03-03-2023, 10:01 AM
Un soir, Tim et Mary, passèrent à la maison pour me parler.
***
On venait de fêter leurs trois ans. Je n'avais plus eu de nouvelles de Victoria depuis le jour où elle était partie.
Une fin de journée, mon portable sonna. Un numéro caché En général, je ne répondais pas. Mais cette fois ci...
Je trouvais une pizzeria où manger et, pour être franc, j'avais choisi cet hôtel parce qu'autour il y avait des lieux gay.
Niveau baise, depuis deux ans, c'était la dèche complète. J'arrivais à baiser plus ou moins une fois par mois et encore pas tous les mois. Je niquais principalement qu'avec des mecs - à deux exceptions près, lors de mes virées. Et ce soir j'allais faire pareil. Et je vous promets que le mec allait ramasser grave. Je n’avais pas baisé depuis bientôt deux mois et mes branlettes quotidiennes n'arrivaient pas à me satisfaire pleinement,
Déjà, la pizzeria était gay friendly. Pendant que j'attendais le serveur, je jetais un œil sur les flyers des différents lieux gay. Le serveur arriva et me dit, en prenant un flyer et en me le tendant :
Nom de Dieu, sur quoi j'étais tombé ?
Il y avait une partie des gens, comme moi, habillés normalement, et une autre partie… en puppies. La porte s'ouvrit derrière moi et un monsieur, que j’estimais dans la cinquantaine, entra accompagné de quatre garçons magnifiques.
Le premier était grand, paraissant assez musclé, le deuxième était juste un petit peu plus petit mais très fin. Le troisième, mulâtre, avait de longs cheveux frisés et une coupe afro et le ‘’petit’’ dernier, très mignon pourtant, du haut de ses 1 m 60 avait trop l'air gamin pour me plaire.
Ils portaient tous un sac. Ils passèrent près de moi et entrèrent dans une pièce où ils restèrent un grand moment. Quand ils en sortirent, j'eus le souffle coupé. Le cinquantenaire était habillé en Monsieur Loyal, suivait – quasi à poils, malgré leurs déguisement reconnaissables - le grand balèze en doberman, le deuxième en lévrier, le troisième en caniche et le petit minou en bâtard. Eux marchaient à quatre pattes et quand le petit minou passa à côté de moi, il donna un coup de langue sur ma chaussure.
Ils avaient tous un plug en guise de queue, enfin, d'appendice caudal, parce que leurs bites étaient cachées par une coquille de cuir. Monsieur Loyal les tenait en laisse. Et chaque fois qu'ils croisaient un de leur congénère ils se reniflaient les fesses et le sexe. Je me demandais bien comment la soirée allait tourner. La réponse arriva vite. Les organisateurs firent dégager la piste de danse et ils y installèrent des accessoires comme on en voyait dans les concours canins. Des cônes pour le slalom, une planche à bascule, un cerceau …
Les premiers 'chiens' passèrent accompagnés de leurs maîtres. J'étais assis au bar sur un haut tabouret et je ne manquais rien
du spectacle. Monsieur Loyal arriva avec sa meute. Il lâcha trois des laisses pour ne garder que son bâtard. Les autres partirent à la recherche d'un maître et le doberman stoppa devant moi et fit le beau. Je le caressais comme on caresse un chien. Et pour me remercier il me donnait des coups de langue, me reniflait le paquet, jappait pour attirer mon attention … un vrai clebs, quoi. Devant l'intérêt que son chien me portait Monsieur Loyal se dirigea vers moi.
Bobby aboya. Il ramassa sa laisse avec ses dents et me la posa dans la main. Je la pris et il commença à aller dans une direction où d’autres chiens allaient. Je ne voulais pas bouger mais ses gémissements plaintifs me firent craquer. Je le suivis. On arriva ainsi jusqu'aux toilettes. Il commença à renifler de partout, leva la jambe et fit un petit pipi. Puis il recommença à renifler là où un autre chien venait d'uriner et envoya une giclée exactement au même endroit.
