18-08-2020, 09:01 AM
2eme ANNEE 1er semestre, 2ème partie : (17 / 100) (Deuxième Pont de Novembre) (Paris)
Gare de l’Est quand ils arrivent, plusieurs cris leur font tourner la tête et c’est avec un énorme plaisir qu’ils voient leurs trois amis courir vers eux en hurlant de joie.
L’accolade en pleine gare leur vaut de nombreux regards de la part des gens autour d’eux, surpris d’autant de bruits faits par aussi peu de personnes.
Vue l’heure, ils décident de se faire un bon restau et prennent un taxi qui accepte de prendre cinq personnes moyennant un supplément.
Arrivés devant le forum des halles, ils en descendent et Yuan tend sa carte d’abonnement au chauffeur qui enregistre le paiement et repart quelques secondes plus tard.
Thomas qui regarde admiratif autour de lui.
- Ça a l’air bien comme quartier ?
Chan qui connaît bien et pour cause.
- Oui mais ça dépend des rues aussi.
- (Thomas curieux) Ah bon !!
Chan en lui montrant de la main.
- Ce coin-là est assez réputé « Bobo » alors que par là c’est plutôt la route du sexe, tu n’as jamais entendu parler du gaie Paris.
- Si bien sûr mais je ne savais pas où c’était.
- (Chan moqueur) Eh bien comme ça, c’est fait, suivez-moi ! Je connais un bon restau, vous m’en direz des nouvelles.
Pendant le court trajet à pieds, Chan explique à ses amis la réputation des lieux ainsi que le nom des rues ou les sex-shops et autres peep-show sont tellement l’un près de l’autre que quasiment aucune autre boutique n’y a pignon sur rue à part quelques bars spécialisés dans la prostitution et les rencontres par genre.
Il explique aussi comment fonctionnent le proxénétisme et les différentes composantes qu’on peut y trouver suivant dans quelle rue on se trouve.
Les trois garçons l’écoutent avec une moue dégoûtée, ils ne leur viendraient pas à l’idée de fréquenter ce genre d’endroits et sont surpris que leur copain en sache autant.
- (Yuan) Tu m’as l’air de bien connaître tous ses endroits ?
- (Chan en palissant) Hélas oui ! C’est là où j’ai plongé dans la drogue alors pour connaître, je connais.
Une question me brûle les lèvres :
- Tu t’es déjà tapé des putes ?
- (Chan sincère) Non ! J’avoue avoir été tenté plusieurs fois mais non, jamais. Pourtant il y en a qui sont super-bien gaulés et aussi bien des mecs que des filles.
- (Yuan dégoûté) Pouah !! Comment peut-on en arriver là ? Je te demande un peu.
- (Chan) Tout le monde n’est pas né avec une cuillère en argent dans la bouche comme nous, tu sais ?
- (Thomas en frémissant) Brreee !! Bonjour les maladies.
- (Chan) Sûr !! Bon ! Nous sommes arrivés les gars, vous m’en direz des nouvelles.
Le restaurant nommé « les trois cochons » paraît en effet assez select et les prix affichés sur la carte sont loin de les détromper.
- (Thomas) Oulah !! C’est bien trop cher pour moi, rien que le prix d’une entrée suffirait à nous nourrir tous les quatre ailleurs.
- (Chan) T’inquiète « Thom » ! C’est moi qui invite.
- (Thomas gêné) Oui mais quand même !
Yuan regarde le grand blond avec un regard pétillant d’amitié.
- Tu sais Thomas, ce n’est pas dans la tombe qu’on mettra notre pognon alors autant en profiter maintenant.
Je prends mon ami par la main et l’entraîne à l’intérieur.
- Faudra bien que tu t’y habitues, n’oublie pas que tu es le futur PDG d’une multinationale. Allons voir si c’est aussi bon que c’est cher, j’espère juste qu’il y aura une ambiance sympa.
Chan attrape Dante par la main car le jeune homme à l’instar de Thomas reste figé devant les prix qui lui semblent exorbitants pour son salaire de libraire.
