10-03-2023, 01:37 PM
A mon habitude, je me levais le premier. Comme tous les matins, ma gaule me précédait. J'allais à la salle de bain pour pisser et ma trique passa. J'enfilais un tee-shirt et un pantalon de jogging et je descendis.
Je commençais par préparer deux biberons avec du lait et du chocolat que je mettrai au micro-onde quand les jumeaux descendraient.
Hans arriva, lui aussi, en jogging et tee-shirt. Il me fit la bise pour me dire bonjour. Je lui montrais comment fonctionnait mon percolateur de compet. Je me fis un café long et lui se fit un café au lait. Il le sucra.
On resta silencieux le temps de ‘’boire’’ notre petit déjeuner.
Le lendemain, c'était l'enterrement de Victoria qui se fit dans la plus stricte intimité. Il y avait tout le village, sauf Hans et les enfants. Le curé dit une messe et de là on alla au cimetière. On avait posé une plaque toute simple avec son nom, une photo, son année de naissance et celle de sa mort.
Un mois passa. Hans s'était bien intégré et avait été accepté par tous. Et arriva la fameuse journée du vol des cerises du père Mathieu. Mon frère et ma sœur étaient venus et comme les autres années, c'est à grand coup de stress pour les gamins qu'on vola les cerises du père Mathieu. Heureusement que le Papé Cyprien et Gaston faisaient le guet.
Bon, il fallut, bien sûr, doucher tout ce petit monde, parce qu'ils avaient de la cerise de partout.
Comme je ne travaillais pas le week-end, on avait décidé que Hans serait en repos ces jours-là. Je lui prêtais mon fourgon pour qu'il puisse aller en ville. Il découcha par deux fois.
Ça faisait déjà pas mal de temps que je n'avais plus baisé et l'envie me travaillait de plus en plus.
L'occasion se présenta avec en bonus la possibilité de faire plaisir aux jumeaux. Il fallait que je prenne des vacances, pour solder les miennes, avant fin mai, car depuis que Hans était là, j'avais repris à plein temps le boulot.
On avait réussi à avoir trois mobile-homes, côte à côte, parce que Jules et Sophie seraient là, évidemment. On installa les affaires des garçons et Adeline dans la chambre avec le grand lit et Hans et moi, on prit celle avec les deux lits. Et puis on se mit tous, tout nu. On tartina les gamins d'écran total avant de les laisser rejoindre leurs cousins… au pas de course. Je tartinais le dos de Hans qui fit pareil avec le mien. Ma queue commença à enfler et je crois que la sienne aussi mais on réussit à rejoindre les autres de manière décente.
Il fallut aller à la plage de suite, la marmaille voulait voir la mer. Et On ne passa pas inaperçus parce que les gamins criaient et sautaient dans tous les sens, tellement ils étaient excités.
Et on était toujours à courir parce que l'eau les attirait comme un aimant. Et je ne vous dis pas le nombre de pâtés et de châteaux détruits. Et ce n'était que le premier jour !
Mon frère me demanda si je pouvais garder ses fils et la fille de Jules et de Sophie. Bien sûr on accepta. On installa un autre matelas par terre et les six gamins dormirent à même le sol.
On eut un peu de mal à les coucher mais sous la menace de ne plus recommencer à les faire dormir ensemble ils finirent par s’endormir.
Il commençait à faire jour, quand je décidais d'aller courir. J'enfilais juste un short et des baskets. Et je partis hors du camp. Je m'entraînais encore mais moins qu’avant. Je retrouvais vite mon rythme. Et quand je revins j'allais prendre une douche et au moment où j'y entrais mon
coiffeur favori arriva aussi. Il me reconnut, me fit un grand sourire… et on baisa pendant plus d'une heure.
J'en profitais pour prendre rendez-vous avec lui et son frère.
Quand je rentrais, ça dormait encore bien. J'allais dévaliser la boulangerie et quand la troupe se réveilla, le petit déjeuner était prêt. Et tout le monde se régala des viennoiseries.
À 9 h 30 je me rendis à mes rendez-vous ‘’ beauté’’ et deux heures après, je revenais. Hans, en me voyant, eut un immense sourire qui me fit plaisir, tellement il était naturel.
