17-08-2020, 04:50 PM
Ce n’est que deux jours après que j’avais écrit un mot à papa. Je lui demandais s’il était sincère dans les propos qu’il avait mis dans sa lettre. Je lui avais avoué que j’avais du peser le pour et le contre avant d’accepter de lui répondre. Je lui demandais pourquoi il avait agi de la sorte lorsque j’étais rentré à l’école le lendemain et qu’il m’avait agressé. Je lui avais dit que j’avais peur de lui, peur de le croiser. Je lui avais aussi expliqué que j’aimais les garçons et que c’était dans ma nature et que ce n’étais pas une passade. Je lui avais aussi demandé de me montrer qu’il avait changé et qu’il m’acceptait comme j’étais.
Puis en fin de lettre je lui avais dit que je l’aimais malgré tout.
C’est cette fin d’après-midi-là qu’un policier en civil s’était présenté à la maison. Il voulait savoir comment cela se passait, si nous avions eu des problèmes depuis l’agression à l’école. C’est maman qui lui avait répondu que non. Que j’avais reçu une lettre de son papa et que finalement j’y avais donné réponse. La lettre avait alors été remise à ce policier. De son côté il avait signalé que les rondes faites et les surveillances opérées n’avaient rien rapporté, que mon père se tenait à carreau.
Nous étions le vendredi et c’était ce jour-là que Jacques allait venir loger à la maison pour le week-end. J’étais heureux comme tout malgré le temps pluvieux et venteux des derniers jours. J’avais retrouvé Amandine, Jacques et Joseph qui m’attendaient à l’entrée du préau. Nous nous étions salués en nous faisant la bise. Puis c’est Jean qui était arrivé. Il avait l’air fatigué et il avait des cernes sous les yeux. Je lui avais donné la main, je ne pouvais pas encore lui faire la bise suite aux propos qu’il avait tenus dans le bus il y a quelques semaines. Mais je me demandais pourquoi il était dans cet état-là, nous ne l’avions jamais connu comme ça !
Les cours s’étaient très passés durant la matinée. A la cantine à midi c’était toujours la même chose, à part que Jean s’était approché de notre table. Je voyais à son regard qu’il n’était pas bien, il n’était pas dans son assiette. Comme il restait une place à côté de moi, je lui avais fait signe de s’y assoir. Un timide sourire ornait alors son visage gave. Quand il fut assis, il m’a dit merci. J’ai vu que ses yeux étaient humides. Je voyais que Jean avait dû faire un effort pour venir nous rejoindre à table.
A l’issue du repas, j’avais demandé à Jean de me retrouver dans le coin du préau. Il m’y avait accompagné. Je lui avais directement dit que je voyais qu’il n’était pas bien et que quelque chose n’allait pas. Il n’a rien voulu dire, il a seulement dit que ce n’était pas grave, un petit souci de famille. Puis il était allé rejoindre un autre groupe.
Je ne savais pas ce qui tracassait ainsi Jean. Il avait été méchant avec moi et Jacques mais on voyait qu’il s’en voulait. Jean, avant, était pourtant un très bon copain mais sans plus. Je voulais seulement savoir ce qui se passait pour lui.
L’après-midi a très vite passé. Nous avions suivis les cours avec attention, car nous arrivions à la fin du premier trimestre et que les contrôles allaient très vite se présenter.
Jacques avait déjà son sac pour le week-end avec lui et en plus des cours, il était chargé comme un mulet. J’avais alors pris une sangle de son sac et lui l’autre pour le porter à deux. Nous avions l’air malin pour prendre le bus car pour corser le tout il avait recommencé à pleuvoir.
Heureusement que le bus était arrivé dans la minute pour nous y engouffrer et nous y mettre à l’abri. En moins d’un quart d’heure nous étions descendu du bus pour terminer le reste du chemin à pied jusqu’à la maison.
Jacques et moi étions arrivés à la maison. Maman et Delphine nous avaient accueillis. Nous avions montés le sac de Jacques dans ma chambre. Bien entendu c’est dans mon lit que nous allions dormir, enfin dormir un peu !
Nous avions rejoint maman à la cuisine. Elle préparait le repas du soir. Nous en avions profité pour manger un bout de brioche comme gouter. Puis nous avions donné un coup de main à maman pour mettre la table, elle nous avait donné cinq assiettes, je lui avais dit que nous étions quatre, mais elle m’avait annoncé qu’il y avait un invité ce soir. Je me demandais qui cela pouvait être. Maman avait dit surprise !
Alors que nous nous trouvions au salon devant la télévision, quelqu’un sonnait à la porte d’entrée. Delphine était allée ouvrir. Elle avait accueilli son amie Stéphanie. Elles s’étaient embrassées sur le pas de la porte. Puis elles étaient allées nous rejoindre au salon.
Je présentais alors Stéphanie à Jacques, en précisant qu’elle était l’amie de Delphine et c’est Delphine qui avait dit à son amie que Jacques était mon ami.
