17-08-2020, 09:19 PM
2eme ANNEE 1er semestre : (95 / 100) (Aix) (Premier Pont de Novembre) (suite)
C’est Éric qui redescend le premier rejoindre ses deux copains, laissant Raphaël dans la chambre avec sa promesse qu’il ne tardera pas à les retrouver en bas.
Il s’approche de Florian et le prend dans ses bras pour l’accueillir enfin comme il en avait envie depuis tout à l’heure.
L’étreinte tout comme celle avec Raphaël un peu plus tôt est loin d’être dénué de tendresse et d’amour, quand les deux garçons se séparent, leurs sourires ne trompent pas eux non plus ainsi que la bosse déformant outrageusement leurs braguettes et qui fait rire intérieurement Thomas qui en a suivi la progression fulgurante.
- (Thomas) Bon ! Eh bien nous allons y aller maintenant Florian, je n’ai pas encore eu l’occasion de te le dire mais nous sommes tous les deux invités à manger chez mes parents.
- (Éric surpris) Ah bon !! Je croyais qu’on passerait la soirée ensemble tous les quatre ?
- (Thomas) Comment ça ? On a jamais parlé de ça il me semble ?
Éric faisant triste mine.
- C’est sûr mais ça me paraissait évident, pas à toi ? Et toi « Flo » ? Tu en penses quoi ?
Thomas ne lui laisse pas le temps de répondre :
- Et puis j’aimerais avoir mon copain un peu pour moi si ce n’est pas trop demandé.
- (Éric déçu) Bien sûr, c’est normal ! On se voit demain alors ?
- (Thomas) Pourquoi demain ?
Éric est visiblement dépité :
- Quand alors ?
Je commence à ne plus rien comprendre car je pensais bien moi aussi rester avec mes amis, je comprends bien sûr que Thomas ait envie d’être seul avec moi mais de l’entendre être aussi radical dans ses paroles me gêne terriblement.
- (Thomas) Je n’en sais rien, après le dîner si « Flo » est d’accord.
Je regarde Thomas amusé :
- A quoi tu joues là ?
Thomas retrouvant un grand sourire moqueur :
- Juste je voulais voir sa tête Hi ! Hi ! Bah non banane ! Vous êtes aussi invités tous les deux, par contre les deux prochaines heures avant le repas « Flo » n’est rien qu’à moi tout seul.
Éric qui respire d’un coup beaucoup mieux :
- Et il trouve ça drôle je suis sûr ? Putain !! J’y ai cru à ses conneries en plus ! Le con !
Thomas lui tire la langue amusé.
- Tu vas voir ce soir toi !!
Raphaël qui vient de les rejoindre :
- Des promesses ? Hum ! J’adore !
- (Thomas) Allez Florian ! Tu viens ? Sinon avec eux ça va partir tout de suite en sucette Hi ! Hi !
Nous laissons nos deux amis pour rejoindre la chambre de Thomas et nous y enfermer à double tour.
Les vêtements volent dans la pièce et nous nous retrouvons très vite justes en slip allongé sur le lit à nous faire face.
L'abandon total se lit dans ses yeux quand les miens viennent se poser dessus, ses lèvres s’entrouvrent dans l’attente du baiser que je ne manque pas de lui donner.
Nos corps s’avancent pour entrer en contacts et nos mains caressent nos reins dans une parfaite réciprocité qui nous amène des sensations de plaisirs qui nous avaient trop manqué depuis la dernière fois que nous nous étions serrés ainsi l’un contre l’autre.
Le sexe de Thomas bat doucement contre le mien et sa peau douce comme la soie m’arrache des gémissements que je n’arrive pas à contrôler, il les accentue par des petits coups de reins virils démontrant son envie de prendre l’ascendant sur moi.
Thomas étant habituellement peu prédisposé à prendre la main dans nos relations intimes, c’est avec une forte excitation que je me laisse faire et quand je le sens passer au-dessus de moi et prendre mes genoux qu’il positionne sur ses épaules ; je tends mes reins et me cambre pour lui présenter au mieux mon intimité déjà tout ouverte par l’envie de le sentir en moi.
Ses lèvres se décollent des miennes et il m’observe intensément afin d’avoir l’assurance qu’il a mon consentement pour m’investir, mon visage pâmé dans l’attente de le recevoir lui en donne la confirmation et ses lèvres reprennent leur ballet sur les miennes pendant qu’il guide d’une main sûre l’extrémité de son gland devant ma corolle qui palpite à son contact déclenchant en moi une envie insatiable de le recevoir au plus profond de mon intimité.
