13-03-2023, 10:10 PM
J'ouvris un œil et je regardais l’heure. J'avais le temps d'aller courir et, si Hans voulait y aller, j'y retournerai. J'enfilais un short et des baskets et je fis le même chemin qu'hier mais à une allure plus soutenue. Et quand je rentrais je passais, bien sûr, par les douches et j'y entrais presque en même temps qu'un mec assez jeune – la vingtaine au maximum. Mon coiffeur favori n'était pas là. Le mec entra dans une douche dont il laissa la porte ouverte. Et il tourna ses fesses vers moi et en sortit un plug.
J'entrais et je verrouillais la porte. Je le retournais et je lui appuyais sur la tête. Il se baissa, tira sur mon short qui descendit et goba ma queue molle qu'il fit durcir rapidement en la suçant. Et quand elle fut bien dure et bien raide je pris un préservatif que je lui tendis. Il me l'enfila et se retourna. Le plug avait bien fait son travail, j'entrais comme dans du beurre. Je le baisais une bonne demi-heure avant de jouir. Il se branlait rapidement et pour le stimuler je continuais à le baiser.
Je sortis de la douche, j'entrais dans celle d'à côté et je me lavais sommairement.
Tout le monde dormait encore. Je fis les préparatifs du petit déjeuner et j'allais chercher des viennoiseries et du pain. Les trois petits monstres se levèrent en même temps et je dus cuisiner, malgré les croissants.
Une chose que mon frère et ma sœur avaient en commun avec moi c'est que quand ils faisaient une promesse (menace ou
non), ils la tenaient. Et ça, les gamins l'avaient tous bien compris.
C'est Chip qui le vit revenir et cria :
Je ne comprenais pas ce qu'il disait mais je voyais à son visage qu'il était contrarié. Il revint vers le mobile-home.
Il ne rentra pas de la nuit et le matin quand tout mon petit monde fut réveillé, j'eus le plus grand mal à assurer. Pas les biberons, ça je maîtrisais mais après faire une omelette de 12 œufs, la faire sauter sans manquer la poêle, plus faire cuire des tranches de petit salé sans les faire brûler, ça a été une autre histoire. Mais bon, un bon coup de balais et de serpillière arrangea tout ça.
Antho et Jules arrivèrent la gueule enfarinée sur le coup des 9 heures. ils venaient voir comment ça se passait. Et ils restèrent surpris de voir tout ce que les enfants avaient mangé au petit-déjeuner.
Hans était rentré et il aidait Léa et Sophie à cuisiner. Il avait même dû aller laver la vaisselle. Les jumeaux et Adeline coururent vers lui pour l’embrasser. Et c'est Adeline qui lui dit :
J'avais acheté des brassards pour les jumeaux et Adeline, et ils se débrouillaient plutôt bien avec. Ça ne les empêchait pas de boire la tasse par moment mais ça me rassurait.
Hans sortit encore ce soir-là et le lendemain matin quand mon frère et sa famille partirent avec Jules et la sienne, il n'était toujours pas rentré. Les jumeaux et Adeline s'étaient rendormis après avoir bu leurs biberons. Ils se levèrent à 9 heures. Hans était rentré depuis peu et il avait posé sur la table un gros sac de perles multicolores. Et quand ils le virent, il fallut bien sur les coiffer de suite.
Hans me montra comment faire. On faisait 5/6 tresses à l'un d'eux et on changeait de gamin pour pas que les deux autres s'impatientent trop. Ça nous prit la matinée. Je pris des photos que j'envoyais à tout le monde. Il y en avait une qui me plaisait particulièrement. Adeline se trouvait entre les jumeaux qui lui faisaient un bisou sur chacune de ses joues.
Avant les jumeaux se ressemblaient déjà beaucoup mais maintenant, si on ne les connaissait pas bien, c'était impossible de les différencier. Et c'est à partir de ce jour qu'ils commencèrent à jouer de leur gémellité avec les étrangers, souvent pour leur faire des blagues.
On prit quelques photos, rigolotes et un peu bizarres, d'essais de coiffure et c'est Adeline qui me donna une idée.
Je pris trois tresses de chaque côté des tempes des garçons, je les tressais jusqu'à ce qu'elles se rejoignent derrière leur tête et je les attachais ensemble.
