07-04-2023, 04:57 PM
- On file à la douche, mauvaise troupe. Et je ne veux pas entendre que vous en avez déjà pris une hier.
- Tu la prends avec nous, Papa ?
- Bien sûr. Allez, on y va.
- Bonjour, Mamé Victoria.
- Bonjour Victoria.
- Bonjour tout le monde. Vous avez bien dormi ?
- Oui mais comme on avait un peu peur on a dormi avec Papa, et Hans il a dormi à notre place et il dort encore.
- Il va falloir aller le réveiller dans une demi-heure, s’il n’est pas levé, parce que les premiers invités ne vont pas tarder à arriver.
- On pourra y aller, Papa ?
- Prenez votre petit déjeuner avant.
- On a déjà mangé à la cuisine ce matin, Mamé.
- Et puis on est allé jouer dans le parc avec Papa.
- On peut regarder la télé ?
- Si vous voulez mais pas longtemps.
Je jetais un œil aux garçons qui ne regardaient plus le dessin animé mais qui passaient leurs mains dans les fentes des fauteuils et des canapés.
- Vous faites quoi, les crapauds ?
- On cherche des trésors, on en a déjà trouvé plein. On a bientôt fini de chercher. Y'a encore une pièce et puis je crois qu'on a tout trouvé.
- Apportez-nous ça qu'on voit aussi.
- Voilà, c'est tout ce qu'on a trouvé.
- Mon dieu ma bague de fiançailles et ma boucle d'oreille en diamant. Je ne pensais jamais les revoir. Merci les garçons. Je me demande bien à qui peut appartenir cette autre bague et cette chevalière.
- La chevalière, je la reconnais, elle est au Prince Henry ou Harry, comme tout le monde l’appelle. C'est la deuxième fois qu'il la perd.
- Il y a des pièces qui datent de mon grand-père.
- C'est lesquelles Mamé ?
- C'est celles-là. Celles de George V.
- On peut les garder Mamé ?
- Si vous voulez, après tout c'est vous qui les avez trouvées. Mais ne les perdez pas.
- Non, on les donnera à Mamy Agnès, elle les mettra avec celles que le Papé Cyprien nous a donné. Mais elle les garde et elle nous les donnera quand on sera grands.
- Il serait temps d'aller réveiller Hans. Il est l’heure.
- Réveille-toi Hans. Mamé a dit que les autres vont arriver bientôt.
- Jean-François, les jumeaux venez ici s'il vous plaît. Je vous présente votre oncle Charles. Charles, je te présente Jean-François, lui c'est Augustin et lui Cyprien.
Après un enchanté, il alla retrouver ses cousins. La journée s'annonçait bien ! Une dernière voiture arriva. William et Henry en sortirent. Les 'cousins' allèrent vite faire de la lèche. Et William et Henri, ou Harry si vous préférez, jouaient le jeu.
- C'est qui eux, Papa ?
- C'est des frères, le grand s'appelle William et l'autre c'est Harry.
- C'est nos cousins aussi ?
- Oui, enfin, pas comme les enfants de Antho, ni ceux de Audrey. Ils sont plus éloignés.
- Ils sont gentils, eux, parce que les autres ils sont un peu cons, pas vrai ?
- Papa, Gus, il a dit un gros mot. Il a dit con !
- Oui Chip, j'ai entendu. Mais ce n'est pas la peine de le répéter. Et toi Gus tu tiens ta langue dans ta poche et tu ne dis plus des gros mots.
- Papa, ils viennent vers nous.
- Oui, ils viennent nous dire bonjour.
- William, Harry je vous présente…
- Jean-François, c'est bien ça, l’ami ?
- En effet Harry tu as bonne mémoire.
- Vous vous connaissez ?
- Oui Nick, on s'est rencontré il y a 4 ou 5 ans lors d'une soirée et d'un repas.
- Et, là, ce sont tes enfants ?
- Je vous présente Augustin et lui c'est Cyprien.
- Harry, Mamé Victoria a dit que tu choisisses une de nos mains.
- Celle-là.
- Perdu. Tu dois en choisir une autre.
- Celle-là, alors.
- C'est nous qui l'avons trouvé dans le canapé tout à l’heure.
- C'est de famille de retrouver ma chevalière. C'est ma grand-mère qui va être heureuse de la revoir à mon doigt. Ça en fait deux que je te dois, Jean-François.
- Ah non, tu m'en dois une et une, à eux. Je n'y suis pour rien cette fois. Je n'ai fait que la reconnaître.
Après le café on alla faire du cheval. Les grands partirent faire une balade en forêt tandis que je restais avec les garçons et Victoria. Un palefrenier arriva… avec des poneys.
- C'est pour vous les garçons.
- Hein ! Mais on veut des vrais, pas des petits. On sait faire du cheval nous aussi, c'est Louis qui nous a appris aux Fourches. Pas vrai Papa ?