- Et toi c’est pareil même si tu n’es pas encore un futur chef d’entreprise n’oublie pas que nous sommes ensemble et que tout ce qui est à moi est aussi à toi. Et puis au diable l’argent, il est fait pour ça après tout.
Nous ne disons plus rien mais comprenons que nos deux amis n’ont pas été éduqués comme nous l’avons été à vivre comme tout un chacun et que pour eux les réserves que nous émettons leur semblent pour le moins incompréhensibles.
Le serveur qui nous accueille nous détaille de la tête aux pieds et ne serait-ce notre physique qui apparemment lui inspire confiance voire plus, il est certain qu’il nous aurait certainement priés de sortir ce que d’ailleurs son patron qui s’avance rapidement vers nous est prêt à faire en nous faisant remarquer poliment malgré tout et avec tact que son établissement n’était certainement pas pour la bourse de jeunes étudiants comme nous.
C’est quand Chan sort de son portefeuille sa carte gold et qu’il lui demande si ce sera suffisant que l’homme change du tout au tout et prie son chef de rang de nous mener jusqu’à notre table.
Je suis le garçon légèrement énervé.
- Il se prend pour qui ton taulier ?
Le serveur avec un petit sourire en coin me répond à voix basse.
- Ton copain lui a coupé la chique avec sa carte gold, désolé pour l’accueil mais ce n’était pas comme ça du temps de l’ancien proprio.
D’une voix plus forte :
- Cette table vous convient ? C’est la plus tranquille, c’est moi qui m’occuperais de vous si vous voulez.
Thomas se plante devant lui et lui adresse le sourire qui tue, il s’amuse de la rougeur quasiment instantanée que prennent les joues du jeune homme.
- Ah oui !! Et de quelle façon ?
Nous restons tous les trois comme deux ronds de flans car il ne nous avait jamais habitués à autant d’effronteries, il s’en rend compte avec amusement et s’assoit tranquillement sans laisser au garçon rester figer le temps de se remettre de cette question pour le moins ambiguë.
Nous attendons qu’il reparte chercher les cartes, le visage rouge comme une tomate pour nous asseoir à notre tour et nous moquer de Thomas et de sa dernière répartie.
2eme ANNEE 1er semestre, 2ème partie : (18 / 100) (Le stage de conduite sur circuit)
Maxime et Julien arrivent dans le centre de formation à la conduite sportive et se présentent à l’accueil, l’hôtesse qui les reçoit après s’être enquise de leurs pièces d’identité, leur fait signer différents formulaires et assurances puis les dirige vers les chambres qui leur sont réservées pour les deux nuits qu’ils vont passer au centre.
- (L’hôtesse) Voilà messieurs, je vous souhaite un bon séjour parmi nous, n’oubliez pas votre premier cours théorique qui débute à quatorze heures. Rendez-vous au rez-de-chaussée près de l’entrée principale, un moniteur vous prendra en charge.
- (Maxime) Merci beaucoup pour votre accueil mademoiselle.
La jeune fille sourit aux deux garçons qu’elle trouve très à son goût, une fois seul dans le couloir Maxime et Julien se regardent chacun devant une porte de chambre.
- (Julien amusé) On prend laquelle ?
Maxime avec un grand sourire.
- Chacun la nôtre sinon ça semblera louche, rien ne nous empêchera de nous retrouver la nuit.
- Pourquoi tu as pris deux chambres ? Tu as honte d’être avec moi ou quoi ?
- Mais non banane !! Juste que c’était comme ça dans le forfait !!
- Alors pourquoi tu n’en rends pas une ?
- (Maxime en soupirant) Parce qu’ici c’est un monde de macho et que je ne sais pas trop comment ils réagiraient en nous sachant en couple. Suffit de montrer que nous les occupons toutes les deux mais rien n’empêche qu’on dorme ensemble.
- (Julien pas convaincu) Ouaih !! Bon si tu le dis !
- Allez ! Va poser tes affaires dans ta chambre, on a juste le temps d’aller casser une croûte avant que ça commence.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Après un sandwich avalé vite fait sur le pouce, ils retrouvent un groupe de personnes dans l’entrée qui apparemment participent eux aussi au stage.