Et les jumeaux eurent aussi la surprise de leur vie. Ils rencontrèrent des jumelles de leur âge. Ils sympathisèrent et ils jouaient 'en couple' ensemble. Le papa me demanda s'il pouvait prendre des photos qu'il me montra pour éviter tout problème et je lui demandais de me les envoyer. Et comme leur mobile-home était dans la même direction que le nôtre les gamins nous précédaient en se tenant par la main. Pour les filles aussi c'était nouveau de voir 2 garçons identiques.
Ce qui fait que l'après-midi on se retrouva 8 adultes à surveiller 8 monstres déchaînés. Les filles se mirent ensemble et déjà elles parlaient d'histoires de filles. Les garçons eux éclataient les pâtés et les châteaux qu'on n'avait même plus le temps de finir.
Les parents des jumelles étaient tout jeunes. Lui avait 21 ans et elle 19. Il finissait son apprentissage et elle le commençait. Ça a été le coup de foudre entre eux et quand elle lui annonça qu'elle était enceinte, il accepta ce fait, il se mirent en ménage et assumèrent.
Sur le coup de 18 heures, on rentra. On passa par la douche et ce soir-là, on mangea des pizzas.
Finalement Hans sortit. Les garçons et Adeline tiraient la gueule parce que ce soir ils dormaient sans leurs cousins. Hans rentra sur le coup des 4 heures du matin. Il sentait le tabac et la transpiration. Il se mit nu et se coucha sur le côté en me tournant le dos.
La lune éclairait son dos et ses fesses. C'est vrai qu'il était beau. Il était plus carré et plus musclé que Liam. Non, ce n’est pas exactement ça. Il avait les épaules un peu plus larges et la taille un rien plus fine mais les mêmes fesses rebondies et la même grandeur que lui.
Je ne sais pas si c'est de penser à Liam ou si c'est de voir Hans nu, mais l'érection que j'avais ne passait pas et elle m'empêchait de dormir. J'enfilais un boxer et j'allais jusqu'aux sanitaires. Je commençais par pisser et je fus surpris de voir arriver un gars, la trentaine, qui s'installa à côté de moi. Lui aussi bandait. Il matait ma queue et n'était pas discret. Il se branlait en douceur, comme pour maintenir son érection.
« Bon allez Bébé pense à autre chose. Parce que là tu es en train de tomber amoureux et tu sais ce qu'il se passe chaque fois. Celui ou celle que tu aimes disparaît de ta vie . Et tu es malade à en mourir. Alors tu te contentes de baiser à gauche et à droite et basta. L’amour ne te vaut rien. Il te tue à petit feu ! »
Je fis taire la petite voix dans ma tête, je me tournais et je m’endormis.
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Je commençais par préparer deux biberons avec du lait et du chocolat que je mettrai au micro-onde quand les jumeaux descendraient.
Hans arriva, lui aussi, en jogging et tee-shirt. Il me fit la bise pour me dire bonjour. Je lui montrais comment fonctionnait mon percolateur de compet. Je me fis un café long et lui se fit un café au lait. Il le sucra.
On resta silencieux le temps de ‘’boire’’ notre petit déjeuner.
- Coucou, on est réveillé !
- Vous voulez manger quoi, maintenant ?
- Je veux une omelette avec deux œufs et du jambon, Papa.
- Et toi Gus ?
- deux œufs mais casse pas le jaune. Et du pain et du pâté.
- Tu veux quelque chose aussi Hans ?
- deux œufs au plat et si tu avais du bacon, ça serait un plus.
- Mais, y'a ça, bien sûr et du comme tu n'en as jamais mangé. C'est de la fabrication maison.
- Papa, tu peux nous servir du jus d'orange, s'il te plaît.
- Pas pour moi. Je veux du à la pomme, s'il te plaît Papa.
- J'arrive tout de suite. J'en ai pour deux minutes, sinon je vais percer les jaunes.
- Je peux prendre un jus d'orange aussi ?
