22-03-2023, 05:43 PM
Ensuite, on se retrouva à la cuisine. Je fis des petites boules de pâte et je les étalais ensuite. Puis je descendis à la cave récupérer 2 bocaux de sauce tomate faite par ma grand-mère. Gus et Chip essayaient d'étaler les boules de pâte sans y réussir parfaitement.
Hans servit du vin à Tim et à Mary, avant de s'en servir un verre et il posa une boite de coca devant moi. Et puis, Hans leur parla de sa proposition de faire l'école, jusqu'à leur entrée en sixième. Mary et Tim ne promirent rien. Ils voulaient y réfléchir et en parler entre eux. Ce qui était tout à fait compréhensible.
Finalement, le gâteau de Mary, c'était une charlotte aux fraises. Et les enfants, gavés et fatigués, s'étaient endormis sur le canapé, on les monta se coucher. Tim nous parla de ses projets.
Cyprien me demanda de le suivre. On alla là où il avait trouvé les pierres qui lui servaient de banc au jardin.
J’y allai avec mes fils. Il nous ouvrit et je lui tendis le plat.
- Bébé, Tim, vous connaissez ,sans le connaître, mon petit fils. Il va sur ses 40 ans. Il a un fils, mon arrière-petit-fils, qui a 15 ans. Tous les deux sont des passionnés de chevaux. Ils en ont cinq, déjà. Louis, c'est mon arrière-petit-fils, il fait des concours hippiques. Et je sais qu'ils cherchent des terrains pour y mettre des chevaux. Je pense qu'ils seraient intéressés par les vôtres. Avant de les promettre à quelqu’un, tu me laisses leur en parler.
Et à peine la porte fermée, Hans me poussa sur le canapé et commença à me faire l’amour... Je finis nos galipettes, en le prenant sur la table de la salle à manger. Et on monta se coucher. On n'avait même pas soupé, tellement on avait trop mangé le midi.
On se fit une câlinerie au réveil et, après avoir bu le café et répondu à l'appel de la nature, on partit courir mais pas au même endroit qu’hier. Quand on revint, j'avais deux messages sur mon téléphone. Un de mes parents et un appel de Gaston mais pas de message. Mes parents nous invitaient à manger les restes de la veille.
Avant d'aller chez eux, on passa chez le père Mathieu. Il avait téléphoné à son fils, et lui et son petit-fils, étaient intéressés par les terrains, si Tim les leur cédait.
On passa pour faire un coucou aux grands-parents qui n'étaient pas là. Puis on passa chez les parents de Tim et on entendait rire de l’extérieur. On entra, les jumeaux avaient mis des fringues d’Adeline et Adeline celle de garçon… et faisaient les pitres !
On éclata de rire aussi. Ils vinrent nous faire un bisou tous les trois et repartirent en riant.
Mes grands-parents étaient chez mes parents. On finit les restes et on rentra en amoureux. Il faisait chaud et on alla sur la terrasse où on se mit nus et on essaya la piscine. L'eau était encore fraîche mais baignable, même si quand on sortit, l'escargot était rentré dans sa coquille, sous l'effet de l'eau froide. Le soleil nous réchauffa vite et les attouchements de Hans m'aidèrent beaucoup.
Quand il vit que je bandais bien dur il posa son cul sur ma figure. C'était une caresse qu'il appréciait énormément et quand je dis énormément c'était même plus que ça. Il récupérait le liquide qui sortait de son méat et m'enduisait le sexe avec. Quand il se sentit prêt, il se déplaça et vint s'asseoir sur mon mat de cocagne. Je le laissais aller à son rythme. Par contre, je jouais avec ses seins. Je sentais les pointes durcir sous mes doigts.
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- C’est dur Papa, viens nous aider.
- C'est pour l’apéro, tu l’ouvres ?
