06-03-2023, 01:03 PM
Elle contacta les pompes funèbres locales et s'arrangea avec eux. Lundi, ils m'attendraient devant la morgue à neuf heures.
Du coup je retournais manger à la pizzeria où j'étais allé la veille et remerciais le serveur de ses bons conseils, j’en profitais pour lui demander l'adresse d'un bon sauna… qu'il se dépêcha de me communiquer. Et après un léger repas, je m'y rendis. En début d'après-midi, je galérais un peu pour me débarrasser d'un tas de petits vieux qui me collaient aux basques pour me mater. C'est sur le coup de 15 h que je me tapais mon premier gars. Il était très mignon mais il ne fallait surtout pas qu'il parle parce que sa voix ultra efféminée me faisait débander. Après lui je me suis tapé un couple. Le mec - la trentaine, sportif - était le passif du duo et son petit minou – vingt -cinq ans, à tout casser - était son maître. Plus on le baisait plus il aimait et quand on le prit en double il éjacula sans se toucher.
Ils m’offrirent un verre, on discuta un petit moment et on remit ça. Cette fois on lui éclata le cul. Et quand ils repartirent, le mec marchait de façon bizarre. Je profitais un peu des installations quand un beau blond se posa à côté de moi et commença à me caresser. Je le laissais faire. Et il me proposa d'aller prendre une douche et d'aller dans une cabine pour qu'il me montre ce qu'il savait faire.
Je le suivis d'abord sous la douche où on se lava l'un l'autre puis dans une cabine où l'on fit l’amour. On recommença même deux fois. Puis il partit. Je le suivis de peu. Je mangeais dans une chaîne de fast-food bien connue et je rentrais à mon hôtel. Et le samedi matin je téléphonais à Monsieur Loyal.
On arriva dans une clairière, au milieu de nulle part. Il y avait déjà quelques voitures et, çà et là, on voyait des puppies satisfaire leurs besoins naturels contre les roues des voitures. On alla serrer la main des dresseurs.
Monsieur Loyal, après l'arrivée de trois autres participants, dit qu'on était tous là. Certains firent donc sortir leurs meutes des voitures, dont mon chauffeur. Six chiots descendirent du fourgon et ils firent leurs besoins. Entrenador rentra à l'arrière et on le vit forcer pour en sortir un gars qui n'avait pas du tout envie de participer. Il sortit une télécommande et on l'entendit dire :
Monsieur Loyal lui dit :
La séance d'entraînement commença et le pauvre récalcitrant morfla grave. J'avais de la peine pour lui. Son maître avait fini par attacher sa chaîne à une branche d'arbre de telle façon que quoiqu'il fasse il s’étranglait, s’il bougeait trop. J'allais le voir et je commençais à lui caresser la tête.
Il me regardait avec des yeux effrayés.
Il me fit signer un document officiel d'adoption où le chien s'appelait simplement Corniaud. Il me donna l'enveloppe qui contenait ses affaires. De là il me conduisit jusqu'à un appentis d'où il sortit un sac à dos. On retourna à la niche. Il fit sortir Corniaud et sortant un jeu de clefs de sa poche, déverrouilla les cadenas qui l'empêchaient de se tenir droit. Puis il lui enleva les protections qu'il avait aux mains et aux pieds. Enfin, il lui sortit la queue/plug du cul.
Je fouillais son sac et j'en sortis un pantalon, un pull, et des chaussures. Je lui balançais le tout.
Il éclata en sanglots. Je le pris dans mes bras pour le consoler. Nos ventres gargouillèrent en même temps.
On trouva un petit resto sympa et on mangea moules frites. Il dévorait.
J'allais prendre la douche le premier et je revins nu. Je me couchais du côté droit, à mon habitude. Il y alla à son tour et revint avec une serviette nouée autour de sa taille. Il la quitta, avant de se mettre au lit.
On se souhaita bonne nuit et il éteignit la lumière. Je n'arrivais pas à m'endormir, tellement Hans tournait dans le lit.
…
Le soleil commençait à poindre et on était toujours collé l'un à l’autre. Je sentais ma queue raide appuyée contre ses fesses et ma main était descendue sur son pubis. Et son érection reposait sur le dessus de ma main. J'enlevais mon bras, je me décollais le plus délicatement possible, Hans murmura quelque chose en hollandais. Je sortis du lit et j'allais à la salle de bain dont je fermais la porte. Je dus m'asseoir pour pisser et comme mon érection ne passait pas, sous la douche, je me repassais les images de Hans nu et très vite plusieurs jets de sperme jaillirent maculant mon torse et le sperme redescendit en cascade sur mes abdos.