- Prends-moi « Thom », je n’en peux plus !!
Il reprend mes lèvres en s’enfonçant doucement, son gland dilate mon anus et entre brusquement comme aspiré.
Le reste de son sexe suit et j’ai bientôt les poils de son pubis qui viennent au contact de mes bourses aux testicules remontés sous la peau tendue par l’envie de jouir qui me tenaille soudainement à sentir ce monstre de chair investir et caresser l’intérieur de mon corps.
- Arhh !! Vas-y ! C’est trop bon !
Thomas est galvanisé par les râles et les paroles de son compagnon, ses reins entament souplement une danse toute en douceur et volupté qui lui noue les nerfs.
L’excitation monte de plusieurs crans quand il sent Florian se presser avec avidité au-devant de ses coups, insatiable de le sentir aller et venir en lui.
Son corps s’ajuste au membre qui l’investit et Thomas perd maintenant tout contrôle sous les massages à la fois doux et nerveux de son petit mec excité, gourmand du plaisir qu’il ressent.
Thomas voit le sexe de Florian devenir encore plus gros, plus long et toujours plus raide.
Il comprend que son chéri arrive à un point où lui aussi ne contrôlera plus rien, il prend alors en main la hampe bouillonnante de sève et quand il sent que lui aussi est prêt à la jouissance suprême, il donne quelques coups de poignet pour libérer à son tour un Florian qui sous la double caresse dans son intestin et sur son sexe, dégorge tout son jus en se cambrant sous l’orgasme.
Celui-ci comprimant par la même occasion le sexe de son amoureux qui halète et s’affaisse sur lui tant la force du plaisir qui lui tenaille les reins et le cerveau est exceptionnel.
Les deux amants restent un long moment à se câliner et profiter d’une de ces occasions si rare pour le moment de pouvoir être ensemble.
La tendresse et l’amour transcendantal qu’ils éprouvent l’un pour l’autre ressortent de leurs moindres gestes, regards et de susurrement qu’ils se murmurent à l’oreille pour qu’elles ne s’adressent qu’à eux dans l’intimité de leur passion et de leur couple.
2eme ANNEE 1er semestre : (96 / 100) (Thillois) (Sébastien) (suite)
Marc ronchonne dans sa chambre, il ne peut pas quitter Reims ce week-end prolongé parce qu’il a beaucoup de retard en cours et qu’il doit mettre le turbo pour essayer de tout rattraper avant de ne plus pouvoir s’en sortir.
Flavien et Carole l’aident du mieux qu’ils peuvent et petit à petit Marc sent revenir le moral en apercevant le bout du tunnel.
« Toc ! Toc ! »
Marc relève la tête et voit entrer Flavien tout souriant.
- Ça te dit de faire un break ?
- Pour aller où ?
- Voir Sylvain et les deux « Seb » !
Marc sourit instantanément à son ami.
- Ok ! Juste le temps de mettre un pull.
- On t’attend à la voiture, magne ton « gros » popotin ma poule.
Flavien descend et rejoint Carole qui termine de s’habiller chaudement dans l’entrée.
- Alors ?
- Il arrive !
- Et ???
- Tu avais raison chérie, il doit y avoir un truc qui se prépare. Tu aurais vu ses yeux quand j’ai parlé des deux « Seb », c’était comme si tu appuyais sur l’interrupteur Hi ! Hi !
- Sylvain était pareil avec mon Frère, alors tu penses bien que je ne pouvais pas passer à côté.
Flavien en soupirant.
- J’espère juste que tout ça se terminera bien.
- Tu penses à Aléxie et Arnault ?
- Oui justement !!
- Peut-être que ce ne sera pas plus mal en fin de compte.
- Je ne sais pas, je trouve que c’est très fort entre eux trois. Après je pouvais imaginer une rupture mais certainement pas venant de Marc et là je tombe sur le cul.
- (Carole amusée) Tu vas vite à les mettre ensemble, qui te dis que ça se fera d’abord ? Si ça se trouve il n’y a rien du tout et on se met le doigt dans l’œil jusqu’au coude.
Flavien retrouve le sourire et embrasse sa chérie.
