24-04-2023, 01:16 PM
Chapitre 028 : « Rentrée universitaire. »
« Dimanche matin. »
Lee se réveil en s’étirant d’aise, il a étonnamment bien dormi pour une première nuit dans un nouvel environnement et c’est d’un mouvement énergique, qu’il met les pieds au sol en se levant d’un bond souple.
Un nouvel étirement lui amène un soupire de bien être, enfilant dans la foulée une robe de chambre légère car la canicule est encore bien présente et se fait durement ressentir à la longue.
Pourtant l’idée ne lui viendrait pas de se présenter en sous vêtement devant les autres locataires, n’ayant absolument pas l’idée à ce à quoi il doit s’attendre d’ici pas longtemps.
Il prend le temps de refaire son lit, avant de se présenter dans l’immense pièce à vivre où Charles l’accueil chaleureusement.
- Bien dormi ? viens t’assoir, pour une fois que je ne prendrais pas mon petit-déjeuner tout seul.
- Les autres dorment encore ?
- N’oublie pas que c’est dimanche, déjà qu’en semaine ce n’est pas de la tarte pour les faire se levés.
Charles fait seulement attention à ce moment précis des vêtements que Lee a sur le dos.
- Tu n’as pas trop chaud avec ça ? il fait déjà vingt-cinq degrés dans l’appartement
Du coup Lee détail son ami qui n’est lui vêtu que d’un marcel à larges mailles et d’un caleçon ample, revoyant alors à la baisse ses préjugés sur la question.
- Je ne savais pas trop quoi mettre le matin pour me présenter devant vous.
- Bah ! Tu vas vite te faire à notre vie en communauté, je t’avouerai que cela ne fait pas longtemps que je privilégie le confort au qu’en dira-ton, mais comment dire… j’ai été mis devant le fait accomplie et ma fois cela n’est pas plus mal, de plus on a droit au spectacle qui vaut son pesant de cacahouètes ! Hi ! Hi !
Pas le temps de donner plus d’explications, ni d’en demander, que le dis « spectacle » se présente à eux comme à son habitude et sans filtres, faisant avaler de travers et recracher la gorgée de café que Lee venait tout juste de prendre en bouche.
Les trois inséparables viennent vers eux avec juste un petit slip moulant des plus minimaliste, dont l’un semble bien en peine pour ne pas recracher ce qu’il contient du fait que le dis contenu se trouve dans une forme dite olympique, mais qui n’a rien à voir avec les olympiades.
Louis arrive à son tour et Lee remarque immédiatement où va directement son regard, se demandant bien la raison de cette lueur soudaine d’espoir qui brille dans ses yeux.
Il se rappelle la conversation de la veille d’avec Marc et du coup s’en amuse ouvertement.
- He bien Louis qu’est-ce qui t’arrive, à te voir on croirait que tu t’apprête à repasser un bon moment avec tes trois petits copains.
- Qu’il dit le gars qui n’a rien d’autre à dire qu’à répéter ce qu’il a entendu sans en connaitre le vrai du faux.
- Pour l’instant tout ce qu’il voit le gars, c’est apparemment le même genre de situation qui a value cette fameuse nuit que Louis semble avoir envie de répéter.
Daniel et Ralphy restent muets et viennent s’assoir chacun d’un côté de Louis, tandis que le petit blond va direct sur les genoux de Lee en lui faisant face et en s’appuyant suffisamment pour que ce dernier ressente bien la dureté de la chose rouler sur son ventre.
Les yeux de Kai viennent prendre ceux de Lee en otage, un sourire à la fois sentimental et carnassier ourle ses lèvres, alors qu’il prend une voix toute sucrée pour lui demander.
- Comment a été ta nuit mon copain ? tu n’as pas trop rêvé de moi ?
