15-03-2023, 03:52 PM
Il partit en riant. Et je terminais mes exercices.
Hans m'évitait et me tirait la gueule. L'heure de coucher les enfants arriva et ils voulurent tous dormir ensemble chez mon frère. On alla chercher un matelas pour qu'ils puissent dormir.
Mon frère me donna les courses qu'il avait faites pour moi et je le payais, illico.
Ils étaient fatigués et tout le monde désirait se coucher.
Je retournai au mobil home, suivi par Hans,
Il me fit allonger sur le lit et se mit sur moi. Il commença par m'embrasser de partout sur la figure, il me donnait de temps en temps un coup de langue, il me mordilla le menton puis descendit le long de mon cou qu'il lécha puis il descendit sur mes pecs qu'il pétrit avant de jouer avec mes seins. C'était un expert. Puis il descendit jusqu'à mon sexe. Il commença par le lécher, le mordiller puis il joua avec mon gland et mon frein avant d’enfoncer sa tête dessus. Je sentais sa langue qui m'excitait et ses joues qui frottaient les bords.
On gémissait fort, autant l'un que l'autre, et Hans encore plus quand mes doigts trouvèrent sa prostate avec laquelle ils jouèrent.
Et nos bouches se rejoignirent pour s'embrasser et échanger nos saveurs.
Tout comme moi Hans bandait encore. Je le fis mettre à quatre pattes, pour bien lui bouffer le cul. Je caressais en même temps ses fesses, son dos et de temps en temps je branlais sa queue mais il me l'enlevait pour ne pas re jouir trop vite.
Je faisais courir mes doigts sur son dos et sur ses flancs. Il se raidissait, frissonnait de plaisir sous mes caresses. Petit à petit mon pubis tapa ses fesses dures. Quand mon sexe coulissa facilement dans sa gaine intime je le fis mettre dans la position du missionnaire et je le fis jouir en même temps que je l’embrassais. Il serra si fort ses muscles intimes que je jouis à mon tour.
Je me retirais et on s'embrassa longuement en se caressant. Nos sexes étaient au beau fixe une nouvelle fois.
Il lui fallut un très long moment pour entrer en plein mais jamais je ne sentis sa queue se ramollir.
Puis il commença par de longs, lents, vas et viens. Et petit à petit, mon cul s'adapta à sa queue. Je commençais à prendre mon pied. Il me fit mettre dans la position du missionnaire aussi et il me reprit mais cette fois avec des coups plus secs et plus rapides… affolant ma prostate ! Je sentais la jouissance monter.
Dans la nuit, on recommença. Mais cette fois Hans me prit sans souci, il se retira avant de jouir et je le pris, jusqu'à ce qu'on jouisse ensemble. Hans regagna son lit, pour les quelques heures qui restait à dormir.
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- Tu sais Bé, là, tu me surprends beaucoup. Ça fait longtemps que tu t’entraînes ?
- Depuis que j'ai 3 ou 4 ans. Antho faisait du karaté et Audrey de la danse classique. Alors je les imitais. Je crois que je suis devenu plus doué qu’eux.
- Oui je vois ça. Tu n'as jamais pensé à le faire faire aux jumeaux.
- Non, mais si tu penses que c'est une bonne idée on peut commencer, tout à l'heure, à la plage.
- Papa, on est réveillé. Et on a envie de faire pipi.
- Et on veut goûter aussi.
- Je peux te poser une question indiscrète ?
- Oui bien sûr.
- Hans et toi vous êtes en couple ?
- Non, pas du tout, pourquoi tu demandes ça ?
- C'est parce qu'il n'y a pas la maman des jumeaux et que les petits se tournent autant vers Hans que vers toi, on pensait que… enfin, laisse tomber.
- La maman des jumeaux nous a abandonnés quand ils avaient neuf mois. Et depuis elle est décédée. Hans, c'est leur nounou. Il est ici avec nous, moitié vacances, moitié boulot.
- D’accord ! Et ça vous dit de passer boire l'apéro à la maison ce soir ?
- Oui, pourquoi pas. Enfin, je viendrai avec les jumeaux, je ne sais pas si Hans viendra.
- Au fait on ne s'est pas présenté je m'appelle Gilles et ma moitié Véronique et tu connais les jumelles Lily et Lilou.
- Enchanté, je suis Jean-François. Vous connaissez mes fils, Cyprien et Augustin. Vous venez d’où ?
- On est de Marseille et toi ?
- J'habite un petit village dans les Alpilles. C'est au nord d’Arles. Ça s'appelle les Fourches mais tu ne dois pas connaître.
- Mais si, je connais, enfin de nom. Mon arrière-grand-père est de là-haut, du moins, s'il est toujours vivant.
