14-04-2023, 01:39 PM
Chapitre 024 : « Rentrée universitaire. »
« Dernier cours de l’après-midi, ce jour-là. »
« Cursus scientifique industriel. »
Louis n’arrive décidemment pas à se concentrer sur le professeur donnant l’emploi du temps du prochain semestre, toute la classe s’en rend bien compte mais personne ne dit mots, le statut social du grand prince n’étant pas ici comme ailleurs quelque chose qu’il faille prendre à la légère.
Marc prend des notes pour eux deux, qu’il photocopiera pour lui en donner un exemplaire, n’ayant pour sa part pas pu lui faire décrocher une parole depuis qu’il a enfin daigné honorer le campus de sa présence.
Pourtant il voit bien les éclairs qui de temps en temps illuminent son regard et qui malgré la fatigue apparente de son copain, prouve qu’il a vécu quelque chose d’inoubliable, ce qui du coup le rend suffisamment jaloux pour qu’il boude sans même s’en rendre compte.
***/***
« Cursus scientifique de physique des fluides, physique quantique et physique nucléaire. »
Charles écoute d’une oreille distraite les paroles du professeur principal, ayant déjà hacker depuis longtemps le programme de sa première année d’étude.
Il a l’œil fixé au cadran de sa montre qui le renseigne sur le nombre de commandes de la journée, surpris du chiffre lui semblant exorbitant qui s’affiche à chaque nouvelle mise à jour.
Bien sur il y a forcement un cumul d’achats des jeux encore suffisamment populaires, d’avec le nouveau à peine sorti de sa boite le matin même, seulement la disproportion de téléchargements par apport à une nouveauté habituelle est tellement hallucinante qu’il pense tout d’abord à un bug de son application de suivit.
Charles du coup ne voit pas l’intérêt porter sur lui par l’ensemble de la classe, professeur inclus et qui du fait de son apparente inattention, le fait déjà passer pour un garçon froid et inaccessible, ce qui quelque part va dans le bon sens pour lui qui ne demande qu’à ce qu’on le laisse tranquille.
***/***
« Cursus d’architecture. »
Ralphy et Daniel sont assis cotes à cotes et suivent avec intérêt ce qui se passe autour d’eux, aussi bien venant des autres étudiants que venant du professeur, tout cela étant suffisamment nouveaux pour eux pour qu’ils en soient autant assidus.
Comme pour Charles, les regards de l’ensemble de la classe se portent régulièrement sur eux deux, mais à l’encontre de ce dernier, ils y répondent par de francs sourires qui désarment celui ou celle qui du coup s’en sentent gênés d’avoir été découvert.
Cette façon de faire ils la connaissent bien et depuis le secondaire a porté ses fruits en guise de tranquillité, solution idéale pour éviter que quelques personnes se sentent privilégiés et pensent qu’ils auront une chance plus que d’autres à faire d’eux plus que des amis.
Ralphy consulte son smartphone et sourit devant le nombre d’identifiants et de numéros de téléphones qu’il a rentré durant la demi-heure de libre entre deux cours.
Un coup de coude à son meilleur ami qui d’un regard comprend ce qu’il en est et lui demande.
- Combien cette fois ?
- Une trentaine et toi ?
Daniel jette un œil rapide sur son téléphone avant de répondre.
- Le double environ.
- Rhaa !! Ce n’est pas juste, je suis plus beau que toi !!
Apparemment ce n’est pas ce que pensent les étudiants ! Hi ! Hi !
- Pffttt !! Garçons ou filles ?
- Moitié moitié je dirai et toi ?
- Pareil mais je n’en suis pas étonné puisque c’est comme ça chaque année durant la première semaine de rentrée scolaire.
Daniel range son smartphone et va pour suivre le cours, quand une question lui passe par la tête.
- C’est la première fois qu’on est séparé d’avec Kai, tu penses qu’il va s’en tirer sans faire d’esclandre ?
- Après cette nuit cela devrait aller, mais il ne faudrait pas non plus qu’il rencontre quelques gros bourrins qui lui feront l’éternel rentre dedans avant de comprendre qu’ils n’ont aucunes chances.
- Oui mais je m’inquiète quand même un peu pour lui.
- Tu veux faire un pari avec moi ?
- Encore un truc bien chelou j’imagine ?
- Oh lui !! Mais non, disons que celui qui gagne devra une faveur à l’autre.
- Ok ! Quel genre de pari alors ?
- Qu’il aura comme chaque année une meute féminine qui ne le quitteront pas d’un pouce, rendant jaloux tous les mecs, soit parce qu’ils comprendront qu’il leurs sera difficiles de se trouver une meuf, soit parce qu’ils ne trouveront pas une seule occasion d’être seuls avec Kai pour tenter de le séduire.
- Tant que cela ne se termine pas comme en terminal !
Les deux copains font la même grimace en repensant à ce qui a bien failli mal, voir très mal se terminer, quand un groupe de garçons à la libido exacerbée ont voulu passer le barrage des amies de Kai et se sont retrouvés de justesse sauvée de graves blessures par l’intervention de quelques surveillants qui avaient vus le coup venir.
