulle bosse ne se manifestait.
Je descendis aux toilettes afin de satisfaire un besoin naturel, le lieu était d'une propriété impeccable, il n'y avait personne d'autre que moi. En voulant remonter dans le restaurant, je me suis un peu perdu dans le dédale de couloirs de ce vieux bâtiment.
Au pied de l'escalier, je croisais un homme d'une bonne quarantaine d'années qui me regarda d'abord d'un regard étonné puis me fit un large sourire lorsque nous nous croisâmes. Le couloir était étroit de sorte que nos deux corps ne purent éviter de se frôler. J'eus l'impression que sa main s'était attardé une fraction de secondes sur le devant de mon pantalon et que son sourire s'était accentué. Il ouvrit une porte et pénétra dans une pièce qui ressemblait à un vestiaire. Avant de refermer la dite porte, il la laissa ouverte quelques instants de plus que strictement nécessaire, il continuait à me regarder et son sourire avait envahi tout son visage. À mon tour, je pris un air aimable, je jetais brièvement un regard dans ce local et je vis des hommes qui étaient en train de se dévêtir. Je compris alors que c'était l'entrée d'un sauna. Cette brève vision m'avait émoustillé au point que je faillis oublier Jean-Paul et l'objectif que je m'étais fixé pour lui. En haut, mon compagnon était en grande discussion avec une personne âgée dont le bas du corps s'appuyait contre le bord de la table où Jean-Paul avait sa main.
Je questionnais mon hôte sur l'existence d'une pièce mystérieuse, il me sembla qu'il rougissait légèrement. Il parut réticent lorsque je suggérais d'aller voir ce qu'il s'y passait car entre temps j'avais observé un mouvement de personne qui descendaient l'étroit escalier menant aux toilettes. Vu l'étroitesse de ce lieu d'aisance, j'en conclus que c'était le sauna qui attirait tout ce monde. J'insistais et finalement Jean-Paul ne put faire autrement que de m'accompagner.
Je crois l'avoir dit, j'apprécie les fesses de mes partenaires et même si Jean-Paul appartenait à Armand, je savais par mes mains et mes yeux qu'il en avait une paire terriblement plaisante. Alors que nous étions dans le vestiaire pour nous déshabiller, il se pencha en avant pour défaire les lacets de ses chaussures. Sa braguette déjà à moitié descendue favorisa la baisse de son pantalon, découvrant le haut de ses fesses, l'objet de ma convoitise. L'occasion était trop belle, mes mains se glissèrent sur son dos et empoignèrent ses deux lobes rebondis et fermes à souhait. Je perçus une odeur particulière, pas désagréable du tout, qui émanait de son sous-vêtement.
J'eus à peine le temps d'en profiter que mon compagnon s'est brusquement levé et se rhabillait tout en m'ordonnant d'en faire autant
- Viens, dit-il, on va chez moi, je n'en peux plus ici !
En sortant je me vis dans une glace et je me mis à rire, j'avais ma chemisette à moitié à l'air libre et, surtout, une grosse bosse sur ma braguette mi-ouverte. Mon compagnon était dans une situation presque normale car avant de m'enjoindre de le suivre il avait eu le temps de mettre un peu d'ordre dans sa tenue alors que moi, il m'avait brusquement pris par la main et tirer dehors. En arrivant au pied de son immeuble j'étais à nouveau présentable, tout au moins extérieurement.
J'étais installé dans son salon et je me demandais si je ne devrais pas me mettre complètement nu lorsque Jean-Paul arriva avec un plateau plein d'amuse-gueule et une bouteille de Champagne avec deux flûtes. Il était intégralement nu en remplissant nos verres posés sur la table basse, il en saisit un et tout en me regardant droit dans les yeux, il plongea son sexe dedans tout en retroussant son prépuce au maximum. Il fit deux pas dans ma direction, approcha son sexe de ma bouche où il le fit entrer le plus possible tout en me disant
- Maintenant tu boiras "mon" Champagne en me léchant, puis tu boiras le verre dans lequel j'ai trempé ma queue et tu ne quitteras pas cet appartement avant que tu m'aies fait durcir et éjaculer. Tu peux tout faire pour y arriver, absolument tout ! Tu as bien compris ?
