18-08-2020, 08:35 AM
2eme ANNEE 1er semestre, 2ème partie : (04 / 100) (Aix) (Premier Pont de Novembre) (suite)
Je me laisse faire, me contentant juste de prendre également la taille de celui qui enserre la mienne. Ses mains deviennent curieuses cherchant à savoir qui je suis et me palpe avec douceur, une fois posées sur mon sexe, des doigts nerveux le serrent et en font le tour reconnaissant de toute évidence son propriétaire à la crispation de l’autre main sur mon fessier.
Mes yeux s’habituent d’une façon étrange à la nuit, c’est comme si j’avais mis des lunettes spéciales et je vois maintenant tout ce qui se passe dans la chambre.
Éric me serre dans ses bras alors que plus loin allongé sur le tapis Thomas est sur Raphaël et l’embrasse à pleine bouche en se frottant le sexe contre le sien.
J’approche mes lèvres des siennes et je l’embrasse avec fougue, lui montrant par ce simple geste ma joie de le retrouver et de pouvoir l’aimer tout mon soûl.
Puis une idée me vient du fait de ma vision de tout ce qu’il se passe dans la chambre, apparemment il n’y a que moi qui en suis affecté car je vois bien les gestes hésitants de mes copains dans les tâtonnements qu’ils font.
J’embrasse une dernière fois Éric et m’échappe de ses bras souplement, je me fais le plus silencieux possible pour le contourner et lui mettre une petite tape sur ses fesses qui le fait sursauter et me chercher en brassant l’air autour de lui.
Je me mets sur les genoux et approche doucement ma langue de ses testicules que je lèche un bref instant pour me redresser ensuite rapidement et lui pincer un téton.
Éric sursaute à chaque contact et s’excite de plus en plus à sentir ma langue, mes mains ou même mon sexe le toucher très précisément aux endroits les plus sensibles.
Il trébuche, se penche en avant pour se rattraper au rebord du lit.
J’en profite d’avoir son postérieur bien cambré dans cette position alléchante et provocante pour le pénétrer et lui donner deux ou trois petits coups de reins puis me retirer en le laissant sur sa faim.
Éric pousse un râle de surprise et de plaisir en se sentant pénétrer à fond par le barreau de Florian, les quelques mouvements où son ami se plante bien profond en lui, lui amènent une énorme bouffée de chaleur entre les reins.
Le retrait rapide le laisse inassouvi et il cherche à attraper Florian qui mystérieusement depuis tout à l’heure le taquine avec ces petites caresses fugitives jamais hésitantes et toujours au bon endroit pour qu’il apprécie et ensuite reste sur sa faim.
Une idée lui traverse l’esprit et il comprend alors pourquoi Florian lui échappe toujours.
Pendant qu’il cogite sur cette pensée, je m’occupe de Thomas et de Raphaël en leur faisant subir les mêmes caresses et coups de langues qui les affolent encore plus et leur fait pousser des petits cris de surprises et de plaisirs.
Je mate le petit cul de Raphaël qui remue sous les coups de reins pendant qu’il saillit « Thom » et aussi vif que l’éclair je la lui mets à son tour bien profondément et le plaque contre Thomas pour m’activer sur lui quelques secondes avec frénésie jusqu’au moment où je me retire et le laisse lui aussi avec une énorme impression de vide dans les intestins.
Ma bouche se plaque sur les lèvres de Thomas pendant que Raphaël cherche derrière lui à me rattraper tout en reprenant ses va-et-vient dans le fondement de mon ami qui geint de plaisir à la fois sous les coups et mon baiser amoureux.
Éric en entendant ce qu’il se passe près de lui n’a plus de doutes et s’exclame :
- Ah le salop !!! Ôtez-moi d’un doute les mecs ? Un chat ça voit dans le noir, non ?
- Hi ! Hi !
- Et en plus il se fout de nous, écoutez-le !
- (Raphaël ahuri) Je comprends mieux !
Il sort doucement de Thomas et lui dit à l’oreille :
- On va lui faire payer ça d’accord ?
Thomas d’une voix à la fois amusée à l’idée mais aussi contrarié que Raphaël ait cessé de la prendre car il était proche de l’orgasme.
- Éric !! Bloque la porte pendant qu’on ratisse la chambre !!
- (Éric en souriant) Ok les gars ! Et toi le matou si on te chope tu vas prendre chère !
- Miaou ! Hi ! Hi ! Va falloir déjà m’attraper les bouseux.
S’en suit alors une véritable partie de colin-maillard dans la chambre, je les vois venir et les évite sans difficultés, sans me priver par la même occasion de les titiller en passant près d’eux.