Il recommença plusieurs fois avant de se diriger vers la sortie des toilettes. Mais au lieu de retourner vers le bar, il me conduisit vers une partie moins éclairée de la boite.
Dans la pénombre je pouvais voir certains puppies qui léchaient goulûment le sexe mit à nu de leurs maîtres. Un fauteuil me tendait ses bras. Je m'y assis et Bobby vint renifler mon sexe à travers mon jean. Il y donnait des coups de langue aussi. Il gémissait. Je me demandais bien pourquoi, quand...
Ça faisait déjà un bon moment que je le baisais et je le sentis se raidir. Je mis ma main sous sa cage et j'y récoltais son sperme qui en coulait. Je le lui fis laper. Mais ce n'est pas parce qu'il avait joui que j'arrêtais pour autant de le baiser. Je me retirais au tout dernier moment et je retirais vite la capote qui recouvrait mon sexe, j'éjaculais sur ses fesses et son dos.
Monsieur Loyal était derrière moi, attendant que je finisse. Et d'un claquement de doigt de sa part, le petit bâtard arriva et lécha les gouttes de sperme qui coulaient encore de ma queue. Et sur un autre claquement de doigts, les deux autres ‘’chiens’’ vinrent laper tout mon sperme que Bobby avait sur lui. Quand tout cela fut fait, il dit :
Le lendemain matin, c'est un coup de fil du Lieutenant Colombo qui me sortit du lit.
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- Bébé, avec Mary, on voudrait te faire une proposition qui pourrait nous arranger tous les trois. On a pensé qu'on pourrait garder les enfants à tour de rôle. Je ne sais pas encore trop comment on pourrait s’organiser mais, par exemple, un jour toi et un jour nous ou le matin toi et l’après-midi, nous. Tu en penses quoi ?
- Oui, c'est vrai que ça serait bien. Après, ce n'est pas juste non plus, j'ai des jumeaux et vous n'avez qu’Adeline.
- Oui, bon, on va pas pinailler pour ça et puis, nous sommes deux, alors que tu es seul.
- L’idée me plait mais, avant de te répondre, je veux en parler à mes grands-parents, je ne voudrais pas les fâcher, parce que depuis que Victoria nous a abandonnés, les gamins sont tous les jours chez eux et les petits aiment y être. En plus ma grandmère leur fait que des choses qu'ils aiment à manger.
- D’accord, tu nous diras quel est ta décision et on fera en fonction.
- C'est une excellente idée ça, Bé. Mais je pense qu’il y a une solution plus simple, Tim et Mary habitent à deux pas de chez nous, pourquoi Adeline ne viendrait pas avec les garçons ? Si toi, Tim ou Mary, vous nous aidez, ça vous évitera de charrier les gamins à droite et à gauche, chaque jour. Il suffit de rajouter un lit pour la sieste. Tu en penses quoi ?
- C'est vrai que ça serait l'idéal comme ça, mais ça va vous faire beaucoup de travail et bientôt ils vont commencer à courir de partout.
- Tu nous prends vraiment pour des vieux cons impotents !
- Papé, vieux tu commences à l'être, impotents, non. Si j'arrive à ton âge, j'espère avoir ta santé. Et con… C’est pas moi qui l’ai dit !
- Bon, alors tu en parles à Tim et à Mary, tu t'arranges comme tu veux avec eux et demain on s'organise tous ensemble.
***
On venait de fêter leurs trois ans. Je n'avais plus eu de nouvelles de Victoria depuis le jour où elle était partie.
Une fin de journée, mon portable sonna. Un numéro caché En général, je ne répondais pas. Mais cette fois ci...
- Allô !
- Bonjour Monsieur Favre, je suis le lieutenant Colombo de la police nationale de Lille.
- Ha, ha, ha. Marrant, ça. Vous n'avez rien d'autre à faire que d'emmerder les gens qui travaillent.
- Monsieur, je sais que mon nom peut porter à confusion mais il ne s'agit pas du tout d'une blague. Je vous appelle au sujet d'une enquête policière. Hier, nous avons découvert le corps d'une femme et le seul indice qu'on a pour trouver son identité, c’est votre numéro de téléphone qu’elle avait sur elle.
