Chapitre 26
Dans le village de Syl, au petit matin.
Jérémy est aux anges depuis que le groupe de Christophe s'est réduit à deux hommes. Adrien ainsi qu'un métis dénommé Joshua. Avec eux, il est chargé d'assurer la sécurité de Bertrand. Comme ce dernier n'a aucun souci à se faire dans l'enceinte de Syl, Jérémy peut disposer de son temps à sa guise. Il aime beaucoup ces vacances payées par la Fondation.
Il se trouve actuellement chez un jeune villageois appelé Gralik. Celui-ci, la vingtaine, est plein de charme. Il ressemble beaucoup à Evran : les yeux et cheveux sont de mêmes couleurs et sa musculature est similaire... Seule la forme de son visage et sa carrure plus imposante les différencie.
Ils sont allongés côte à côte, puis Jérémy comprend que son hôte ne dort plus, car celui-ci fait des mouvements de tête qui ne laissent aucun doute.
Ayant toujours son érection matinale, Jérémy se jette sur Gralik et bascule par-dessus, afin d'atterrir de l'autre côté du lit, face à l'autochtone. Il l'embrasse à pleine bouche, en guise de bonjour. Puis il plaque son sexe contre l'entrejambe du jeune homme, pour bien lui faire comprendre son intention.
Au début engourdi, Gralik prend de la vigueur et répond à son amant en lâchant ses mains à l'assaut de tout son corps... Les caresses fusent et ils s'enroulent dans leur couverture, que Jérémy enlève d'un geste.
Il plaque son amant contre le matelas, tout en maintenant son baiser, dont il perd le contrôle. Les sexes se frottent, la chaleur des corps se mêle, l'excitation grimpe à son summum en un rien de temps.
N'en pouvant plus, Gralik se détache du Terrien et s'allonge sur le ventre, puis se cabre. Il offre une vue plongeante sur ses fesses imberbes et rebondies et Jérémy ne résiste pas à la tentation d'y poser ses mains.
- Hum... Frissonne l'autre, pour qui cette zone est visiblement très sensible au toucher.
Jérémy s'en aperçoit et s'applique d'abord à les caresser, puis à les masser. Ce traitement semble complètement affoler son amant, qui tremble, tout en laissant échapper quelques gémissements.
Il se colle contre lui et plaque son sexe le long du fessier de Gralik, tout en appuyant ses caresses.
- Oh... S'il te plaît, arrête de me faire languir, prends-moi !
- Pas tout de suite... Susurre Jérémy à l'oreille de son partenaire avant de lui titiller la rosette, pour y enfoncer progressivement ses doigts.
Un instant plus tard, Gralik se tortille, entre halètements et gémissements. De toute évidence, l'autochtone est sur un nuage. Il parvient difficilement à articuler mais il supplie une nouvelle fois son amant de le prendre sans tarder.
Jérémy le sent prêt mais aime le frustrer un peu. Il entame une série de va-et-vient avec son sexe tendu contre le sillon de l'autochtone, avant de s'y enfoncer sans prévenir, d'un puissant coup de rein.
- Ah ! Couine Gralik, tout en se cambrant davantage pour mieux accueillir cette virilité en lui.
Jérémy se cramponne aux hanches de son amant, puis fait des mouvements de va-et-vient puissants et rapides, le défonçant littéralement.
Chaque fois que le gland vient taper au plus profond de lui, Gralik laisse échapper un petit cri, causé par une vague d'extase.
Jérémy est enivré par cette chaleur qui fait comme une agréable pression autour de sa queue. Il l'enfonce au maximum pour savourer pleinement et profite de cet arrêt pour aller masturber la verge déjà humide de mon amant, tout en malaxant ses fesses de sa main libre.
Après quelques temps de ce manège, Gralik se cambre un peu plus. Jérémy l'interprète comme une invitation et se remet à lui faire l'amour avec ardeur, tout en gardant une main sur son sexe.
- Hmmm... Continue, c'est super ! l'encourage Gralik.
Après quelques minutes d'assauts charnels, Jérémy sent la sève monter en lui. Il accélère de plus en plus, pilonnant ce magnifique fessier.
- Ah... Humm...Ahh ! gémit l'autochtone, au bord de la jouissance.
Ils s'activent de plus en plus, puis dans un sursaut de plaisir, Jérémy se redresse pour déverser le fruit de sa jouissance en Gralik, qui semble y venir également.
Jérémy ne le laisse pas reprendre son souffle. Il fait le tour et a juste le temps d'enfourner la tige de Gralik dans sa bouche, qu'elle lui envoie cinq jets puissants sur la langue. Le Terrien l'avale goulûment, puis se couche sur son amant. Les deux hommes font une petite sieste, couchés l'un sur l'autre, fatigués de ces exercices physiques.
--- --- ---
Dans le zeppelin de Franz, en route vers Valtunin.