- Hans, les verres sont là. Le frigo est là. Tu y prends ce que tu veux et tu n'as pas besoin de demander l'autorisation, pour quoi que ce soit. Tu es chez toi, ici.
- Tu es comme ça avec tout le monde ?
- Avec tous les gens que j'aime bien, oui. Au fait, une question bête. Tu as le permis de conduire.
- Oui quand même. J'ai aussi celui de moto. Jean-François, tu sais où je pourrais me procurer un vélo ?
- Tu veux quoi, comme vélo ?
- Un vélo tout simple. C'est pour accompagner les garçons quand ils sont en draisienne.
- J'ai le mien chez mes parents. Il est en bon état. Il faudrait juste le réviser un peu. On passera le prendre. Mon grand-père se fera un plaisir de le bricoler.
- On a fini, Papa.
- Vous rapportez vos assiettes et vous les mettez dans le lave vaisselle.
- Papa, j'ai envie de faire caca.
- Tu vas d'abord poser ton assiette et après tu iras faire ta crotte.
- C'est vrai que c'est toi qui vas être notre nounou et plus les Papés et la Mamé ?
- Oui, c'est vrai. Je m'appelle Hans et toi ?
- Moi, c'est Adeline.
- Tu me fais un bisou, pour me dire bonjour ?
- Je peux lui faire Maman, c'est plus quelqu'un qu'on connaît pas ?
- Oui, tu peux lui faire un bisou. Maintenant que tu le connais.
- Tu es beau. Aussi beau que mon Papa mais c'est Papa Bé le plus beau. Quand je serai grande je me marierai avec lui.
- Et si je ne veux pas me marier avec toi ?
- Mais si, tu voudras.
- On en reparlera quand tu auras 20 ans.
- Ça fait très beaucoup, ça ?
- Non, pas beaucoup, ma puce !
- Bon, moi je vous laisse.
- Ok, à plus Mary.
- Mais Papa, on n'est plus des bébés !
- Justement, j'ai pensé à quelque chose. Ça vous dirait d'avoir votre chambre pour vous tout seuls ?
- Tu veux dire qu'on dormira plus dans ta chambre ?
- C’est ça, vous aurez votre chambre pour vous tout seuls, comme des grands. Adeline, tu dors dans la chambre de tes parents ?
- Mais non, je suis déjà une grande, moi. J'ai ma chambre.
- Et tu n'as pas peur, toute seule ?
- Non, maman laisse ma porte ouverte et la veilleuse reste allumée.
- Alors, nous aussi, on veut notre chambre.
- Laquelle vous voulez ?
- On peut avoir la tienne ? C'est la plus grande et il y a tous nos jouets dedans.
- Ha, ha, ha ! Bien essayé mais, non Gus, c'est la mienne. Alors il faut en choisir une autre. Et pas celle de Hans, hein !
- Alors, l'autre à côté de celle de Hans.
- Non Gus, pas celle-là. Moi je préfère celle ici, en face de Papa et de Hans.
- Chip, si vous voulez, vous pouvez en prendre une chacun.
- Mais… et moi, je vais dormir où, quand je viendrai dormir ici ?
- Tu prendras une chambre pour toi toute seule Princesse.
Le lendemain, c'était l'enterrement de Victoria qui se fit dans la plus stricte intimité. Il y avait tout le village, sauf Hans et les enfants. Le curé dit une messe et de là on alla au cimetière. On avait posé une plaque toute simple avec son nom, une photo, son année de naissance et celle de sa mort.
Un mois passa. Hans s'était bien intégré et avait été accepté par tous. Et arriva la fameuse journée du vol des cerises du père Mathieu. Mon frère et ma sœur étaient venus et comme les autres années, c'est à grand coup de stress pour les gamins qu'on vola les cerises du père Mathieu. Heureusement que le Papé Cyprien et Gaston faisaient le guet.
Bon, il fallut, bien sûr, doucher tout ce petit monde, parce qu'ils avaient de la cerise de partout.
Comme je ne travaillais pas le week-end, on avait décidé que Hans serait en repos ces jours-là. Je lui prêtais mon fourgon pour qu'il puisse aller en ville. Il découcha par deux fois.