- Kai a toujours été le centre d’intérêt sexuel des gens qu’il côtoie, il est assez adulte maintenant pour éviter ce qui a été pour lui plus que de graves blessures morales et physiques, au point de ne plus vouloir apparaitre en public sans son masque, ses lunettes et son éternelle casquette.
- N’a-t-il pas prévu d’être à visage découvert cette fois ci ? c’est ce que j’ai cru comprendre… ou je me trompe.
- C’était bien son intention, juste que cet après-midi il est rentré dans le campus masquer comme à son habitude.
- Bah ! Laissons-lui le temps, de toute façon on connait le résultat d’avance et une fois quelques jours passés, voir tout au plus quelques semaines, ils n’y feront plus aussi attention et finalement, ils s’habitueront à le voir tous les jours.
Daniel fait une moue pas convaincue, connaissant très bien les émotions que ressentent ceux qui sont mit en la présence de Kai, lui-même tout comme Ralphy, après toutes ces années en étant encore et toujours des exemples flagrants.
Leurs chances à tous les deux étant d’avoir pu assouvir et ce dès le début de leur sexualité, cet amour immense qu’ils éprouvent pour Kai et qui par bonheur a connu la réciprocité qui sinon aurait rendu leur amitié très vite invivable.
***/**
« Cursus des arts et médias. »
Kai se gratte l’oreille droite d’une main et se frotte le nez de l’autre en se disant que quelqu’un parle sur lui, ce qui du coup ramène son attention sur ce qui l’entoure et qui le fait hésiter à prendre ce qui pour lui représente un risque majeur.
Les regards d’incompréhension de voir qu’un étudiant se cache sous un masque facial peut se lire sur chaque regard qui se pose sur lui, tout d’abord avec curiosité pour ensuite montrer combien son comportement peut avoir comme effet négatif.
Il sent un doigt lui toucher l’omoplate et se retourne, pour se retrouver devant un jeune garçon incontestablement Estrien et qui tout comme lui défraie la curiosité populaire, certes pas pour les mêmes raisons ou du moins pas celles actuelles à son encontre.
- Oui ?
- Je peux m’assoir à côté de toi ? quitte à devenir le point fixe des regards, autant ne pas leurs donnés le torticolis, qu’en penses-tu ?
- Kai en est encore à admirer inconsciemment le regard en amande d’une étrange beauté de ce jeune homme et ne fait pas attention du coup à son geste consistant à passer un doigt sous l’élastique de son masque, tandis que son autre main lui ôte ses lunettes teintées d’un geste si rapide que Kai ne voit le coup venir qu’une fois chose faite.
« Dernier cours de l’après-midi, ce jour-là. »
« Cursus scientifique industriel. »
Louis n’arrive décidemment pas à se concentrer sur le professeur donnant l’emploi du temps du prochain semestre, toute la classe s’en rend bien compte mais personne ne dit mots, le statut social du grand prince n’étant pas ici comme ailleurs quelque chose qu’il faille prendre à la légère.
Marc prend des notes pour eux deux, qu’il photocopiera pour lui en donner un exemplaire, n’ayant pour sa part pas pu lui faire décrocher une parole depuis qu’il a enfin daigné honorer le campus de sa présence.
Pourtant il voit bien les éclairs qui de temps en temps illuminent son regard et qui malgré la fatigue apparente de son copain, prouve qu’il a vécu quelque chose d’inoubliable, ce qui du coup le rend suffisamment jaloux pour qu’il boude sans même s’en rendre compte.
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« Cursus scientifique de physique des fluides, physique quantique et physique nucléaire. »
Charles écoute d’une oreille distraite les paroles du professeur principal, ayant déjà hacker depuis longtemps le programme de sa première année d’étude.
Il a l’œil fixé au cadran de sa montre qui le renseigne sur le nombre de commandes de la journée, surpris du chiffre lui semblant exorbitant qui s’affiche à chaque nouvelle mise à jour.
Bien sur il y a forcement un cumul d’achats des jeux encore suffisamment populaires, d’avec le nouveau à peine sorti de sa boite le matin même, seulement la disproportion de téléchargements par apport à une nouveauté habituelle est tellement hallucinante qu’il pense tout d’abord à un bug de son application de suivit.
Charles du coup ne voit pas l’intérêt porter sur lui par l’ensemble de la classe, professeur inclus et qui du fait de son apparente inattention, le fait déjà passer pour un garçon froid et inaccessible, ce qui quelque part va dans le bon sens pour lui qui ne demande qu’à ce qu’on le laisse tranquille.
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« Cursus d’architecture. »
Ralphy et Daniel sont assis cotes à cotes et suivent avec intérêt ce qui se passe autour d’eux, aussi bien venant des autres étudiants que venant du professeur, tout cela étant suffisamment nouveaux pour eux pour qu’ils en soient autant assidus.
Comme pour Charles, les regards de l’ensemble de la classe se portent régulièrement sur eux deux, mais à l’encontre de ce dernier, ils y répondent par de francs sourires qui désarment celui ou celle qui du coup s’en sentent gênés d’avoir été découvert.