Dès qu’ils furent endormi, j'allais enfiler un short et je commençais à faire des assouplissements à l’extérieur. Hans me regardait faire. Ça devait faire une bonne demi-heure que j'en faisais quand une femme passa et me fit la remarque sur un ton aigre doux qu'on était dans un camping naturiste.
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J'entrais et je verrouillais la porte. Je le retournais et je lui appuyais sur la tête. Il se baissa, tira sur mon short qui descendit et goba ma queue molle qu'il fit durcir rapidement en la suçant. Et quand elle fut bien dure et bien raide je pris un préservatif que je lui tendis. Il me l'enfila et se retourna. Le plug avait bien fait son travail, j'entrais comme dans du beurre. Je le baisais une bonne demi-heure avant de jouir. Il se branlait rapidement et pour le stimuler je continuais à le baiser.
Je sortis de la douche, j'entrais dans celle d'à côté et je me lavais sommairement.
Tout le monde dormait encore. Je fis les préparatifs du petit déjeuner et j'allais chercher des viennoiseries et du pain. Les trois petits monstres se levèrent en même temps et je dus cuisiner, malgré les croissants.
- Papa, il est où Hans ?
- Parle plus doucement Chip. Il dort encore.
- Il est malade ?
- Non, il est fatigué c'est tout. Alors on parle doucement.
Une chose que mon frère et ma sœur avaient en commun avec moi c'est que quand ils faisaient une promesse (menace ou
non), ils la tenaient. Et ça, les gamins l'avaient tous bien compris.
- Bébé, ce soir vous pouvez vous occuper des enfants ?
- Oui, pas de problème.
C'est Chip qui le vit revenir et cria :
- Papa, Papa vient vite voir Hans, il est tout bizarre.
- Il a quoi de bizarre ?
- Mais venez voir je vous dis. Moi, je veux des cheveux comme lui !
- T'es tout beau comme ça, Hans.
- Merci, Gus.
- Hans, tu voudras me coiffer comme toi ?
- Si ton papa veut bien, alors, oui, bien sûr, mais c'est très long à faire, tu sais.
- Dis Papa, tu veux bien que Hans me coiffe comme lui ?
- Moi aussi je voudrais qu'il me fasse les mêmes cheveux que lui.
- Et moi aussi, comme les garçons.
- Tu es d'accord Bé ?
- Je n'y vois pas d’inconvénient. Mais je suppose qu'il va falloir des perles et des élastiques. On ira demain matin en ville les chercher.
Je ne comprenais pas ce qu'il disait mais je voyais à son visage qu'il était contrarié. Il revint vers le mobile-home.
- Ça ne va pas Hans ?
- Juste quelques problèmes de famille. Mon frère s'est cru plus malin que tout le monde et il a finalement fait une grosse bêtise. Mon père voudrait que je rentre pour essayer de le raisonner. Mais je connais mon frère. C'est comme vous dites en français une tête de nœud et il ne se rendra compte de sa connerie que quand la merde dans laquelle il s'enfonce lui entrera par la bouche. Mais laisse tomber. Ça t'ennuie si je sors ce soir. Je voudrais me changer les idées.
- Non vas-y, les gamins dorment et en cas de gros problème j'irai réveiller mon frangin.
- Merci.
- Tu es sûr que ça ne te dérange pas que je sorte ?
- Non, c'est bon, Hans, vas t’amuser. Je gère.
- Ok, alors j'y vais. A plus !
Il ne rentra pas de la nuit et le matin quand tout mon petit monde fut réveillé, j'eus le plus grand mal à assurer. Pas les biberons, ça je maîtrisais mais après faire une omelette de 12 œufs, la faire sauter sans manquer la poêle, plus faire cuire des tranches de petit salé sans les faire brûler, ça a été une autre histoire. Mais bon, un bon coup de balais et de serpillière arrangea tout ça.
Antho et Jules arrivèrent la gueule enfarinée sur le coup des 9 heures. ils venaient voir comment ça se passait. Et ils restèrent surpris de voir tout ce que les enfants avaient mangé au petit-déjeuner.
- Mais nous on mange comme ça tous les matins chez Mamé, quand Papé Cyprien rentre du jardin. Mais Mamé elle veut pas qu'il nous donne du vin aussi.
- Elle a raison, le vin ça empêche les enfants de grandir. Hans n'est pas avec toi, Bé ?