Une étrange et soudaine sensation de chaleur aux joues désarme complètement Lee alors qu’il cherchait de quoi répondre, se sentant d’un coup complètement perdu à ne plus savoir comment réagir à ce qui, convenant le, n’est pas ce qu’on qualifierait de banale.
Pourtant quelqu’un lui vient en aide et ce quelqu’un rabroue ouvertement et vertement le petit blond.
- Ça suffit comme ça Kai !! Tu ne peux pas faire ce qui te passe par la tête sans penser que tu n’es pas tout seul, à l’avenir arrange toi pour soulager ta tension matinale avant de te présenter devant tout le monde et nous ne nous en porterons tous que mieux. Nous allons devoir vivre ensemble durant plusieurs années et j’estime qu’un minima de sens pudique doit rester de mise, nous ne sommes plus que tout les trois maintenant, il faut penser aussi aux autres qui n’ont pas l’habitude de tes levées de drapeaux autant que nous qui n’y faisons plus attention depuis longtemps.
Alors que Charles hoche la tête en montrant son accord, Kai n’en continu pas moins à se frotter sur Lee encore quelques secondes, avant de se relever en dévoilant la trace humide d’excitation qui est apparue sur le devant de son sous vêtement durant ce petit frotti improviser.
Pourtant quand son regard croise celui impassible et réprobateur de Daniel, son visage marque alors la honte.
- Pas la peine de te fâcher pour ça, j’ai entendu le message et excusez-moi, mais je dois aller aux toilettes pour… enfin pour me calmer quoi.
Pourtant sa vraie nature reprend vite le dessus, sur la leçon qui n’est pas la première et ne sera sans doute pas non plus la dernière.
Il se place de profil pour bien montrer de quoi il parle et s’adresse ensuite à Lee d’une petite voix cajoleuse, alors que ses yeux pétillent d’amusement.
- Tu m’accompagnes ?
Devant la non réponse, il baisse la tête en faisant le malheureux pour se rendre sans ne plus rien dire vers les toilettes, afin très certainement de mettre en œuvre le seul moyen d’apaiser rapidement la « tension » qui est toujours de mise à l’intérieur de son sous vêtement.
- Excusez-le, il finira par s’habituer.
- Ou alors ce sera nous autres qui le ferons ! Hi ! Hi ! J’avoue que pour ma part cela ne me dérange pas plus que ça et d’ailleurs maintenant que j’y pense, je dois moi aussi allez aux toilettes.
Après ces bonnes paroles, Louis se lève à son tour pour prendre la même direction que Kai et le rejoindre sans plus d’explications devenues au demeurant inutiles.
- Qui m’avait dit que c’était le plus timide de vous trois ?
Charles lève les yeux vers Ralphy qui suit toujours le jeune prince du regard.
- Crois-moi que j’en suis le premier étonner, depuis qu’il vous a rencontré ce n’est plus du tout le même, sans doute un effet d’émulation.
Lee quant à lui se remet juste de ce à quoi il a été acteur, sans trouver la force ni d’ailleurs l’envie de repousser le blondinet durant toute la durée du contact physique qui ne l’a pas laissé insensible loin de là et du coup il est bien content d’avoir cette robe de chambre qui le cache à la vue des autres.
- Il n’est quand même pas parti le rejoindre ? si ?
- Va savoir ! Hi ! Hi !
Charles fronce les sourcils à l’idée qui vient de lui passer par la tête, la situation étant suffisamment similaire à celle du mercredi à leurs retours tardifs dans la nuit avec pourtant un tout autre dénouement.
- N’était-ce pas ce qui avait déclenché ce que Marc m’a raconté comme des moments de folies sexuelles, alors pourquoi là maintenant vous n’êtes plus raccord ?
Ralphy jette un bref coup d’œil vers Daniel avant de donner une explication en demi-teinte, n’étant pas près à révéler leur secret.
- Si les « tensions » de Kai étaient les seuls éléments déclencheurs de nos moments de folies comme le dit Marc, dans ce cas nous ne verrions que rarement la lumière du jour.