Cette façon de faire ils la connaissent bien et depuis le secondaire a porté ses fruits en guise de tranquillité, solution idéale pour éviter que quelques personnes se sentent privilégiés et pensent qu’ils auront une chance plus que d’autres à faire d’eux plus que des amis.
Ralphy consulte son smartphone et sourit devant le nombre d’identifiants et de numéros de téléphones qu’il a rentré durant la demi-heure de libre entre deux cours.
Un coup de coude à son meilleur ami qui d’un regard comprend ce qu’il en est et lui demande.
- Combien cette fois ?
- Une trentaine et toi ?
Daniel jette un œil rapide sur son téléphone avant de répondre.
- Le double environ.
- Rhaa !! Ce n’est pas juste, je suis plus beau que toi !!
Apparemment ce n’est pas ce que pensent les étudiants ! Hi ! Hi !
- Pffttt !! Garçons ou filles ?
- Moitié moitié je dirai et toi ?
- Pareil mais je n’en suis pas étonné puisque c’est comme ça chaque année durant la première semaine de rentrée scolaire.
Daniel range son smartphone et va pour suivre le cours, quand une question lui passe par la tête.
- C’est la première fois qu’on est séparé d’avec Kai, tu penses qu’il va s’en tirer sans faire d’esclandre ?
- Après cette nuit cela devrait aller, mais il ne faudrait pas non plus qu’il rencontre quelques gros bourrins qui lui feront l’éternel rentre dedans avant de comprendre qu’ils n’ont aucunes chances.
- Oui mais je m’inquiète quand même un peu pour lui.
- Tu veux faire un pari avec moi ?
- Encore un truc bien chelou j’imagine ?
- Oh lui !! Mais non, disons que celui qui gagne devra une faveur à l’autre.
- Ok ! Quel genre de pari alors ?
- Qu’il aura comme chaque année une meute féminine qui ne le quitteront pas d’un pouce, rendant jaloux tous les mecs, soit parce qu’ils comprendront qu’il leurs sera difficiles de se trouver une meuf, soit parce qu’ils ne trouveront pas une seule occasion d’être seuls avec Kai pour tenter de le séduire.
- Tant que cela ne se termine pas comme en terminal !
Les deux copains font la même grimace en repensant à ce qui a bien failli mal, voir très mal se terminer, quand un groupe de garçons à la libido exacerbée ont voulu passer le barrage des amies de Kai et se sont retrouvés de justesse sauvée de graves blessures par l’intervention de quelques surveillants qui avaient vus le coup venir.
- Kai a toujours été le centre d’intérêt sexuel des gens qu’il côtoie, il est assez adulte maintenant pour éviter ce qui a été pour lui plus que de graves blessures morales et physiques, au point de ne plus vouloir apparaitre en public sans son masque, ses lunettes et son éternelle casquette.
- N’a-t-il pas prévu d’être à visage découvert cette fois ci ? c’est ce que j’ai cru comprendre… ou je me trompe.
- C’était bien son intention, juste que cet après-midi il est rentré dans le campus masquer comme à son habitude.
- Bah ! Laissons-lui le temps, de toute façon on connait le résultat d’avance et une fois quelques jours passés, voir tout au plus quelques semaines, ils n’y feront plus aussi attention et finalement, ils s’habitueront à le voir tous les jours.
Daniel fait une moue pas convaincue, connaissant très bien les émotions que ressentent ceux qui sont mit en la présence de Kai, lui-même tout comme Ralphy, après toutes ces années en étant encore et toujours des exemples flagrants.
Leurs chances à tous les deux étant d’avoir pu assouvir et ce dès le début de leur sexualité, cet amour immense qu’ils éprouvent pour Kai et qui par bonheur a connu la réciprocité qui sinon aurait rendu leur amitié très vite invivable.
***/**
« Cursus des arts et médias. »
Kai se gratte l’oreille droite d’une main et se frotte le nez de l’autre en se disant que quelqu’un parle sur lui, ce qui du coup ramène son attention sur ce qui l’entoure et qui le fait hésiter à prendre ce qui pour lui représente un risque majeur.
Les regards d’incompréhension de voir qu’un étudiant se cache sous un masque facial peut se lire sur chaque regard qui se pose sur lui, tout d’abord avec curiosité pour ensuite montrer combien son comportement peut avoir comme effet négatif.
Il sent un doigt lui toucher l’omoplate et se retourne, pour se retrouver devant un jeune garçon incontestablement Estrien et qui tout comme lui défraie la curiosité populaire, certes pas pour les mêmes raisons ou du moins pas celles actuelles à son encontre.
- Oui ?
- Je peux m’assoir à côté de toi ? quitte à devenir le point fixe des regards, autant ne pas leurs donnés le torticolis, qu’en penses-tu ?
- Kai en est encore à admirer inconsciemment le regard en amande d’une étrange beauté de ce jeune homme et ne fait pas attention du coup à son geste consistant à passer un doigt sous l’élastique de son masque, tandis que son autre main lui ôte ses lunettes teintées d’un geste si rapide que Kai ne voit le coup venir qu’une fois chose faite.
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