- Tu as raison, il faut toujours que je m’emporte. De toute façon c’est pas mes affaires, j’ai ma chérie et je n’ai pas envie du tout d’en avoir une autre en même temps, alors leurs histoires compliquées qu’ils se les gardent.
Carole lui met une claque sur le torse.
- Encore heureux dis donc !!
Une descente d’escalier à toute vitesse les font lever les yeux sur Marc, surpris arriver en bas de les voir encore là.
Du coup tout s’accélère et les voilà bientôt en route pour le village où habitent Sylvain et sa famille.
Ils arrivent pile poil au moment où André s’apprête à emmener Sébastien à sa séance de kiné, Marc ne peut détacher ses yeux du jeune handicapé qu’il entend discuter avec André d’une voix légère et musicale lui faisant avoir des frissons dans le dos.
Sébastien entend les portes de l’auto claquées et se tourne d’un geste vif sur une de ses roues pour voir qui arrive.
Son visage accentue alors d’une magnifique façon le sourire qu’il avait déjà sur les lèvres.
- Ça va les gars ?
- (André) J’emmène Sébastien à sa séance de kiné, les garçons sont dans leur chambre. (Clin d’œil) Pensez à frapper avant d’entrer parce que c’était plutôt bruyant là-haut il n’y a pas si longtemps que ça, si vous voyez ce que je veux dire.
Flavien faisant une grimace amusée.
- Ils n’en ont jamais assez ces deux-là, et toujours en échappement libre à ce que je vois ?
Carole le regarde avec adoration.
- Niveau bruitage tu n’as rien à leur envier chéri.
André regarde sa montre.
- Ce n’est pas que je m’ennuie avec vous les enfants mais si on continue nous allons être en retard, allez « Seb » ! Monte dans la voiture que je range ton fauteuil dans le coffre.
- (Marc) Attends !! Je viens t’aider !!
Sébastien allait refuser gentiment, hésite un instant puis en souriant :
- Si tu veux, merci !
Marc le prend alors comme il l’a vu faire par Flavien, André récupère le fauteuil pendant qu’il installe Sébastien avec une extrême douceur sur la banquette arrière.
La sensation des bras du jeune homme autour de son cou fait trembler Marc qui termine rapidement d’installer son ami, celui-ci le lâche avec regret et ses yeux entrent en contact un bref instant avec ceux du beau brun qui les baissent aussitôt pour ne pas montrer son trouble.
- Merci « Marco » !
- Pas de quoi, n’hésite pas si tu as besoin.
André les regarde depuis le début et s’amuse de les voir si gauche.
- Tu peux venir avec nous si tu veux ?
- (Marc) Avec plaisir comme ça je pourrai te tenir compagnie et le temps passera plus vite.
- (André) En voiture alors sinon pour le coup on va vraiment être à la bourre.
Toute la durée du parcours ils n’entendirent que le bruit du moteur, André jette de temps en temps un coup d’œil dans le rétroviseur et s’amuse du manège qu’il voit derrière lui ; Marc et Sébastien n’arrêtant pas de se dévisager en douce par des petits regards en coin qui reviennent rapidement vers la route dès que l’un d’eux s’aperçoit que l’autre le fixe.
La main de Sébastien est posée négligemment sur la place centrale près de celle de Marc, un coup de frein un peu plus brutal que la normale et elle vient se serrer dans la sienne.
Chacun savoure ce moment le temps que dure le contact, Sébastien retire sa main avec regret et la repose où elle était précédemment, les deux garçons se tournent alors l’un vers l’autre avec chacun un petit sourire timide sur les lèvres.
De longues secondes passent ainsi jusqu’à ce que la main de Marc à son tour recouvre celle du jeune handicapé, leurs sourires un instant figés par l’incertitude s’accentuent alors et illuminent leurs visages pendant que sous une pression lente leurs doigts se nouent les uns dans les autres.
2eme ANNEE 1er semestre : (97 / 100) (Reims) (Mathis) (suite)
Mathis sourit à Annie.
- Ah oui? Tu trouves?
- (Annie amusée) C’est ce qui te différencie de ton cousin, Thomas est plus réservé et timide alors que toi tu me parais être un garçon plein de répondant.
- (Mathis inquiet) Et ce n’est pas bien ?
- Je n’ai pas dit ça ! C’est juste que malgré une exceptionnelle ressemblance, tu as ta personnalité propre et qui est différente de celle de Thomas.
- (Damien impatient) M’man ! Je peux emmener Mathis rangé ses affaires dans la chambre ?