Je sortais de la douche quand Hans entra dans la salle de bain. Il était encore moins réveillé que moi le matin. Il marmonna un bonjour et alla s'asseoir sur les toilettes parce que lui aussi avait la queue raide. Et mine de rien, il n'avait rien à m'envier pour la taille. Il faudra que je regarde mais je crois bien qu'il avait une paire de couilles plus grosse que les miennes. Je sortis et je m’habillais. J'entendis l'eau de la douche couler et une dizaine de minutes après il ressortit et s'habilla à son tour.
Je réussis quand même à lui offrir le petit déjeuner. Puis on alla en taxi jusqu'à la morgue. Il m’attendit dehors le temps que les gars des pompes funèbres mettent Victoria en bière. Je vous passe les détails. Hans m'offrit le café au bistrot en face de la gare et on prit le TGV. On ne traîna pas pour changer de gare. Et c'est la faim au ventre qu'on arriva à Nîmes.
J'eus la surprise de voir que c'était Mary qui était venue me récupérer. Je lui fis la bise et je lui présentais Hans.
Du coup je retournais manger à la pizzeria où j'étais allé la veille et remerciais le serveur de ses bons conseils, j’en profitais pour lui demander l'adresse d'un bon sauna… qu'il se dépêcha de me communiquer. Et après un léger repas, je m'y rendis. En début d'après-midi, je galérais un peu pour me débarrasser d'un tas de petits vieux qui me collaient aux basques pour me mater. C'est sur le coup de 15 h que je me tapais mon premier gars. Il était très mignon mais il ne fallait surtout pas qu'il parle parce que sa voix ultra efféminée me faisait débander. Après lui je me suis tapé un couple. Le mec - la trentaine, sportif - était le passif du duo et son petit minou – vingt -cinq ans, à tout casser - était son maître. Plus on le baisait plus il aimait et quand on le prit en double il éjacula sans se toucher.
Ils m’offrirent un verre, on discuta un petit moment et on remit ça. Cette fois on lui éclata le cul. Et quand ils repartirent, le mec marchait de façon bizarre. Je profitais un peu des installations quand un beau blond se posa à côté de moi et commença à me caresser. Je le laissais faire. Et il me proposa d'aller prendre une douche et d'aller dans une cabine pour qu'il me montre ce qu'il savait faire.
Je le suivis d'abord sous la douche où on se lava l'un l'autre puis dans une cabine où l'on fit l’amour. On recommença même deux fois. Puis il partit. Je le suivis de peu. Je mangeais dans une chaîne de fast-food bien connue et je rentrais à mon hôtel. Et le samedi matin je téléphonais à Monsieur Loyal.
- Je savais que vous ne pourriez pas résister à la tentation. Un de mes amis peut passer vous prendre d'ici quelques minutes. Il n'habite pas loin de votre hôtel. Il a un fourgon blanc.
- D'accord je me change et je descends l’attendre.
- C'est Monsieur Loyal qui m'a dit de passer vous prendre. Montez ! Bonjour, je m’appelle Entrenador.
On arriva dans une clairière, au milieu de nulle part. Il y avait déjà quelques voitures et, çà et là, on voyait des puppies satisfaire leurs besoins naturels contre les roues des voitures. On alla serrer la main des dresseurs.
Monsieur Loyal, après l'arrivée de trois autres participants, dit qu'on était tous là. Certains firent donc sortir leurs meutes des voitures, dont mon chauffeur. Six chiots descendirent du fourgon et ils firent leurs besoins. Entrenador rentra à l'arrière et on le vit forcer pour en sortir un gars qui n'avait pas du tout envie de participer. Il sortit une télécommande et on l'entendit dire :
- Tu l'auras voulu, sale bâtard !
Monsieur Loyal lui dit :
- Tu vas avoir du mal à le dresser celui-là, Entrenador.
- Ce n'est pas l’un des miens, heureusement. Il est à l’adoption. Il est plutôt mignon et bien fait alors j'espère que quelqu'un en voudra parce que, s'il continue comme ça, je l'abandonne au bord d'une route, en l'attachant à un arbre où j'irai le faire piquer chez le veto.
- C'est un peu radical comme solution mais quand il faut, il ne faut pas hésiter à le faire, si ça s'avère nécessaire.