« Dimanche matin. »
Lee se réveil en s’étirant d’aise, il a étonnamment bien dormi pour une première nuit dans un nouvel environnement et c’est d’un mouvement énergique, qu’il met les pieds au sol en se levant d’un bond souple.
Un nouvel étirement lui amène un soupire de bien être, enfilant dans la foulée une robe de chambre légère car la canicule est encore bien présente et se fait durement ressentir à la longue.
Pourtant l’idée ne lui viendrait pas de se présenter en sous vêtement devant les autres locataires, n’ayant absolument pas l’idée à ce à quoi il doit s’attendre d’ici pas longtemps.
Il prend le temps de refaire son lit, avant de se présenter dans l’immense pièce à vivre où Charles l’accueil chaleureusement.
- Bien dormi ? viens t’assoir, pour une fois que je ne prendrais pas mon petit-déjeuner tout seul.
- Les autres dorment encore ?
- N’oublie pas que c’est dimanche, déjà qu’en semaine ce n’est pas de la tarte pour les faire se levés.
Charles fait seulement attention à ce moment précis des vêtements que Lee a sur le dos.
- Tu n’as pas trop chaud avec ça ? il fait déjà vingt-cinq degrés dans l’appartement
Du coup Lee détail son ami qui n’est lui vêtu que d’un marcel à larges mailles et d’un caleçon ample, revoyant alors à la baisse ses préjugés sur la question.
- Je ne savais pas trop quoi mettre le matin pour me présenter devant vous.
- Bah ! Tu vas vite te faire à notre vie en communauté, je t’avouerai que cela ne fait pas longtemps que je privilégie le confort au qu’en dira-ton, mais comment dire… j’ai été mis devant le fait accomplie et ma fois cela n’est pas plus mal, de plus on a droit au spectacle qui vaut son pesant de cacahouètes ! Hi ! Hi !
Pas le temps de donner plus d’explications, ni d’en demander, que le dis « spectacle » se présente à eux comme à son habitude et sans filtres, faisant avaler de travers et recracher la gorgée de café que Lee venait tout juste de prendre en bouche.
Les trois inséparables viennent vers eux avec juste un petit slip moulant des plus minimaliste, dont l’un semble bien en peine pour ne pas recracher ce qu’il contient du fait que le dis contenu se trouve dans une forme dite olympique, mais qui n’a rien à voir avec les olympiades.
Louis arrive à son tour et Lee remarque immédiatement où va directement son regard, se demandant bien la raison de cette lueur soudaine d’espoir qui brille dans ses yeux.
Il se rappelle la conversation de la veille d’avec Marc et du coup s’en amuse ouvertement.
- He bien Louis qu’est-ce qui t’arrive, à te voir on croirait que tu t’apprête à repasser un bon moment avec tes trois petits copains.
- Qu’il dit le gars qui n’a rien d’autre à dire qu’à répéter ce qu’il a entendu sans en connaitre le vrai du faux.
- Pour l’instant tout ce qu’il voit le gars, c’est apparemment le même genre de situation qui a value cette fameuse nuit que Louis semble avoir envie de répéter.
Daniel et Ralphy restent muets et viennent s’assoir chacun d’un côté de Louis, tandis que le petit blond va direct sur les genoux de Lee en lui faisant face et en s’appuyant suffisamment pour que ce dernier ressente bien la dureté de la chose rouler sur son ventre.
Les yeux de Kai viennent prendre ceux de Lee en otage, un sourire à la fois sentimental et carnassier ourle ses lèvres, alors qu’il prend une voix toute sucrée pour lui demander.
- Comment a été ta nuit mon copain ? tu n’as pas trop rêvé de moi ?
Une étrange et soudaine sensation de chaleur aux joues désarme complètement Lee alors qu’il cherchait de quoi répondre, se sentant d’un coup complètement perdu à ne plus savoir comment réagir à ce qui, convenant le, n’est pas ce qu’on qualifierait de banale.