Je ne savais pas qui avait eu cette idée d’avoir invité Stéphanie et j’ai donc su que c’était Delphine qui l’avait demandé à maman.
Finalement elle avait bien fait. Pendant que maman terminait la préparation du repas, Delphine et Stéphanie s’étaient placées dans un divan et s’embrassaient sur la bouche. Jacques voyant ça se demandait quoi et pour toute réponse, j’avais mis mes lèvres sur les siennes et nous aussi nous nous étions embrassés. Les choses étaient donc claires pour nous.
Maman nous avait rejoints tous les quatre en nous disant qu’il fallait en profiter, et que nous devions pouvoir vivre heureux tels que nous étions. Jacques avait très bien compris que maman était très ouverte d’esprit et que ma sœur était lesbienne. Cela ne le dérangeait nullement. J’avais alors dit à Jacques que je n’avais pas voulu lui dire avant car c‘étaient des choses difficiles à comprendre pour quelqu’un qui n’était pas vraiment lui aussi ouvert d’esprit.
Le repas s’était déroulé très simplement, en toute amitié et en toute franchise. Nous avions discuté de choses et d’autres et bien entendu de nos connaissances. C’est ainsi que Jacques a donc su que Stéphanie était la sœur de Julien ; que Delphine connaissait Stéphanie avant que je ne connaisse moi-même Julien. Les choses étaient donc claires pour tout le monde.
Nous avions regardé la télévision en famille, enfin en nouvelle famille. Delphine avait dit qu’elle allait affronter ceux qui n’allait pas accepter sa relation avec Stéphanie, envers et contre tous. Puis j’avais pris la parole :
Moi : Bon, nous sommes entre nous. Stéphanie tu sais bien que j’ai aimé ton frère Julien, d’ailleurs Jacques est au courant. J’ai écrit à papa en réponse à sa lettre. Je vais vous résumer ce que je lui ai répondu. Je lui ai dit que j’étais homo et sur de l’être. Qu’il devait l’accepter tel quel et que je ne changerai pas. Puis je lui ai dit que je l’aimais.
Mes yeux s’étaient embrumés. Jacques m’avait pris dans ses bras. Et Stéphanie avait alors dit :
Sté : Oh Phil, je sais ce que c’est, tu as aimé mon frère qui lui n’as pas compris que pour toi c’était important. Je vois que tu es heureux avec Jacques, alors je vous souhaite tout le bonheur du monde !
Moi : Merci Stéphanie, merci à toi.
Del : Phil je savais que ça te tourmentait, tu avais peur de montrer à Stéphanie que tu aimais un autre garçon que son frère, mais tu vois, la vie est ainsi faite que rien n’est ancré comme on le voudrait. L’amour ne se commande pas, il est là maintenant avec une personne et puis il peut être auprès d’une autre personne, par la suite !
Jac : Merci à vous, vous êtes toutes les deux très sympas. Oui, j’aime Phil et je suis certain que lui aussi m’aime. Je sais aussi que la vie est longue et qu’on ne sait pas ce que l’avenir nous réserve ; alors vivons pleinement le moment présent, heureux avec celui ou celle qu’on aime !
Maman avait entendu cette conversation et elle avait ajouté :
Mam : Vous êtes tous mignons là assis dans les fauteuils, je vous souhaite de vivre pleinement votre jeunesse. N’ayez aucun regret, vivez votre amour, ce sera ça de bien pour vous enrichir d’une relation humaine et profonde.
Nous nous étions tous levés pour embrasser maman, elle était la garante de notre amour en cette soirée. Elle nous aimait, tels que nous étions, homos ou lesbiennes ! Je ne pouvais qu’aimer une maman telle que la maman que j’avais et je ne pouvais que la respecter.
Nous étions montés dans nos chambres, Delphine et Stéphanie dans la chambre de Delphine, moi et Jacques dans ma chambre.
Une fois la porte fermée et enfin seul nous nous étions embrassés. Nous avions ensuite pris nos aises, en nous mettant nu. Puis une fois coucher sur le lit jacques me dit :
Jac : Dis-moi Phil, ce matin à l’école tu avais l’air soucieux ainsi qu’au moment de midi, je crois que c’est quand tu as parlé avec Jean.
Moi : Oui Jacques, je ne sais pas si tu as trouvé que Jean n’était pas bien dans peau !
Jac : Oui je l’ai trouvé un peu bizarre, on aurait dit qu’il allait pleurer.
Moi : Tu sais que j’ai eu la même impression. Quand je lui ai parlé, il n’a rien voulu dire, il disait que tout allait bien. Je suis certain que ce n’est pas vrai.
Jac : Oui, c’est aussi la même impression, on aurait dit qu’il allait fondre en larme.
Moi : Qu’est-ce qu’on fait lundi quand on retourne à l’école avec Jean ?
Jac : Moi je pense qu’on peut lui pardonner. Et toi Phil tu en pense quoi ?