- Tu pourrais faire un détour ! affirme encore une fois l'inconnu qui a élu résidence dans l'esprit de Franz.
- Je ne suis pas seul à bord ! rappelle le pilote.
- Les autres passagers ? Ils débarqueront une fois à Valtunin !
- Oui mais trois autres vont monter...
- Quelle mauvaise foi ! Tu pourrais leur faire gober n'importe quoi : ils ne connaissent sûrement rien du fonctionnement d'un zeppelin et l'itinéraire n'est pas leur problème.
- Je risquerais de me retrouver à sec avant la Base-Noyau. Argumente Franz.
- Tu connais encore trop mal ce zeppelin pour le savoir ! N'essaie pas de me rouler, je suis dans ta tête !
- Tu m'énerves... Soupire intérieurement le pilote.
- C'est ce que j'ai cru comprendre.
- Si je t'avais en face de moi, tu prendrais mon poing dans la figure.
- Faire ça a un vieil homme mourant ! s'indigne l'intrus. Le respect de ses aînés aurait disparu, sur Terre, pendant mon absence ?
- Capitaine de mes deux ! répond Franz, agacé et méprisant.
- Je t'en prie ! N'en venons pas aux injures !
- Je me pose tout de même une question... Dit le pilote, qui change de sujet. La terre ne te manque pas ?
- Au début de mon exil forcé, terriblement... Surtout mes amis et ma femme. Mais j'ai vite découvert ce monde... Sa richesse, la culture des humains d'ici, les dinosaures, les Neldars, toutes les choses qui n'existent pas ailleurs... Si je devais choisir un monde ou vivre, (le monde du mal ne compte pas) je resterais sur Sterrn, bien que je ne puisse pas y guérir complètement de la maladie que m'a transmis le Mal lors du naufrage de mon navire.
- ...
- Les préparations des alchimistes de Sterrn ne me permettent que d'endiguer temporairement ce fléau, j'en suis dépendant et je mourrais très vite sans ça. C'est une autre des raisons pour laquelle j'ai besoin de toi, bien qu'elle soit plus personnelle...
- Pourquoi ?
- Lorsque j'aurai averti le fameux Seigneur Frégast des dangers qui le guettent et comment y remédier, il faudra m'emmener dans un petit village nommé Syl. Une femme nommée Vena y vit, c'est une alchimiste réputée comme étant la meilleure de Sterrn. Elle pourrait augmenter mon espérance de vie d'une bonne dizaine d'années...
- Trouvez un autre moyen, je ne le ferai pas. Le coupe Franz.
Dans le village de Syl, au petit matin.
Jérémy est aux anges depuis que le groupe de Christophe s'est réduit à deux hommes. Adrien ainsi qu'un métis dénommé Joshua. Avec eux, il est chargé d'assurer la sécurité de Bertrand. Comme ce dernier n'a aucun souci à se faire dans l'enceinte de Syl, Jérémy peut disposer de son temps à sa guise. Il aime beaucoup ces vacances payées par la Fondation.
Il se trouve actuellement chez un jeune villageois appelé Gralik. Celui-ci, la vingtaine, est plein de charme. Il ressemble beaucoup à Evran : les yeux et cheveux sont de mêmes couleurs et sa musculature est similaire... Seule la forme de son visage et sa carrure plus imposante les différencie.
Ils sont allongés côte à côte, puis Jérémy comprend que son hôte ne dort plus, car celui-ci fait des mouvements de tête qui ne laissent aucun doute.
Ayant toujours son érection matinale, Jérémy se jette sur Gralik et bascule par-dessus, afin d'atterrir de l'autre côté du lit, face à l'autochtone. Il l'embrasse à pleine bouche, en guise de bonjour. Puis il plaque son sexe contre l'entrejambe du jeune homme, pour bien lui faire comprendre son intention.
Au début engourdi, Gralik prend de la vigueur et répond à son amant en lâchant ses mains à l'assaut de tout son corps... Les caresses fusent et ils s'enroulent dans leur couverture, que Jérémy enlève d'un geste.
Il plaque son amant contre le matelas, tout en maintenant son baiser, dont il perd le contrôle. Les sexes se frottent, la chaleur des corps se mêle, l'excitation grimpe à son summum en un rien de temps.
N'en pouvant plus, Gralik se détache du Terrien et s'allonge sur le ventre, puis se cabre. Il offre une vue plongeante sur ses fesses imberbes et rebondies et Jérémy ne résiste pas à la tentation d'y poser ses mains.
- Hum... Frissonne l'autre, pour qui cette zone est visiblement très sensible au toucher.
Jérémy s'en aperçoit et s'applique d'abord à les caresser, puis à les masser. Ce traitement semble complètement affoler son amant, qui tremble, tout en laissant échapper quelques gémissements.
Il se colle contre lui et plaque son sexe le long du fessier de Gralik, tout en appuyant ses caresses.
- Oh... S'il te plaît, arrête de me faire languir, prends-moi !