- Je ne connais pourtant personne à Lille.
- D’accord. Si je vous dis une femme blonde, entre 25 et 30 ans, 1 m 75 et une cinquantaine de kilos. Le visage ovale les yeux bleus très clairs et elle devait être assez jolie. Ça vous parle ?
- La mère de mes fils ressemblait à ça, elle a disparu il y a un peu plus de deux ans.
- Vous auriez des photos d’elle ?
- Bien sûr.
- Vous pourriez nous en envoyer une de son visage.
- Oui, sans souci.
- Je vous envoie par SMS un numéro de portable. Pouvez-vous envoyer la ou les photos assez rapidement ?
- Je vous fait ça, dès que je le reçois.
- Bonsoir, lieutenant Colombo à l’appareil. Je suis désolé de vous appeler à cette heure tardive pour vous annoncer une mauvaise nouvelle. Les photos que vous nous avez envoyé correspondent bien à la personne que l'on a découverte. Vous serait-il possible de monter le plus rapidement possible sur Lille pour l’identifier.
- Je dois m'organiser parce que j'ai deux enfants en bas âge dont je m'occupe seul. Je vous rappelle demain matin, pour vous dire cela.
- Je vous remercie. Recevez toutes mes condoléances monsieur, à demain.
- Allô Man, dans l'après-midi j'ai reçu un coup de fil de la police de Lille ….
- Attends Bé, j'appelle ton père. Il est déjà parti se coucher. Alain ! Viens vite. C'est Bé, il a un problème.
- Écoute Bé, le plus simple c'est que tu y ailles le plus tôt possible. Demain et après-demain j'irai m'occuper de la marmaille à ta place. S'il faut, n'hésite pas à téléphoner, si c'est plus long que prévu.
- Merci Man. Je regarde les trains qu'il y a et je te au courant.
- Ta mère est levée aussi. Elle dit qu'elle va aller chez toi de suite et moi je t'emmène à Nîmes. Ça sera plus simple comme ça.
- D’accord, je me prépare en l’attendant. Et je prévois un sac, au cas où.
- Bonjour messieurs, je pense que vous allez pouvoir m’aider.
- Que peut-on faire pour vous.
- Je voudrais savoir comment me rendre à la police nationale pour rencontrer le Lieutenant Colombo.
- On va envoyer un appel radio. De la part de qui ?
- Jean-François Favre. C'est au sujet d'une femme que vous avez découvert il y a quelques jours.
- Il vient vous récupérer personnellement.
- D’accord, je vais l’attendre.
- Oui, c'est bien elle… De quoi elle est morte ?
- Un AVC qui l'a foudroyée sur la voie publique. Elle était morte quand les secours sont arrivés, malgré l’appel rapide des témoins qui l’on vu s’effondrée. Ils ont essayé de la ranimer mais ils n'ont pas réussi. Je vais vous conduire jusqu'à mon bureau pour faire votre déposition.
- Je pourrais récupérer le corps, quand ? Je voudrais qu'elle repose dans notre caveau familial.
- Il faudra demander son accord au juge qui instruit l'affaire mais je pense que ça pourra se faire rapidement, maintenant qu’on peut lui attribuer une identité.
- Cette identité est complètement bidon.
- Vous êtes sûr ?
- Oui tout à fait.
- Attendez, j'ai aussi la photocopie de son passeport avec moi. Je l'ai récupérée quand je suis allé déclarer les jumeaux. J'en avais fait plusieurs.
- Je peux la voir ?
- On ne sait jamais. Eux auront peut-être sa véritable identité. Vous restez quelques jours ?
- Je vais attendre la réponse du juge pour savoir quand je peux disposer du corps. J'ai trouvé un hôtel pas loin de la gare où vous pourrez me joindre. Sinon, j'ai toujours mon portable sur moi.
- Je vous raccompagne jusqu'à votre hôtel.
- Je vous remercie.
Je trouvais une pizzeria où manger et, pour être franc, j'avais choisi cet hôtel parce qu'autour il y avait des lieux gay.