- Non, il n'est pas rentré de la nuit.
- Comment ça se fait ?
- Il a reçu un coup de fil hier soir et il est parti assez énervé . Il n'est pas encore rentré.
- Bé, demain on va en Espagne, tu veux venir avec nous ?
- Non, on va rester ici. Par contre je vais te faire ma liste, comme d’habitude.
- Pas de soucis. Bé, ça ne serait pas trop te demander de garder les enfants ce soir encore parce que à partir de demain Léa va être indisposée… et, là, c’est ceinture.
- Pas de soucis. Je gère mais vous laverez la vaisselle du petit déjeuner en contrepartie.
- Non même pas, parce qu'on va partir de bonne heure. On n'aura pas le temps.
- Papa, on peut aller aux jeux ?
- Si vous voulez, mais vous ne faites pas les fous, vous ne vous jetez pas de sable et si vous n'êtes pas sages, on rentre de suite.
Hans était rentré et il aidait Léa et Sophie à cuisiner. Il avait même dû aller laver la vaisselle. Les jumeaux et Adeline coururent vers lui pour l’embrasser. Et c'est Adeline qui lui dit :
- Tu sais Hans, ce matin c'est Bébé qui a fait le petit déjeuner. Il en a mis de partout. Mais ça va, c'était bon. Mais j'aime mieux quand c'est toi qui fais le manger. C'est meilleur. Tu étais où ?
- J'étais parti faire des courses mais le magasin n'était pas encore ouvert. Alors j'ai dû attendre qu'il ouvre.
- Et tu es allé acheter quoi ?
- C'est une surprise, pour toi et les garçons. Mais c’est pour demain !
- Dis-moi c'est quoi. Promis juré craché que je le dirai à personne.
J'avais acheté des brassards pour les jumeaux et Adeline, et ils se débrouillaient plutôt bien avec. Ça ne les empêchait pas de boire la tasse par moment mais ça me rassurait.
Hans sortit encore ce soir-là et le lendemain matin quand mon frère et sa famille partirent avec Jules et la sienne, il n'était toujours pas rentré. Les jumeaux et Adeline s'étaient rendormis après avoir bu leurs biberons. Ils se levèrent à 9 heures. Hans était rentré depuis peu et il avait posé sur la table un gros sac de perles multicolores. Et quand ils le virent, il fallut bien sur les coiffer de suite.
Hans me montra comment faire. On faisait 5/6 tresses à l'un d'eux et on changeait de gamin pour pas que les deux autres s'impatientent trop. Ça nous prit la matinée. Je pris des photos que j'envoyais à tout le monde. Il y en avait une qui me plaisait particulièrement. Adeline se trouvait entre les jumeaux qui lui faisaient un bisou sur chacune de ses joues.
Avant les jumeaux se ressemblaient déjà beaucoup mais maintenant, si on ne les connaissait pas bien, c'était impossible de les différencier. Et c'est à partir de ce jour qu'ils commencèrent à jouer de leur gémellité avec les étrangers, souvent pour leur faire des blagues.
On prit quelques photos, rigolotes et un peu bizarres, d'essais de coiffure et c'est Adeline qui me donna une idée.
Je pris trois tresses de chaque côté des tempes des garçons, je les tressais jusqu'à ce qu'elles se rejoignent derrière leur tête et je les attachais ensemble.
- Wow ! Gus, tu es beau, comme ça.
- C'est vrai Papa que je suis beau comme ça ?
- Va te regarder dans la glace sur le lavabo, tu me diras.
- Papa, tu me le fais aussi à moi ?
- Si tu veux Chip. Allez assieds-toi sur la table.
- Hans, tu le fais à moi aussi.
- Mais oui ma princesse.
- Hans, pourquoi tu ne te coiffes pas comme nous ? C'est joli pas vrai ?
- Allez, dis oui.
- S'il te plaît, Hans.
- Vox populi, vox dei.
- Hein ! Tu as dit quoi ?
- C'est du latin, ça veut dire que puisque vous voulez que je le fasse, je vais le faire. Tu peux m'aider Bé ?
- Bien sûr, je peux faire à mon idée ?
- Je crains le pire mais vas-y je te fais confiance.
- Alors vous en pensez quoi de mon travail les gosses ?
- C'est joli, Papa, ce que tu as fait.