Moi : Écoute, je suis prêt à lui pardonner, mais je veux qu’il nous respecte !
Jac : Oui tu as raison de le souligner, il faut qu’il nous respecte. Bon en fait ça, on lui pardonne ?
Moi : Oui Jacques, on lui pardonne !
Nous étions alors une nouvelle fois enlacés. Nos bouches s’étaient ouvertes pour laisser nos langues danser entre elles. Nous étions heureux, enfin réunis pour passer une très belle nuit dans les bras l’un de l’autre ainsi qu’un bon week-end.
Nous nous embrassions avec passion. Nos langues se titillaient, se touchaient, se retiraient et revenaient encore plus hardies qu’avant. Nos anatomies n’étaient pas en reste, nos pénis étaient gonflés de sang, prêts à distribuer de la semence.
J’avais demandé à Jacques s’il avait pu parler à son père pour qu’il puisse nous fournir de quoi nous protéger pour nous aimer. Ce n’était pas le cas. J’avais demandé à ma sœur, elle m’avait dit qu’elle n’avait plus ce genre d’article à nous donner.
Nous nous étions alors d’abord caressés, nous nous caressions tout le corps, nous nous léchions les tétons, nous nous mordillions le lobe des oreilles, nous excitions nos points sensibles pour nous donner plus de plaisir. Puis nous avions placé nos mains sur les attributs de notre amour. Nous nous caressions donc mutuellement et lascivement.
J’avais dit dans le creux de l’oreille de Jacques que je voulais le gouter, récolter sa semence dans ma bouche. J’étais redescendu le long de son torse avec ma bouche, ma langue n’était pas en reste elle léchait au passage les tétons, le creux au niveau du sternum pour ensuite titiller le nombril. Puis elle s’était heurtée à un mat de chair, à une hampe dressée qui n’attendait qu’une seule chose c’est qu’on s’occupe d’elle. Puis ma langue léchait le gland décalotté de Jacques, puis elle alla titiller le frein. Puis ma bouche béante engouffra cet appendice tendu et mes lèvres s’étaient resserrées pour s’appliquer à donner un peu de pression tout en montant et descendant le long de cette chaude tige dressée. Les mouvements de va et vient étaient tantôt lents et tantôt rapides. Jacques n’était pas insensible à ce traitement. Sa respiration s’était faite plus haletante, son corps était relaxé et parfois tendu de plaisir. Sa bouche était ouverte et laissait parfois passer un râle de bonheur. Je m’appliquais à procurer le plus de sensation à mon ami, à mon amant. Puis après dix minutes de ce traitement le corps de Jacques s’était raidi, il s’était cambré puis dans un long râle de bonheur Jacques avait laissé exploser sa semence au fond de ma gorge, six jets épais étaient venus heurter le fond de mon palais. J’avais savouré son sperme et je ne voulais pas en perdre une miette.
Puis en me relevant j’avais pu voir le visage épanoui de mon Jacques adoré. J’étais moi aussi très heureux d’avoir pu lui apporter un peu de bonheur et de plaisir.
Quelques minutes après, c’est Jacques qui m’avait lui aussi fait une fellation. Il avait pris son temps pour me faire bander à fond. Il utilisait en plus de ses lèvres les doigts de sa main pour aider à maintenir mon sexe bien droit et il s’appliquait à mes caresser les bourses en les malaxant, en les cajolant. J’étais moi aussi entré dans une sorte d’extase, ou plutôt d’excitation de plus en plus accentuée par les mouvements de ses lèvres couplés aux caresses sur mon sexe et mes bijoux de famille. Puis j’avais dit à Jacques que j’allais bientôt éjaculer, que j’allais épandre ma semence. Jacques n’avait pas relâché la pression et il continuait à ma rendre fou de bonheur et de plaisir. Puis d’un coup, j’ai laissé partir six jets de sperme au fond de la bouche de Jacques. J’étais comme sur un nuage tellement cette sensation avait été intense. Il m’avait fallu trois minutes pour redescendre sur terre.
Jacques m’avait ensuite embrassé. Il avait gardé un peu de sperme qu’il avait partagé avec moi. J’étais si heureux et Jacques aussi avait lui aussi l’air très heureux.
Nous nous étions endormis, fatigués mais amoureux et heureux.
Au matin j’avais senti une main qui parcourait mon ventre et mon torse. Cette main s’était bien entendu celle de mon ami Jacques. Puis elle était venue buter sur ma hampe dressée. Il n’avait pas fallu trente seconde pour qu’elle entour ma colonne de chair. Puis de petits mouvements de bas en haut renforçaient encore plus la bandaison et enfin Jacques me branlait bien ouvertement. Ma main s’était elle aussi aventurée en direction du bas ventre de mon ami pour lui rendre les mêmes caresses. Nous nous masturbions mutuellement en nous regardant dans les yeux. Des étincelles brillaient dans les yeux de Jacques, je voyais qu’il savourait être branlé de cette façon, par son petit ami, au lever du jour. Nous avions déchargé presque en même temps.