- Ton arrière-grand-père est de là-haut mais c'est qui ? Je connais tout le monde et à part le Gaston, je ne vois pas qui ça peut être.
- C'est ça, Gaston Mathieu. Il est toujours vivant ?
- Oui, il est toujours vivant et en bonne santé. Il va sur ses 93 ans. Mais comment tu es de sa famille ? Il n'a qu'un fils et je connais ses enfants et ses petits-enfants.
- Tu fais erreur. Il avait eu une fille avant lui et quand il a su qu'elle était enceinte, il l'a mis dehors. Ma grand-mère est partie à Marseille où elle a fait sa vie, assez bien d’ailleurs, en élevant seule mon père.
- Ta grand-mère est toujours vivante ?
- Non elle est morte d'un cancer il y a 2 ans.
- Et tes parents sont à Marseille aussi ?
- Oui, ainsi que mes beaux-parents. Ils nous aident de temps en temps en gardant les filles.
- Du coup, ton nom de famille c'est Mathieu !
- He oui. Tu crois qu'on pourrait monter le voir ?
- Ça, j'en sais rien, parce que comme je te l'ai dit personne ne m'a jamais parlé d'une fille. Pas même Cyprien.
- C'est qui Cyprien, à part ton fils ?
- C'est mon arrière-grand-père. Il a 103 ans. Il est né le même jour qu’eux mais un siècle plus tôt.
- Papa ! Papa, on veut la même coiffure que les garçons. C'est trop joli.
- Mais, je ne sais pas faire ça, moi.
- Mais le Papa de Chip et de Gus, il sait lui. Allez dis oui s'il te plaît.
- Si Jean-François veut bien vous le faire moi je suis d’accord mais il faut demander à votre mère si elle est d'accord, aussi.
- Tu as entendu Maman, dis oui s'il te plaît.
- Si Jean-François veut bien vous le faire, c’est oui !
- Pas de souci, pour moi, il nous reste encore beaucoup de perles et d'élastiques mais, Véro et Gilles, il faudra m'aider parce que, mine de rien, c'est très long à faire. Le mieux c'est qu'on y aille maintenant parce qu'il va falloir leur laver la tête et comme elles ont les cheveux très longs il va falloir les sécher. Les garçons. On y va !
- Mais on va où?
- Coiffer les filles comme vous.
- Ouais ! On pourra vous aider ?
- Oui, vous nous passerez les perles et les élastiques.
- Tu vois Gus, c'est la pizza la plus bizarre que j'ai faite de ma vie.
- À notre maison, quand on en fait, on met tout ce qu'on veut dessus. Nous aussi on a un four mais nous dedans on met du feu de bois.
- Et c'est lesquelles les meilleures ? Les miennes ou celles que vous faites ?
- C'est celles de ma Mamé Henriette. Elles sont plus bonnes que les autres.
- Tu as raison, Gus, la cuisine des Mamés est la meilleure de toute, même que celles des mamans. Pas vrai ?
- Nous on ne sait pas parce qu'on n'a plus de maman et Papa il sait pas trop bien faire la cuisine juste les œufs sans les casser. Hans lui il nous fait bien à manger. Et toi c'est qui qui te fait à manger ?
- C'est le cuistot du camping. Il est très doué.
- Papa, on peut en avoir un cuistot, nous aussi ?
- Heu… non, pas vraiment.
- Ah bon, tant pis !
Hans m'évitait et me tirait la gueule. L'heure de coucher les enfants arriva et ils voulurent tous dormir ensemble chez mon frère. On alla chercher un matelas pour qu'ils puissent dormir.
Mon frère me donna les courses qu'il avait faites pour moi et je le payais, illico.
Ils étaient fatigués et tout le monde désirait se coucher.
Je retournai au mobil home, suivi par Hans,
- Tu ne sors pas ce soir, Hans ?
- Non je n'en ai pas envie. Et je dois te parler, sérieusement.
- Tu veux me parler, maintenant ?
- Oui, on est seuls et tranquilles. Alors je pense que c'est le bon moment.
- Bin, vas-y, je t’écoute.
- Jean-François, quand on va rentrer aux Fourches, je vais partir. Je vous laisserai le temps à toi et à Mary de trouver une autre nounou pour les enfants mais après je partirai.
- Mais Pourquoi ? Qu'est-ce qu’il y a qui ne va pas ? J'ai fait quoi de mal pour que tu décides de partir comme ça du jour au lendemain ?
- Rien, justement, tu ne fais rien pour me retenir et depuis qu'on est ici tu fais tout pour m'éloigner de toi. Je n'en peux plus. Si je reste avec toi je vais devenir fou. Je t'aime Jean-François et tu ne t'en rends même pas compte.
- C'est toi qui ne te rends pas compte, Hans. Je ne peux pas t’aimer. Je n'en ai pas le droit.
