Pour continuer la réflextion des commentaires précédents, mes récits sont des voyages à l’intérieur de mon cerveau, d’un centre d’intérêt à un autre, d’un fantasme à un autre. Ceux-ci étant en nombre limité, je finis par tourner en rond, reprenant toujours les mêmes idées. Les endroits où se déroule l’action (Amérique, internat, planète lointaine, lieux imaginaires) apportent un peu d’exotisme, mais n’ont finalement que peu d’importance quant au déroulement de l’action.
La question suivante est donc : pourrais-je parler d’autre chose que de mes fantasmes ? Je crains que la réponse soit négative, il me serait difficile d’écrire quelques milliers de mots sans aucun déshabillage, sans bite dressée, sans masturbation, sans rapport sexuel. Et, sans cela, serait-ce encore un récit érotique ?
Je pourrais évidemment raconter une romance, une rencontre et l’amour naissant entre deux personnes. Ce ne serait pas non plus très original, presque toutes mes nouvelles courtes sont basées sur ce scénario.
Ce qui m’est impossible, à part de rares exceptions, est d’écrire des tragédies, de faire souffrir mes personnages, même si je ressens bien la force de tels textes, il me suffit de relire celles de Shakespeare.
La seule question qui reste est celle de l’intrigue : que pourrais-je trouver pour qu’un récit ne soit pas qu’une suite de visites touristiques ? Je n’ai pas de réponse pour le moment et mes tentatives passées d’écrire de tels romans sont restées inabouties.
À moins que ma muse ne passe ce soir, je vais continuer ce récit et le chapitre suivant ne sera pas très différent des précédents.
La question suivante est donc : pourrais-je parler d’autre chose que de mes fantasmes ? Je crains que la réponse soit négative, il me serait difficile d’écrire quelques milliers de mots sans aucun déshabillage, sans bite dressée, sans masturbation, sans rapport sexuel. Et, sans cela, serait-ce encore un récit érotique ?
Je pourrais évidemment raconter une romance, une rencontre et l’amour naissant entre deux personnes. Ce ne serait pas non plus très original, presque toutes mes nouvelles courtes sont basées sur ce scénario.
Ce qui m’est impossible, à part de rares exceptions, est d’écrire des tragédies, de faire souffrir mes personnages, même si je ressens bien la force de tels textes, il me suffit de relire celles de Shakespeare.
La seule question qui reste est celle de l’intrigue : que pourrais-je trouver pour qu’un récit ne soit pas qu’une suite de visites touristiques ? Je n’ai pas de réponse pour le moment et mes tentatives passées d’écrire de tels romans sont restées inabouties.
À moins que ma muse ne passe ce soir, je vais continuer ce récit et le chapitre suivant ne sera pas très différent des précédents.
Pour des récits plus anciens indisponibles sur Slygame, voir le lien ci-dessous :
Récits de Lange128 indisponibles sur Slygame
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