Nos bouches s’étaient ensuite rejointes pour un langoureux baiser.
Nous nous étions rendus à la salle de bain, nus, où nous comptions prendre une douche. En entrant dans la salle d’eau j’avais vu que ma sœur Delphine était dans le bain à bulles avec Stéphanie. J’allais refermer la porte quand Delphine m’a dit d’entrer. J’avais fait un signe à Jacques qui avait compris, nous étions alors entrés. Nous avions salué les deux filles et nous nous étions dirigés vers la grande douche. C’est dans cette situation que nous avions discuté à quatre de la soirée d’hier et de notre nuit. Delphine nous avait dit que nous devrions mettre une sourdine car elle et Stéphanie nous avaient entendus. Jacques était devenu rouge pivoine.
Puis nous nous étions tous mis à rire.
Delphine en profitait pour nous dire :
Del : Vous êtes craquants mes deux jolis mecs !
Moi : Oui, c’est ça !
Sté : Mais oui Phil, vous êtes adorables comme ça sous la douche.
Jac : Merci mais nous ne sommes ni beaux, ni laids !
Del : Pour moi vous êtes très bien comme vous êtes, nous on n’a pas besoin de voir des mannequins, juste voir des mecs comme vous !
Moi : Merci, et au fait, vous êtes toujours aussi craquantes que durant l’été !
Sté : Merci Phil, c’est vrai qui nous avions pris l’habitude de nager nues dans la piscine parfois en votre compagnie. Oups désolé, en ta compagnie !
Moi : Merci Stéphanie, tu sais Jacques, Stéphanie parlait de moi et de son frère Julien.
Jac : J’avais compris Phil, pas de problème, je ne suis pas jaloux.
Del : Bon je commence à avoir faim, je crois que nous allons sortir de ce bain à bulles.
Moi : Je pense que la douche est aussi finie. Jacques je suppose que toi aussi tu as faim.
Jac : Mais oui mon beau Phil.
Moi : Oh arrête, tu l’as dit, nous sommes justes potables !
Nouvel éclat de rire dans la salle de bain.
Une fois séché, nous nous étions habillés dans ma chambre pour aller ensuite prendre le petit déjeuner avec les deux filles et maman.
A la suite du petit-déjeuner, nous avions, Jacques et moi, fait un tour en forêt malgré le temps maussade, mais nous avions besoin de prendre un grand bol d’air pur.
La matinée s’était très vite passée et nous avions presque oublié de rentrer pour le repas de midi. C’est donc vers 13h10 que nous étions enfin arrivés à la maison. Maman nous avait dit de passer à table car l’apéro avait déjà été servi et était même terminé.
Nous avions mangé à cinq, comme la veille au soir. J’avais comme un gout de trop peu, il manquait papa autour de cette table. Qu’aurait-il dit de manger en compagnie de Jacques et de Stéphanie. Je me posais la question. Je pense que nous aurons la réponse dans les semaines à venir.
Pour l’après-midi Jacques et moi nous étions allés au cinéma au centre-ville en prenant le bus et une correspondance avec le tram. Nous étions allés voir le film de péplum « Ben Hur ». Nous avions apprécié toute la mise en scène, les effets spéciaux et le jeu des acteurs. Puis la partie avec les lépreux était très poignante. A l’issue de la séance nous sommes allés boire un verre, un grand verre, « une lunette » ! Puis par la suite nous étions restés en ville pour aller manger une bonne pizza avant de revenir à la maison. Nous étions heureux d’avoir passé une très bonne journée, à deux.
Durant le trajet, j’avais remercié Jacques pour sa gentillesse, pour être mon ami, pour être mon être aimé ! Je voyais que mes paroles touchaient mon ami, mon « amant ». Il ne nous restait plus qu’à faire l’amour, nous prendre et mous aimer. Mais nous devions être prêts tous les deux et ne pas aller trop vite. Nous devions encore nous découvrir un peu plus, nous faire entièrement confiance. Puis je m’étais souvenu de ce que ma chère Amandine m’avait une fois dit, que je devais être moi et que je ne devais jamais cacher ce que je pensais, tout en gardant bien entendu une partie de mon jardin secret. J’avais alors regardé Jacques dans les yeux et je lui avais dit :
Moi : Jacques, je ne veux rien te cacher, mais je vais te dire que notre amie Amandine est en fait ma confidente !
Jac : Oh tu sais Phil, je m’en étais aperçu.
Moi : Oui, parfois j’ai besoin de parler de certaine chose et elle me conseille, elle m’encourage ou elle me dit que je vais faire une connerie.
Jac : Tu sais Phil, c’est normal. Moi je regrette de ne pas connaitre une amie avec laquelle je pourrais parler de ce qui me touche, de ce qui me fait du mal, de ce que j’aime, de lui dire que je t’aime toi Phil !