- Bien sûr où ai-je la tête, j’ai préparé celle d’Aurélien. Les draps sont propres et j’ai fait un peu de place dans l’armoire.
Annie contente de son petit effet sourit car elle voit bien aussitôt la tête que font les deux garçons ainsi que le bref coup d’œil désolé qu’ils se lancent.
- Un problème les garçons ? C’était bien ce qui était convenu ? Non ?
- (Damien boudeur) Heu ! Oui m’man !
Elle les regarde s’éloigner avec Mathis traînant lamentablement son sac à dos dans le salon, elle s’amuse beaucoup à les voir ainsi et soupire en repartant dans sa cuisine pour préparer le repas.
Damien emmène son copain vers la chambre du fond et le fait entrer en le suivant.
- Eh bien ! Tu parles d’une tuile !
- Ne t’en fait pas « Dami », on trouvera bien un moyen de passer un peu de temps ensemble quand tes parents dormiront.
- Je sais bien mais ce n’est pas cool, j’espérais qu’ils seraient d’accord pour qu’on dorme ensemble. Je n’aime pas l’idée de faire des trucs dans leurs dos.
- Va lui parler alors ! Je suis sûr qu’elle comprendra, elle est sympa ta mère.
Damien pas vraiment chaud pour une telle demande à ses parents.
- On verra ça ce soir après le dîner, je ne pense pas que ce soit le bon moment là.
Mathis comprend la gêne de son copain.
- Je peux leur en parler si tu veux ?
Damien le regarde et sourit :
- Non ! C’est à moi de m’assumer, je suis certain que tu le ferais mais je préfère que ça vienne de moi tu comprends ? Fais chier merde !!! Avec « Flo » et « Thom » ils ne font pas autant de simagrées.
Mathis voyant que son ami commence à s’énerver change de sujet de conversation :
- En tous les cas, elle est cool la piaule « d’Aurel » ! Tu me montres la tienne que je vois ton antre ? Hi ! Hi !
Ils ressortent de la chambre en y laissant le sac à dos de Mathis et Damien après quelques pas, ouvre en grand la sienne pour la montrer à son ami.
- Ta ! Ta ! Voilà ma caverne ! Oups !!!
Mathis voit bien la surprise de Damien et regarde curieux par-dessus son épaule l’intérieur de la pièce.
- C’est vide ?
Il regarde le tas de cartons entreposé sur la moquette.
- Je ne comprends pas ? Ce n’était pas comme ça, ce matin !
Il file en vitesse dans la cuisine pour interroger sa mère suivit par Mathis qui se demande bien ce que veut bien vouloir dire toute cette histoire.
Damien se plantant devant sa mère les yeux reflétant son entière incrédulité.
- M’man ? Qu’est ce qui se passe ? Ma chambre est vide ?
Annie s’essuie les mains et sourit à son fils voyant bien que l’effet de surprise est total.
- Ah c’est vrai ! J’avais oublié de te prévenir, tu vas devoir partager le lit d’Aurélien avec Mathis ce soir. Ta nouvelle chambre ne sera livrée que demain matin, nous n’avons pas pu avoir une livraison plus rapide quand nous avons été t’en acheter une nouvelle avec ton père et ce matin il a tenu à enlever tous les meubles.
- Une nouvelle chambre ?
- Eh bien oui quoi, tu ne voulais quand même pas que nous vous mettions à deux dans un lit d’une personne ? Et puis il était temps d’en changer, tu n’es plus un enfant et nous avons profité que tes frères soient absents pour changer les meubles de vos chambres.
- Nos chambres ?
Annie s’amuse visiblement et voit que Mathis aussi maintenant qu’il a compris.
- C’est pareil dans celle de Guillaume et Florian, tu n’as qu’à aller voir si tu ne me crois pas.
Pendant que Damien file rapidement vérifier que ce n’est pas des cracs, Mathis s’approche d’Annie et lui fait une grosse bise sur la joue.
- Merci !
Annie regarde le garçon et comprend alors que ses doutes envers lui lors de leur première rencontre n’étaient absolument pas fondés, Mathis même s’il n’est pas comme Thomas mérite tout autant que son cousin à être connu et apprécié à sa juste valeur ; elle le serre dans ses bras et lui dit avec chaleur.
- Bienvenu chez nous « Mat », j’espère que tu t’y sentiras comme chez toi.
Mathis les yeux embués d’émotion l’embrasse une deuxième fois.
