27-03-2023, 01:06 PM
Chapitre 017 : « Rentrée universitaire. »
Charles ne s’offusque pas de s’entendre appeler « grand sifflet », n’étant pas et de loin s’en faut un garçon qui se vexe pour un rien, aussi peaufine-t-il sa réponse avec un amusement certain, ayant déjà eu vent de la rapidité à s’emporter du fameux Kai, un garçon qui décidemment l’intrigue de plus en plus, sans doute du fait qu’il ne l’avait pas encore rencontré jusque-là, ce qui lui laisse ce côté mystérieux.
Un mouvement venant d’un angle du mur de la cantine attire son attention et son regard particulièrement aiguiser aperçoit durant un bref instant un visage masquer portant une casquette à large visière.
De là à comprendre qui est la personne qui semble les épiés, il ne lui faut qu’une petite seconde, aussi hausse-t-il le ton pour être certain d’être entendu, en donnant la réplique qui au départ n’était adressé qu’à ces copains.
- Vous direz bien au « nain de jardin » qu’il n’a jamais été question de sortir ensemble, juste que mon aura irrésistible fera de sorte qu’il puisse se montrer à visage découvert sans que personne ne le remarque.
Daniel commence à le prendre plutôt mal, quand machinalement il suit le regard de Charles et à son tour aperçoit Kai plutôt reconnaissable vu sa tenue, il comprend alors que la phrase de Charles n’était pas destinée à être répéter, mais bien à être entendue par celui à laquelle elle était destinée.
Il ne connait que trop bien le sus nommer « nain de jardin », pour savoir que cette phrase ne restera pas sans contre-mesures rapides de sa part et cette fois encore sa connaissance de Kai ne le détrompe pas.
Alors qu’il s’attendait à le voir surgir devant eux en envoyant son langage le plus fleuri à l’intention du « grand sifflet », quelque chose pour laquelle il n’aurait jamais osé parier arrive sans crier garde, quand Kai s’avance lentement vers eux en ôtant ses lunettes de soleil et surtout le masque qui lui couvrait le visage, amenant un changement d’atmosphère dans la salle où déjeunent encore une bonne centaine d’étudiants.
Un silence progressif passe de table en table à son passage jusqu’à intrigué Marc, Louis et Ralphy, qui eux tournaient le dos au petit blond et qui finissent par se retourner pour voir ce qui attire apparemment tous les regards.
Kai une fois au coté de ses copains prend une chaise et s’assoit à leur table comme si de rien n’était, allant même jusqu’à ôter sa casquette pour délivrer sa merveilleuse chevelure blonde d’une telle rareté au naturelle dans ce monde pour qu’à elle seule déjà elle ne laisse personne indifférent.
Son regard fusille un bref instant Marc, souvenir de leur petite dispute, avant de se fixer vers celui du fameux Charles et qui pour se faire l’oblige à relever la tête en offrant sa gorge dégager à la vision générale, ce qui cette fois amène un murmure d’intérêt purement érotique.
- Dis-moi « grande saucisse » ? où est donc cette aura irrésistible dont tu semblais te vanter il y a quelques secondes ?
Charles est comme envouté, autant par ce visage d’ange se moquant visiblement de lui, que par ce regard curieux qui le fixe sans ciller et comprend alors qu’il doit reprendre ses émotions en mains, pour déjà ne pas s’avouer vaincu par KO technique et ce dès le premier round.
Cette joute de regard se fait sous les yeux de la tablée, chacun la traduit à sa façon suivant lequel des deux garçons il connait le mieux, cherchant surtout à comprendre ce qui semble déjà embraser la salle.
Charles est le premier à déposer les armes en fermant un bref instant les yeux et en détournant la tête, tandis que Kai amorce un sourire triomphant d’avoir eu le dernier mot.
- Si on redevenait sérieux les gars, en fait…
Kai attrape gentiment le bras de Charles pour que leurs regards se croient à nouveaux.
… je te remercie pour ta proposition, mais j’avais déjà décider de ne plus me cacher devant les autres étudiants, seulement je ne veux pas qu’on fasse le rapprochement entre nous autres et le groupe Kai/toon.
- Kai/toon ?? quésaco ?
- J’ai trouvé le nom en vous écoutant tout à l’heure ! Hi ! Hi !
Ralphy voit bien combien se rire joyeux trouble ceux présents autour d’eux, comme d’ailleurs il semble le faire avec ses nouveaux amis, aussi préfère-t-il prendre les contre-mesures qui s’imposent pour ne mettre personne en overdose.