J’arrive doucement derrière Raphaël et lui glisse rapidement à l’oreille avant qu’il ne se retourne pour tenter de m’attraper.
- Va te mettre sur le lit que je termine de m’occuper de ton petit cul.
Il se fige et son regard se plisse afin de tenter à tout prix de discerner quelque chose, je me suis reculé suffisamment en faisant attention de toujours surveiller les deux autres qui avancent en se tenant la main pour brasser plus d’espace.
Je souris en voyant les traits du visage de Raphaël qui a les lèvres pincées par l’envie, il prend sa décision et retourne lentement à tâtons jusqu’au lit ou il s’agenouille en écartant un maximum les cuisses et appuie sa poitrine sur le drap en présentant sa rosette de la façon la plus bandante qui soit.
Je vais prendre le temps d’aller titiller les deux compères qui prennent au sérieux le fait de me trouver dans le noir alors qu’ils leur suffiraient d’allumer la lumière pour que tout soit fini.
Je pense que ce petit jeu les excite plus qu’autre chose et je rentre dedans encore une fois en allant doucement leur prendre les couilles chacun leurs tours.
- (Éric) Il est par là !
- (Thomas) Non par-là !
Raphaël mord dans l’oreiller moitié pour ne pas rire à les entendre, moitié parce qu’il prend un super pied depuis que je viens de lui remettre mon sexe en entier dans son fondement.
Malgré tout les autres ne sont pas fous et finissent très vite par entendre les petits couinements de « Raphi » qui tremble sous mon assaut et commence à prendre un super pied.
Thomas entraîne Éric avec lui vers son lit.
- Il est en train de sauter « Raph » et l’autre faux frère qui ne dit rien !
Éric le sexe brusquement plaqué contre son nombril.
- Cette fois-ci ça va être ta fête mon minet.
2eme ANNEE 1er semestre, 2ème partie : (05 / 100) (Aix) (Premier Pont de Novembre) (fin)
Les quatre jours se terminent et tous se retrouvent cet après-midi-là pour passer les dernières heures ensemble avant qu’il ne soit temps de reprendre le chemin du retour.
Chloé et Léa sont collées chacune à leurs hommes et rient aux éclats pour la moindre occasion tellement elles sont heureuses de ce week-end prolongé qui leur a permis de se retrouver tous ensemble.
La bande des quatre a du mal à dissimuler les cernes et les poches sous les yeux marquant leurs nuits agitées et le manque de sommeil qui en résulte.
La tête qu’ils tirent et en partie également la cause d’amusement des deux couples beaucoup qui ont été eux beaucoup plus sages, quoique certaines nuits pour ne pas dire toutes ont-elles aussi été plutôt agitées.
- (Aurélien) Vous êtes sur les gars que c’était des vacances pour vous ? À voir vos petites mines on ne dirait pas Hi ! Hi !
- (Raphaël) C’était chaud j’avoue mais putain quel pied ! Quand je pense qu’il va falloir attendre Noël maintenant pour qu’on se retrouve tous ensemble.
- (Guillaume) Plains-toi ! Tu seras avec Éric toi, alors que nous ceinture.
- (Raphaël) C’est vrai que ce n’est pas de bol pour vous.
- (Thomas) J’aurais « Flo » tout à moi le week-end prochain donc ça va pour l’instant, mais après ça c’est la galère qui reprend.
- (Chloé) Dis-moi Florian ? Tu comptes revenir définitivement à Aix après tes études ou quoi ?
Tous les visages de mes amis se tournent vers moi dans l’attente d’une réponse à une question que tous se sont au moins posée au moins une fois.
Je sais que ma réponse de toute façon ne satisfera pas tout le monde car si je dis oui, Guillaume et Aurélien vont être tristes et si je dis non, ce sera pareil pour les filles et mes amis Aixois.
- J’ai un projet pour après mes études, je ne pense pas rester en France désolé.
Les filles qui sont les plus sensibles commencent à avoir les yeux larmoyants et je vois bien qu’il va en être de même pour les garçons qui commencent à avoir les yeux brillants eux aussi, je reprends très vite la parole pour mieux expliquer ma dernière phrase.
- Laissez-moi finir avant de vous imaginer que je vais vous laissez tomber, mon projet est de créer une structure hospitalière quelque part où le plus de gens possible en auront besoin. Il y aura de la place pour tous ceux qui voudront se joindre à moi, j’espère que beaucoup de mes amis seront derrière moi pour le mener à bien. De toute façon ce n’est encore pas pour demain et d’ici là beaucoup de choses peuvent encore changer, vous ne croyez pas ?
