17-08-2020, 03:44 PM
Voici une deuxième suite
Rapidement, je compris qu'il me fallait impérativement trouver des recettes supplémentaires et je me mis à rôder autour des lieux de danse. Des hommes me firent des propositions que je refusais, malgré les prix avantageux qu'ils me proposaient. Des femmes également semblaient être intéressées mais tous abandonnaient lorsque je leur disais que c'était pour la nuit ou rien ce qui me mettait hors compétition question prix ! Je pensais sérieusement à revoir ma stratégie lorsqu'un vendredi soir, une femme d'une bonne cinquantaine d'années m'aborda en me disant
- Il parait que tu n'exerces qu'à la nuit, combien ?
- Cinq cent
- Oh, ce n'est pas donné, la marchandise vaut-elle ce prix ?
Je baissais rapidement l'arrière de mon pantalon en lui montrant mes fesses que je sa-vais attirantes et lui dis
- A vous de juger !
- [Après quelques secondes de réflexions qui me parurent très longues] d'accord, mais pour deux nuits
- D'accord, mais deux fois cinq cents, plus les repas
- Eh bien tu ne manques pas de souffle. Mais tu me plais avec ton culot et ton pe-tit cul. C'est d'accord. Tu n'as qu'à me suivre
Je n'en revenais pas, tout était allé si vite, j'étais à la fois heureux de ce premier succès mais en même temps apeuré, je n'avais jamais fait l'amour à une femme, pas plus qu'à un homme du reste !
Après cent mètres, une superbe voiture dans laquelle je pris place sur le siège de droite, elle conduisait vite et bien et après une dizaine de minutes, la voiture était dans un garage souterrain d'où un ascenseur nous amena directement dans un grand et vaste appartement d'où l'on bénéficiait d'une vue exceptionnel sur la ville
- Voilà, installe-toi confortablement et faisons connaissance. Je suis Martha, je vis seule depuis de nombreuses années mais j'aime le sexe, que ce soit avec les femmes ou les hommes mais vu mon âge, je ne suis pas très exigeante : avec les hommes, j'aime sucer et faire des fellations, j'aime lécher les jolies raies des jeunes garçons et, pourquoi pas, titiller leur rondelle si elle est attirante et, évidemment propre.
Avec les femmes ce n'est pas ton problème mais j'aime qu'un homme nous regarde et éventuellement, qu'il participe. J'aurais parfois la visite d'hommes de mon âge, généralement homosexuels mais qui apprécient de temps à autre une relation féminine. Il se pourrait qu'il y en ait qui soit désireux d'avoir une relation homo avec un aussi beau jeune homme que toi : on avisera sur le moment, mais, crois-moi, un bel homme mûr, ce n'est pas désagréable.
Pour ce soir, j'ai simplement envie de t'admirer et vérifier que ton corps et ses parties masculines, sont vraiment aussi beaux que tu sembles être. Je n'ai jamais eu de garçons aussi jeunes, tu as bien plus de 18 ans n'est-ce pas ? mais ce soir tu m'as vraiment attirée et j'ai envie de ton corps ou, tout au moins de l'admirer à mon aise.
Pratiquement, je te paye, je te nourris à la maison ou au restaurant ou n'importe où, tu es libre d'aller et venir dans l'appartement mais les seules choses que je te demande, c'est de me respecter, comme je te respecterai, et de te soumettre à toutes mes envies.
Sommes-nous d'accord ? Ah, si cela fonctionne entre nous, tu viendras également le mercredi, même conditions, et en principe tous les weekends. Toujours d'accord ?
Avant que je n'aie eu le temps de dire oui, elle parut enchantée, me prit pas la main et m'attira à côté d'elle et s'attaqua à ma chemise. D'émotion ou de peur, je ne sais, je tremblais comme une feuille
- Dis-moi, tu es puceau pour trembler pareillement ?