- Aucun doute le dessus, merci.
C’est Éric qui redescend le premier rejoindre ses deux copains, laissant Raphaël dans la chambre avec sa promesse qu’il ne tardera pas à les retrouver en bas.
Il s’approche de Florian et le prend dans ses bras pour l’accueillir enfin comme il en avait envie depuis tout à l’heure.
L’étreinte tout comme celle avec Raphaël un peu plus tôt est loin d’être dénué de tendresse et d’amour, quand les deux garçons se séparent, leurs sourires ne trompent pas eux non plus ainsi que la bosse déformant outrageusement leurs braguettes et qui fait rire intérieurement Thomas qui en a suivi la progression fulgurante.
- (Thomas) Bon ! Eh bien nous allons y aller maintenant Florian, je n’ai pas encore eu l’occasion de te le dire mais nous sommes tous les deux invités à manger chez mes parents.
- (Éric surpris) Ah bon !! Je croyais qu’on passerait la soirée ensemble tous les quatre ?
- (Thomas) Comment ça ? On a jamais parlé de ça il me semble ?
Éric faisant triste mine.
- C’est sûr mais ça me paraissait évident, pas à toi ? Et toi « Flo » ? Tu en penses quoi ?
Thomas ne lui laisse pas le temps de répondre :
- Et puis j’aimerais avoir mon copain un peu pour moi si ce n’est pas trop demandé.
- (Éric déçu) Bien sûr, c’est normal ! On se voit demain alors ?
- (Thomas) Pourquoi demain ?
Éric est visiblement dépité :
- Quand alors ?
Je commence à ne plus rien comprendre car je pensais bien moi aussi rester avec mes amis, je comprends bien sûr que Thomas ait envie d’être seul avec moi mais de l’entendre être aussi radical dans ses paroles me gêne terriblement.
- (Thomas) Je n’en sais rien, après le dîner si « Flo » est d’accord.
Je regarde Thomas amusé :
- A quoi tu joues là ?
Thomas retrouvant un grand sourire moqueur :
- Juste je voulais voir sa tête Hi ! Hi ! Bah non banane ! Vous êtes aussi invités tous les deux, par contre les deux prochaines heures avant le repas « Flo » n’est rien qu’à moi tout seul.
Éric qui respire d’un coup beaucoup mieux :
- Et il trouve ça drôle je suis sûr ? Putain !! J’y ai cru à ses conneries en plus ! Le con !
Thomas lui tire la langue amusé.
- Tu vas voir ce soir toi !!
Raphaël qui vient de les rejoindre :
- Des promesses ? Hum ! J’adore !
- (Thomas) Allez Florian ! Tu viens ? Sinon avec eux ça va partir tout de suite en sucette Hi ! Hi !
Nous laissons nos deux amis pour rejoindre la chambre de Thomas et nous y enfermer à double tour.
Les vêtements volent dans la pièce et nous nous retrouvons très vite justes en slip allongé sur le lit à nous faire face.
L'abandon total se lit dans ses yeux quand les miens viennent se poser dessus, ses lèvres s’entrouvrent dans l’attente du baiser que je ne manque pas de lui donner.
Nos corps s’avancent pour entrer en contacts et nos mains caressent nos reins dans une parfaite réciprocité qui nous amène des sensations de plaisirs qui nous avaient trop manqué depuis la dernière fois que nous nous étions serrés ainsi l’un contre l’autre.
Le sexe de Thomas bat doucement contre le mien et sa peau douce comme la soie m’arrache des gémissements que je n’arrive pas à contrôler, il les accentue par des petits coups de reins virils démontrant son envie de prendre l’ascendant sur moi.
Thomas étant habituellement peu prédisposé à prendre la main dans nos relations intimes, c’est avec une forte excitation que je me laisse faire et quand je le sens passer au-dessus de moi et prendre mes genoux qu’il positionne sur ses épaules ; je tends mes reins et me cambre pour lui présenter au mieux mon intimité déjà tout ouverte par l’envie de le sentir en moi.
Ses lèvres se décollent des miennes et il m’observe intensément afin d’avoir l’assurance qu’il a mon consentement pour m’investir, mon visage pâmé dans l’attente de le recevoir lui en donne la confirmation et ses lèvres reprennent leur ballet sur les miennes pendant qu’il guide d’une main sûre l’extrémité de son gland devant ma corolle qui palpite à son contact déclenchant en moi une envie insatiable de le recevoir au plus profond de mon intimité.