- Pas tout de suite... Susurre Jérémy à l'oreille de son partenaire avant de lui titiller la rosette, pour y enfoncer progressivement ses doigts.
Un instant plus tard, Gralik se tortille, entre halètements et gémissements. De toute évidence, l'autochtone est sur un nuage. Il parvient difficilement à articuler mais il supplie une nouvelle fois son amant de le prendre sans tarder.
Jérémy le sent prêt mais aime le frustrer un peu. Il entame une série de va-et-vient avec son sexe tendu contre le sillon de l'autochtone, avant de s'y enfoncer sans prévenir, d'un puissant coup de rein.
- Ah ! Couine Gralik, tout en se cambrant davantage pour mieux accueillir cette virilité en lui.
Jérémy se cramponne aux hanches de son amant, puis fait des mouvements de va-et-vient puissants et rapides, le défonçant littéralement.
Chaque fois que le gland vient taper au plus profond de lui, Gralik laisse échapper un petit cri, causé par une vague d'extase.
Jérémy est enivré par cette chaleur qui fait comme une agréable pression autour de sa queue. Il l'enfonce au maximum pour savourer pleinement et profite de cet arrêt pour aller masturber la verge déjà humide de mon amant, tout en malaxant ses fesses de sa main libre.
Après quelques temps de ce manège, Gralik se cambre un peu plus. Jérémy l'interprète comme une invitation et se remet à lui faire l'amour avec ardeur, tout en gardant une main sur son sexe.
- Hmmm... Continue, c'est super ! l'encourage Gralik.
Après quelques minutes d'assauts charnels, Jérémy sent la sève monter en lui. Il accélère de plus en plus, pilonnant ce magnifique fessier.
- Ah... Humm...Ahh ! gémit l'autochtone, au bord de la jouissance.
Ils s'activent de plus en plus, puis dans un sursaut de plaisir, Jérémy se redresse pour déverser le fruit de sa jouissance en Gralik, qui semble y venir également.
Jérémy ne le laisse pas reprendre son souffle. Il fait le tour et a juste le temps d'enfourner la tige de Gralik dans sa bouche, qu'elle lui envoie cinq jets puissants sur la langue. Le Terrien l'avale goulûment, puis se couche sur son amant. Les deux hommes font une petite sieste, couchés l'un sur l'autre, fatigués de ces exercices physiques.
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Dans le zeppelin de Franz, en route vers Valtunin.
- Tu pourrais faire un détour ! affirme encore une fois l'inconnu qui a élu résidence dans l'esprit de Franz.
- Je ne suis pas seul à bord ! rappelle le pilote.
- Les autres passagers ? Ils débarqueront une fois à Valtunin !
- Oui mais trois autres vont monter...
- Quelle mauvaise foi ! Tu pourrais leur faire gober n'importe quoi : ils ne connaissent sûrement rien du fonctionnement d'un zeppelin et l'itinéraire n'est pas leur problème.
- Je risquerais de me retrouver à sec avant la Base-Noyau. Argumente Franz.
- Tu connais encore trop mal ce zeppelin pour le savoir ! N'essaie pas de me rouler, je suis dans ta tête !
- Tu m'énerves... Soupire intérieurement le pilote.
- C'est ce que j'ai cru comprendre.
- Si je t'avais en face de moi, tu prendrais mon poing dans la figure.
- Faire ça a un vieil homme mourant ! s'indigne l'intrus. Le respect de ses aînés aurait disparu, sur Terre, pendant mon absence ?
- Capitaine de mes deux ! répond Franz, agacé et méprisant.
- Je t'en prie ! N'en venons pas aux injures !
- Je me pose tout de même une question... Dit le pilote, qui change de sujet. La terre ne te manque pas ?
- Au début de mon exil forcé, terriblement... Surtout mes amis et ma femme. Mais j'ai vite découvert ce monde... Sa richesse, la culture des humains d'ici, les dinosaures, les Neldars, toutes les choses qui n'existent pas ailleurs... Si je devais choisir un monde ou vivre, (le monde du mal ne compte pas) je resterais sur Sterrn, bien que je ne puisse pas y guérir complètement de la maladie que m'a transmis le Mal lors du naufrage de mon navire.
- ...
- Les préparations des alchimistes de Sterrn ne me permettent que d'endiguer temporairement ce fléau, j'en suis dépendant et je mourrais très vite sans ça. C'est une autre des raisons pour laquelle j'ai besoin de toi, bien qu'elle soit plus personnelle...
- Pourquoi ?
- Lorsque j'aurai averti le fameux Seigneur Frégast des dangers qui le guettent et comment y remédier, il faudra m'emmener dans un petit village nommé Syl. Une femme nommée Vena y vit, c'est une alchimiste réputée comme étant la meilleure de Sterrn. Elle pourrait augmenter mon espérance de vie d'une bonne dizaine d'années...
- Trouvez un autre moyen, je ne le ferai pas. Le coupe Franz.