Moi : Oh Jacques, que c’est beau ce que tu dis, je ne me moque pas, mais je souhaite que toi aussi tu puisses connaître une personne qui puisse être là pour toi, pour te conseiller, t’aider à prendre des décisions.
Jac : Merci Phil, mais toi garde précieusement Amandine comme ta confidente.
Voilà nous étions arrivés à l’arrêt de bus. Nous allions rentrer à la maison pour notre seconde nuit du week-end.
Puis en fin de lettre je lui avais dit que je l’aimais malgré tout.
C’est cette fin d’après-midi-là qu’un policier en civil s’était présenté à la maison. Il voulait savoir comment cela se passait, si nous avions eu des problèmes depuis l’agression à l’école. C’est maman qui lui avait répondu que non. Que j’avais reçu une lettre de son papa et que finalement j’y avais donné réponse. La lettre avait alors été remise à ce policier. De son côté il avait signalé que les rondes faites et les surveillances opérées n’avaient rien rapporté, que mon père se tenait à carreau.
Nous étions le vendredi et c’était ce jour-là que Jacques allait venir loger à la maison pour le week-end. J’étais heureux comme tout malgré le temps pluvieux et venteux des derniers jours. J’avais retrouvé Amandine, Jacques et Joseph qui m’attendaient à l’entrée du préau. Nous nous étions salués en nous faisant la bise. Puis c’est Jean qui était arrivé. Il avait l’air fatigué et il avait des cernes sous les yeux. Je lui avais donné la main, je ne pouvais pas encore lui faire la bise suite aux propos qu’il avait tenus dans le bus il y a quelques semaines. Mais je me demandais pourquoi il était dans cet état-là, nous ne l’avions jamais connu comme ça !
Les cours s’étaient très passés durant la matinée. A la cantine à midi c’était toujours la même chose, à part que Jean s’était approché de notre table. Je voyais à son regard qu’il n’était pas bien, il n’était pas dans son assiette. Comme il restait une place à côté de moi, je lui avais fait signe de s’y assoir. Un timide sourire ornait alors son visage gave. Quand il fut assis, il m’a dit merci. J’ai vu que ses yeux étaient humides. Je voyais que Jean avait dû faire un effort pour venir nous rejoindre à table.
A l’issue du repas, j’avais demandé à Jean de me retrouver dans le coin du préau. Il m’y avait accompagné. Je lui avais directement dit que je voyais qu’il n’était pas bien et que quelque chose n’allait pas. Il n’a rien voulu dire, il a seulement dit que ce n’était pas grave, un petit souci de famille. Puis il était allé rejoindre un autre groupe.
Je ne savais pas ce qui tracassait ainsi Jean. Il avait été méchant avec moi et Jacques mais on voyait qu’il s’en voulait. Jean, avant, était pourtant un très bon copain mais sans plus. Je voulais seulement savoir ce qui se passait pour lui.
L’après-midi a très vite passé. Nous avions suivis les cours avec attention, car nous arrivions à la fin du premier trimestre et que les contrôles allaient très vite se présenter.
Jacques avait déjà son sac pour le week-end avec lui et en plus des cours, il était chargé comme un mulet. J’avais alors pris une sangle de son sac et lui l’autre pour le porter à deux. Nous avions l’air malin pour prendre le bus car pour corser le tout il avait recommencé à pleuvoir.
Heureusement que le bus était arrivé dans la minute pour nous y engouffrer et nous y mettre à l’abri. En moins d’un quart d’heure nous étions descendu du bus pour terminer le reste du chemin à pied jusqu’à la maison.
Jacques et moi étions arrivés à la maison. Maman et Delphine nous avaient accueillis. Nous avions montés le sac de Jacques dans ma chambre. Bien entendu c’est dans mon lit que nous allions dormir, enfin dormir un peu !
Nous avions rejoint maman à la cuisine. Elle préparait le repas du soir. Nous en avions profité pour manger un bout de brioche comme gouter. Puis nous avions donné un coup de main à maman pour mettre la table, elle nous avait donné cinq assiettes, je lui avais dit que nous étions quatre, mais elle m’avait annoncé qu’il y avait un invité ce soir. Je me demandais qui cela pouvait être. Maman avait dit surprise !
Alors que nous nous trouvions au salon devant la télévision, quelqu’un sonnait à la porte d’entrée. Delphine était allée ouvrir. Elle avait accueilli son amie Stéphanie. Elles s’étaient embrassées sur le pas de la porte. Puis elles étaient allées nous rejoindre au salon.
Je présentais alors Stéphanie à Jacques, en précisant qu’elle était l’amie de Delphine et c’est Delphine qui avait dit à son amie que Jacques était mon ami.
Je ne savais pas qui avait eu cette idée d’avoir invité Stéphanie et j’ai donc su que c’était Delphine qui l’avait demandé à maman.
Finalement elle avait bien fait. Pendant que maman terminait la préparation du repas, Delphine et Stéphanie s’étaient placées dans un divan et s’embrassaient sur la bouche. Jacques voyant ça se demandait quoi et pour toute réponse, j’avais mis mes lèvres sur les siennes et nous aussi nous nous étions embrassés. Les choses étaient donc claires pour nous.