- Oui, ça va, mais tes perles elles sont moins belles que les nôtres, tu devrais les changer.
- Tu veux aller voir, Hans ?
- Pas tout de suite, j'ai un petit problème là tout de suite mais ça passe doucement.
- Ah, ok. Vous voulez manger quoi, à midi, les gamins ?
- Bé, c'est ton chéri Hans ?
- Non Adeline, ce n'est pas mon chéri.
- Mais pourquoi il t'a fait un bisou sur la joue, alors ?
- Pour me dire merci parce que je l'ai bien coiffé et qu'il est content de ce que j'ai fait. Gus et Chip t'ont bien fait un bisou sur la joue aussi.
- Ah, oui, mais nous c'est pas pareil. Eux c'est mes amoureux.
- Ha bon et vous ne nous l'avez même pas dit ?
- Mais non, c'est un secret.
- Bon, allez, on va acheter le dîner ?
- C'est tout ce que tu mets ? Ça fait pas beaucoup. Ma Mamé elle nous en donne plus.
- Tu es sûr de tout manger si j'en rajoute ?
- Oui mais tu mets aussi plus de ketchup et de mayonnaise.
- Gus, tu n'as rien oublié de dire ?
- Ah oui pardon, s'il te plaît, monsieur.
- Moi c'est pas monsieur, c'est Aurélien et toi tu t'appelles comment ?
- Moi c'est Gus. Enfin, c'est Augustin mais tout le monde dit Gus.
- Enchanté Gus, moi c'est Aurel pour mes amis. À qui le tour ? C'est à toi Princesse ?
- Moi c'est Adeline.
- Tu veux beaucoup de frites aussi je parie.
- Non ça ira. Normal s'il te plaît.
- Il ne reste plus que toi. C'est quoi ton prénom ?
- Mais je suis Gus, je viens de te le dire.
- Mais lui c'est qui alors ?
- Bin c'est Chip. Mon jumeau. Je reveux la même chose, s'il te plaît Aurel, avec beaucoup de frites aussi.
- Et Chip, il a un nom ?
- Oui c'est Cyprien mais on l'appelle tous Chip pour pas le confondre avec notre Papé Cyprien mais lui il est beaucoup vieux. Mais on est né le même jour que lui. Même Adeline elle est née le même jour que nous. Pas vrai Papa.
- Oui c'est vrai… Chip.
- MAIS PAPA ! FALLAIT PAS LE DIRE !
- Vous vous êtes fait mener en bateau. Au fond, c'est bien Gus, et celui-ci c'est Cyprien.
- C'est vrai qu'ils se ressemblent beaucoup. Et pour vous qu'est-ce-que je vous sers ?...
Dès qu’ils furent endormi, j'allais enfiler un short et je commençais à faire des assouplissements à l’extérieur. Hans me regardait faire. Ça devait faire une bonne demi-heure que j'en faisais quand une femme passa et me fit la remarque sur un ton aigre doux qu'on était dans un camping naturiste.
- Oui Madame, je sais qu'on est dans un camping naturiste mais il y a certains exercices qui seraient plutôt… pornographiques, si je les faisais sans short. Celui-là par exemple.
- Je vous laisse imaginer la vue sans mon short, Madame.
- Vous êtes indécent Monsieur. J'irai me plaindre à la direction du camping.
- Faites Madame, faites donc cela. Bonne journée, Madame.
- Mais… elle est complètement folle cette bonne femme. Et je ne te savais pas si souple, Bé.
- Tu n'as encore rien vu.
- Ma femme vient de me dire que vous l'avez insulté. Je pourrais savoir pourquoi ?
- Je n'ai pas insulté votre épouse. Elle m'a fait remarquer qu'on était dans un camp naturiste et que je n'avais pas à porter de short et je lui ai simplement répondu que si j'en avais mis un, c'était justement pour ne pas choquer les gens. Je vous montre la position que j'avais quand je lui ai dit ça.
- En effet, je vous comprends, il vaut mieux que vous portiez un short. Excusez mon intervention. Je vais aller dire ce que j'en pense à ma femme.
- Laissez tomber, dites-lui que je me suis remis nu et que j'ai stoppé mes exercices pour aujourd’hui. Comme ça, vous et moi, on aura la paix.
- Oui vous avez raison, et excusez-la encore.
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