La séance d'entraînement commença et le pauvre récalcitrant morfla grave. J'avais de la peine pour lui. Son maître avait fini par attacher sa chaîne à une branche d'arbre de telle façon que quoiqu'il fasse il s’étranglait, s’il bougeait trop. J'allais le voir et je commençais à lui caresser la tête.
Il me regardait avec des yeux effrayés.
- N'aies pas peur, je ne te veux pas de mal. Je vais te détacher et tu vas faire tout ce que je te demande. Si tu fais des bêtises je devrai te frapper mais ça fera plus de bruit que ça ne te fera mal et à la fin de la séance je demanderai à t’adopter. Tu viendras avec moi et je te libérerai dès qu'on sera seuls. Je vais détacher ton bâillon. Si tu es d'accord aboie une fois.
- Wouf !
- C'est bien, le chien. Tu veux aller jouer avec les autres ?
- Wouf !
- On dirait que Corniaud s'est trouvé un maître, avec moi.
- En effet, oui. Ça vous intéresse de l’adopter ?
- Ça dépend, c'est une belle bête mais sexuellement, il vaut quoi ?
- Son dresseur précédent l'avait récupéré en Hollande. J'ai ses papiers en règle à la maison. Il est aussi bon à la saillie que quand il l'est à son tour et si j'en crois les commentaires dans le carnet de l'éleveur, il est doué pour pas mal de chose, cependant, il est caractériel. Mais j'ai vu que vous saviez vous y prendre avec lui. Alors vous l’adoptez ?
- J’hésite. Il monte aussi les femelles ? Parce que je ne voudrais pas d'un chien qui court de partout.
- Si c'est le cas un de nos amis vétérinaire se fera un plaisir de le castrer, ça le calmera .
Il me fit signer un document officiel d'adoption où le chien s'appelait simplement Corniaud. Il me donna l'enveloppe qui contenait ses affaires. De là il me conduisit jusqu'à un appentis d'où il sortit un sac à dos. On retourna à la niche. Il fit sortir Corniaud et sortant un jeu de clefs de sa poche, déverrouilla les cadenas qui l'empêchaient de se tenir droit. Puis il lui enleva les protections qu'il avait aux mains et aux pieds. Enfin, il lui sortit la queue/plug du cul.
Je fouillais son sac et j'en sortis un pantalon, un pull, et des chaussures. Je lui balançais le tout.
- Ne t'y habitues pas trop, ça ne durera pas. Allez dépêche-toi je n'ai pas que ça à faire.
- Pose ton sac là, tu te refous à poil et tu vas te laver. Tu pues !
- Viens t'asseoir à côté de moi. Je m'appelle Jean-François et toi ?
- Je m'appelle Hans et je suis Hollandais.
- Tu as quel âge ?
- 22 ans.
- Bon, comme je te l'ai dit tout à l'heure tu es libre de faire ce que tu veux. Tu peux partir quand tu veux.
- Mais tu es mon maître, maintenant.
- Non, je ne suis rien du tout. Tu es un être humain et pas un chien. Tu n'es pas ma chose. Tu fais quoi dans la vie, comme boulot.
- J'étais étudiant mais j'ai pris une année sabbatique.
- Et tu faisais quoi comme étude.
- C'était une sorte de BTS en alternance d'aide à la personne et je m'étais spécialisé dans la petite enfance et l’éducation des enfants .
- C'est à dire ?
- Trois semaines par mois je travaillais dans une crèche et une semaine, je suivais des cours.
- Ça ne te plaisait pas ?
- Si, bien sûr que si, que ça me plaisait mais mes parents ne voulaient pas que je fasse ce métier. Alors on s'est engueulé et ils m'ont donné un an pour réfléchir et me décider. Mais je sais que c'est ça que je veux faire.
- Et si ce n'est pas indiscret, comment tu en es arrivé là ?
- Je faisais du stop pour descendre dans le sud de la France et un gars m'a pris et je ne sais pas ce qu'il s'est passé, je me suis laissé embobiner et je me suis retrouvé comme tu m'as vu. Je suis resté trois semaines chez ce gars et ça fait deux semaines que j’étais là où on est allé tout à l’heure. Mais ça ne me plaît plus de faire le chien, surtout pour ce mec. Je veux aller dans le sud.
- Si ça t’intéresse, j'habite le sud de la France et j'ai un boulot à te donner, aussi. Si ça t’intéresse.
- C'est quoi comme boulot ?
- J'ai des jumeaux qui ont trois ans et il y a aussi une petite fille du même âge. Tu te sens capable de t'en occuper ?
- Je pense que oui mais je n'ai plus mes papiers, plus rien du tout.