Un gars souriant en tenue de compétition arrive quelques minutes plus tard et leur demande de le suivre jusque dans une pièce assez grande remplie de fauteuils qui font face à un mur visiblement destiné à la vidéo projection.
Une fois tous installés, il note les présents sur sa feuille de route et leur présente ensuite le planning des deux jours et demi qu’ils vont passer tous ensemble. Les matinées étant destinées à la théorie ainsi qu’à la mécanique et les après-midi aux leçons de conduite et aux compétitions sur piste.
La bonne humeur est de mise car bien sûr tous sont en vacances et venus là pour s’éclater ensemble, aussi les deux premières heures passent-elles sans qu’ils s’en rendent vraiment compte tellement leur instructeur a la passion de son métier et sait la transmettre à ses élèves.
En milieu d’après-midi, il leur demande de le suivre pour leur montrer les engins qu’ils vont piloter pendant le stage.
Les Porsche alignées sur le parking allument les regards de convoitises des jeunes hommes et femmes qui frétillent à l’idée d’en être bientôt au volant.
Maxime en a les yeux qui brillent tellement la vue de ses magnifiques voitures le transporte dans ses rêves les plus fous. Lui qui ne rate jamais les courses de Formule 1 quand ils passent les grands prix à la télé, se dit que ça va bientôt être son tour de ressentir les sensations sublimes de la vitesse.
Julien est un petit peu moins enthousiaste car lui qui est d’un naturel prudent, craint un peu de ne pas pouvoir maîtriser suffisamment ses engins et de terminer bon dernier derrière toute cette troupe d’aficionados qu’il entend vanter les centaines de chevaux enfermés sous le capot des bolides garés devant leurs yeux.
Ils ont droit malgré tout chacun à un tour de piste avant que la liberté leur soit rendue et que le rendez-vous pour le lendemain matin tôt soit pris.
La soirée entièrement libre passe à lier des amitiés autour de la passion automobile qui les réunit tous ensemble en ce lieu réputé et connu partout en France pour ses courses fabuleuses.
Le repas du soir est l’occasion pour eux de fêter leur début de stage, un chahut bonne enfant couronne la soirée jusqu’à ce qu’il soit l’heure de regagner les chambres afin d’être frais et dispos pour le lendemain matin.
Julien arrivé devant la porte de sa chambre s’adresse à son compagnon.
- Dites-moi jeune homme ? Seriez-vous partant pour venir prendre un dernier verre ?
Maxime amusé mais aussi excité de la bouille que fait son copain en lui demandant ça.
- Avec plaisir mon garçon ! Juste le temps de prendre une petite douche et de me changer et j’arrive.
Julien en riant car il a bien remarqué lui aussi le regard brûlant de désir de son ami.
- Bonne idée Hi ! Hi ! Ça va éteindre l’incendie que je vois dans tes yeux Hi ! Hi !
- Attends mon gaillard ! Tu vas voir l’incendie ce qu’il te réserve.
- Hum !! N’oublie pas que demain nous devons être en forme.
- Fallait pas me chercher ! Je te rejoins dans un petit quart d’heure alors profites-en pour te faire tout beau toi aussi.
Julien en rentrant dans sa chambre.
- Je ne sais pas ce qu’il te faut de plus Hi ! Hi ! Je suis déjà tout beau de nature Hi ! Hi !
2eme ANNEE 1er semestre, 2ème partie : (19 / 100) (Le stage de conduite sur circuit) (suite)
Il referme la porte derrière lui en souriant, ces quelques phrases échangées et le fait de faire chambre à part l’émoustille fortement et une énorme envie de sexe lui redresse soudainement le membre qui se retrouve vite à l’étroit dans son pantalon.
Le passage sous la douche se fait à la vitesse supersonique et c’est allongé lascivement sur le lit qu’il attend que son homme entre pour venir le combler de la meilleure des façons qui soient.
Maxime sort de sa chambre peu après, une simple serviette de bain enroulée sur ses hanches avec le devant qui pointe de façon subjective et tenant ses affaires de rechange pour le lendemain sous le bras, il entre dans la chambre de Julien et s’arrête un instant subjugué par la vision qu’il a de ce magnifique garçon alangui sur le lit les fesses offertes à son regard.