- Oui, c'est vrai.
- D’accord, les enfants, on va vous en donner des grands.
- Oui mais nous on veut que les rênes, pas la selle. C'est comme ça qu'on sait faire.
faisaient toujours les fous quand les cousins revinrent et ils les regardèrent jouer ainsi un grand moment. Puis on rentra. On goûta et là encore les garçons furent choyés. Puis on alla se doucher et les jumeaux firent la sieste. Une sieste tardive mais bon, une sieste quand même.
Le repas du soir fut comme celui de midi, nul à chier, niveau ambiance. Et après avoir couché les petits, je redescendis. Et tous se vantaient de leurs relations. Je les laissais dire. Puis ils parlèrent prestige. Tous convenaient que c'était William qui avait le plus de prestige (en termes de médailles) jusqu'à ce que Victoria s'en mêle.
- Je n'en suis pas aussi sûre que vous les garçons. Je pense que Jean-François le surpasse. Mais ce n'est peut-être qu'une impression.
- Ah bon et qu’as-tu comme médailles, toi ?
- Tu sais que les médailles de sport ne comptent pas.
- Ce qui est sûr que ce n'est pas en jouant tout le temps sur ton téléphone que tu as dû en gagner une, même de sport.
- Je ne te permets pas de m’insulter.
- Mais toi non plus, ne m'insulte pas, avec tes insinuations ! J'ai cinq médailles. La médaille du mérite et la légion d’honneur, la médaille d'or que m'a remise le Roi d’Arabie, la médaille d'honneur du congrès américain et la médaille d'honneur du président des Etats-Unis.
- Et qu’as-tu fait, pour avoir tout ça ?
- J'ai empêché, avec d'autres, un détournement d'avion le 11 septembre.
- Tu es sérieux ?
- Croyez-moi, il l'est, oui ! Alors, qui a le plus de prestige, d'après vous ?
- William, bien sûr, et je suis heureux que ça ne soit pas moi, Victoria. Je suis libre de faire ce que je veux sans avoir une nuée de paparazzi à mes basques. Il entrera dans l'histoire comme roi du Royaume-Uni. Et certains élèves, d'ici quelques dizaines d'années, le maudiront pour l'avoir oublié dans la liste des rois.
- Pas faux, Jean-François. Je t'envie sur certains points. Entre autres celui de faire ce que tu veux, quand tu veux et sans avoir à surveiller ce que tu dis.
- Et pour être franc, je me contente de ma vie simple à la campagne, loin de la foule, du bruit et de l’agitation.
- Tu dis ça parce que tu as toujours eu une vie simple et banale ?
- Karl, toi qui es toujours fourré sur ton téléphone tu dois bien avoir un raccourci pour YouTube ?
- Oui, j'ai ça.
- Recherche une vidéo appelée le nettoyeur.
- C'est bon, j'ai trouvé. Putain mec, tu assures grave. Trop bon. Attends, alors, c'est toi aussi, dans le clip vidéo et aussi dans celui de la boite ?
- Oui, Karl, c'est moi aussi.
- Il y avait un trucage. C'est pas possible de porter un mec comme ça.
- Bin si, puisque je l'ai fait mais à l'époque j'étais moins costaud que maintenant.
- Je ne peux pas le croire. Le premier mec doit bien avoir le gabarit de Harry. Et tu soutiens que tu peux le porter comme ça ?
- Oui, je peux.
- Je demande à voir ça.
- Et moi, Jean-François, à essayer.
- Puisque tu es volontaire, Harry, approche et excuse-moi d’avance. Je vais froisser ta belle cravate et attraper ta ceinture.
- Pas grave, par contre tu pourras me dire ce que dit le mec dans la boite, avant de ramasser la gifle ?
- Maintenant que le concours est fini, oui.
- Le gars a simplement dit : 'Elle n'a pas de culotte'
- Tu es sérieux ? Il a vraiment dit ça ?
- Oui, je te le jure.
- Mais comment il a fait pour le savoir ?
- Quand tu as la tête en bas, tu regardes en l'air.
- Pas con, trop bon la réflexion.
- Ça se passait où ? Il me semble connaître cette boite, mais je ne me souviens plus où c’est.
- C'est le Star, à Los Angeles.
- Wow, la classe, je n'ai jamais pu y entrer.
- Si j'y retourne, Karl, viens avec moi j'ai une carte de membre permanent.
- Sérieux ?
- Oui, j'en avais même deux mais j'en ai laissé une à mes cousins qui vivent là-bas.
- En fait sous tes airs de garçon sage et rangé, tu as du vécu.
- Comme tout le monde, oui, du bon et du moins bon. L'avantage que j'ai eu c'est que j'étais un illustre inconnu, donc j'ai pu faire ce que je voulais tout le temps sans avoir à me cacher.
- Tu as de la chance pour ça. Nous sommes obligés de nous enfermer pour vivre tranquillement.
