13-03-2023, 03:07 PM
Chapitre 011 : « Veille de la rentrée universitaire. »
« Dortoir du campus. »
Ralphy est déjà levé depuis un moment à préparer le café, pour lui et ses copains, avant d’aller leurs secouer les puces, ils ont été agréablement surpris de ce qu’est en fait ce « dortoir » et le confort inattendu de « l’appartement » qui leur a été attribué, appartement constituer de quatre chambres avec salle de bain et toilettes indépendantes, ainsi que d’une grande pièce commune composée d’un coin cuisine et d’un coin salon.
Ne serait-ce l’idée d’un quatrième encore inconnu qui se verra attribuer la chambre restée libre, il ne fait aucun doute qu’ils perdraient vite l’idée de chercher ailleurs.
Une fois la table mise, il va frapper à la porte de ses deux copains et retourne se servir en attendant leur venue, devenant soudainement rêveur avec en tête le visage de ce petit brun aux yeux noisette pétillants de gentillesse.
Petit, enfin pas tant que ça par apport à Kai et son mètre soixante-quatre, Marc doit bien faire un mètre soixante douze ou treize mais de toute façon bien plus petit que lui du haut de son mètre quatre-vingt.
De penser à Marc lui amène un profond soupire, cherchant à comprendre la raison qui lui fait l’avoir toujours en tête depuis qu’ils les ont quittés.
Déjà hier soir, Kai s’est bien moqué d’eux deux en les voyant perdus dans leurs pensées et ne s’est pas gêné pour avancer l’idée qu’il en a gardé depuis lors, en les fixant ironiquement dès qu’ils repartaient dans le vague.
Daniel sort de sa chambre en mode zombi pour venir s’assoir lourdement sur sa chaise, bientôt suivit par Kai qui est juste vêtu d’un petit slip blanc qui ne cache qu’à peine un contenu n’ayant point à rougir de honte et cela malgré la petite taille physique de son heureux propriétaire.
Propriétaire qui ne se gratte pas d’aller y fureter d’une main possessive et cela sans la moindre gêne devant ses amis, qui pour leur part sont vaccinés depuis longtemps de son manque de pudeur quand il ne se sait qu’avec eux.
- Le petit monsieur demande déjà qu’on s’occupe de lui si tôt le matin ?
- Hein !! De quoi parles tu donc ?
Un coup de tête visant la main enfoncer dans le mini slip.
- De ça pardi !!
Kai baisse le regard vers son bas ventre et sourit, visiblement amuser en s'amusant à en rajouter par des gestes beaucoup plus amples de la main.
- Ah oui !! Avec le déménagement, le voyage et tout et tout, ça fait un moment que je ne me suis pas occuper de lui et il sait bien me le rappeler ! Hi ! Hi !
- Ok, je comprends mais arrête tu veux bien, ce n’est pas le moment pour la traite ! Viens t’assoir et prendre ton petit déj’
- Bien maman !!
Kai sort sa main du petit morceau de tissu qui en quelques secondes s’est vu doubler de volume, preuve que l’application tactile commençait à faire son petit effet.
Le petit blond sourit à Ralphy qui le mate sans vergogne et d’un geste inconscient amène sa main à son nez pour prendre une bonne inspiration, s’avançant ensuite vers son copain en la lui tendant.
- Un petit shoot ?
- Pffttt !!! t’es dégeu dès le matin.
- C’est le moment ou cela sent le mieux… alors…
Il approche sa main du visage de Ralphy qui sourit et vient lui renifler les doigts tout en poussant un soupire complètement différent cette fois ci de celui pousser quelque temps plus tôt quand il était seul.
-… alors ?
- Hum… oui, tu as raison.
Les deux copains éclatent de rire, ce qui ne manque pas de faire sursauter le troisième luron qui semble enfin sortir du sommeil.
Daniel comprend tout de suite de quoi il s’agit et s’en amuse avec eux, soupçonnant avec un certain plaisir anticiper que très bientôt l’envie se fera plus forte que la fatigue de ces derniers jours.