Il entre et referme derrière lui en prenant soin de verrouiller la porte, il détache la serviette qui tombe à même le sol et vient recouvrir de son corps frémissant celui de son compagnon qui frissonne de bien-être au contact de sa peau.
Julien remue doucement les fesses pour bien faire rouler dans son sillon le sexe en érection de Maxime qui le laisse faire sans bouger, appréciant au plus haut point ses petits mouvements excitants sur sa queue.
Ses lèvres couvrent la nuque et le cou de son ami de baisers enflammés qui amènent très vite de celui-ci les petits râles rauques montrant combien il les apprécie.
Maxime sent bien qu’il ne tiendra pas bien longtemps s’il se laisse caresser de cette façon, il décide alors de changer de position et faisant se retourner Julien, il se place tête bêche au-dessus de lui et sa bouche avale avec gourmandise le sexe palpitant qui ne demande pas mieux.
La réciprocité étant de toute évidence le but recherché, ils se retrouvent très vite dans un ensemble parfait à s’octroyer cette caresse buccale qu’ils apprécient tout autant l’un que l’autre.
Julien profite qu’il a les mains libres pour malaxer doucement les couilles pendantes qu’il a sous les yeux et d’investir de l’autre main le sillon ombré de poils brun jusqu’à y titiller l’anus encore humide de la douche et qui palpite d’envie qu’il aille beaucoup plus loin dans sa caresse.
De son côté Maxime relève à son tour les cuisses de son ami et sa langue parcourt lentement la hampe bandante pour venir lécher les bourses et à son tour après avoir pris un temps infini à y tenter de pénétrer la corolle sombre à l’odeur enivrante.
Julien est pris de court, les caresses lancinantes venant de la bouche de Maxime l’amène très vite à perdre le contrôle de son corps et de son sexe jaillit sa semence en jets brefs accompagnés des soubresauts de son corps pris par l’orgasme qui l’a surpris tel un gamin à ses premiers émois.
Maxime est plutôt fier de son petit effet sur son compagnon, sentant bien qu’il n’est pas loin également de faire comme lui tellement l’excitation de voir jouir Julien est forte, il se redresse et se repositionne face à face avec lui en lui soulevant les cuisses et en le pénétrant avec douceur jusqu’à être entièrement dans son corps.
Il laisse un temps d’attente suffisant pour que cette gaine soyeuse l’accepte sans douleur et commence à le saillir crescendo jusqu’à ce que son ami reparte dans des sensations encore plus fortes de plaisirs sous ses coups virils et répétés.
Julien geint maintenant en continu sous les sensations intenses qui déferlent dans son corps, ce qui rend son compagnon encore plus excité et accélère la puissance de ses va et vient jusqu’à ce que lui aussi reconnaisse la montée ravageuse de l’orgasme et qu’il s’épanche bruyamment au plus profond de l’intimité de son ami en le remplissant de sa sève brûlante.
Cette fois-ci les deux garçons restent amorphes et vidés de toute énergie, il leur faut un certain temps avant que Maxime se décide à bouger et que son sexe encore en pleine gloire ressorte doucement en laissant un grand vide dans les intestins de Julien qui en grogne de mécontentement.
- Rrr !! Pourquoi tu te retires déjà ? J’étais si bien comme ça.
Maxime sourit et lui vole un baiser avant de se relever pour récupérer la serviette éponge traînant au sol devant la porte afin de venir essuyer la poitrine de son compagnon couverte de son sperme.
- Moi aussi mais il faut qu’on dorme maintenant sinon demain on ne va pas pouvoir se lever.
Julien le fixe tendrement en tapotant le lit près de lui.
- Viens te coucher alors et serre moi fort dans tes bras que je fasse de beaux rêves.
Maxime sourit tendrement, il éteint la lumière et vient comme demandé se serrer tout contre son homme qui tourne la tête pour un dernier bisou et se blottit tout contre lui pour s’endormir presque immédiatement.
Il entend malgré tout la petite phrase de Maxime qui lui va droit au cœur et le fait frissonner.