- Attends, le gars m'a donné une enveloppe. Je n'ai même pas regardé ce qu'il y avait dedans.
Il éclata en sanglots. Je le pris dans mes bras pour le consoler. Nos ventres gargouillèrent en même temps.
- On va manger un bout ?
- Oui, j'ai faim, moi aussi.
On trouva un petit resto sympa et on mangea moules frites. Il dévorait.
- Ça me change de ce qu'il me faisait manger. En plus c'était dans une gamelle.
- Mais les autres, ils sont comme toi, on les a obligés à le faire ?
- Non, ils sont tous volontaires. Moi c'est parce que le gars qui m'a ‘’enlevé’’ me kiffait grave et qu'il voulait me transformer en bon puppy. Mais c'est pas mon truc du tout. Je suis pour le partage des rôles pour tout, même au lit.
- Alors c'est que tu n'as jamais mangé ma cuisine parce que dans ce cas-là tu verras que le partage des taches à 50/50, tu vas y renoncer, vite.
- Tu bosses dans quoi ?
- Dans une carrière. Je fais des moellons ou je conduis des machines.
- C'est marrant, je ne te voyais pas du tout dans ça. Tu as tout du jeune cadre dynamique, un trader, un homme d’affaire, un sportif vu ton gabarit.
- Je te déçois ?
- Non pas du tout mais… Oh, puis laisse tomber. Si c'est pas indiscret, tu es venu y faire quoi, à Lille ?
- C'est une longue histoire. Il y a deux ans, la mère des jumeaux est partie du jour au lendemain. On n'a jamais su pourquoi. Les gamins allaient avoir 1 an. Et depuis plus aucune nouvelle d’elle. Et il y a trois jours, la police m'a appelé. Ils avaient retrouvé le corps d'une femme et la seule chose qu'elle avait sur elle était un numéro de téléphone, le mien. Ils m'ont appelé, décrit la femme et je leur ai envoyé une photo d’elle. Je suis venu la reconnaître et la ramener chez nous pour l’enterrer.
- Mince ! Ça va, c'est pas trop dur pour toi ?
- Un peu, si, mais je m'étais fait à l'idée de ne plus jamais la revoir.
- Et… tu l’aimais ?
- Oui, à ma façon. Mais c'était dans une autre vie.
- Elle ne manque pas trop à tes jumeaux ?
- Au début, si, elle leur a manqué un peu. Mais comme je te l'ai dit, il y a aussi une petite fille avec eux, qui est née le même jour qu'eux et dans le même lit en plus. Alors ils appellent Mary, la maman d’Adeline, Maman et mon copain Tim, le papa d’Adeline, Papa Tim. Et Adeline m'appelle aussi Papa.
- Je serai curieux de voir la tête du prof qui leur demandera de faire un arbre généalogique !
- Oui, on est une famille composite, à ramifications et à rallonges.
- Tu pourrais m'en dire plus sur le travail que tu veux me proposer ?
- Ça consisterait à garder les jumeaux et peut-être Adeline, aussi, du lundi au vendredi de 7 à 17 h. Ils sont propres, enfin, des fois il y a quelques petits oublis et de les faire manger à midi.
- D'accord, et ça se ferait où ?
- Chez moi, je pense. Ça serait le plus simple. Pour le moment, c'est ma grand-mère qui s'occupe d'eux, avec mon aide, ou celle de Tim ou de Mary.
- D’accord. Et pour me loger, il y a la possibilité que quelqu'un me loue quelque chose où envisager une collocation ?
- Si tu n'es pas trop exigeant je peux mettre une chambre à ta disposition chez moi. Après, je possède une grande maison, mais c'est de style rustique.
- Ta proposition m’intéresse. Je vais descendre avec toi et voir si ça me convient. Et surtout, voir si je conviens aux gamins. Si c'est le cas, on en rediscutera.
- Ok , ça me va. Tu veux faire quoi, maintenant ?
- Je voudrais trouver un magasin où ils vendent des fringues parce que s’ils ne m'ont pas pris mon argent, ils ne m’ont pas laissé grand-chose ! Je n'ai plus de boxer, ni de chaussettes. Je n'ai plus que ce que je porte et ce qu’il y a dans mon petit sac.
- Achètes y le strict minimum.
- Ah bon, pourquoi ça ?
- J'ai un tas d’affaires à la maison qui devraient être à ta taille et te convenir.
- D’accord, au pire, si elles ne vont pas, j'irai en acheter plus tard.