Ça faisait déjà pas mal de temps que je n'avais plus baisé et l'envie me travaillait de plus en plus.
L'occasion se présenta avec en bonus la possibilité de faire plaisir aux jumeaux. Il fallait que je prenne des vacances, pour solder les miennes, avant fin mai, car depuis que Hans était là, j'avais repris à plein temps le boulot.
- Ça vous dit, les garçons, si on part en vacances à la mer ?
- Hans et Adeline, viennent aussi ?
- Il faudra demander à Mary et à Tim. Ça te branche Hans ? Il y aura aussi Antho, Léa et les cousins.
- On y va. On part quand ?
- Pas ce dimanche mais l’autre. Ça fait, ça, en doigts.
- Ça, ça fait neuf !
- Mais, depuis quand tu sais compter, Gus ?
- Hi, hi, c'est Hans qui nous a appris. On parle même en anglais et en hollandais.
- Et pourquoi vous ne m'avez rien dit ?
- Chut ! C'est un secret qu'il faut pas dire. Je sais même écrire mon nom et Cyprien et Adeline aussi. Mais c'est dur d’écrire. J'aime mieux faire des dessins.
On avait réussi à avoir trois mobile-homes, côte à côte, parce que Jules et Sophie seraient là, évidemment. On installa les affaires des garçons et Adeline dans la chambre avec le grand lit et Hans et moi, on prit celle avec les deux lits. Et puis on se mit tous, tout nu. On tartina les gamins d'écran total avant de les laisser rejoindre leurs cousins… au pas de course. Je tartinais le dos de Hans qui fit pareil avec le mien. Ma queue commença à enfler et je crois que la sienne aussi mais on réussit à rejoindre les autres de manière décente.
Il fallut aller à la plage de suite, la marmaille voulait voir la mer. Et On ne passa pas inaperçus parce que les gamins criaient et sautaient dans tous les sens, tellement ils étaient excités.
Et on était toujours à courir parce que l'eau les attirait comme un aimant. Et je ne vous dis pas le nombre de pâtés et de châteaux détruits. Et ce n'était que le premier jour !
Mon frère me demanda si je pouvais garder ses fils et la fille de Jules et de Sophie. Bien sûr on accepta. On installa un autre matelas par terre et les six gamins dormirent à même le sol.
On eut un peu de mal à les coucher mais sous la menace de ne plus recommencer à les faire dormir ensemble ils finirent par s’endormir.
Il commençait à faire jour, quand je décidais d'aller courir. J'enfilais juste un short et des baskets. Et je partis hors du camp. Je m'entraînais encore mais moins qu’avant. Je retrouvais vite mon rythme. Et quand je revins j'allais prendre une douche et au moment où j'y entrais mon
coiffeur favori arriva aussi. Il me reconnut, me fit un grand sourire… et on baisa pendant plus d'une heure.
J'en profitais pour prendre rendez-vous avec lui et son frère.
Quand je rentrais, ça dormait encore bien. J'allais dévaliser la boulangerie et quand la troupe se réveilla, le petit déjeuner était prêt. Et tout le monde se régala des viennoiseries.
À 9 h 30 je me rendis à mes rendez-vous ‘’ beauté’’ et deux heures après, je revenais. Hans, en me voyant, eut un immense sourire qui me fit plaisir, tellement il était naturel.
- Wow Bébé, tu as changé de look. Celui-là te va magnifiquement bien et encore, magnifiquement, c’est un mot faible.
- Merci Hans, ton compliment me va droit au cœur. Si tu veux y aller aussi tu n'as qu'à aller prendre rendez-vous. Tu verras les frangins sont très gentils en plus d’être doués.
- Pourquoi pas.
- Je me demande si je ne vais pas y emmener les jumeaux.
- Ils sont beaux comme ça, avec leurs cheveux longs.
- On dirait des filles. Heureusement qu'ils sont tout nus sinon je suis sûr qu'on les appellerait mesdemoiselles.
- Turbulents comme ils sont, ça m’étonnerait ! Au fait ton frère nous a proposé de les garder ce soir, si on veut sortir. Ça te dit d'aller en boite ? Il y en a une qui a l'air pas mal, pas loin d’ici.