- Calmos Kai, tu veux bien ? tu sais sinon ce qui risque d’arriver !
Le petit blond comprend d’un regard autour de lui de quoi parle son copain et redevient d’un coup plus poser.
- Reçu cinq sur cinq ! Sinon vous trouvez le nom de notre groupe comment ? il sera d’actualité surtout si nous n’apparaissons aux yeux du public que sous forme de cartoon.
- Pas partout si nous faisons un accord pour du live avec le club du père de Charles.
- C’est pour cette raison que nous ne devrons y apparaitre que masquer et vous deux également, déjà beaucoup vous soupçonnent d’être ceux du clip qui pourtant n’a été diffusé qu’un bref instant, ça ne sert donc à rien d’avoir cette notoriété en plus de nos études à gérer.
- Voilà qui est parler avec bon sens « petit ».
Le regard charger de colère que prend Marc en pleine face, lui donne un reflexe tout naturel de recul avant de se rendre compte de sa bourde.
- Oups !! Excuse-moi « gamin », cela m’a juste échappé.
- Tu n’as donc personne d’autre sur qui te faire les dents, que tu insistes aussi lourdement à me mettre les miquettes ? je te préviens gentiment pour cette fois, que ce n’est pas une façon de s’adresser à moi qui m’amènera l’envie à te considérer comme un ami.
- Tu ne devrais pas t’en offusquer, Marc est comme ça avec tout le monde dés qu’il apprécie quelqu’un et nous sommes bien placer pour te le dire, pas vrai Louis ?
- Oui c’est sûr ! Tu ne devrais pas monter dans les tours à chaque fois qu’une expression du même genre sortira de sa bouche.
Ralphy va dans le sens des paroles de Charles en défendant Marc.
- Tu n’es pas le dernier non plus pour te moquer des gens, Marc n’a rien dit de mal si c’est vraiment sa façon de parler aux personnes pour lesquelles il éprouve de l’intérêt.
- Ça va Ralphy… je sais que tu ne demandes justement qu’à mieux le connaitre.
- Je… je…
Daniel réagit à son tour, non sans avoir auparavant envoyer un petit clin d’œil en coin à Louis qui sent ses joues lui brûler soudainement.
- Allons, allons… on a tous comprit que quelque chose se passe entre nous, si nous allions récupérer nos affaires au dortoir en passant par le bureau d’admission pour rendre les clés.
- Dans ce cas nous allons rentrer à l’appart pour réorganiser votre chambre.
- Et pour les cours de cet après-midi ?
- Les véritables cours ne débuteront que lundi prochain, cette fin de semaine ne sert qu’à prendre nos Marques.
- Ça tombe bien puisque j’ai déjà le mien ! Hi ! Hi !
Ralphy regrette immédiatement ses paroles, quand il voit ses anciens et nouveaux copains le dévisager d’une drôle de façon, mais surtout quand cette fois c’est le fameux Marc qui ne sait plus où se mettre, ayant bien comprit pour sa part le jeu de mot.
Charles lève les yeux au ciel en se disant que ce n’était que le début, mais que pourtant déjà cela promettait de ne pas mourir d’ennuis durant les prochaines années, à tout du moins si tout se passe comme il semblerait avec ses trois-là.
- Alors on fait comme ça, je vous envoie l’adresse exacte, mais rassurez vous ce n’est qu’à quelques centaines de mètres de nos universités. Nous discuterons des diverses questions que vous vous posez sans doute et si cela ne nous amène pas trop loin dans l’après-midi, ce en quoi je doute vu comment tout semble prendre des proportions inattendues depuis qu’on se connait, je pourrais essayer d’organiser votre premier concert pour ce soir même.
- On n’a toujours pas défini pour le loyer et les charges.
- Ne vous préoccupez pas de ça pour le moment, je suis sûr que cela ne posera pas de problèmes une fois que notre petite entreprise aura prit sa vitesse de croisière.
- De toute façon l’appartement est à nous trois et il est entièrement payé avec l’argent que nous avons déjà gagné de nos propres mains.
En disant cela, Louis a un regard appuyé vers Daniel, qui comprend le message en baissant la tête.
- Nous cherchions quelques colocataires plus histoire de se faire de nouvelles amitiés et également dans un but d’intégration dans la vraie vie, avec vous trois je pense qu’on ne pouvait pas trouver mieux.
- Pourrais-tu préciser en quoi vous n’auriez pu trouver mieux ?
- N’êtes-vous pas trois gars du peuple, simples, honnêtes, intelligents, sympas et de plus B.C.B.G, que souhaiter de plus ?