Hans servit du vin à Tim et à Mary, avant de s'en servir un verre et il posa une boite de coca devant moi. Et puis, Hans leur parla de sa proposition de faire l'école, jusqu'à leur entrée en sixième. Mary et Tim ne promirent rien. Ils voulaient y réfléchir et en parler entre eux. Ce qui était tout à fait compréhensible.
- Bé, tu veux pas goûter ce vin, je trouve qu'il a un drôle de goût.
- Tim, tu sais bien que je n'y connais rien.
- Oui, je sais, mais tu pourras me dire si tu trouves ce qui cloche dans le gout.
- Alors tu en penses quoi ?
- Au début ça va. Mais après il a comme un goût de terre et de soufre. Et il est trop acide je trouve.
- C'est ça, oui, tout à fait, ça. J'arrivais pas à mettre un nom sur le dernier élément qui restait en bouche. C'est le soufre. Merci Bé.
- On a faim nous, Papa, on fait les pizzas ?
Finalement, le gâteau de Mary, c'était une charlotte aux fraises. Et les enfants, gavés et fatigués, s'étaient endormis sur le canapé, on les monta se coucher. Tim nous parla de ses projets.
- Les plants me prennent de plus en plus de temps. Mais ça rapporte bien. J'ai trouvé dans les semis de Cyprien, des graines de lavande. J'en ai semé quelques-unes, il y a deux ans. C'est une variété qui a disparu mais qui est très productive et odorante . Bé si je plante des champs de lavande ça t’ennuie ?
- Pourquoi veux tu que ça m’ennuie. Tu plantes bien ce que tu veux.
- Je voudrais aussi planter des pêchers et des abricotiers. Mais que des vielles variétés peu connues et au goût de ouf.
- Fais donc comme tu en as envie.
- C'est pas tout. Je voudrais aussi planter des noyers, des noisetiers et des amandiers. Pour les noisetiers, je pourrais faire coup double en les faisant mycorhizer et comme ça, on aura aussi des truffes. Par contre, je ne pourrais plus m'occuper de toute la surface même en bossant jour et nuit.
- Ça pourrait intéresser ton copain aux brebis ?
- Je ne sais pas. Ça fait loin pour lui, en tracteur. Mon père en prendra peut-être un peu mais c'est pas sûr. Il commence à parler retraite, avec ma mère.
- Tu peux déjà demander à ton pote ce qu'il en dit, après, on verra bien. Par contre, j'y mets une condition, je ne veux que du bio.
- D'accord, pas de souci. Mary, c’est à toi, tu leur dis ?
- Bon, Bé et Hans, d'ici la fin de l'année, Adeline va avoir un petit frère ou une petite sœur. C'est prévu pour fin novembre.
Cyprien me demanda de le suivre. On alla là où il avait trouvé les pierres qui lui servaient de banc au jardin.
- Tu vois Bé, c'est sous cette grosse pierre là que j'ai trouvé ce qu'il y a de caché dans la cabane sous le bidon. J'ai essayé de soulever l'autre à côté mais elle était bien trop grosse pour moi à l'époque et puis je n'y ai plus jamais pensé. Ça m'est revenu, il y a quelques nuits. À l'occasion, tu devrais essayer de le faire, toi qui est costaud.
- Mais c'est quoi, ce que tu as trouvé dessous ?
- Vous ne tarderez pas à le savoir. Et Bé, fais-moi grâce de ne pas me dire que c'est pas pour de suite.
- Non Papé, je ne te le dirai pas… Mais le jour où tu partiras on aura tous de la peine.
- Et moi aussi ça me fera de la peine de vous quitter, surtout les petits. Les tiens, bien sûr, mais aussi ceux de ton frère et de ta sœur. Ça m'a redonné le goût de vivre. Mais je sens que je ne vais plus aussi bien qu’avant.
- Tu es malade ?
- Non Bé, je suis vieux, très vieux, même. Bon, on va ramasser quelques morilles ?
- On est venu pour ça, non ?
- Suis moi ,Papé, l'an dernier j'ai trouvé les plus grosses dans le petit bois, juste là. On va aller voir s'il y en a.