- (Aurélien) Si tu as besoin d’un pompier, je suis partant ! Et Chloé pourrait s’occuper de la partie sociale, tu en penses quoi ma puce ?
Chloé se jette à son cou en pleurant.
- Bien sûr oui, comme ça, on resterait tous ensemble.
- (Éric) Je pourrai m’occuper de la maintenance et s’il reste un petit coin dans ton centre pour que « Raphi » puisse ouvrir une clinique vétérinaire ce serait le pied.
Ému par leurs paroles je sens une boule d’émotion me crisper l’estomac.
- Bien sûr qu’il pourra le faire.
Guillaume prend la main de Léa et la serre tendrement.
- Nous n’avons encore pas choisi d’orientation professionnelle mais ce serait étonnant que quelle qu’elle soit, il n’y ait pas une petite place pour nous aussi et je sais pour en avoir parlé avec « Dami » qu’il sera aussi partant lui aussi pour qu’on ne se quitte pas.
Thomas s’aperçoit du trouble de Florian et le prend gentiment dans ses bras.
- Personne n’a envie de te voir t’éloigner de lui et tu n’as pas à t’en faire, je suis certain qu’où que soit ton projet, tu n’y seras pas seul.
Je renifle un grand coup, geste instinctif qui comme d’habitude les fait sourire, capte leurs regards amicaux et leur souris à mon tour.
- Je vous aime tous vous savez et ce que vous venez de me dire me touche énormément soyez en sûr. Il est encore trop tôt pour faire des plans sur la comète mais le moment venu je vous promets que vous serez tous impliqués dans ce projet qui sera alors celui de toute notre communauté à parts égales.
Chloé se lève et vient embrasser son ami.
- On t’aime tous « Flo », certains depuis plus longtemps que d’autres mais j’en suis certaine avec tout autant de force.
La discussion qui suivit leur fit refaire le monde plusieurs fois, ponctuée souvent d’éclats de rire joyeux.
Malgré tout le temps des au revoir arrivent et c’est avec de grands gestes de la main qu’ils repartent en voiture direction la gare.
À Aix chacun retourne à ses occupations avec dans la tête un nouveau projet commun dont ils n’ont pas fini de cogiter dessus seul ou à plusieurs.
Les journées qui suivirent pour Florian passèrent très vite, ses heures partagées équitablement entre la fac et le CHU.
Ce n’est que le vendredi soir qu’il rentre chez lui heureux, pour préparer sa chambre afin d'y accueillir son chéri qu’il va bientôt retrouver à la gare.
Il sourit en voyant les nouveaux meubles qui les avaient fortement surpris lui et Guillaume quand ils furent de retour du sud.
Pour pouvoir faire de la place afin d’y caser les deux grands lits doubles, Frédéric a fait installer un long placard à la place de l’armoire qui était vraiment trop encombrante.
Guillaume s’est mis alors à rire comme un malade en faisant allusion aux paroles de ses parents quant à la praticité d’avoir chacun un grand lit afin de pouvoir y accueillir son ou sa petite ami(e) le cas échéant.
N’ayant de toute évidence pas pensé qu’il ne serait sans doute pas là juste pour dormir, l’idée d’assister aux ébats de Florian et Thomas n’étant pas dans les intentions du garçon ni de lui faire assister aux siens avec Léa bien sûr.
Ils se sont mis d’accord avec Aurélien et Damien pour que l’un d’eux accepte celui qui serait seul, Aurélien leur signalant simplement que s’ils faisaient venir au même moment leurs moitiés respectives, le problème reviendrait alors d’actualité.
Florian rit tout seul dans la chambre en y repensant, malgré tout le dernier cas de figure avait peu de chance de se présenter un jour et pour ce soir c’est lui seul et son Thomas qui y seront.
Il enfile un tee-shirt propre et en sifflotant il quitte la pièce et part à la rencontre de son chéri.
2eme ANNEE 1er semestre, 2ème partie : (06 / 100) (Deuxième Pont de Novembre) (Reims)
Il arrive gare de Reims avant le train de Paris et décide d’aller prendre un café en attendant son entrée en gare.
Il ne fait pas chaud dehors aussi ne s’éternise-t-il pas et entre dans le bar en grelottant.
Florian s’accoude au comptoir et passe sa commande, il voit dans la glace du bar un véhicule d’intervention rouge arriver et se garer sur une place de parking réservée juste de l’autre côté de la vitrine du bar.
Curieux il attend de voir qui en sort et sourit en reconnaissant Grégory avec son ami de l’autre fois, celui-ci regardant vers lui l’aperçoit et met un coup de coude dans les côtes de « Greg » en lui montrant Florian du doigt.