Maman nous avait rejoints tous les quatre en nous disant qu’il fallait en profiter, et que nous devions pouvoir vivre heureux tels que nous étions. Jacques avait très bien compris que maman était très ouverte d’esprit et que ma sœur était lesbienne. Cela ne le dérangeait nullement. J’avais alors dit à Jacques que je n’avais pas voulu lui dire avant car c‘étaient des choses difficiles à comprendre pour quelqu’un qui n’était pas vraiment lui aussi ouvert d’esprit.
Le repas s’était déroulé très simplement, en toute amitié et en toute franchise. Nous avions discuté de choses et d’autres et bien entendu de nos connaissances. C’est ainsi que Jacques a donc su que Stéphanie était la sœur de Julien ; que Delphine connaissait Stéphanie avant que je ne connaisse moi-même Julien. Les choses étaient donc claires pour tout le monde.
Nous avions regardé la télévision en famille, enfin en nouvelle famille. Delphine avait dit qu’elle allait affronter ceux qui n’allait pas accepter sa relation avec Stéphanie, envers et contre tous. Puis j’avais pris la parole :
Moi : Bon, nous sommes entre nous. Stéphanie tu sais bien que j’ai aimé ton frère Julien, d’ailleurs Jacques est au courant. J’ai écrit à papa en réponse à sa lettre. Je vais vous résumer ce que je lui ai répondu. Je lui ai dit que j’étais homo et sur de l’être. Qu’il devait l’accepter tel quel et que je ne changerai pas. Puis je lui ai dit que je l’aimais.
Mes yeux s’étaient embrumés. Jacques m’avait pris dans ses bras. Et Stéphanie avait alors dit :
Sté : Oh Phil, je sais ce que c’est, tu as aimé mon frère qui lui n’as pas compris que pour toi c’était important. Je vois que tu es heureux avec Jacques, alors je vous souhaite tout le bonheur du monde !
Moi : Merci Stéphanie, merci à toi.
Del : Phil je savais que ça te tourmentait, tu avais peur de montrer à Stéphanie que tu aimais un autre garçon que son frère, mais tu vois, la vie est ainsi faite que rien n’est ancré comme on le voudrait. L’amour ne se commande pas, il est là maintenant avec une personne et puis il peut être auprès d’une autre personne, par la suite !
Jac : Merci à vous, vous êtes toutes les deux très sympas. Oui, j’aime Phil et je suis certain que lui aussi m’aime. Je sais aussi que la vie est longue et qu’on ne sait pas ce que l’avenir nous réserve ; alors vivons pleinement le moment présent, heureux avec celui ou celle qu’on aime !
Maman avait entendu cette conversation et elle avait ajouté :
Mam : Vous êtes tous mignons là assis dans les fauteuils, je vous souhaite de vivre pleinement votre jeunesse. N’ayez aucun regret, vivez votre amour, ce sera ça de bien pour vous enrichir d’une relation humaine et profonde.
Nous nous étions tous levés pour embrasser maman, elle était la garante de notre amour en cette soirée. Elle nous aimait, tels que nous étions, homos ou lesbiennes ! Je ne pouvais qu’aimer une maman telle que la maman que j’avais et je ne pouvais que la respecter.
Nous étions montés dans nos chambres, Delphine et Stéphanie dans la chambre de Delphine, moi et Jacques dans ma chambre.
Une fois la porte fermée et enfin seul nous nous étions embrassés. Nous avions ensuite pris nos aises, en nous mettant nu. Puis une fois coucher sur le lit jacques me dit :
Jac : Dis-moi Phil, ce matin à l’école tu avais l’air soucieux ainsi qu’au moment de midi, je crois que c’est quand tu as parlé avec Jean.
Moi : Oui Jacques, je ne sais pas si tu as trouvé que Jean n’était pas bien dans peau !
Jac : Oui je l’ai trouvé un peu bizarre, on aurait dit qu’il allait pleurer.
Moi : Tu sais que j’ai eu la même impression. Quand je lui ai parlé, il n’a rien voulu dire, il disait que tout allait bien. Je suis certain que ce n’est pas vrai.
Jac : Oui, c’est aussi la même impression, on aurait dit qu’il allait fondre en larme.
Moi : Qu’est-ce qu’on fait lundi quand on retourne à l’école avec Jean ?
Jac : Moi je pense qu’on peut lui pardonner. Et toi Phil tu en pense quoi ?
Moi : Écoute, je suis prêt à lui pardonner, mais je veux qu’il nous respecte !
Jac : Oui tu as raison de le souligner, il faut qu’il nous respecte. Bon en fait ça, on lui pardonne ?
Moi : Oui Jacques, on lui pardonne !