Pourtant quelqu’un lui vient en aide et ce quelqu’un rabroue ouvertement et vertement le petit blond.
- Ça suffit comme ça Kai !! Tu ne peux pas faire ce qui te passe par la tête sans penser que tu n’es pas tout seul, à l’avenir arrange toi pour soulager ta tension matinale avant de te présenter devant tout le monde et nous ne nous en porterons tous que mieux. Nous allons devoir vivre ensemble durant plusieurs années et j’estime qu’un minima de sens pudique doit rester de mise, nous ne sommes plus que tout les trois maintenant, il faut penser aussi aux autres qui n’ont pas l’habitude de tes levées de drapeaux autant que nous qui n’y faisons plus attention depuis longtemps.
Alors que Charles hoche la tête en montrant son accord, Kai n’en continu pas moins à se frotter sur Lee encore quelques secondes, avant de se relever en dévoilant la trace humide d’excitation qui est apparue sur le devant de son sous vêtement durant ce petit frotti improviser.
Pourtant quand son regard croise celui impassible et réprobateur de Daniel, son visage marque alors la honte.
- Pas la peine de te fâcher pour ça, j’ai entendu le message et excusez-moi, mais je dois aller aux toilettes pour… enfin pour me calmer quoi.
Pourtant sa vraie nature reprend vite le dessus, sur la leçon qui n’est pas la première et ne sera sans doute pas non plus la dernière.
Il se place de profil pour bien montrer de quoi il parle et s’adresse ensuite à Lee d’une petite voix cajoleuse, alors que ses yeux pétillent d’amusement.
- Tu m’accompagnes ?
Devant la non réponse, il baisse la tête en faisant le malheureux pour se rendre sans ne plus rien dire vers les toilettes, afin très certainement de mettre en œuvre le seul moyen d’apaiser rapidement la « tension » qui est toujours de mise à l’intérieur de son sous vêtement.
- Excusez-le, il finira par s’habituer.
- Ou alors ce sera nous autres qui le ferons ! Hi ! Hi ! J’avoue que pour ma part cela ne me dérange pas plus que ça et d’ailleurs maintenant que j’y pense, je dois moi aussi allez aux toilettes.
Après ces bonnes paroles, Louis se lève à son tour pour prendre la même direction que Kai et le rejoindre sans plus d’explications devenues au demeurant inutiles.
- Qui m’avait dit que c’était le plus timide de vous trois ?
Charles lève les yeux vers Ralphy qui suit toujours le jeune prince du regard.
- Crois-moi que j’en suis le premier étonner, depuis qu’il vous a rencontré ce n’est plus du tout le même, sans doute un effet d’émulation.
Lee quant à lui se remet juste de ce à quoi il a été acteur, sans trouver la force ni d’ailleurs l’envie de repousser le blondinet durant toute la durée du contact physique qui ne l’a pas laissé insensible loin de là et du coup il est bien content d’avoir cette robe de chambre qui le cache à la vue des autres.
- Il n’est quand même pas parti le rejoindre ? si ?
- Va savoir ! Hi ! Hi !
Charles fronce les sourcils à l’idée qui vient de lui passer par la tête, la situation étant suffisamment similaire à celle du mercredi à leurs retours tardifs dans la nuit avec pourtant un tout autre dénouement.
- N’était-ce pas ce qui avait déclenché ce que Marc m’a raconté comme des moments de folies sexuelles, alors pourquoi là maintenant vous n’êtes plus raccord ?
Ralphy jette un bref coup d’œil vers Daniel avant de donner une explication en demi-teinte, n’étant pas près à révéler leur secret.
- Si les « tensions » de Kai étaient les seuls éléments déclencheurs de nos moments de folies comme le dit Marc, dans ce cas nous ne verrions que rarement la lumière du jour.
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