- BCBG ?? quésaco ?
Charles ne s’offusque pas de s’entendre appeler « grand sifflet », n’étant pas et de loin s’en faut un garçon qui se vexe pour un rien, aussi peaufine-t-il sa réponse avec un amusement certain, ayant déjà eu vent de la rapidité à s’emporter du fameux Kai, un garçon qui décidemment l’intrigue de plus en plus, sans doute du fait qu’il ne l’avait pas encore rencontré jusque-là, ce qui lui laisse ce côté mystérieux.
Un mouvement venant d’un angle du mur de la cantine attire son attention et son regard particulièrement aiguiser aperçoit durant un bref instant un visage masquer portant une casquette à large visière.
De là à comprendre qui est la personne qui semble les épiés, il ne lui faut qu’une petite seconde, aussi hausse-t-il le ton pour être certain d’être entendu, en donnant la réplique qui au départ n’était adressé qu’à ces copains.
- Vous direz bien au « nain de jardin » qu’il n’a jamais été question de sortir ensemble, juste que mon aura irrésistible fera de sorte qu’il puisse se montrer à visage découvert sans que personne ne le remarque.
Daniel commence à le prendre plutôt mal, quand machinalement il suit le regard de Charles et à son tour aperçoit Kai plutôt reconnaissable vu sa tenue, il comprend alors que la phrase de Charles n’était pas destinée à être répéter, mais bien à être entendue par celui à laquelle elle était destinée.
Il ne connait que trop bien le sus nommer « nain de jardin », pour savoir que cette phrase ne restera pas sans contre-mesures rapides de sa part et cette fois encore sa connaissance de Kai ne le détrompe pas.
Alors qu’il s’attendait à le voir surgir devant eux en envoyant son langage le plus fleuri à l’intention du « grand sifflet », quelque chose pour laquelle il n’aurait jamais osé parier arrive sans crier garde, quand Kai s’avance lentement vers eux en ôtant ses lunettes de soleil et surtout le masque qui lui couvrait le visage, amenant un changement d’atmosphère dans la salle où déjeunent encore une bonne centaine d’étudiants.
Un silence progressif passe de table en table à son passage jusqu’à intrigué Marc, Louis et Ralphy, qui eux tournaient le dos au petit blond et qui finissent par se retourner pour voir ce qui attire apparemment tous les regards.
Kai une fois au coté de ses copains prend une chaise et s’assoit à leur table comme si de rien n’était, allant même jusqu’à ôter sa casquette pour délivrer sa merveilleuse chevelure blonde d’une telle rareté au naturelle dans ce monde pour qu’à elle seule déjà elle ne laisse personne indifférent.
Son regard fusille un bref instant Marc, souvenir de leur petite dispute, avant de se fixer vers celui du fameux Charles et qui pour se faire l’oblige à relever la tête en offrant sa gorge dégager à la vision générale, ce qui cette fois amène un murmure d’intérêt purement érotique.
- Dis-moi « grande saucisse » ? où est donc cette aura irrésistible dont tu semblais te vanter il y a quelques secondes ?
Charles est comme envouté, autant par ce visage d’ange se moquant visiblement de lui, que par ce regard curieux qui le fixe sans ciller et comprend alors qu’il doit reprendre ses émotions en mains, pour déjà ne pas s’avouer vaincu par KO technique et ce dès le premier round.
Cette joute de regard se fait sous les yeux de la tablée, chacun la traduit à sa façon suivant lequel des deux garçons il connait le mieux, cherchant surtout à comprendre ce qui semble déjà embraser la salle.
Charles est le premier à déposer les armes en fermant un bref instant les yeux et en détournant la tête, tandis que Kai amorce un sourire triomphant d’avoir eu le dernier mot.
- Si on redevenait sérieux les gars, en fait…
Kai attrape gentiment le bras de Charles pour que leurs regards se croient à nouveaux.
… je te remercie pour ta proposition, mais j’avais déjà décider de ne plus me cacher devant les autres étudiants, seulement je ne veux pas qu’on fasse le rapprochement entre nous autres et le groupe Kai/toon.
- Kai/toon ?? quésaco ?
- J’ai trouvé le nom en vous écoutant tout à l’heure ! Hi ! Hi !
Ralphy voit bien combien se rire joyeux trouble ceux présents autour d’eux, comme d’ailleurs il semble le faire avec ses nouveaux amis, aussi préfère-t-il prendre les contre-mesures qui s’imposent pour ne mettre personne en overdose.
- Calmos Kai, tu veux bien ? tu sais sinon ce qui risque d’arriver !