- Ce n’est pas ton pote là-bas ?
Grégory regarde dans la direction indiquée et aussitôt un large sourire éclaire son visage.
- Si ! C’est « Flo » ! Tu viens prendre un jus que j’aille lui dire bonjour ?
- Ok de toute façon notre client n’est pas encore là, son train n’entre en gare que dans dix minutes.
Les deux hommes referment le véhicule et entrent à leur tour. Ils se dirigent directement vers Florian et Grégory le prend dans ses bras pour lui donner l’accolade.
- Ça va « Flo » ? Justement j’avais l’intention de t’appeler pour t’inviter à la maison, « Juju » m’a dit que tu repartais sur Paris demain mais si tu veux la semaine prochaine tu viens casser une croûte chez nous, d’accord ?
- Avec plaisir, bonjour Vanyel ! Ça boom ?
- (Vanyel étonné) Tu te rappelles de moi ?
- Bah oui qu’est-ce que tu crois ? Pourquoi ? Pas toi ?
- Si bien sûr mais d’habitude les gens ont du mal avec mon prénom pour s’en souvenir.
- Eh bien tu vois, ce n’est pas mon cas et puis j’ai toujours kiffé les beaux pompiers alors !!!
- (Grégory amusé) Fais gaffe « Van » ! C’est un charmeur ce loustic.
- (Vanyel en riant) Je vois ça ! Hi ! Hi !
- Qu’est-ce que vous faites là les gars ?
- (Grégory) Un gars qui est tombé dans le coma dans le train venant de Paris, et toi ?
- (Je blêmis) J’attends « Thom »
Grégory en me voyant devenir tout blanc.
- T’inquiète « Flo » d’après nos renseignements le type est beaucoup plus vieux que Thomas.
Je suis pris maintenant d’une bouffée de chaleur car j’avais craint un instant que ça ait pu être lui.
- Ouf ! Tu me rassures.
Un haut-parleur annonce l’arrivée du train, nous buvons rapidement notre café et nous dirigeons ensuite vers la sortie des voyageurs.
Deux employés de la SNCF arrivent alors portant un quadragénaire sur un brancard, Grégory et Vanyel se dirigent aussitôt vers eux et les guident vers le véhicule de première urgence.
Je reste là en surveillant malgré tout du regard tous leurs faits et gestes, deux jeunes filles qui gloussent pas loin de moi me font tourner la tête et j’aperçois d’un regard amusé la cause de cette agitation venant des demoiselles.
Un grand blond au sourire “colgate” habillé tout en noir avec un sac à dos en bandoulière apparaît dans le hall, son regard tombe tout de suite sur moi et il vient alors à ma rencontre en accentuant encore plus son sourire.
Je vois du coin de l’œil une des jeunes filles se tenir la poitrine et sourire à son tour quand elle le voit se diriger vers elles.
Sourire de courte durée car le grand blond les dépasse sans même les voir et m’enlace tendrement en déposant un baiser sur ma bouche.
- Ça va mamour ?
J’éclate de rire, autant à cause du petit nom dont il vient de m’affubler que de voir la tête des deux filles comprenant que celui qui leur a fait autant d’effet ne sera jamais pour elles.
- Hi ! Hi ! C’est nouveau ça ? Pourquoi pas Ti’tam pendant que tu y es ?
- (Thomas amusé) Pourquoi ? Tu préférerais ?
- Arrête ton char et embrasse-moi mon « Thomamounet »
Ses lèvres sans hésitation reviennent se plaquer contre les miennes et cette fois c’est un vrai baiser que nous nous donnons en plein milieu de la gare sous les yeux d’un grand nombre de personnes.
Je fais un clin d’œil aux deux jeunes filles qui nous regardent les yeux ronds de stupeurs et qui comprennent que je me moque d’elles.
- Tu as fait un bon voyage ?
- J’ai connu mieux tu sais, à peine sorti de Paris il y a un type qui nous a fait un coup de Calgon. J’espère qu’il s’en remettra mais je n’en suis pas sûr, tu as dû le voir passer d’ailleurs, non ?
Je lui montre la camionnette rouge.
- C’est « Greg » et son pote qui s’en occupe, tu veux qu’on aille voir ?
- Ouaih ! Si tu veux.
Une fois près du véhicule, nous attendons que « Greg » nous voie et je m’approche de l’arrière pour apercevoir Vanyel poser un masque à oxygène sur le visage du gars.
- C’est grave ?
- Comment veux-tu que je le sache, je ne suis pas toubib. Il respire difficilement et il est toujours inconscient, tu veux y jeter un œil ?
- S’il te plaît, oui !