- L'avantage d'être un simple roturier, Messeigneurs !
- En plus tu te fous de nos gueules !
- Je vais me gêner ! Je ne suis pas du tout impressionné par vos titres. Parce que déjà ils sont héréditaires et que je ne suis pas persuadé que vous les méritiez tous, et je suis républicain dans l'âme, alors, pour moi vos titres c'est du folklore. Et à vous écouter parler, vous vous en passeriez pour certains.
- Mais c'est qu'il nous traiterait presque de parasites. Oui, nos titres sont héréditaires et oui, on est fier de les porter. Mais pour ma part, mon titre m'a valu de m'engager dans l'armée et mon frère aussi. On s'est fait tirer dessus.
- Oui, moi aussi et blessé.
- Comment ça, toi aussi ?
- Dans une autre vie, j'ai été marin pompier et lors d'une intervention on m'a tiré dessus.
- Tu as été touché ?
- Oui dans le dos et la balle est ressortie par devant.
- Tu es sérieux ?
- Tu veux voir la cicatrice ? William, Victoria, puis-je retirer mon tee-shirt ?
- Faites comme bon vous semble.
- Je ne regrette pas de m'être fait tirer dessus, ça m'a permis de me rapprocher d'Anna et c'est à partir de ce moment-là qu'on a vécu ensemble presque 2 ans.
- Parlons d'autre chose, voulez-vous. Demain il y aura un peu plus de monde à table à midi. Je vous laisse la surprise. Quant à moi jeunes gens, je vais vous laisser, il est tard et la journée m'a épuisé.
- Tu vas où Jean-François ?
- Je vais me coucher.
- Tu es si fatigué que ça ?
- Non pas du tout, Harry, mais je me fais du souci pour les jumeaux. Hier soir, ils ont fini dans mon lit. Et j'ai peur que s'ils se réveillent et ne me trouvent pas, ils soient en panique.
- Tu ne vas pas me dire que des gamins de 6 ou 7 ans ont encore peur du noir !
- Ils n'en ont que quatre, Harry.
- Tu es sûr ?
- Hé, hé ! On ne peut plus sûr, oui, surtout que c'est moi qui les ai mis au monde, chez moi, le 18 avril, à une demi-heure d’intervalle.
- Mais tu es un homme très éclectique.
- Encore plus que tu ne crois. Souviens-toi de ton bras.
- C'est vrai, maintenant que tu me le rappelles.
- Bonne soirée… Messeigneurs.
J'entrais doucement dans la chambre des garçons qui dormaient tranquillement. Je me douchais et j'allais au lit. Hans arriva quelques minutes plus tard et après avoir pris une douche vint se coller à moi. Je sentais son sexe raide contre mes fesses. Sa main se fit curieuse et chercha mon sexe qu'il trouva.
- Toi aussi tu as envie mais pourquoi tu ne bouges pas.
- Pour te faire languir et te laisser prendre l’initiative.
- Mais j'ai envie de me laisser faire ce soir.
- Moi aussi, ça tombe mal non ?
- Allez Bé, steuplait …
- Pfff ! On dirait les jumeaux, à toi tout seul.
Ce coquin me branlait en même temps et finalement je cédais. Je l'allongeais sur le lit et je me couchais sur lui. Mon sexe trouva tout seul son chemin et je le sentis se raidir et serrer les fesses pour bien le sentir progresser en lui. Il tourna la tête sur
le côté et me demanda de l’embrasser.
Ça avait du bon d'être plus grand que lui. Il était réellement excité. Ça ne faisait que dix minutes que je le prenais qu'il me demanda de changer de position parce qu'il allait jouir. Je fis ce qu'il me demandait et je le pris en missionnaire, comme on aimait.
Très vite je sentis ses sphincters pulser et je sentis sa queue pulser en même temps que son sperme qui jaillissait. Je ne me retirais pas et je continuais mes vas et viens. Il commença à se débattre. Je me cramponnais à lui. La jouissance que je lui procurais me surprenait moi-même. Je voulus me retirer mais il me demanda de continuer.
- Non Bé, continue, c'est trop bon, je vais jouir une autre fois.
On se recouchait quand une porte ou un volet claqua. Ça réveilla les jumeaux et on finit la nuit serrés à quatre dans le lit. C'est une impression de chatouille à l'oreille qui me réveilla. Gus jouait avec son doudou et sans s'en rendre compte, il me chatouillait l’oreille. Chip était réveillé, aussi. Je posais mon doigt sur ma bouche, je me levais, j'enfilais vite mon boxer, parce que mon érection matinale était proéminente et on alla à la salle de bain. Après avoir fait pipi tous les trois, je m'habillais et on descendit à la cuisine où, Caroline et James, œuvraient déjà. Ça sentait bon le cacao et le café frais. On dit bonjour et on s’installa.
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