- Je sais pas si c'est des cibots (pommes de pin) ou des morilles mais ça a l'air gros.
- Papa, Papé, on en a trouvé tout plein, et vous?
- On en a plein, aussi. Mais on a arrêté d'en ramasser, parce qu'il n'y a plus de place dans notre seau.
- Ce n’est même pas vrai.
- Viens voir, Gus. Tu verras que Papé et moi on n'est pas des menteurs.
- Stop !
- Mais pourquoi ?
- Vous ne voyez pas que vous allez en écraser plein.
- Putain, y'en a des masses !
- Papa, Adeline elle a dit Putain.
- Oui Chip, j'ai entendu. Adeline a dit un gros mot. Mais tu n'es pas obligé de le répéter.
J’y allai avec mes fils. Il nous ouvrit et je lui tendis le plat.
- Mais, ça fait dix fois trop !
- On en a beaucoup trouvé, ça ne représente qu'une infime partie.
- Gaston, la Mamé elle a dit qu'il fallait qu'on te dise que tu devais venir manger chez elle à midi et qu'il fallait pas que tu dises non, que ton assiette… c'est quoi la suite Papa ?
- Que ton assiette était déjà mise sur la table.
- Ah, oui, c'est vrai.
- Alors tu diras à ta grand-mère que c'est volontiers parce que je veux pas qu'elle se mette en colère contre moi. Je mets les morilles au frigo et j’arrive. Jean-François, j'ai téléphoné à Gilles. Ils viennent me voir la semaine prochaine. Mon fils et toute sa famille aussi. Merci Bébé pour tout ce que tu as fait pour nous. Maintenant, je peux mourir tranquille. Je n'ai que le regret de ne pas avoir revu ma fille avant.
- Je n'ai fait que le facteur, Gaston. C'est toi qui as fait le reste.
- Et vous les avez trouvés où toutes ces morilles ? Par terre ?
- Non Gaston, au même endroit secret que l'an dernier.
- Tu ne crois pas que je vais aller les ramasser, non ? Tu vois, je les aime bien mais je suis comme toi, je préfère les pinets à l'huile et au vinaigre. Il faudra que je demande à ta mère si elle veut bien me les préparer pour dimanche. Elle ne dira pas non.
- C'est pas la peine Mamy, on a prévu pour midi.
- Et moi aussi, Tim, vous l'aurez pour ce soir. Et puis tu ne vas pas te faire prier, non plus.
- Mais non, Mamy, c'est juste pour pas déranger.
- Et depuis quand tu déranges, en mangeant avec nous.
- Bébé, Tim, vous connaissez ,sans le connaître, mon petit fils. Il va sur ses 40 ans. Il a un fils, mon arrière-petit-fils, qui a 15 ans. Tous les deux sont des passionnés de chevaux. Ils en ont cinq, déjà. Louis, c'est mon arrière-petit-fils, il fait des concours hippiques. Et je sais qu'ils cherchent des terrains pour y mettre des chevaux. Je pense qu'ils seraient intéressés par les vôtres. Avant de les promettre à quelqu’un, tu me laisses leur en parler.
- Tu sais Gaston, les terrains c'est Tim qui gère ça. Tant qu'il me les tient en état, ça me suffit. Je te laisse t'arranger avec lui pour ça et s'il faut leur signer un papier, je le ferai sans problème. Tu sais je préfère que ça reste entre nous, ceux du haut.
- Tu as raison Bébé, ceux du bas, c'est plus les Fourches, même si maintenant c'est nous, ceux du haut, qui n'existons plus.
- C'est vrai Gaston que Lily et Lilou, elles vont venir bientôt ?
- Oui Adeline, la semaine prochaine.
- Cool, on va pouvoir jouer à la poupée.
- Adeline, on y joue des fois avec toi. Mais c'est pas marrant.
- Avec vous il faut toujours jouer à chat, à cache-cache, faire la bagarre.