- Dors mon cœur, je t’aime.
Gare de l’Est quand ils arrivent, plusieurs cris leur font tourner la tête et c’est avec un énorme plaisir qu’ils voient leurs trois amis courir vers eux en hurlant de joie.
L’accolade en pleine gare leur vaut de nombreux regards de la part des gens autour d’eux, surpris d’autant de bruits faits par aussi peu de personnes.
Vue l’heure, ils décident de se faire un bon restau et prennent un taxi qui accepte de prendre cinq personnes moyennant un supplément.
Arrivés devant le forum des halles, ils en descendent et Yuan tend sa carte d’abonnement au chauffeur qui enregistre le paiement et repart quelques secondes plus tard.
Thomas qui regarde admiratif autour de lui.
- Ça a l’air bien comme quartier ?
Chan qui connaît bien et pour cause.
- Oui mais ça dépend des rues aussi.
- (Thomas curieux) Ah bon !!
Chan en lui montrant de la main.
- Ce coin-là est assez réputé « Bobo » alors que par là c’est plutôt la route du sexe, tu n’as jamais entendu parler du gaie Paris.
- Si bien sûr mais je ne savais pas où c’était.
- (Chan moqueur) Eh bien comme ça, c’est fait, suivez-moi ! Je connais un bon restau, vous m’en direz des nouvelles.
Pendant le court trajet à pieds, Chan explique à ses amis la réputation des lieux ainsi que le nom des rues ou les sex-shops et autres peep-show sont tellement l’un près de l’autre que quasiment aucune autre boutique n’y a pignon sur rue à part quelques bars spécialisés dans la prostitution et les rencontres par genre.
Il explique aussi comment fonctionnent le proxénétisme et les différentes composantes qu’on peut y trouver suivant dans quelle rue on se trouve.
Les trois garçons l’écoutent avec une moue dégoûtée, ils ne leur viendraient pas à l’idée de fréquenter ce genre d’endroits et sont surpris que leur copain en sache autant.
- (Yuan) Tu m’as l’air de bien connaître tous ses endroits ?
- (Chan en palissant) Hélas oui ! C’est là où j’ai plongé dans la drogue alors pour connaître, je connais.
Une question me brûle les lèvres :
- Tu t’es déjà tapé des putes ?
- (Chan sincère) Non ! J’avoue avoir été tenté plusieurs fois mais non, jamais. Pourtant il y en a qui sont super-bien gaulés et aussi bien des mecs que des filles.
- (Yuan dégoûté) Pouah !! Comment peut-on en arriver là ? Je te demande un peu.
- (Chan) Tout le monde n’est pas né avec une cuillère en argent dans la bouche comme nous, tu sais ?
- (Thomas en frémissant) Brreee !! Bonjour les maladies.
- (Chan) Sûr !! Bon ! Nous sommes arrivés les gars, vous m’en direz des nouvelles.
Le restaurant nommé « les trois cochons » paraît en effet assez select et les prix affichés sur la carte sont loin de les détromper.
- (Thomas) Oulah !! C’est bien trop cher pour moi, rien que le prix d’une entrée suffirait à nous nourrir tous les quatre ailleurs.
- (Chan) T’inquiète « Thom » ! C’est moi qui invite.
- (Thomas gêné) Oui mais quand même !
Yuan regarde le grand blond avec un regard pétillant d’amitié.
- Tu sais Thomas, ce n’est pas dans la tombe qu’on mettra notre pognon alors autant en profiter maintenant.
Je prends mon ami par la main et l’entraîne à l’intérieur.
- Faudra bien que tu t’y habitues, n’oublie pas que tu es le futur PDG d’une multinationale. Allons voir si c’est aussi bon que c’est cher, j’espère juste qu’il y aura une ambiance sympa.
Chan attrape Dante par la main car le jeune homme à l’instar de Thomas reste figé devant les prix qui lui semblent exorbitants pour son salaire de libraire.
- Et toi c’est pareil même si tu n’es pas encore un futur chef d’entreprise n’oublie pas que nous sommes ensemble et que tout ce qui est à moi est aussi à toi. Et puis au diable l’argent, il est fait pour ça après tout.