- Ok ! Monte ! Je referme derrière toi pour pas qu’on se pose des questions au cas où.
Je me laisse faire, me contentant juste de prendre également la taille de celui qui enserre la mienne. Ses mains deviennent curieuses cherchant à savoir qui je suis et me palpe avec douceur, une fois posées sur mon sexe, des doigts nerveux le serrent et en font le tour reconnaissant de toute évidence son propriétaire à la crispation de l’autre main sur mon fessier.
Mes yeux s’habituent d’une façon étrange à la nuit, c’est comme si j’avais mis des lunettes spéciales et je vois maintenant tout ce qui se passe dans la chambre.
Éric me serre dans ses bras alors que plus loin allongé sur le tapis Thomas est sur Raphaël et l’embrasse à pleine bouche en se frottant le sexe contre le sien.
J’approche mes lèvres des siennes et je l’embrasse avec fougue, lui montrant par ce simple geste ma joie de le retrouver et de pouvoir l’aimer tout mon soûl.
Puis une idée me vient du fait de ma vision de tout ce qu’il se passe dans la chambre, apparemment il n’y a que moi qui en suis affecté car je vois bien les gestes hésitants de mes copains dans les tâtonnements qu’ils font.
J’embrasse une dernière fois Éric et m’échappe de ses bras souplement, je me fais le plus silencieux possible pour le contourner et lui mettre une petite tape sur ses fesses qui le fait sursauter et me chercher en brassant l’air autour de lui.
Je me mets sur les genoux et approche doucement ma langue de ses testicules que je lèche un bref instant pour me redresser ensuite rapidement et lui pincer un téton.
Éric sursaute à chaque contact et s’excite de plus en plus à sentir ma langue, mes mains ou même mon sexe le toucher très précisément aux endroits les plus sensibles.
Il trébuche, se penche en avant pour se rattraper au rebord du lit.
J’en profite d’avoir son postérieur bien cambré dans cette position alléchante et provocante pour le pénétrer et lui donner deux ou trois petits coups de reins puis me retirer en le laissant sur sa faim.
Éric pousse un râle de surprise et de plaisir en se sentant pénétrer à fond par le barreau de Florian, les quelques mouvements où son ami se plante bien profond en lui, lui amènent une énorme bouffée de chaleur entre les reins.
Le retrait rapide le laisse inassouvi et il cherche à attraper Florian qui mystérieusement depuis tout à l’heure le taquine avec ces petites caresses fugitives jamais hésitantes et toujours au bon endroit pour qu’il apprécie et ensuite reste sur sa faim.
Une idée lui traverse l’esprit et il comprend alors pourquoi Florian lui échappe toujours.
Pendant qu’il cogite sur cette pensée, je m’occupe de Thomas et de Raphaël en leur faisant subir les mêmes caresses et coups de langues qui les affolent encore plus et leur fait pousser des petits cris de surprises et de plaisirs.
Je mate le petit cul de Raphaël qui remue sous les coups de reins pendant qu’il saillit « Thom » et aussi vif que l’éclair je la lui mets à son tour bien profondément et le plaque contre Thomas pour m’activer sur lui quelques secondes avec frénésie jusqu’au moment où je me retire et le laisse lui aussi avec une énorme impression de vide dans les intestins.
Ma bouche se plaque sur les lèvres de Thomas pendant que Raphaël cherche derrière lui à me rattraper tout en reprenant ses va-et-vient dans le fondement de mon ami qui geint de plaisir à la fois sous les coups et mon baiser amoureux.
Éric en entendant ce qu’il se passe près de lui n’a plus de doutes et s’exclame :
- Ah le salop !!! Ôtez-moi d’un doute les mecs ? Un chat ça voit dans le noir, non ?
- Hi ! Hi !
- Et en plus il se fout de nous, écoutez-le !
- (Raphaël ahuri) Je comprends mieux !
Il sort doucement de Thomas et lui dit à l’oreille :
- On va lui faire payer ça d’accord ?
Thomas d’une voix à la fois amusée à l’idée mais aussi contrarié que Raphaël ait cessé de la prendre car il était proche de l’orgasme.
- Éric !! Bloque la porte pendant qu’on ratisse la chambre !!
- (Éric en souriant) Ok les gars ! Et toi le matou si on te chope tu vas prendre chère !
- Miaou ! Hi ! Hi ! Va falloir déjà m’attraper les bouseux.
S’en suit alors une véritable partie de colin-maillard dans la chambre, je les vois venir et les évite sans difficultés, sans me priver par la même occasion de les titiller en passant près d’eux.
J’arrive doucement derrière Raphaël et lui glisse rapidement à l’oreille avant qu’il ne se retourne pour tenter de m’attraper.