Niveau baise, depuis deux ans, c'était la dèche complète. J'arrivais à baiser plus ou moins une fois par mois et encore pas tous les mois. Je niquais principalement qu'avec des mecs - à deux exceptions près, lors de mes virées. Et ce soir j'allais faire pareil. Et je vous promets que le mec allait ramasser grave. Je n’avais pas baisé depuis bientôt deux mois et mes branlettes quotidiennes n'arrivaient pas à me satisfaire pleinement,
Déjà, la pizzeria était gay friendly. Pendant que j'attendais le serveur, je jetais un œil sur les flyers des différents lieux gay. Le serveur arriva et me dit, en prenant un flyer et en me le tendant :
- Si j'étais toi, j’irais là ce soir. Ils organisent une soirée de ouf. Je te donnerai un passe VIP comme ça tu pourras rentrer sans faire la queue.
- Merci c'est gentil.
- Pas la peine de m'attendre mon mec ne veut pas y aller.
- Dommage tu es beau gosse. Tant pis pour moi. Je ne suis pas sûr de trouver plus mignon que toi.
Nom de Dieu, sur quoi j'étais tombé ?
Il y avait une partie des gens, comme moi, habillés normalement, et une autre partie… en puppies. La porte s'ouvrit derrière moi et un monsieur, que j’estimais dans la cinquantaine, entra accompagné de quatre garçons magnifiques.
Le premier était grand, paraissant assez musclé, le deuxième était juste un petit peu plus petit mais très fin. Le troisième, mulâtre, avait de longs cheveux frisés et une coupe afro et le ‘’petit’’ dernier, très mignon pourtant, du haut de ses 1 m 60 avait trop l'air gamin pour me plaire.
Ils portaient tous un sac. Ils passèrent près de moi et entrèrent dans une pièce où ils restèrent un grand moment. Quand ils en sortirent, j'eus le souffle coupé. Le cinquantenaire était habillé en Monsieur Loyal, suivait – quasi à poils, malgré leurs déguisement reconnaissables - le grand balèze en doberman, le deuxième en lévrier, le troisième en caniche et le petit minou en bâtard. Eux marchaient à quatre pattes et quand le petit minou passa à côté de moi, il donna un coup de langue sur ma chaussure.
Ils avaient tous un plug en guise de queue, enfin, d'appendice caudal, parce que leurs bites étaient cachées par une coquille de cuir. Monsieur Loyal les tenait en laisse. Et chaque fois qu'ils croisaient un de leur congénère ils se reniflaient les fesses et le sexe. Je me demandais bien comment la soirée allait tourner. La réponse arriva vite. Les organisateurs firent dégager la piste de danse et ils y installèrent des accessoires comme on en voyait dans les concours canins. Des cônes pour le slalom, une planche à bascule, un cerceau …
Les premiers 'chiens' passèrent accompagnés de leurs maîtres. J'étais assis au bar sur un haut tabouret et je ne manquais rien
du spectacle. Monsieur Loyal arriva avec sa meute. Il lâcha trois des laisses pour ne garder que son bâtard. Les autres partirent à la recherche d'un maître et le doberman stoppa devant moi et fit le beau. Je le caressais comme on caresse un chien. Et pour me remercier il me donnait des coups de langue, me reniflait le paquet, jappait pour attirer mon attention … un vrai clebs, quoi. Devant l'intérêt que son chien me portait Monsieur Loyal se dirigea vers moi.
- Je vois que Bobby s'est trouvé un maître pour la soirée. Il a bon goût. Mais Bobby n'a pas été sage alors il est puni. Aux pieds Bobby ! Oui brave chien, tu es en chaleur pas vrai, ton maître va se charger de te calmer.
- Je te laisse trouver tout seul comment ça fonctionne. Bobby en est très friand.