Nous ne disons plus rien mais comprenons que nos deux amis n’ont pas été éduqués comme nous l’avons été à vivre comme tout un chacun et que pour eux les réserves que nous émettons leur semblent pour le moins incompréhensibles.
Le serveur qui nous accueille nous détaille de la tête aux pieds et ne serait-ce notre physique qui apparemment lui inspire confiance voire plus, il est certain qu’il nous aurait certainement priés de sortir ce que d’ailleurs son patron qui s’avance rapidement vers nous est prêt à faire en nous faisant remarquer poliment malgré tout et avec tact que son établissement n’était certainement pas pour la bourse de jeunes étudiants comme nous.
C’est quand Chan sort de son portefeuille sa carte gold et qu’il lui demande si ce sera suffisant que l’homme change du tout au tout et prie son chef de rang de nous mener jusqu’à notre table.
Je suis le garçon légèrement énervé.
- Il se prend pour qui ton taulier ?
Le serveur avec un petit sourire en coin me répond à voix basse.
- Ton copain lui a coupé la chique avec sa carte gold, désolé pour l’accueil mais ce n’était pas comme ça du temps de l’ancien proprio.
D’une voix plus forte :
- Cette table vous convient ? C’est la plus tranquille, c’est moi qui m’occuperais de vous si vous voulez.
Thomas se plante devant lui et lui adresse le sourire qui tue, il s’amuse de la rougeur quasiment instantanée que prennent les joues du jeune homme.
- Ah oui !! Et de quelle façon ?
Nous restons tous les trois comme deux ronds de flans car il ne nous avait jamais habitués à autant d’effronteries, il s’en rend compte avec amusement et s’assoit tranquillement sans laisser au garçon rester figer le temps de se remettre de cette question pour le moins ambiguë.
Nous attendons qu’il reparte chercher les cartes, le visage rouge comme une tomate pour nous asseoir à notre tour et nous moquer de Thomas et de sa dernière répartie.
2eme ANNEE 1er semestre, 2ème partie : (18 / 100) (Le stage de conduite sur circuit)
Maxime et Julien arrivent dans le centre de formation à la conduite sportive et se présentent à l’accueil, l’hôtesse qui les reçoit après s’être enquise de leurs pièces d’identité, leur fait signer différents formulaires et assurances puis les dirige vers les chambres qui leur sont réservées pour les deux nuits qu’ils vont passer au centre.
- (L’hôtesse) Voilà messieurs, je vous souhaite un bon séjour parmi nous, n’oubliez pas votre premier cours théorique qui débute à quatorze heures. Rendez-vous au rez-de-chaussée près de l’entrée principale, un moniteur vous prendra en charge.
- (Maxime) Merci beaucoup pour votre accueil mademoiselle.
La jeune fille sourit aux deux garçons qu’elle trouve très à son goût, une fois seul dans le couloir Maxime et Julien se regardent chacun devant une porte de chambre.
- (Julien amusé) On prend laquelle ?
Maxime avec un grand sourire.
- Chacun la nôtre sinon ça semblera louche, rien ne nous empêchera de nous retrouver la nuit.
- Pourquoi tu as pris deux chambres ? Tu as honte d’être avec moi ou quoi ?
- Mais non banane !! Juste que c’était comme ça dans le forfait !!
- Alors pourquoi tu n’en rends pas une ?
- (Maxime en soupirant) Parce qu’ici c’est un monde de macho et que je ne sais pas trop comment ils réagiraient en nous sachant en couple. Suffit de montrer que nous les occupons toutes les deux mais rien n’empêche qu’on dorme ensemble.
- (Julien pas convaincu) Ouaih !! Bon si tu le dis !
- Allez ! Va poser tes affaires dans ta chambre, on a juste le temps d’aller casser une croûte avant que ça commence.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Après un sandwich avalé vite fait sur le pouce, ils retrouvent un groupe de personnes dans l’entrée qui apparemment participent eux aussi au stage.
Un gars souriant en tenue de compétition arrive quelques minutes plus tard et leur demande de le suivre jusque dans une pièce assez grande remplie de fauteuils qui font face à un mur visiblement destiné à la vidéo projection.