- Je ferai tout mon possible mais il faudra…
- Il n'y a pas de mais, je veux bander, je veux éjaculer, quand tu sortiras d'ici, je veux être un homme, un vrai… comme toi !
- [silence de part et d'autre]
- …et ce n'est qu'avec toi que j'y arriverai et c'est avec toi que je veux y parvenir !
La situation était paradoxale car j'avais décidé depuis quelque temps de le déniaiser afin de le sortir de l'influence plus que néfaste de son oncle, ou parrain selon les jours, et également pour essayer de lui redonner confiance si toutefois il n'était pas trop tard. Et maintenant c'était lui qui, avec une certaine autorité, m'enjoignait de m'occuper de lui. La demande n'était certes pas désagréable car Jean-Paul était un beau garçon, élancé avec une peau légèrement foncée, comme les Andalous du sud de l'Espagne. Je savais que son sexe avait une élégance qui s'alliait parfaitement à son allure générale lorsqu'il se présentait devant son oncle en entrant dans le vaste salon. Il était long et fin, légèrement plus foncé que le reste de son corps et son gland, lorsqu'il était apparent, était rose pâle, avec une couronne bien marquée qui devait donner un relief particulier si on le prenait en bouche (ce que je n'avais jamais eu le droit de faire en raison de la règle imposée "que les mains").
J'hésitais encore sur la suite à donner à sa demande mais il avait déjà pris les devants : il avait rempli un verre à ras bord et y replongea son sexe d'un seul coup, il ne put retenir un sursaut dû à la fraîcheur du liquide. En raison du théorème des vases communicants, le champagne se répandit sur ses testicules avant de rejoindre le sol en coulant le long de sa jambe.
Il saisit ma tête avec une certaine brutalité pour la diriger vers sa queue en m'enjoignant impérativement de faire mon travail, de le lécher partout où il était mouillé par la boisson. Ma bouche s'était spontanément ouverte et je découvrais ce mélange inhabituel de l'alcool et du précum. J'oubliais ma mission première, le lécher, pour faire tourner ma langue autour de son gland et sous cette couronne que j'avais déjà eu l'occasion d'observer chez son oncle.
- Je t'ai dit de me lécher, pas de jouer, alors lèche !
Je quittais à regret cette sucette et ma langue se rendit sur son entrejambe pour se porter sur les testicules où je retrouvais le goût du champagne. Je me donnais beaucoup de peine ce qui fut facile car j'appréciais une certaine rudesse de la peau. En réalité, l'enveloppe de ses petites boules était la douceur même, l'apparente rugosité n'était en fait que la chair de poule qui s'était emparée de cette partie de son anatomie. Je compris que c'était chez lui une région très sensible car il me sembla entendre quelques soupirs. Mais, surtout, son pénis avait changé de consistance : ce n'était pas encore à proprement parler une érection, loin de là, mais ce n'était plus une "bite-molle".
Je l'ai regardé, j'ai croisé son regard et, pour la première fois, il a esquissé un sourire. Il m'a pris par la main et m'a entraîné dans sa chambre. Il y avait un grand lit sur lequel trônait un énorme nounours dont la fourrure était maculée de taches suspectes dont la provenance, pour moi, était évidente.
Au bout d'un moment, j'ai proposé un autre jeu : je prenais une bonne gorgée de champagne pétillant mais sans l'avaler, je plaquais ma bouche sur la sienne et nous procédions alors à un transfert de propriété ou, à tout le moins, à un transvasement. Les fuites étaient abondantes ce dont nous ne nous préoccupions pas trop car le sentiment de sentir le Champagne descendre entre nos deux corps, s'infiltrer dans les moindres interstices était enivrant surtout en pensant que j'allais promener ma langue sur ce corps encore juvénile pour tenter de récupérer un maximum de cette boisson hors de prix.