Le petit blond comprend d’un regard autour de lui de quoi parle son copain et redevient d’un coup plus poser.
- Reçu cinq sur cinq ! Sinon vous trouvez le nom de notre groupe comment ? il sera d’actualité surtout si nous n’apparaissons aux yeux du public que sous forme de cartoon.
- Pas partout si nous faisons un accord pour du live avec le club du père de Charles.
- C’est pour cette raison que nous ne devrons y apparaitre que masquer et vous deux également, déjà beaucoup vous soupçonnent d’être ceux du clip qui pourtant n’a été diffusé qu’un bref instant, ça ne sert donc à rien d’avoir cette notoriété en plus de nos études à gérer.
- Voilà qui est parler avec bon sens « petit ».
Le regard charger de colère que prend Marc en pleine face, lui donne un reflexe tout naturel de recul avant de se rendre compte de sa bourde.
- Oups !! Excuse-moi « gamin », cela m’a juste échappé.
- Tu n’as donc personne d’autre sur qui te faire les dents, que tu insistes aussi lourdement à me mettre les miquettes ? je te préviens gentiment pour cette fois, que ce n’est pas une façon de s’adresser à moi qui m’amènera l’envie à te considérer comme un ami.
- Tu ne devrais pas t’en offusquer, Marc est comme ça avec tout le monde dés qu’il apprécie quelqu’un et nous sommes bien placer pour te le dire, pas vrai Louis ?
- Oui c’est sûr ! Tu ne devrais pas monter dans les tours à chaque fois qu’une expression du même genre sortira de sa bouche.
Ralphy va dans le sens des paroles de Charles en défendant Marc.
- Tu n’es pas le dernier non plus pour te moquer des gens, Marc n’a rien dit de mal si c’est vraiment sa façon de parler aux personnes pour lesquelles il éprouve de l’intérêt.
- Ça va Ralphy… je sais que tu ne demandes justement qu’à mieux le connaitre.
- Je… je…
Daniel réagit à son tour, non sans avoir auparavant envoyer un petit clin d’œil en coin à Louis qui sent ses joues lui brûler soudainement.
- Allons, allons… on a tous comprit que quelque chose se passe entre nous, si nous allions récupérer nos affaires au dortoir en passant par le bureau d’admission pour rendre les clés.
- Dans ce cas nous allons rentrer à l’appart pour réorganiser votre chambre.
- Et pour les cours de cet après-midi ?
- Les véritables cours ne débuteront que lundi prochain, cette fin de semaine ne sert qu’à prendre nos Marques.
- Ça tombe bien puisque j’ai déjà le mien ! Hi ! Hi !
Ralphy regrette immédiatement ses paroles, quand il voit ses anciens et nouveaux copains le dévisager d’une drôle de façon, mais surtout quand cette fois c’est le fameux Marc qui ne sait plus où se mettre, ayant bien comprit pour sa part le jeu de mot.
Charles lève les yeux au ciel en se disant que ce n’était que le début, mais que pourtant déjà cela promettait de ne pas mourir d’ennuis durant les prochaines années, à tout du moins si tout se passe comme il semblerait avec ses trois-là.
- Alors on fait comme ça, je vous envoie l’adresse exacte, mais rassurez vous ce n’est qu’à quelques centaines de mètres de nos universités. Nous discuterons des diverses questions que vous vous posez sans doute et si cela ne nous amène pas trop loin dans l’après-midi, ce en quoi je doute vu comment tout semble prendre des proportions inattendues depuis qu’on se connait, je pourrais essayer d’organiser votre premier concert pour ce soir même.
- On n’a toujours pas défini pour le loyer et les charges.
- Ne vous préoccupez pas de ça pour le moment, je suis sûr que cela ne posera pas de problèmes une fois que notre petite entreprise aura prit sa vitesse de croisière.
- De toute façon l’appartement est à nous trois et il est entièrement payé avec l’argent que nous avons déjà gagné de nos propres mains.
En disant cela, Louis a un regard appuyé vers Daniel, qui comprend le message en baissant la tête.
- Nous cherchions quelques colocataires plus histoire de se faire de nouvelles amitiés et également dans un but d’intégration dans la vraie vie, avec vous trois je pense qu’on ne pouvait pas trouver mieux.
- Pourrais-tu préciser en quoi vous n’auriez pu trouver mieux ?
- N’êtes-vous pas trois gars du peuple, simples, honnêtes, intelligents, sympas et de plus B.C.B.G, que souhaiter de plus ?
- BCBG ?? quésaco ?
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