- Va te mettre sur le lit que je termine de m’occuper de ton petit cul.
Il se fige et son regard se plisse afin de tenter à tout prix de discerner quelque chose, je me suis reculé suffisamment en faisant attention de toujours surveiller les deux autres qui avancent en se tenant la main pour brasser plus d’espace.
Je souris en voyant les traits du visage de Raphaël qui a les lèvres pincées par l’envie, il prend sa décision et retourne lentement à tâtons jusqu’au lit ou il s’agenouille en écartant un maximum les cuisses et appuie sa poitrine sur le drap en présentant sa rosette de la façon la plus bandante qui soit.
Je vais prendre le temps d’aller titiller les deux compères qui prennent au sérieux le fait de me trouver dans le noir alors qu’ils leur suffiraient d’allumer la lumière pour que tout soit fini.
Je pense que ce petit jeu les excite plus qu’autre chose et je rentre dedans encore une fois en allant doucement leur prendre les couilles chacun leurs tours.
- (Éric) Il est par là !
- (Thomas) Non par-là !
Raphaël mord dans l’oreiller moitié pour ne pas rire à les entendre, moitié parce qu’il prend un super pied depuis que je viens de lui remettre mon sexe en entier dans son fondement.
Malgré tout les autres ne sont pas fous et finissent très vite par entendre les petits couinements de « Raphi » qui tremble sous mon assaut et commence à prendre un super pied.
Thomas entraîne Éric avec lui vers son lit.
- Il est en train de sauter « Raph » et l’autre faux frère qui ne dit rien !
Éric le sexe brusquement plaqué contre son nombril.
- Cette fois-ci ça va être ta fête mon minet.
2eme ANNEE 1er semestre, 2ème partie : (05 / 100) (Aix) (Premier Pont de Novembre) (fin)
Les quatre jours se terminent et tous se retrouvent cet après-midi-là pour passer les dernières heures ensemble avant qu’il ne soit temps de reprendre le chemin du retour.
Chloé et Léa sont collées chacune à leurs hommes et rient aux éclats pour la moindre occasion tellement elles sont heureuses de ce week-end prolongé qui leur a permis de se retrouver tous ensemble.
La bande des quatre a du mal à dissimuler les cernes et les poches sous les yeux marquant leurs nuits agitées et le manque de sommeil qui en résulte.
La tête qu’ils tirent et en partie également la cause d’amusement des deux couples beaucoup qui ont été eux beaucoup plus sages, quoique certaines nuits pour ne pas dire toutes ont-elles aussi été plutôt agitées.
- (Aurélien) Vous êtes sur les gars que c’était des vacances pour vous ? À voir vos petites mines on ne dirait pas Hi ! Hi !
- (Raphaël) C’était chaud j’avoue mais putain quel pied ! Quand je pense qu’il va falloir attendre Noël maintenant pour qu’on se retrouve tous ensemble.
- (Guillaume) Plains-toi ! Tu seras avec Éric toi, alors que nous ceinture.
- (Raphaël) C’est vrai que ce n’est pas de bol pour vous.
- (Thomas) J’aurais « Flo » tout à moi le week-end prochain donc ça va pour l’instant, mais après ça c’est la galère qui reprend.
- (Chloé) Dis-moi Florian ? Tu comptes revenir définitivement à Aix après tes études ou quoi ?
Tous les visages de mes amis se tournent vers moi dans l’attente d’une réponse à une question que tous se sont au moins posée au moins une fois.
Je sais que ma réponse de toute façon ne satisfera pas tout le monde car si je dis oui, Guillaume et Aurélien vont être tristes et si je dis non, ce sera pareil pour les filles et mes amis Aixois.
- J’ai un projet pour après mes études, je ne pense pas rester en France désolé.
Les filles qui sont les plus sensibles commencent à avoir les yeux larmoyants et je vois bien qu’il va en être de même pour les garçons qui commencent à avoir les yeux brillants eux aussi, je reprends très vite la parole pour mieux expliquer ma dernière phrase.
- Laissez-moi finir avant de vous imaginer que je vais vous laissez tomber, mon projet est de créer une structure hospitalière quelque part où le plus de gens possible en auront besoin. Il y aura de la place pour tous ceux qui voudront se joindre à moi, j’espère que beaucoup de mes amis seront derrière moi pour le mener à bien. De toute façon ce n’est encore pas pour demain et d’ici là beaucoup de choses peuvent encore changer, vous ne croyez pas ?
- (Aurélien) Si tu as besoin d’un pompier, je suis partant ! Et Chloé pourrait s’occuper de la partie sociale, tu en penses quoi ma puce ?