- Hein ! Mais pourquoi ça ?
- Parce que toutes les personnes que j'aime meurent. Ça te va comme explication ?
- Ne dis pas n'importe quoi !
- Je ne dis pas n'importe quoi, Liam est mort ça faisait quatre ans qu'on était ensemble et toujours amoureux. Puis ça a été Victoria qui avait réussi à raviver cette flamme. Alors, tu comprends que je n'ai plus le droit d’aimer, d’ouvrir mon cœur ? Tu peux le comprendre, ça ?
- Oh, mais… Si tu dis ça, c'est que tu as des sentiments pour moi, pas vrai ?
- Je t'aime à en crever, Hans. Mais je ne peux pas. Ce n'est pas bien. Je ne veux pas que tu meures.
- J'en prends le risque.
- Non, ne dis pas ça. Je ne veux pas que tu disparaisses.
- Je ne vais pas mourir et on va vivre ensemble, vieux et longtemps. On élèvera nos petits-enfants ensemble.
Il me fit allonger sur le lit et se mit sur moi. Il commença par m'embrasser de partout sur la figure, il me donnait de temps en temps un coup de langue, il me mordilla le menton puis descendit le long de mon cou qu'il lécha puis il descendit sur mes pecs qu'il pétrit avant de jouer avec mes seins. C'était un expert. Puis il descendit jusqu'à mon sexe. Il commença par le lécher, le mordiller puis il joua avec mon gland et mon frein avant d’enfoncer sa tête dessus. Je sentais sa langue qui m'excitait et ses joues qui frottaient les bords.
- Tourne-toi, j'ai envie de te sucer, aussi.
On gémissait fort, autant l'un que l'autre, et Hans encore plus quand mes doigts trouvèrent sa prostate avec laquelle ils jouèrent.
- Arrête Bébé, tu vas me faire jouir, avant, j'ai envie que tu me prennes.
- Tu n'as pas envie de jouir ? Tu ne vas pas me dire qu'un grand garçon comme toi, ne pourra plus bander s'il jouit… Arrête de me sucer je sens que ça vient, aussi.
- Tu ne vas pas me dire qu'un garçon, grand et fort comme toi, ne pourra pas rebander même s'il jouit.
Et nos bouches se rejoignirent pour s'embrasser et échanger nos saveurs.
Tout comme moi Hans bandait encore. Je le fis mettre à quatre pattes, pour bien lui bouffer le cul. Je caressais en même temps ses fesses, son dos et de temps en temps je branlais sa queue mais il me l'enlevait pour ne pas re jouir trop vite.
- Prends-moi, j'en ai trop envie.
- Vas y doucement, ça fait longtemps que plus personne ne m'a pris.
- Tu n'as qu'à me dire comment tu veux que je te prenne.
- Commence doucement… Oui comme ça c'est bien. Ne va pas trop profond pour le moment. Laisse-moi m’habituer.
Je faisais courir mes doigts sur son dos et sur ses flancs. Il se raidissait, frissonnait de plaisir sous mes caresses. Petit à petit mon pubis tapa ses fesses dures. Quand mon sexe coulissa facilement dans sa gaine intime je le fis mettre dans la position du missionnaire et je le fis jouir en même temps que je l’embrassais. Il serra si fort ses muscles intimes que je jouis à mon tour.
Je me retirais et on s'embrassa longuement en se caressant. Nos sexes étaient au beau fixe une nouvelle fois.
- Hans, j'ai envie que tu me prennes à ton tour.
- Tu en as vraiment envie ?
- Je veux tout partager avec toi et mes fesses en font partie, à moins que tu ne sois que passif.
- Je fais les deux, même si j’ai une préférence à être passif. Mais je ne peux pas résister à tes belles fesses.
- Par contre, il va falloir que tu me prépares bien, parce que ça fait plus de quatre ans que personne ne m'a pris. Et tu as une bite assez épaisse.
- Pas autant que la tienne. Mais c'est vrai que je n'ai pas à en rougir. Mets-toi à quatre pattes, s'il te plaît.
Il lui fallut un très long moment pour entrer en plein mais jamais je ne sentis sa queue se ramollir.
Puis il commença par de longs, lents, vas et viens. Et petit à petit, mon cul s'adapta à sa queue. Je commençais à prendre mon pied. Il me fit mettre dans la position du missionnaire aussi et il me reprit mais cette fois avec des coups plus secs et plus rapides… affolant ma prostate ! Je sentais la jouissance monter.
- Je ne peux plus tenir Bébé. Je vais jouir.
Dans la nuit, on recommença. Mais cette fois Hans me prit sans souci, il se retira avant de jouir et je le pris, jusqu'à ce qu'on jouisse ensemble. Hans regagna son lit, pour les quelques heures qui restait à dormir.
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