Nous étions alors une nouvelle fois enlacés. Nos bouches s’étaient ouvertes pour laisser nos langues danser entre elles. Nous étions heureux, enfin réunis pour passer une très belle nuit dans les bras l’un de l’autre ainsi qu’un bon week-end.
Nous nous embrassions avec passion. Nos langues se titillaient, se touchaient, se retiraient et revenaient encore plus hardies qu’avant. Nos anatomies n’étaient pas en reste, nos pénis étaient gonflés de sang, prêts à distribuer de la semence.
J’avais demandé à Jacques s’il avait pu parler à son père pour qu’il puisse nous fournir de quoi nous protéger pour nous aimer. Ce n’était pas le cas. J’avais demandé à ma sœur, elle m’avait dit qu’elle n’avait plus ce genre d’article à nous donner.
Nous nous étions alors d’abord caressés, nous nous caressions tout le corps, nous nous léchions les tétons, nous nous mordillions le lobe des oreilles, nous excitions nos points sensibles pour nous donner plus de plaisir. Puis nous avions placé nos mains sur les attributs de notre amour. Nous nous caressions donc mutuellement et lascivement.
J’avais dit dans le creux de l’oreille de Jacques que je voulais le gouter, récolter sa semence dans ma bouche. J’étais redescendu le long de son torse avec ma bouche, ma langue n’était pas en reste elle léchait au passage les tétons, le creux au niveau du sternum pour ensuite titiller le nombril. Puis elle s’était heurtée à un mat de chair, à une hampe dressée qui n’attendait qu’une seule chose c’est qu’on s’occupe d’elle. Puis ma langue léchait le gland décalotté de Jacques, puis elle alla titiller le frein. Puis ma bouche béante engouffra cet appendice tendu et mes lèvres s’étaient resserrées pour s’appliquer à donner un peu de pression tout en montant et descendant le long de cette chaude tige dressée. Les mouvements de va et vient étaient tantôt lents et tantôt rapides. Jacques n’était pas insensible à ce traitement. Sa respiration s’était faite plus haletante, son corps était relaxé et parfois tendu de plaisir. Sa bouche était ouverte et laissait parfois passer un râle de bonheur. Je m’appliquais à procurer le plus de sensation à mon ami, à mon amant. Puis après dix minutes de ce traitement le corps de Jacques s’était raidi, il s’était cambré puis dans un long râle de bonheur Jacques avait laissé exploser sa semence au fond de ma gorge, six jets épais étaient venus heurter le fond de mon palais. J’avais savouré son sperme et je ne voulais pas en perdre une miette.
Puis en me relevant j’avais pu voir le visage épanoui de mon Jacques adoré. J’étais moi aussi très heureux d’avoir pu lui apporter un peu de bonheur et de plaisir.
Quelques minutes après, c’est Jacques qui m’avait lui aussi fait une fellation. Il avait pris son temps pour me faire bander à fond. Il utilisait en plus de ses lèvres les doigts de sa main pour aider à maintenir mon sexe bien droit et il s’appliquait à mes caresser les bourses en les malaxant, en les cajolant. J’étais moi aussi entré dans une sorte d’extase, ou plutôt d’excitation de plus en plus accentuée par les mouvements de ses lèvres couplés aux caresses sur mon sexe et mes bijoux de famille. Puis j’avais dit à Jacques que j’allais bientôt éjaculer, que j’allais épandre ma semence. Jacques n’avait pas relâché la pression et il continuait à ma rendre fou de bonheur et de plaisir. Puis d’un coup, j’ai laissé partir six jets de sperme au fond de la bouche de Jacques. J’étais comme sur un nuage tellement cette sensation avait été intense. Il m’avait fallu trois minutes pour redescendre sur terre.
Jacques m’avait ensuite embrassé. Il avait gardé un peu de sperme qu’il avait partagé avec moi. J’étais si heureux et Jacques aussi avait lui aussi l’air très heureux.
Nous nous étions endormis, fatigués mais amoureux et heureux.
Au matin j’avais senti une main qui parcourait mon ventre et mon torse. Cette main s’était bien entendu celle de mon ami Jacques. Puis elle était venue buter sur ma hampe dressée. Il n’avait pas fallu trente seconde pour qu’elle entour ma colonne de chair. Puis de petits mouvements de bas en haut renforçaient encore plus la bandaison et enfin Jacques me branlait bien ouvertement. Ma main s’était elle aussi aventurée en direction du bas ventre de mon ami pour lui rendre les mêmes caresses. Nous nous masturbions mutuellement en nous regardant dans les yeux. Des étincelles brillaient dans les yeux de Jacques, je voyais qu’il savourait être branlé de cette façon, par son petit ami, au lever du jour. Nous avions déchargé presque en même temps.
Nos bouches s’étaient ensuite rejointes pour un langoureux baiser.