Chloé se jette à son cou en pleurant.
- Bien sûr oui, comme ça, on resterait tous ensemble.
- (Éric) Je pourrai m’occuper de la maintenance et s’il reste un petit coin dans ton centre pour que « Raphi » puisse ouvrir une clinique vétérinaire ce serait le pied.
Ému par leurs paroles je sens une boule d’émotion me crisper l’estomac.
- Bien sûr qu’il pourra le faire.
Guillaume prend la main de Léa et la serre tendrement.
- Nous n’avons encore pas choisi d’orientation professionnelle mais ce serait étonnant que quelle qu’elle soit, il n’y ait pas une petite place pour nous aussi et je sais pour en avoir parlé avec « Dami » qu’il sera aussi partant lui aussi pour qu’on ne se quitte pas.
Thomas s’aperçoit du trouble de Florian et le prend gentiment dans ses bras.
- Personne n’a envie de te voir t’éloigner de lui et tu n’as pas à t’en faire, je suis certain qu’où que soit ton projet, tu n’y seras pas seul.
Je renifle un grand coup, geste instinctif qui comme d’habitude les fait sourire, capte leurs regards amicaux et leur souris à mon tour.
- Je vous aime tous vous savez et ce que vous venez de me dire me touche énormément soyez en sûr. Il est encore trop tôt pour faire des plans sur la comète mais le moment venu je vous promets que vous serez tous impliqués dans ce projet qui sera alors celui de toute notre communauté à parts égales.
Chloé se lève et vient embrasser son ami.
- On t’aime tous « Flo », certains depuis plus longtemps que d’autres mais j’en suis certaine avec tout autant de force.
La discussion qui suivit leur fit refaire le monde plusieurs fois, ponctuée souvent d’éclats de rire joyeux.
Malgré tout le temps des au revoir arrivent et c’est avec de grands gestes de la main qu’ils repartent en voiture direction la gare.
À Aix chacun retourne à ses occupations avec dans la tête un nouveau projet commun dont ils n’ont pas fini de cogiter dessus seul ou à plusieurs.
Les journées qui suivirent pour Florian passèrent très vite, ses heures partagées équitablement entre la fac et le CHU.
Ce n’est que le vendredi soir qu’il rentre chez lui heureux, pour préparer sa chambre afin d'y accueillir son chéri qu’il va bientôt retrouver à la gare.
Il sourit en voyant les nouveaux meubles qui les avaient fortement surpris lui et Guillaume quand ils furent de retour du sud.
Pour pouvoir faire de la place afin d’y caser les deux grands lits doubles, Frédéric a fait installer un long placard à la place de l’armoire qui était vraiment trop encombrante.
Guillaume s’est mis alors à rire comme un malade en faisant allusion aux paroles de ses parents quant à la praticité d’avoir chacun un grand lit afin de pouvoir y accueillir son ou sa petite ami(e) le cas échéant.
N’ayant de toute évidence pas pensé qu’il ne serait sans doute pas là juste pour dormir, l’idée d’assister aux ébats de Florian et Thomas n’étant pas dans les intentions du garçon ni de lui faire assister aux siens avec Léa bien sûr.
Ils se sont mis d’accord avec Aurélien et Damien pour que l’un d’eux accepte celui qui serait seul, Aurélien leur signalant simplement que s’ils faisaient venir au même moment leurs moitiés respectives, le problème reviendrait alors d’actualité.
Florian rit tout seul dans la chambre en y repensant, malgré tout le dernier cas de figure avait peu de chance de se présenter un jour et pour ce soir c’est lui seul et son Thomas qui y seront.
Il enfile un tee-shirt propre et en sifflotant il quitte la pièce et part à la rencontre de son chéri.
2eme ANNEE 1er semestre, 2ème partie : (06 / 100) (Deuxième Pont de Novembre) (Reims)
Il arrive gare de Reims avant le train de Paris et décide d’aller prendre un café en attendant son entrée en gare.
Il ne fait pas chaud dehors aussi ne s’éternise-t-il pas et entre dans le bar en grelottant.
Florian s’accoude au comptoir et passe sa commande, il voit dans la glace du bar un véhicule d’intervention rouge arriver et se garer sur une place de parking réservée juste de l’autre côté de la vitrine du bar.
Curieux il attend de voir qui en sort et sourit en reconnaissant Grégory avec son ami de l’autre fois, celui-ci regardant vers lui l’aperçoit et met un coup de coude dans les côtes de « Greg » en lui montrant Florian du doigt.
- Ce n’est pas ton pote là-bas ?