Déjà rien qu’à y penser, il sent bien l’éveil tressautant de son bas ventre et capte l’état déjà bien avancer de celui de ses deux copains, Kai étant le moins vêtu n’en est que plus visible.
Pourtant aucune allusion sur le sujet ne vient perturber le déjeuner, leurs pulsions n’ayant pas encore atteint le pic à partir duquel ils ne peuvent plus se contenir et passent un merveilleux moment à trois dans les plaisirs de la chair, prenant et donnant, avec la même équité les uns envers les autres.
Etrangement ils n’en font jamais cas et à part quelques blagues à connotations sexuelles du genre de ce matin avec Kai, prémices d’un très prochain appel des sens, ils n’abordent jamais verbalement et surtout consciemment, cette particularité qu’ils se ont découverts à l’anniversaire de leurs treize ans et qui d’années en années prend une importance grandissante, en les rendant encore plus dépendant les uns des autres.
Cette amitié qu’ils ont connus depuis l’enfance c’est alors vu fortement renforcer par ce nouveau lien d’attirance et de sexe, qui depuis les unis en leur apportant un plaisir toujours grandissant, les laissant bien souvent exsangues et sans forces, une fois le jour venu.
D’une fois par mois de leurs débuts, ils en sont arrivés à une fois par semaine et sentent bien que l’envie se rapproche encore davantage, la dernière fusion de leurs corps ne datant que de la nuit précèdent leur départ de l’orphelina, ils ne devraient donc pas déjà en sentir les prémices si tôt dans la semaine.
Pourtant comme un fait exprès, alors que cette pensée fugace vient juste de lui traversée l’esprit, son regard accroche celui de Ralphy et de Kai, sentant à son tour venir l’énorme remontée de libido qu’il ne saurait et d’ailleurs n’essayerait jamais de contrôler, son bas ventre d’un coup le tiraillant en cherchant la position verticale nulle doute plus confortable pour lui.
Ralphy a repris la main de Kai et la reporte sur son nez pour une fois de plus se gazé de cette odeur si spéciale qui lui fait perdre le contrôle et cette fois n’y manque pas non plus, sentant à son tour une main nerveuse explorer son bas de pyjama et s’approprier de ce qui à l’intérieur commençait à s’humidifier en laissant une auréole des plus révélatrice.
Daniel se sent comme attirer inexorablement vers ses deux amis, se retrouvant à genoux aux pieds de Ralphy à passer la langue sur cette tâche odorante.
Le scénario étant une fois de plus mit en place, les acteurs jouent alors leurs partitions jusqu’à tomber en pamoisons, imbriqués les uns dans les autres et tétanisés par les orgasmes répétitifs, qui heureusement ne les ont jamais mis en quelconque danger.
***/***
« Quelques heures plus tard. »
Ils sont tous les trois assit sagement à boire leur café en mangeant leurs tartines, discutant comme à leur habitude de tout ce qui leur passe par la tête dans une joyeuse cacophonie.
Comme à chaque fois il n’y a pas une parole qui s'échappe même involontairement de leurs lèvres sur le plaisir extrême pourtant qu’ils viennent de prendre, un peu comme si leur pudeur avait gommé ces merveilleux instants, sans doute assurer qu’ils le sont que cela se renouvellera encore et encore.
C’est Daniel cette fois alors qu'il redevient soudainement lunaire et qui amène la conversation vers les deux garçons, qui malgré la sortie furieuse de Kai les ont bien marqués.
- Vous croyez qu’ils étaient sérieux en nous proposant de rester avec eux ?
- Je ne saurais dire, de plus je n’ai pas bien compris le besoin qu’ils avaient de prendre des colocs, ce n’est pas comme s’ils n’avaient pas d’argent.
- Peut-être juste pour avoir de la compagnie, allez savoir !
- Pour se moquer de leur taille ou d’autres plaisanteries du même genre,
- Je suis sur qu’il n’avait pas dis ça avec la volonté de te vexer, je n’ai pas eu l’impression qu’ils étaient ce genre de types et puis ce n’est pas comme si la réputation du grand prince ne le poursuivait pas, tous les médias souligne sa gentillesse qui n’a d’égale que son physique.