- Non, j'ai pas trop envie de sortir, mais si toi tu en as envie, ne te prive pas. Et n'oublie pas que tu es ici en vacances, alors, si tu veux bouger, tu es libre de le faire.
- J'ai fait quelque chose de mal Jean-François ?
- Non, pas du tout, pourquoi tu dis ça ?
- C'est ta façon de faire ou de dire. On dirait que tu veux te débarrasser de moi ?
- Mais pas du tout ! Je me suis montré maladroit dans ce que je t'ai dit. Alors si je te dis : tu es en vacances, tu aimes sortir, aller en boite, alors, profites en.
- Je n'aime pas sortir seul. Et je suis bien, avec les enfants et toi. Il n'y a que le sport qui me manque un peu.
- Si tu veux, le matin, après que les monstres ont pris leur petit déjeuner, on pourrait aller courir à deux. Mon frangin et Léa les garderont volontiers.
- Cool. Au fait, ça te dit qu'on aille à la piscine et qu'on commence à leur apprendre à nager, aux monstres, ou tu penses que c’est encore trop tôt ?
- Non, pas du tout, ça serait même très bien, comme ça on pourra continuer quand on rentrera.
Et les jumeaux eurent aussi la surprise de leur vie. Ils rencontrèrent des jumelles de leur âge. Ils sympathisèrent et ils jouaient 'en couple' ensemble. Le papa me demanda s'il pouvait prendre des photos qu'il me montra pour éviter tout problème et je lui demandais de me les envoyer. Et comme leur mobile-home était dans la même direction que le nôtre les gamins nous précédaient en se tenant par la main. Pour les filles aussi c'était nouveau de voir 2 garçons identiques.
Ce qui fait que l'après-midi on se retrouva 8 adultes à surveiller 8 monstres déchaînés. Les filles se mirent ensemble et déjà elles parlaient d'histoires de filles. Les garçons eux éclataient les pâtés et les châteaux qu'on n'avait même plus le temps de finir.
Les parents des jumelles étaient tout jeunes. Lui avait 21 ans et elle 19. Il finissait son apprentissage et elle le commençait. Ça a été le coup de foudre entre eux et quand elle lui annonça qu'elle était enceinte, il accepta ce fait, il se mirent en ménage et assumèrent.
Sur le coup de 18 heures, on rentra. On passa par la douche et ce soir-là, on mangea des pizzas.
Finalement Hans sortit. Les garçons et Adeline tiraient la gueule parce que ce soir ils dormaient sans leurs cousins. Hans rentra sur le coup des 4 heures du matin. Il sentait le tabac et la transpiration. Il se mit nu et se coucha sur le côté en me tournant le dos.
La lune éclairait son dos et ses fesses. C'est vrai qu'il était beau. Il était plus carré et plus musclé que Liam. Non, ce n’est pas exactement ça. Il avait les épaules un peu plus larges et la taille un rien plus fine mais les mêmes fesses rebondies et la même grandeur que lui.
Je ne sais pas si c'est de penser à Liam ou si c'est de voir Hans nu, mais l'érection que j'avais ne passait pas et elle m'empêchait de dormir. J'enfilais un boxer et j'allais jusqu'aux sanitaires. Je commençais par pisser et je fus surpris de voir arriver un gars, la trentaine, qui s'installa à côté de moi. Lui aussi bandait. Il matait ma queue et n'était pas discret. Il se branlait en douceur, comme pour maintenir son érection.
- Si tu veux, tu peux la toucher, au lieu de la manger des yeux.
- C'est vrai, je peux ?
- Si je te le dis. J’ai envie de toucher aussi !
- On va dans une douche, ça sera plus discret.
« Bon allez Bébé pense à autre chose. Parce que là tu es en train de tomber amoureux et tu sais ce qu'il se passe chaque fois. Celui ou celle que tu aimes disparaît de ta vie . Et tu es malade à en mourir. Alors tu te contentes de baiser à gauche et à droite et basta. L’amour ne te vaut rien. Il te tue à petit feu ! »
Je fis taire la petite voix dans ma tête, je me tournais et je m’endormis.
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