Une fois tous installés, il note les présents sur sa feuille de route et leur présente ensuite le planning des deux jours et demi qu’ils vont passer tous ensemble. Les matinées étant destinées à la théorie ainsi qu’à la mécanique et les après-midi aux leçons de conduite et aux compétitions sur piste.
La bonne humeur est de mise car bien sûr tous sont en vacances et venus là pour s’éclater ensemble, aussi les deux premières heures passent-elles sans qu’ils s’en rendent vraiment compte tellement leur instructeur a la passion de son métier et sait la transmettre à ses élèves.
En milieu d’après-midi, il leur demande de le suivre pour leur montrer les engins qu’ils vont piloter pendant le stage.
Les Porsche alignées sur le parking allument les regards de convoitises des jeunes hommes et femmes qui frétillent à l’idée d’en être bientôt au volant.
Maxime en a les yeux qui brillent tellement la vue de ses magnifiques voitures le transporte dans ses rêves les plus fous. Lui qui ne rate jamais les courses de Formule 1 quand ils passent les grands prix à la télé, se dit que ça va bientôt être son tour de ressentir les sensations sublimes de la vitesse.
Julien est un petit peu moins enthousiaste car lui qui est d’un naturel prudent, craint un peu de ne pas pouvoir maîtriser suffisamment ses engins et de terminer bon dernier derrière toute cette troupe d’aficionados qu’il entend vanter les centaines de chevaux enfermés sous le capot des bolides garés devant leurs yeux.
Ils ont droit malgré tout chacun à un tour de piste avant que la liberté leur soit rendue et que le rendez-vous pour le lendemain matin tôt soit pris.
La soirée entièrement libre passe à lier des amitiés autour de la passion automobile qui les réunit tous ensemble en ce lieu réputé et connu partout en France pour ses courses fabuleuses.
Le repas du soir est l’occasion pour eux de fêter leur début de stage, un chahut bonne enfant couronne la soirée jusqu’à ce qu’il soit l’heure de regagner les chambres afin d’être frais et dispos pour le lendemain matin.
Julien arrivé devant la porte de sa chambre s’adresse à son compagnon.
- Dites-moi jeune homme ? Seriez-vous partant pour venir prendre un dernier verre ?
Maxime amusé mais aussi excité de la bouille que fait son copain en lui demandant ça.
- Avec plaisir mon garçon ! Juste le temps de prendre une petite douche et de me changer et j’arrive.
Julien en riant car il a bien remarqué lui aussi le regard brûlant de désir de son ami.
- Bonne idée Hi ! Hi ! Ça va éteindre l’incendie que je vois dans tes yeux Hi ! Hi !
- Attends mon gaillard ! Tu vas voir l’incendie ce qu’il te réserve.
- Hum !! N’oublie pas que demain nous devons être en forme.
- Fallait pas me chercher ! Je te rejoins dans un petit quart d’heure alors profites-en pour te faire tout beau toi aussi.
Julien en rentrant dans sa chambre.
- Je ne sais pas ce qu’il te faut de plus Hi ! Hi ! Je suis déjà tout beau de nature Hi ! Hi !
2eme ANNEE 1er semestre, 2ème partie : (19 / 100) (Le stage de conduite sur circuit) (suite)
Il referme la porte derrière lui en souriant, ces quelques phrases échangées et le fait de faire chambre à part l’émoustille fortement et une énorme envie de sexe lui redresse soudainement le membre qui se retrouve vite à l’étroit dans son pantalon.
Le passage sous la douche se fait à la vitesse supersonique et c’est allongé lascivement sur le lit qu’il attend que son homme entre pour venir le combler de la meilleure des façons qui soient.
Maxime sort de sa chambre peu après, une simple serviette de bain enroulée sur ses hanches avec le devant qui pointe de façon subjective et tenant ses affaires de rechange pour le lendemain sous le bras, il entre dans la chambre de Julien et s’arrête un instant subjugué par la vision qu’il a de ce magnifique garçon alangui sur le lit les fesses offertes à son regard.