- Avoue qu’il t-a tapé dans l’œil et que tu le kiffes déjà grave !!
« Dortoir du campus. »
Ralphy est déjà levé depuis un moment à préparer le café, pour lui et ses copains, avant d’aller leurs secouer les puces, ils ont été agréablement surpris de ce qu’est en fait ce « dortoir » et le confort inattendu de « l’appartement » qui leur a été attribué, appartement constituer de quatre chambres avec salle de bain et toilettes indépendantes, ainsi que d’une grande pièce commune composée d’un coin cuisine et d’un coin salon.
Ne serait-ce l’idée d’un quatrième encore inconnu qui se verra attribuer la chambre restée libre, il ne fait aucun doute qu’ils perdraient vite l’idée de chercher ailleurs.
Une fois la table mise, il va frapper à la porte de ses deux copains et retourne se servir en attendant leur venue, devenant soudainement rêveur avec en tête le visage de ce petit brun aux yeux noisette pétillants de gentillesse.
Petit, enfin pas tant que ça par apport à Kai et son mètre soixante-quatre, Marc doit bien faire un mètre soixante douze ou treize mais de toute façon bien plus petit que lui du haut de son mètre quatre-vingt.
De penser à Marc lui amène un profond soupire, cherchant à comprendre la raison qui lui fait l’avoir toujours en tête depuis qu’ils les ont quittés.
Déjà hier soir, Kai s’est bien moqué d’eux deux en les voyant perdus dans leurs pensées et ne s’est pas gêné pour avancer l’idée qu’il en a gardé depuis lors, en les fixant ironiquement dès qu’ils repartaient dans le vague.
Daniel sort de sa chambre en mode zombi pour venir s’assoir lourdement sur sa chaise, bientôt suivit par Kai qui est juste vêtu d’un petit slip blanc qui ne cache qu’à peine un contenu n’ayant point à rougir de honte et cela malgré la petite taille physique de son heureux propriétaire.
Propriétaire qui ne se gratte pas d’aller y fureter d’une main possessive et cela sans la moindre gêne devant ses amis, qui pour leur part sont vaccinés depuis longtemps de son manque de pudeur quand il ne se sait qu’avec eux.
- Le petit monsieur demande déjà qu’on s’occupe de lui si tôt le matin ?
- Hein !! De quoi parles tu donc ?
Un coup de tête visant la main enfoncer dans le mini slip.
- De ça pardi !!
Kai baisse le regard vers son bas ventre et sourit, visiblement amuser en s'amusant à en rajouter par des gestes beaucoup plus amples de la main.
- Ah oui !! Avec le déménagement, le voyage et tout et tout, ça fait un moment que je ne me suis pas occuper de lui et il sait bien me le rappeler ! Hi ! Hi !
- Ok, je comprends mais arrête tu veux bien, ce n’est pas le moment pour la traite ! Viens t’assoir et prendre ton petit déj’
- Bien maman !!
Kai sort sa main du petit morceau de tissu qui en quelques secondes s’est vu doubler de volume, preuve que l’application tactile commençait à faire son petit effet.
Le petit blond sourit à Ralphy qui le mate sans vergogne et d’un geste inconscient amène sa main à son nez pour prendre une bonne inspiration, s’avançant ensuite vers son copain en la lui tendant.
- Un petit shoot ?
- Pffttt !!! t’es dégeu dès le matin.
- C’est le moment ou cela sent le mieux… alors…
Il approche sa main du visage de Ralphy qui sourit et vient lui renifler les doigts tout en poussant un soupire complètement différent cette fois ci de celui pousser quelque temps plus tôt quand il était seul.
-… alors ?
- Hum… oui, tu as raison.
Les deux copains éclatent de rire, ce qui ne manque pas de faire sursauter le troisième luron qui semble enfin sortir du sommeil.
Daniel comprend tout de suite de quoi il s’agit et s’en amuse avec eux, soupçonnant avec un certain plaisir anticiper que très bientôt l’envie se fera plus forte que la fatigue de ces derniers jours.
Déjà rien qu’à y penser, il sent bien l’éveil tressautant de son bas ventre et capte l’état déjà bien avancer de celui de ses deux copains, Kai étant le moins vêtu n’en est que plus visible.