J'étais conscient que de ma réponse allait dépendre toute notre relation future et après une très brève réflexion je décidais de lui dire la vérité, de toute façon elle s'en apercevrait très rapidement
- Oui madame, heu, Martha, mais je…
- Ce n'est pas un inconvénient, bien au contraire, bien au contraire
Et je vis que son regard brillait à cette nouvelle perspective d'amusement ou de découverte. Et, contrairement au premier bouton, c'est avec une extrême douceur qu'elle s'attaqua au deuxième, puis aux suivants en disant
- avec un petit puceau, il faut y aller avec tendresse pour qu'il découvre toute la beauté d'une relation sexuelle, la sensualité d'une caresse, qu'il sache provoquer le plaisir chez son partenaire
Un bon moment plus tard, j'avais le torse nu. Un grand moment plus tard encore, j'étais en slip avec une énorme protubérance. Elle regarda, passa lentement et très légèrement, sans appuyer, un doigt sur mon sexe toujours caché par ce petit morceau de tis-su puis, avec un grand sourire
- Pour une première fois, cela suffit, je vais te montrer ta chambre.
Elle se retira, je me douchais et me mis au lit, nu car je n'avais rien à me mettre que les habits que j'avais porté la journée et qui sentaient la transpiration ce qui n'avait rien d'étonnant vu la journée et la soirée que je venais de vivre. Nu, le drap ne me couvrait pas encore lorsque la porte s'ouvrit, Martha apparu dans une chemise de nuit translucide qui ne cachait pas grand-chose et me dit juste,
- demain matin, vers 9 heures tu viens à la cuisine pour le petit déjeuner et comme tu n'as pas d'habits propres, tu viens… dans la même tenue que mainte-nant.
J'avalais ma salive, donc, demain, j'irais nu, totalement nu à la cuisine et, en attendant, je me masturbais et au moment d'éjaculer, je m'imaginais avec mon cousin Paul. Pour-quoi lui ? Il devait être très pudique car je ne l'ai jamais vu à poil alors que nos deux chambres étaient l'une à côté de l'autre et que nous partagions la même salle de bain.
Rapidement, je compris qu'il me fallait impérativement trouver des recettes supplémentaires et je me mis à rôder autour des lieux de danse. Des hommes me firent des propositions que je refusais, malgré les prix avantageux qu'ils me proposaient. Des femmes également semblaient être intéressées mais tous abandonnaient lorsque je leur disais que c'était pour la nuit ou rien ce qui me mettait hors compétition question prix ! Je pensais sérieusement à revoir ma stratégie lorsqu'un vendredi soir, une femme d'une bonne cinquantaine d'années m'aborda en me disant
- Il parait que tu n'exerces qu'à la nuit, combien ?
- Cinq cent
- Oh, ce n'est pas donné, la marchandise vaut-elle ce prix ?
Je baissais rapidement l'arrière de mon pantalon en lui montrant mes fesses que je sa-vais attirantes et lui dis
- A vous de juger !
- [Après quelques secondes de réflexions qui me parurent très longues] d'accord, mais pour deux nuits
- D'accord, mais deux fois cinq cents, plus les repas
- Eh bien tu ne manques pas de souffle. Mais tu me plais avec ton culot et ton pe-tit cul. C'est d'accord. Tu n'as qu'à me suivre
Je n'en revenais pas, tout était allé si vite, j'étais à la fois heureux de ce premier succès mais en même temps apeuré, je n'avais jamais fait l'amour à une femme, pas plus qu'à un homme du reste !
Après cent mètres, une superbe voiture dans laquelle je pris place sur le siège de droite, elle conduisait vite et bien et après une dizaine de minutes, la voiture était dans un garage souterrain d'où un ascenseur nous amena directement dans un grand et vaste appartement d'où l'on bénéficiait d'une vue exceptionnel sur la ville
- Voilà, installe-toi confortablement et faisons connaissance. Je suis Martha, je vis seule depuis de nombreuses années mais j'aime le sexe, que ce soit avec les femmes ou les hommes mais vu mon âge, je ne suis pas très exigeante : avec les hommes, j'aime sucer et faire des fellations, j'aime lécher les jolies raies des jeunes garçons et, pourquoi pas, titiller leur rondelle si elle est attirante et, évidemment propre.