- Prends-moi « Thom », je n’en peux plus !!
Il reprend mes lèvres en s’enfonçant doucement, son gland dilate mon anus et entre brusquement comme aspiré.
Le reste de son sexe suit et j’ai bientôt les poils de son pubis qui viennent au contact de mes bourses aux testicules remontés sous la peau tendue par l’envie de jouir qui me tenaille soudainement à sentir ce monstre de chair investir et caresser l’intérieur de mon corps.
- Arhh !! Vas-y ! C’est trop bon !
Thomas est galvanisé par les râles et les paroles de son compagnon, ses reins entament souplement une danse toute en douceur et volupté qui lui noue les nerfs.
L’excitation monte de plusieurs crans quand il sent Florian se presser avec avidité au-devant de ses coups, insatiable de le sentir aller et venir en lui.
Son corps s’ajuste au membre qui l’investit et Thomas perd maintenant tout contrôle sous les massages à la fois doux et nerveux de son petit mec excité, gourmand du plaisir qu’il ressent.
Thomas voit le sexe de Florian devenir encore plus gros, plus long et toujours plus raide.
Il comprend que son chéri arrive à un point où lui aussi ne contrôlera plus rien, il prend alors en main la hampe bouillonnante de sève et quand il sent que lui aussi est prêt à la jouissance suprême, il donne quelques coups de poignet pour libérer à son tour un Florian qui sous la double caresse dans son intestin et sur son sexe, dégorge tout son jus en se cambrant sous l’orgasme.
Celui-ci comprimant par la même occasion le sexe de son amoureux qui halète et s’affaisse sur lui tant la force du plaisir qui lui tenaille les reins et le cerveau est exceptionnel.
Les deux amants restent un long moment à se câliner et profiter d’une de ces occasions si rare pour le moment de pouvoir être ensemble.
La tendresse et l’amour transcendantal qu’ils éprouvent l’un pour l’autre ressortent de leurs moindres gestes, regards et de susurrement qu’ils se murmurent à l’oreille pour qu’elles ne s’adressent qu’à eux dans l’intimité de leur passion et de leur couple.
2eme ANNEE 1er semestre : (96 / 100) (Thillois) (Sébastien) (suite)
Marc ronchonne dans sa chambre, il ne peut pas quitter Reims ce week-end prolongé parce qu’il a beaucoup de retard en cours et qu’il doit mettre le turbo pour essayer de tout rattraper avant de ne plus pouvoir s’en sortir.
Flavien et Carole l’aident du mieux qu’ils peuvent et petit à petit Marc sent revenir le moral en apercevant le bout du tunnel.
« Toc ! Toc ! »
Marc relève la tête et voit entrer Flavien tout souriant.
- Ça te dit de faire un break ?
- Pour aller où ?
- Voir Sylvain et les deux « Seb » !
Marc sourit instantanément à son ami.
- Ok ! Juste le temps de mettre un pull.
- On t’attend à la voiture, magne ton « gros » popotin ma poule.
Flavien descend et rejoint Carole qui termine de s’habiller chaudement dans l’entrée.
- Alors ?
- Il arrive !
- Et ???
- Tu avais raison chérie, il doit y avoir un truc qui se prépare. Tu aurais vu ses yeux quand j’ai parlé des deux « Seb », c’était comme si tu appuyais sur l’interrupteur Hi ! Hi !
- Sylvain était pareil avec mon Frère, alors tu penses bien que je ne pouvais pas passer à côté.
Flavien en soupirant.
- J’espère juste que tout ça se terminera bien.
- Tu penses à Aléxie et Arnault ?
- Oui justement !!
- Peut-être que ce ne sera pas plus mal en fin de compte.
- Je ne sais pas, je trouve que c’est très fort entre eux trois. Après je pouvais imaginer une rupture mais certainement pas venant de Marc et là je tombe sur le cul.
- (Carole amusée) Tu vas vite à les mettre ensemble, qui te dis que ça se fera d’abord ? Si ça se trouve il n’y a rien du tout et on se met le doigt dans l’œil jusqu’au coude.
Flavien retrouve le sourire et embrasse sa chérie.
- Tu as raison, il faut toujours que je m’emporte. De toute façon c’est pas mes affaires, j’ai ma chérie et je n’ai pas envie du tout d’en avoir une autre en même temps, alors leurs histoires compliquées qu’ils se les gardent.