Pourtant aucune allusion sur le sujet ne vient perturber le déjeuner, leurs pulsions n’ayant pas encore atteint le pic à partir duquel ils ne peuvent plus se contenir et passent un merveilleux moment à trois dans les plaisirs de la chair, prenant et donnant, avec la même équité les uns envers les autres.
Etrangement ils n’en font jamais cas et à part quelques blagues à connotations sexuelles du genre de ce matin avec Kai, prémices d’un très prochain appel des sens, ils n’abordent jamais verbalement et surtout consciemment, cette particularité qu’ils se ont découverts à l’anniversaire de leurs treize ans et qui d’années en années prend une importance grandissante, en les rendant encore plus dépendant les uns des autres.
Cette amitié qu’ils ont connus depuis l’enfance c’est alors vu fortement renforcer par ce nouveau lien d’attirance et de sexe, qui depuis les unis en leur apportant un plaisir toujours grandissant, les laissant bien souvent exsangues et sans forces, une fois le jour venu.
D’une fois par mois de leurs débuts, ils en sont arrivés à une fois par semaine et sentent bien que l’envie se rapproche encore davantage, la dernière fusion de leurs corps ne datant que de la nuit précèdent leur départ de l’orphelina, ils ne devraient donc pas déjà en sentir les prémices si tôt dans la semaine.
Pourtant comme un fait exprès, alors que cette pensée fugace vient juste de lui traversée l’esprit, son regard accroche celui de Ralphy et de Kai, sentant à son tour venir l’énorme remontée de libido qu’il ne saurait et d’ailleurs n’essayerait jamais de contrôler, son bas ventre d’un coup le tiraillant en cherchant la position verticale nulle doute plus confortable pour lui.
Ralphy a repris la main de Kai et la reporte sur son nez pour une fois de plus se gazé de cette odeur si spéciale qui lui fait perdre le contrôle et cette fois n’y manque pas non plus, sentant à son tour une main nerveuse explorer son bas de pyjama et s’approprier de ce qui à l’intérieur commençait à s’humidifier en laissant une auréole des plus révélatrice.
Daniel se sent comme attirer inexorablement vers ses deux amis, se retrouvant à genoux aux pieds de Ralphy à passer la langue sur cette tâche odorante.
Le scénario étant une fois de plus mit en place, les acteurs jouent alors leurs partitions jusqu’à tomber en pamoisons, imbriqués les uns dans les autres et tétanisés par les orgasmes répétitifs, qui heureusement ne les ont jamais mis en quelconque danger.
***/***
« Quelques heures plus tard. »
Ils sont tous les trois assit sagement à boire leur café en mangeant leurs tartines, discutant comme à leur habitude de tout ce qui leur passe par la tête dans une joyeuse cacophonie.
Comme à chaque fois il n’y a pas une parole qui s'échappe même involontairement de leurs lèvres sur le plaisir extrême pourtant qu’ils viennent de prendre, un peu comme si leur pudeur avait gommé ces merveilleux instants, sans doute assurer qu’ils le sont que cela se renouvellera encore et encore.
C’est Daniel cette fois alors qu'il redevient soudainement lunaire et qui amène la conversation vers les deux garçons, qui malgré la sortie furieuse de Kai les ont bien marqués.
- Vous croyez qu’ils étaient sérieux en nous proposant de rester avec eux ?
- Je ne saurais dire, de plus je n’ai pas bien compris le besoin qu’ils avaient de prendre des colocs, ce n’est pas comme s’ils n’avaient pas d’argent.
- Peut-être juste pour avoir de la compagnie, allez savoir !
- Pour se moquer de leur taille ou d’autres plaisanteries du même genre,
- Je suis sur qu’il n’avait pas dis ça avec la volonté de te vexer, je n’ai pas eu l’impression qu’ils étaient ce genre de types et puis ce n’est pas comme si la réputation du grand prince ne le poursuivait pas, tous les médias souligne sa gentillesse qui n’a d’égale que son physique.
- Avoue qu’il t-a tapé dans l’œil et que tu le kiffes déjà grave !!
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