Bobby aboya. Il ramassa sa laisse avec ses dents et me la posa dans la main. Je la pris et il commença à aller dans une direction où d’autres chiens allaient. Je ne voulais pas bouger mais ses gémissements plaintifs me firent craquer. Je le suivis. On arriva ainsi jusqu'aux toilettes. Il commença à renifler de partout, leva la jambe et fit un petit pipi. Puis il recommença à renifler là où un autre chien venait d'uriner et envoya une giclée exactement au même endroit.
Il recommença plusieurs fois avant de se diriger vers la sortie des toilettes. Mais au lieu de retourner vers le bar, il me conduisit vers une partie moins éclairée de la boite.
Dans la pénombre je pouvais voir certains puppies qui léchaient goulûment le sexe mit à nu de leurs maîtres. Un fauteuil me tendait ses bras. Je m'y assis et Bobby vint renifler mon sexe à travers mon jean. Il y donnait des coups de langue aussi. Il gémissait. Je me demandais bien pourquoi, quand...
- Tu veux le sexe de ton maître ? C'est ça Bobby ?
- Wouf.
- Wouf, wouf.
- Tu veux mes couilles aussi c'est ça ?
- Wouf.
- Voilà, tu es content maintenant ?
- Wouf.
- Tu veux la queue de ton maître dans le cul Bobby ?
- Wouf.
- Monte sur le fauteuil à ma place. Je vais enlever ta queue et te mettre la mienne à la place.
- RRRRRRRRRR !
- Tu ne veux pas que je t'enlève ta queue ? … Oh ! Tu veux ta queue avec la mienne, dans tes fesses ?
- Wouf.
- Il fallait me le dire.
Ça faisait déjà un bon moment que je le baisais et je le sentis se raidir. Je mis ma main sous sa cage et j'y récoltais son sperme qui en coulait. Je le lui fis laper. Mais ce n'est pas parce qu'il avait joui que j'arrêtais pour autant de le baiser. Je me retirais au tout dernier moment et je retirais vite la capote qui recouvrait mon sexe, j'éjaculais sur ses fesses et son dos.
Monsieur Loyal était derrière moi, attendant que je finisse. Et d'un claquement de doigt de sa part, le petit bâtard arriva et lécha les gouttes de sperme qui coulaient encore de ma queue. Et sur un autre claquement de doigts, les deux autres ‘’chiens’’ vinrent laper tout mon sperme que Bobby avait sur lui. Quand tout cela fut fait, il dit :
- Bobby, aux pieds.
- Je vous remercie. Bobby est un bon chien obéissant. Vous l'avez bien dressé.
- Si ça vous intéresse, tous les samedis matin nous organisons avec d'autres maîtres des séances de dressage en pleine nature. On discute de nos différents points de vue sur le dressage. Et en ce moment il y a quelques chiots à adopter et à dresser. Un éleveur y est allé un peu fort avec sa meute qui s'en est prise à lui. Et ça nous laisse plusieurs chiens abandonnés sur les bras.
- Votre proposition est alléchante mais je ne suis pas du tout d’ici. Et si j'adopte un de vos animaux, je ne pourrais pas m'en occuper correctement. Je vis à l'autre bout de la France.
- Oui, j'avais remarqué votre accent méridional. Mais ce n'est pas un problème, votre chien vous suivra. Je vous laisse ma carte, si vous êtes encore ici samedi matin, passez-moi un coup de fil vers 8 heures. je vous expliquerai alors où nous retrouver.
Le lendemain matin, c'est un coup de fil du Lieutenant Colombo qui me sortit du lit.
- Bonjour Monsieur. J'ai reçu la réponse de Scotland yard ce matin. Le passeport de votre amie est vrai mais il n'est enregistré nulle part. Ils n'ont pas pu m'en dire plus et les recherches qu'ils ont fait sur la photographie n'ont rien données car elle est de mauvaise qualité et le tampon cache une partie du visage de la dame. Je viens aussi d'avoir le procureur de la république au téléphone et vous pourrez disposer du corps de votre amie, lundi matin.
- Je vous remercie. Comment je dois faire pour le récupérer ?
- Je vais faire parvenir au plus tôt tous les documents qu'il faut à la morgue et vous n'aurez qu'à les signer là-bas.
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