J'allais prendre la douche le premier et je revins nu. Je me couchais du côté droit, à mon habitude. Il y alla à son tour et revint avec une serviette nouée autour de sa taille. Il la quitta, avant de se mettre au lit.
On se souhaita bonne nuit et il éteignit la lumière. Je n'arrivais pas à m'endormir, tellement Hans tournait dans le lit.
- Quelque chose qui ne va pas, Hans ?
- Non, enfin, si ! Je voudrais te demander quelque chose.
- Demande-moi.
- Je peux me coller à toi. J'ai envie de me sentir protégé.
- Je ne sais pas si c'est une bonne idée, ça.
- Tu ne veux pas, tu crains pour ta vertu ?
- Non, pas du tout. Mais comme tu l'auras remarqué, je suis nu, tu es nu, et si on se colle je ne suis pas sûr que mon sexe va rester tranquille.
- Ha, ha, ce n'est que ça ? J'ai envie de sentir ton bras pardessus moi.
- Ok, allez, approche et tant pis pour toi si tu sens une raideur dans ton dos ou entre tes fesses.
- Pas grave ça, par derrière j'aime aussi.
…
Le soleil commençait à poindre et on était toujours collé l'un à l’autre. Je sentais ma queue raide appuyée contre ses fesses et ma main était descendue sur son pubis. Et son érection reposait sur le dessus de ma main. J'enlevais mon bras, je me décollais le plus délicatement possible, Hans murmura quelque chose en hollandais. Je sortis du lit et j'allais à la salle de bain dont je fermais la porte. Je dus m'asseoir pour pisser et comme mon érection ne passait pas, sous la douche, je me repassais les images de Hans nu et très vite plusieurs jets de sperme jaillirent maculant mon torse et le sperme redescendit en cascade sur mes abdos.
Je sortais de la douche quand Hans entra dans la salle de bain. Il était encore moins réveillé que moi le matin. Il marmonna un bonjour et alla s'asseoir sur les toilettes parce que lui aussi avait la queue raide. Et mine de rien, il n'avait rien à m'envier pour la taille. Il faudra que je regarde mais je crois bien qu'il avait une paire de couilles plus grosse que les miennes. Je sortis et je m’habillais. J'entendis l'eau de la douche couler et une dizaine de minutes après il ressortit et s'habilla à son tour.
- J’ai besoin d'un seau de café.
- Moi aussi, parce que le matin, avant mon café, je ne suis bon à rien.
- Si tu acceptes mon offre de travail, le matin tu pourras en boire autant que tu veux. J'ai un super percolateur.
- Tu es sérieux ?
- Oui, toujours avec le café. On y va. J'ai rendez-vous à 8 h 30 à la morgue et je prends le TGV à 9 h 55. Tu prends le même que moi ?
- Tu crois qu'il va rester des places ?
- On va voir ça de suite.
Je réussis quand même à lui offrir le petit déjeuner. Puis on alla en taxi jusqu'à la morgue. Il m’attendit dehors le temps que les gars des pompes funèbres mettent Victoria en bière. Je vous passe les détails. Hans m'offrit le café au bistrot en face de la gare et on prit le TGV. On ne traîna pas pour changer de gare. Et c'est la faim au ventre qu'on arriva à Nîmes.
J'eus la surprise de voir que c'était Mary qui était venue me récupérer. Je lui fis la bise et je lui présentais Hans.
- Mary, je te présente Hans. On s'est rencontré à Lille et il cherche un job. Il a l'équivalent hollandais d'un BTS petite enfance et je lui ai proposé de garder les jumeaux et Adeline. Il n'a pas encore accepté, il veut d'abord voir si l'endroit lui convient et s’il convient aux enfants.
- Oui, je vois. Justement on en a parlé avec Tim. C'est de plus en plus dur pour moi, parce que les ruches me bouffent pas mal de temps. Et ça ne fait que commencer. On y va ?
- Bé, on a bien discuté avec Hans pendant que tu dormais. Tu savais que sa spécialité était d'apprendre les langues étrangères aux enfants dès leur plus jeune âge ?
- Heu non, on n'en avait pas parlé. Ça sera un plus s'il décide de rester. Le coin te plaît Hans ?
- Oui, je le trouve authentique. Il est magnifique.
- Et encore tu n'as vu que la plaine. Le village du haut est juste une merveille. Par contre il paraît qu'il faut y être né pour y rester ou être fou. Et tu en auras vite fait le tour.
- Ça ce n'est pas grave. J'aime les endroits calmes et isolés.