Grégory regarde dans la direction indiquée et aussitôt un large sourire éclaire son visage.
- Si ! C’est « Flo » ! Tu viens prendre un jus que j’aille lui dire bonjour ?
- Ok de toute façon notre client n’est pas encore là, son train n’entre en gare que dans dix minutes.
Les deux hommes referment le véhicule et entrent à leur tour. Ils se dirigent directement vers Florian et Grégory le prend dans ses bras pour lui donner l’accolade.
- Ça va « Flo » ? Justement j’avais l’intention de t’appeler pour t’inviter à la maison, « Juju » m’a dit que tu repartais sur Paris demain mais si tu veux la semaine prochaine tu viens casser une croûte chez nous, d’accord ?
- Avec plaisir, bonjour Vanyel ! Ça boom ?
- (Vanyel étonné) Tu te rappelles de moi ?
- Bah oui qu’est-ce que tu crois ? Pourquoi ? Pas toi ?
- Si bien sûr mais d’habitude les gens ont du mal avec mon prénom pour s’en souvenir.
- Eh bien tu vois, ce n’est pas mon cas et puis j’ai toujours kiffé les beaux pompiers alors !!!
- (Grégory amusé) Fais gaffe « Van » ! C’est un charmeur ce loustic.
- (Vanyel en riant) Je vois ça ! Hi ! Hi !
- Qu’est-ce que vous faites là les gars ?
- (Grégory) Un gars qui est tombé dans le coma dans le train venant de Paris, et toi ?
- (Je blêmis) J’attends « Thom »
Grégory en me voyant devenir tout blanc.
- T’inquiète « Flo » d’après nos renseignements le type est beaucoup plus vieux que Thomas.
Je suis pris maintenant d’une bouffée de chaleur car j’avais craint un instant que ça ait pu être lui.
- Ouf ! Tu me rassures.
Un haut-parleur annonce l’arrivée du train, nous buvons rapidement notre café et nous dirigeons ensuite vers la sortie des voyageurs.
Deux employés de la SNCF arrivent alors portant un quadragénaire sur un brancard, Grégory et Vanyel se dirigent aussitôt vers eux et les guident vers le véhicule de première urgence.
Je reste là en surveillant malgré tout du regard tous leurs faits et gestes, deux jeunes filles qui gloussent pas loin de moi me font tourner la tête et j’aperçois d’un regard amusé la cause de cette agitation venant des demoiselles.
Un grand blond au sourire “colgate” habillé tout en noir avec un sac à dos en bandoulière apparaît dans le hall, son regard tombe tout de suite sur moi et il vient alors à ma rencontre en accentuant encore plus son sourire.
Je vois du coin de l’œil une des jeunes filles se tenir la poitrine et sourire à son tour quand elle le voit se diriger vers elles.
Sourire de courte durée car le grand blond les dépasse sans même les voir et m’enlace tendrement en déposant un baiser sur ma bouche.
- Ça va mamour ?
J’éclate de rire, autant à cause du petit nom dont il vient de m’affubler que de voir la tête des deux filles comprenant que celui qui leur a fait autant d’effet ne sera jamais pour elles.
- Hi ! Hi ! C’est nouveau ça ? Pourquoi pas Ti’tam pendant que tu y es ?
- (Thomas amusé) Pourquoi ? Tu préférerais ?
- Arrête ton char et embrasse-moi mon « Thomamounet »
Ses lèvres sans hésitation reviennent se plaquer contre les miennes et cette fois c’est un vrai baiser que nous nous donnons en plein milieu de la gare sous les yeux d’un grand nombre de personnes.
Je fais un clin d’œil aux deux jeunes filles qui nous regardent les yeux ronds de stupeurs et qui comprennent que je me moque d’elles.
- Tu as fait un bon voyage ?
- J’ai connu mieux tu sais, à peine sorti de Paris il y a un type qui nous a fait un coup de Calgon. J’espère qu’il s’en remettra mais je n’en suis pas sûr, tu as dû le voir passer d’ailleurs, non ?
Je lui montre la camionnette rouge.
- C’est « Greg » et son pote qui s’en occupe, tu veux qu’on aille voir ?
- Ouaih ! Si tu veux.
Une fois près du véhicule, nous attendons que « Greg » nous voie et je m’approche de l’arrière pour apercevoir Vanyel poser un masque à oxygène sur le visage du gars.
- C’est grave ?
- Comment veux-tu que je le sache, je ne suis pas toubib. Il respire difficilement et il est toujours inconscient, tu veux y jeter un œil ?
- S’il te plaît, oui !
- Ok ! Monte ! Je referme derrière toi pour pas qu’on se pose des questions au cas où.
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