Carole lui met une claque sur le torse.
- Encore heureux dis donc !!
Une descente d’escalier à toute vitesse les font lever les yeux sur Marc, surpris arriver en bas de les voir encore là.
Du coup tout s’accélère et les voilà bientôt en route pour le village où habitent Sylvain et sa famille.
Ils arrivent pile poil au moment où André s’apprête à emmener Sébastien à sa séance de kiné, Marc ne peut détacher ses yeux du jeune handicapé qu’il entend discuter avec André d’une voix légère et musicale lui faisant avoir des frissons dans le dos.
Sébastien entend les portes de l’auto claquées et se tourne d’un geste vif sur une de ses roues pour voir qui arrive.
Son visage accentue alors d’une magnifique façon le sourire qu’il avait déjà sur les lèvres.
- Ça va les gars ?
- (André) J’emmène Sébastien à sa séance de kiné, les garçons sont dans leur chambre. (Clin d’œil) Pensez à frapper avant d’entrer parce que c’était plutôt bruyant là-haut il n’y a pas si longtemps que ça, si vous voyez ce que je veux dire.
Flavien faisant une grimace amusée.
- Ils n’en ont jamais assez ces deux-là, et toujours en échappement libre à ce que je vois ?
Carole le regarde avec adoration.
- Niveau bruitage tu n’as rien à leur envier chéri.
André regarde sa montre.
- Ce n’est pas que je m’ennuie avec vous les enfants mais si on continue nous allons être en retard, allez « Seb » ! Monte dans la voiture que je range ton fauteuil dans le coffre.
- (Marc) Attends !! Je viens t’aider !!
Sébastien allait refuser gentiment, hésite un instant puis en souriant :
- Si tu veux, merci !
Marc le prend alors comme il l’a vu faire par Flavien, André récupère le fauteuil pendant qu’il installe Sébastien avec une extrême douceur sur la banquette arrière.
La sensation des bras du jeune homme autour de son cou fait trembler Marc qui termine rapidement d’installer son ami, celui-ci le lâche avec regret et ses yeux entrent en contact un bref instant avec ceux du beau brun qui les baissent aussitôt pour ne pas montrer son trouble.
- Merci « Marco » !
- Pas de quoi, n’hésite pas si tu as besoin.
André les regarde depuis le début et s’amuse de les voir si gauche.
- Tu peux venir avec nous si tu veux ?
- (Marc) Avec plaisir comme ça je pourrai te tenir compagnie et le temps passera plus vite.
- (André) En voiture alors sinon pour le coup on va vraiment être à la bourre.
Toute la durée du parcours ils n’entendirent que le bruit du moteur, André jette de temps en temps un coup d’œil dans le rétroviseur et s’amuse du manège qu’il voit derrière lui ; Marc et Sébastien n’arrêtant pas de se dévisager en douce par des petits regards en coin qui reviennent rapidement vers la route dès que l’un d’eux s’aperçoit que l’autre le fixe.
La main de Sébastien est posée négligemment sur la place centrale près de celle de Marc, un coup de frein un peu plus brutal que la normale et elle vient se serrer dans la sienne.
Chacun savoure ce moment le temps que dure le contact, Sébastien retire sa main avec regret et la repose où elle était précédemment, les deux garçons se tournent alors l’un vers l’autre avec chacun un petit sourire timide sur les lèvres.
De longues secondes passent ainsi jusqu’à ce que la main de Marc à son tour recouvre celle du jeune handicapé, leurs sourires un instant figés par l’incertitude s’accentuent alors et illuminent leurs visages pendant que sous une pression lente leurs doigts se nouent les uns dans les autres.
2eme ANNEE 1er semestre : (97 / 100) (Reims) (Mathis) (suite)
Mathis sourit à Annie.
- Ah oui? Tu trouves?
- (Annie amusée) C’est ce qui te différencie de ton cousin, Thomas est plus réservé et timide alors que toi tu me parais être un garçon plein de répondant.
- (Mathis inquiet) Et ce n’est pas bien ?
- Je n’ai pas dit ça ! C’est juste que malgré une exceptionnelle ressemblance, tu as ta personnalité propre et qui est différente de celle de Thomas.
- (Damien impatient) M’man ! Je peux emmener Mathis rangé ses affaires dans la chambre ?