Jean-Paul avait soudain perdu l'équilibre et était tombé sur le bord de son lit, les jambes pendant dans le vide. Des draps de couleur rose se dégageait une odeur parfumée légèrement enivrante et pourtant délicieuse. Mon sexe était encore caché par mon boxer mais il était évident qu'il avait pris une dimension digne de la vision que j'avais sous les yeux, au point que je me suis demandé si les draps n'avaient pas été imprégnés d'un produit aphrodisiaque car il n'y avait pas que moi qui étais pris d'une frénésie orgasmique : mon compagnon, de manière beaucoup plus modeste, avait maintenant une érection qui se manifestait non seulement par un sérieux début de rigidité mais également par un gland abondamment luisant par les sécrétions internes que produisait l'ambiance du moment.
D'un geste lascif, Jean-Paul avait baissé mon sous-vêtement jusque sur mes genoux et je le voyais regarder mon bas-ventre avec un regard concupiscent, comme si c'était la première fois qu'il pouvait admirer ce petit chef d'œuvre du corps masculin. Je ne me trompais guère car, avec une timidité presque attendrissante, il avait saisi mon pénis qu'il garda en main un long moment, sans faire le moindre mouvement, avant de commencer un très léger va-et-vient sur ma tige qui dégoulinait de précum.
J'observais mon ami, il se passait régulièrement la langue sur ses lèvres, il souriait en sentant dans sa main les spasmes que je ne parvenais pas toujours à réprimer, il jouait avec mon prépuce en le tirant sur mon gland pour, ensuite, le retirer avec une extrême lenteur ce qui accentuait encore la sensation de pré-extase que je sentais monter très lentement mais de manière inexorable, qui, d'ici un moment deviendrait inévitable. Alors que je me démenais pour l'amener à ce moment si spécial qu'il ne connaissait pas encore, j'eux conscience que ce serait un comble que ce soit moi qui parvienne le premier à cet état proche du nirvana. Je me ressaisis et je réussis à faire baisser la tension qui s'était emparée de mon corps pour ne plus me consacrer qu'au plaisir de Jean-Paul, plaisir que je sentais proche. Il avait fermé les yeux, tout son visage respirait l'attente de quelque chose qu'il ne connaissait pas mais qu'il voulait intensément. Tous ses muscles étaient tendus, son sexe avait pris depuis un moment une dureté impressionnante, son méat s'était agrandi comme pour favoriser la sortie de son sperme, je sentais et voyais les premiers spasmes libératoires, sa respiration s'était accélérée, ses ronronnements s'étaient transformés en des grognements de plus en plus audibles. Il avait pris une de mes mains dans la sienne, comme pour se donner du courage, il la serrait de plus en plus fort. Son corps s'arc- boutait en créant comme une arche sous laquelle ses lobes fessiers s'ouvraient d'une manière telle que sa collerette, totalement imberbe, s'affichait comme une invitation à la violer.
Ce que je fis, ma volonté pas plus que mon index ne résistèrent à cet appel, ce dernier enrobé des secrétions de plus en plus abondantes pénétra sans problème dans l'intimité la plus profonde de Jean-Paul. Il poussa un premier grand cris suivi d'un véritable tremblement de terre lorsque, pour la première fois, il expulsa un premier jet de sperme. Dans la lancée, mes testicules suivirent le mouvement. Ce qui suivit est inénarrable, nous y passâmes toute la nuit. Jean-Paul n'était, par moment, plus véritablement conscient de ce qu'il vivait, il était dépassé par ses sensations, par le plaisir que lui procurait son corps, la joie qui avait envahi son cerveau d'avoir enfin réalisé son rêve. Il découvrait la douceur de la peau sous les caresses toutes de délicatesses. Jamais il n'avait imaginé, même dans ses rêves les plus fous que l'orgasme imminent puisse être interrompu pour laisser place à une déception telle que l'envie de recommencer pour s'approcher une nouvelle fois d'une sublime jouissance.
Moi-même, pour la première fois depuis n° 3, je découvrais que les véritables sentiments n'avaient pas besoin d'une dépense d'énergie aveugle mais que l'approche pas à pas permettait l'épanouissement de la véritable sexualité. Je tenais son pénis dans la main, je survolais ses testicules, je me promenais dans sa raie en effleurant l'entrée de son puits d'amour. Brusquement, je sentis une puissance inexorable qui expulsa violemment et pourtant dans une grande sérénité, ma semence.
À ce moment précis, je pris conscience de la vanité de la vie que je menais jusqu'à ce jour : je décidai de changer de cap.