Nous nous étions rendus à la salle de bain, nus, où nous comptions prendre une douche. En entrant dans la salle d’eau j’avais vu que ma sœur Delphine était dans le bain à bulles avec Stéphanie. J’allais refermer la porte quand Delphine m’a dit d’entrer. J’avais fait un signe à Jacques qui avait compris, nous étions alors entrés. Nous avions salué les deux filles et nous nous étions dirigés vers la grande douche. C’est dans cette situation que nous avions discuté à quatre de la soirée d’hier et de notre nuit. Delphine nous avait dit que nous devrions mettre une sourdine car elle et Stéphanie nous avaient entendus. Jacques était devenu rouge pivoine.
Puis nous nous étions tous mis à rire.
Delphine en profitait pour nous dire :
Del : Vous êtes craquants mes deux jolis mecs !
Moi : Oui, c’est ça !
Sté : Mais oui Phil, vous êtes adorables comme ça sous la douche.
Jac : Merci mais nous ne sommes ni beaux, ni laids !
Del : Pour moi vous êtes très bien comme vous êtes, nous on n’a pas besoin de voir des mannequins, juste voir des mecs comme vous !
Moi : Merci, et au fait, vous êtes toujours aussi craquantes que durant l’été !
Sté : Merci Phil, c’est vrai qui nous avions pris l’habitude de nager nues dans la piscine parfois en votre compagnie. Oups désolé, en ta compagnie !
Moi : Merci Stéphanie, tu sais Jacques, Stéphanie parlait de moi et de son frère Julien.
Jac : J’avais compris Phil, pas de problème, je ne suis pas jaloux.
Del : Bon je commence à avoir faim, je crois que nous allons sortir de ce bain à bulles.
Moi : Je pense que la douche est aussi finie. Jacques je suppose que toi aussi tu as faim.
Jac : Mais oui mon beau Phil.
Moi : Oh arrête, tu l’as dit, nous sommes justes potables !
Nouvel éclat de rire dans la salle de bain.
Une fois séché, nous nous étions habillés dans ma chambre pour aller ensuite prendre le petit déjeuner avec les deux filles et maman.
A la suite du petit-déjeuner, nous avions, Jacques et moi, fait un tour en forêt malgré le temps maussade, mais nous avions besoin de prendre un grand bol d’air pur.
La matinée s’était très vite passée et nous avions presque oublié de rentrer pour le repas de midi. C’est donc vers 13h10 que nous étions enfin arrivés à la maison. Maman nous avait dit de passer à table car l’apéro avait déjà été servi et était même terminé.
Nous avions mangé à cinq, comme la veille au soir. J’avais comme un gout de trop peu, il manquait papa autour de cette table. Qu’aurait-il dit de manger en compagnie de Jacques et de Stéphanie. Je me posais la question. Je pense que nous aurons la réponse dans les semaines à venir.
Pour l’après-midi Jacques et moi nous étions allés au cinéma au centre-ville en prenant le bus et une correspondance avec le tram. Nous étions allés voir le film de péplum « Ben Hur ». Nous avions apprécié toute la mise en scène, les effets spéciaux et le jeu des acteurs. Puis la partie avec les lépreux était très poignante. A l’issue de la séance nous sommes allés boire un verre, un grand verre, « une lunette » ! Puis par la suite nous étions restés en ville pour aller manger une bonne pizza avant de revenir à la maison. Nous étions heureux d’avoir passé une très bonne journée, à deux.
Durant le trajet, j’avais remercié Jacques pour sa gentillesse, pour être mon ami, pour être mon être aimé ! Je voyais que mes paroles touchaient mon ami, mon « amant ». Il ne nous restait plus qu’à faire l’amour, nous prendre et mous aimer. Mais nous devions être prêts tous les deux et ne pas aller trop vite. Nous devions encore nous découvrir un peu plus, nous faire entièrement confiance. Puis je m’étais souvenu de ce que ma chère Amandine m’avait une fois dit, que je devais être moi et que je ne devais jamais cacher ce que je pensais, tout en gardant bien entendu une partie de mon jardin secret. J’avais alors regardé Jacques dans les yeux et je lui avais dit :
Moi : Jacques, je ne veux rien te cacher, mais je vais te dire que notre amie Amandine est en fait ma confidente !
Jac : Oh tu sais Phil, je m’en étais aperçu.
Moi : Oui, parfois j’ai besoin de parler de certaine chose et elle me conseille, elle m’encourage ou elle me dit que je vais faire une connerie.
Jac : Tu sais Phil, c’est normal. Moi je regrette de ne pas connaitre une amie avec laquelle je pourrais parler de ce qui me touche, de ce qui me fait du mal, de ce que j’aime, de lui dire que je t’aime toi Phil !
Moi : Oh Jacques, que c’est beau ce que tu dis, je ne me moque pas, mais je souhaite que toi aussi tu puisses connaître une personne qui puisse être là pour toi, pour te conseiller, t’aider à prendre des décisions.
Jac : Merci Phil, mais toi garde précieusement Amandine comme ta confidente.
Voilà nous étions arrivés à l’arrêt de bus. Nous allions rentrer à la maison pour notre seconde nuit du week-end.