- Bien sûr où ai-je la tête, j’ai préparé celle d’Aurélien. Les draps sont propres et j’ai fait un peu de place dans l’armoire.
Annie contente de son petit effet sourit car elle voit bien aussitôt la tête que font les deux garçons ainsi que le bref coup d’œil désolé qu’ils se lancent.
- Un problème les garçons ? C’était bien ce qui était convenu ? Non ?
- (Damien boudeur) Heu ! Oui m’man !
Elle les regarde s’éloigner avec Mathis traînant lamentablement son sac à dos dans le salon, elle s’amuse beaucoup à les voir ainsi et soupire en repartant dans sa cuisine pour préparer le repas.
Damien emmène son copain vers la chambre du fond et le fait entrer en le suivant.
- Eh bien ! Tu parles d’une tuile !
- Ne t’en fait pas « Dami », on trouvera bien un moyen de passer un peu de temps ensemble quand tes parents dormiront.
- Je sais bien mais ce n’est pas cool, j’espérais qu’ils seraient d’accord pour qu’on dorme ensemble. Je n’aime pas l’idée de faire des trucs dans leurs dos.
- Va lui parler alors ! Je suis sûr qu’elle comprendra, elle est sympa ta mère.
Damien pas vraiment chaud pour une telle demande à ses parents.
- On verra ça ce soir après le dîner, je ne pense pas que ce soit le bon moment là.
Mathis comprend la gêne de son copain.
- Je peux leur en parler si tu veux ?
Damien le regarde et sourit :
- Non ! C’est à moi de m’assumer, je suis certain que tu le ferais mais je préfère que ça vienne de moi tu comprends ? Fais chier merde !!! Avec « Flo » et « Thom » ils ne font pas autant de simagrées.
Mathis voyant que son ami commence à s’énerver change de sujet de conversation :
- En tous les cas, elle est cool la piaule « d’Aurel » ! Tu me montres la tienne que je vois ton antre ? Hi ! Hi !
Ils ressortent de la chambre en y laissant le sac à dos de Mathis et Damien après quelques pas, ouvre en grand la sienne pour la montrer à son ami.
- Ta ! Ta ! Voilà ma caverne ! Oups !!!
Mathis voit bien la surprise de Damien et regarde curieux par-dessus son épaule l’intérieur de la pièce.
- C’est vide ?
Il regarde le tas de cartons entreposé sur la moquette.
- Je ne comprends pas ? Ce n’était pas comme ça, ce matin !
Il file en vitesse dans la cuisine pour interroger sa mère suivit par Mathis qui se demande bien ce que veut bien vouloir dire toute cette histoire.
Damien se plantant devant sa mère les yeux reflétant son entière incrédulité.
- M’man ? Qu’est ce qui se passe ? Ma chambre est vide ?
Annie s’essuie les mains et sourit à son fils voyant bien que l’effet de surprise est total.
- Ah c’est vrai ! J’avais oublié de te prévenir, tu vas devoir partager le lit d’Aurélien avec Mathis ce soir. Ta nouvelle chambre ne sera livrée que demain matin, nous n’avons pas pu avoir une livraison plus rapide quand nous avons été t’en acheter une nouvelle avec ton père et ce matin il a tenu à enlever tous les meubles.
- Une nouvelle chambre ?
- Eh bien oui quoi, tu ne voulais quand même pas que nous vous mettions à deux dans un lit d’une personne ? Et puis il était temps d’en changer, tu n’es plus un enfant et nous avons profité que tes frères soient absents pour changer les meubles de vos chambres.
- Nos chambres ?
Annie s’amuse visiblement et voit que Mathis aussi maintenant qu’il a compris.
- C’est pareil dans celle de Guillaume et Florian, tu n’as qu’à aller voir si tu ne me crois pas.
Pendant que Damien file rapidement vérifier que ce n’est pas des cracs, Mathis s’approche d’Annie et lui fait une grosse bise sur la joue.
- Merci !
Annie regarde le garçon et comprend alors que ses doutes envers lui lors de leur première rencontre n’étaient absolument pas fondés, Mathis même s’il n’est pas comme Thomas mérite tout autant que son cousin à être connu et apprécié à sa juste valeur ; elle le serre dans ses bras et lui dit avec chaleur.
- Bienvenu chez nous « Mat », j’espère que tu t’y sentiras comme chez toi.
Mathis les yeux embués d’émotion l’embrasse une deuxième fois.
- Aucun doute le dessus, merci.
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