- Gaston, si tu as des soucis pour loger tout ton monde, tu sais que j'ai de la place à la maison et les jumeaux seront heureux d'héberger les jumelles et leurs parents, si ça peut aider.
- Je n'ai pas encore réfléchi comment on va pouvoir faire mais j'en prends note, Bé.
- Papa, les bergers, ils vont faire quoi avec les jumelles ?
- Qu'est-ce-que tu dis Gus ?
- Mais c'est pas moi qui dit, c'est toi. Tu dis les bergers, les parents et les jumelles.
- Non Gus, j'ai dit hé-ber-ger. Ça veut dire venir dormir à la maison.
- Chouette, on pourra dormir avec elles ?
- Oui, s'ils viennent dormir chez nous.
- Hey, moi aussi je peux venir ?
- Mais Adeline On, c'est Toi, Gus et moi.
- Bon, Gaston, c'est décidé, Gilles, Véro et les jumelles dormiront à la maison.
- J'ai déjà le fusil qui pend sur un clou à coté de mon lit.
- Pourquoi tu as un fusil Tim.
- Pour titrer les vilains petits cochons qui veulent manger les fleurs de la maison.
- Comme Gaston, quand les sangliers veulent manger ses truffes ?
- C'est ça, Chip.
- On en a un, nous, Papa ?
- Un fusil ? Non, on n'en a pas. Autour de la maison, on a un grand mur comme dans un château fort. Alors on n'en a pas besoin.
- On peut aller jouer ?
- Vous ne voulez pas du dessert ?
- C'est quoi Mamé.
- Des fraises et de la chantilly, ça vous va ?
- OUIIIIIIIIIIII.
- On va chez Papy Bernard et Mamy Nadine. On va goûter. Elle nous a fait une tarte aux fraises avec de la mousse au chocolat.
- Mais vous sortez de table. Vous allez être malade.
- Mais non !
Et à peine la porte fermée, Hans me poussa sur le canapé et commença à me faire l’amour... Je finis nos galipettes, en le prenant sur la table de la salle à manger. Et on monta se coucher. On n'avait même pas soupé, tellement on avait trop mangé le midi.
On se fit une câlinerie au réveil et, après avoir bu le café et répondu à l'appel de la nature, on partit courir mais pas au même endroit qu’hier. Quand on revint, j'avais deux messages sur mon téléphone. Un de mes parents et un appel de Gaston mais pas de message. Mes parents nous invitaient à manger les restes de la veille.
Avant d'aller chez eux, on passa chez le père Mathieu. Il avait téléphoné à son fils, et lui et son petit-fils, étaient intéressés par les terrains, si Tim les leur cédait.
On passa pour faire un coucou aux grands-parents qui n'étaient pas là. Puis on passa chez les parents de Tim et on entendait rire de l’extérieur. On entra, les jumeaux avaient mis des fringues d’Adeline et Adeline celle de garçon… et faisaient les pitres !
On éclata de rire aussi. Ils vinrent nous faire un bisou tous les trois et repartirent en riant.
Mes grands-parents étaient chez mes parents. On finit les restes et on rentra en amoureux. Il faisait chaud et on alla sur la terrasse où on se mit nus et on essaya la piscine. L'eau était encore fraîche mais baignable, même si quand on sortit, l'escargot était rentré dans sa coquille, sous l'effet de l'eau froide. Le soleil nous réchauffa vite et les attouchements de Hans m'aidèrent beaucoup.
Quand il vit que je bandais bien dur il posa son cul sur ma figure. C'était une caresse qu'il appréciait énormément et quand je dis énormément c'était même plus que ça. Il récupérait le liquide qui sortait de son méat et m'enduisait le sexe avec. Quand il se sentit prêt, il se déplaça et vint s'asseoir sur mon mat de cocagne. Je le laissais aller à son rythme. Par contre, je jouais avec ses seins. Je sentais les pointes durcir sous mes doigts.
- Bé, aide-moi je vais bientôt jouir.
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