Il entre et referme derrière lui en prenant soin de verrouiller la porte, il détache la serviette qui tombe à même le sol et vient recouvrir de son corps frémissant celui de son compagnon qui frissonne de bien-être au contact de sa peau.
Julien remue doucement les fesses pour bien faire rouler dans son sillon le sexe en érection de Maxime qui le laisse faire sans bouger, appréciant au plus haut point ses petits mouvements excitants sur sa queue.
Ses lèvres couvrent la nuque et le cou de son ami de baisers enflammés qui amènent très vite de celui-ci les petits râles rauques montrant combien il les apprécie.
Maxime sent bien qu’il ne tiendra pas bien longtemps s’il se laisse caresser de cette façon, il décide alors de changer de position et faisant se retourner Julien, il se place tête bêche au-dessus de lui et sa bouche avale avec gourmandise le sexe palpitant qui ne demande pas mieux.
La réciprocité étant de toute évidence le but recherché, ils se retrouvent très vite dans un ensemble parfait à s’octroyer cette caresse buccale qu’ils apprécient tout autant l’un que l’autre.
Julien profite qu’il a les mains libres pour malaxer doucement les couilles pendantes qu’il a sous les yeux et d’investir de l’autre main le sillon ombré de poils brun jusqu’à y titiller l’anus encore humide de la douche et qui palpite d’envie qu’il aille beaucoup plus loin dans sa caresse.
De son côté Maxime relève à son tour les cuisses de son ami et sa langue parcourt lentement la hampe bandante pour venir lécher les bourses et à son tour après avoir pris un temps infini à y tenter de pénétrer la corolle sombre à l’odeur enivrante.
Julien est pris de court, les caresses lancinantes venant de la bouche de Maxime l’amène très vite à perdre le contrôle de son corps et de son sexe jaillit sa semence en jets brefs accompagnés des soubresauts de son corps pris par l’orgasme qui l’a surpris tel un gamin à ses premiers émois.
Maxime est plutôt fier de son petit effet sur son compagnon, sentant bien qu’il n’est pas loin également de faire comme lui tellement l’excitation de voir jouir Julien est forte, il se redresse et se repositionne face à face avec lui en lui soulevant les cuisses et en le pénétrant avec douceur jusqu’à être entièrement dans son corps.
Il laisse un temps d’attente suffisant pour que cette gaine soyeuse l’accepte sans douleur et commence à le saillir crescendo jusqu’à ce que son ami reparte dans des sensations encore plus fortes de plaisirs sous ses coups virils et répétés.
Julien geint maintenant en continu sous les sensations intenses qui déferlent dans son corps, ce qui rend son compagnon encore plus excité et accélère la puissance de ses va et vient jusqu’à ce que lui aussi reconnaisse la montée ravageuse de l’orgasme et qu’il s’épanche bruyamment au plus profond de l’intimité de son ami en le remplissant de sa sève brûlante.
Cette fois-ci les deux garçons restent amorphes et vidés de toute énergie, il leur faut un certain temps avant que Maxime se décide à bouger et que son sexe encore en pleine gloire ressorte doucement en laissant un grand vide dans les intestins de Julien qui en grogne de mécontentement.
- Rrr !! Pourquoi tu te retires déjà ? J’étais si bien comme ça.
Maxime sourit et lui vole un baiser avant de se relever pour récupérer la serviette éponge traînant au sol devant la porte afin de venir essuyer la poitrine de son compagnon couverte de son sperme.
- Moi aussi mais il faut qu’on dorme maintenant sinon demain on ne va pas pouvoir se lever.
Julien le fixe tendrement en tapotant le lit près de lui.
- Viens te coucher alors et serre moi fort dans tes bras que je fasse de beaux rêves.
Maxime sourit tendrement, il éteint la lumière et vient comme demandé se serrer tout contre son homme qui tourne la tête pour un dernier bisou et se blottit tout contre lui pour s’endormir presque immédiatement.
Il entend malgré tout la petite phrase de Maxime qui lui va droit au cœur et le fait frissonner.
- Dors mon cœur, je t’aime.
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=71.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 3
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=69.0 le colocataire
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=267.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 4
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=86.0 Florian 18 ans surdoué li
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