Avec les femmes ce n'est pas ton problème mais j'aime qu'un homme nous regarde et éventuellement, qu'il participe. J'aurais parfois la visite d'hommes de mon âge, généralement homosexuels mais qui apprécient de temps à autre une relation féminine. Il se pourrait qu'il y en ait qui soit désireux d'avoir une relation homo avec un aussi beau jeune homme que toi : on avisera sur le moment, mais, crois-moi, un bel homme mûr, ce n'est pas désagréable.
Pour ce soir, j'ai simplement envie de t'admirer et vérifier que ton corps et ses parties masculines, sont vraiment aussi beaux que tu sembles être. Je n'ai jamais eu de garçons aussi jeunes, tu as bien plus de 18 ans n'est-ce pas ? mais ce soir tu m'as vraiment attirée et j'ai envie de ton corps ou, tout au moins de l'admirer à mon aise.
Pratiquement, je te paye, je te nourris à la maison ou au restaurant ou n'importe où, tu es libre d'aller et venir dans l'appartement mais les seules choses que je te demande, c'est de me respecter, comme je te respecterai, et de te soumettre à toutes mes envies.
Sommes-nous d'accord ? Ah, si cela fonctionne entre nous, tu viendras également le mercredi, même conditions, et en principe tous les weekends. Toujours d'accord ?
Avant que je n'aie eu le temps de dire oui, elle parut enchantée, me prit pas la main et m'attira à côté d'elle et s'attaqua à ma chemise. D'émotion ou de peur, je ne sais, je tremblais comme une feuille
- Dis-moi, tu es puceau pour trembler pareillement ?
J'étais conscient que de ma réponse allait dépendre toute notre relation future et après une très brève réflexion je décidais de lui dire la vérité, de toute façon elle s'en apercevrait très rapidement
- Oui madame, heu, Martha, mais je…
- Ce n'est pas un inconvénient, bien au contraire, bien au contraire
Et je vis que son regard brillait à cette nouvelle perspective d'amusement ou de découverte. Et, contrairement au premier bouton, c'est avec une extrême douceur qu'elle s'attaqua au deuxième, puis aux suivants en disant
- avec un petit puceau, il faut y aller avec tendresse pour qu'il découvre toute la beauté d'une relation sexuelle, la sensualité d'une caresse, qu'il sache provoquer le plaisir chez son partenaire
Un bon moment plus tard, j'avais le torse nu. Un grand moment plus tard encore, j'étais en slip avec une énorme protubérance. Elle regarda, passa lentement et très légèrement, sans appuyer, un doigt sur mon sexe toujours caché par ce petit morceau de tis-su puis, avec un grand sourire
- Pour une première fois, cela suffit, je vais te montrer ta chambre.
Elle se retira, je me douchais et me mis au lit, nu car je n'avais rien à me mettre que les habits que j'avais porté la journée et qui sentaient la transpiration ce qui n'avait rien d'étonnant vu la journée et la soirée que je venais de vivre. Nu, le drap ne me couvrait pas encore lorsque la porte s'ouvrit, Martha apparu dans une chemise de nuit translucide qui ne cachait pas grand-chose et me dit juste,
- demain matin, vers 9 heures tu viens à la cuisine pour le petit déjeuner et comme tu n'as pas d'habits propres, tu viens… dans la même tenue que mainte-nant.
J'avalais ma salive, donc, demain, j'irais nu, totalement nu à la cuisine et, en attendant, je me masturbais et au moment d'éjaculer, je m'imaginais avec mon cousin Paul. Pour-quoi lui ? Il devait être très pudique car je ne l'ai jamais vu à poil alors que nos deux chambres étaient l'une à côté de l'autre et que nous partagions la même salle de bain.