10-02-2023, 08:42 PM
Je lui attrapais les hanches et je donnais des grands coups de rein forts et secs. Il ne pouvait pas amortir les coups parce que, le tenant fermement, c’est moi qui dirigeais la manœuvre, vitesse et amplitude, ne pouvant qu’encaisser.
Et le pire, c'est que sa bite qui bandouillait jusqu'à présent était maintenant collée à son ventre.
Ça m'excitait trop, j'étais serré. Son cul pulsait et plaquait encore plus ma bite contre le plug d'un côté et son intestin de l’autre. Je n'allais pas durer. Il se branlait et il marmonna entre deux délires qu'il allait jouir.
Il se tétanisa et je sentais les soubresauts chaque fois que son sexe éjectait une giclée de sperme.
Il avait joui en égoïste, tant pis pour lui. Je continuais à le baiser mais moins hard et en faisant plus coulisser sur mon sexe. Juste avant de jouir je me retirais, j'enlevais la capote et je me branlais. J'envoyais plusieurs giclées bien dosées sur son cul, ses fesses et son dos.
Putain que ça faisait du bien une bonne baise.
Quand je revins le mec du sauna discutait avec un quinquagénaire. J'allais me baigner et je revins.
— Tu surveilles nos affaires, on va faire un tour.
— Pas de souci, je ne bouge pas de là.
Ils partirent vers les bois. Je dus m'endormir un moment, parce que mon dos me chauffait un peu. Le soleil était voilé à présent et au loin des nuages pas très sympathiques se pointaient. Le gars du sauna et le quinqua revinrent, ramassèrent leurs affaires et partirent en me remerciant.
Je fis comme eux et au lieu de me diriger vers le parking, je fis un détour par les bois, au cas où …
Et je crois que j'avais bien fait. Un mec, tout aussi mignon que le premier, passait par là. On se tourna autour quelques minutes et comme je n'étais pas loin de l'endroit où j'avais baisé l'autre gars, je m'enfonçais dans le fourré. Il me suivit.
On se roula des pelles un petit moment en se tripotant puis il me demanda si j'étais actif ou passif.
Après avoir entendu ma réponse il tomba à genoux et me suça. Je lui baisais la bouche un petit moment puis il m'enfila un capote, sortit sa serviette, l'étala sur le sol et se coucha sur le dos. Il releva ses jambes et je posais ma queue sur sa rondelle, je poussais un peu et mon rondin s'enfonça d'un seul coup. Il gémit. Je me mis à le baiser tranquillement pour qu'il s'habitue à ma queue… et j'y allais de bon cœur.
On changea de position quatre ou cinq fois et, là, il était appuyé contre un arbre, je le tenais par les hanche pour pouvoir le baiser à grands coups de reins. Mon pubis claquait contre ses fesses. J'allais bientôt jouir.
— Je ne vais pas tarder.
— Tu peux tenir encore un peu ? Ça vient pour moi aussi.
— Oui mais pas une éternité.
— Vas y… baise moi comme ça… va plus profond, oui, c'est bon… ça vient !!!
Le sable et le tronc d'arbre reçurent les giclées de sperme qu'il envoya. Il se dégagea et se mit à genoux devant moi en ouvrant la bouche. J'approchais mon gland de sa bouche et il avala tout ce qui en sortait. Il me nettoya même le gland en pressant sur ma queue.
Je ramassais la capote et l’emballage. Le ciel commençait à faire des gouttes.
— Merde, je vais me mouiller pour rentrer.
— Si tu veux je te dépose, je n'ai rien de mieux à faire.
— Cool sympa.
On fit les derniers mètres en courant. On grimpa dans le fourgon où on dut se tortiller, d'abord pour s'essuyer et ensuite pour s’habiller. Car oui, on avait rejoint et traversé le parking à poil.
C'était un gros orage qui nous tombait sur la gueule.
— C'est marrant, j'aurai jamais cru que tu avais ça comme voiture.
— Ha bon et selon toi je devrais avoir quoi comme voiture ?
— Plutôt une décapotable ou un gros 4X4.
— Si j'avais les moyens, pourquoi pas ! Mais bon, mon fourgon me sert de camping-car de temps en temps aussi. Derrière j'ai un matelas, de quoi boire le café, de quoi manger un peu aussi, enfin de quoi tenir un jour ou deux. Pour me laver je vais dans un camping, en passant par la plage.
On passait l’entrée.
— Tu peux prendre, Franck, mon pote ? C'est lui qui fait du stop, là, au bord de la route.
— Oui pas de souci.
Je stoppais quelques mètres après lui. Le mec dans le fourgon se serra contre moi et son pote grimpa.
— Salut ! Ho, Steph, t’es là ! Merci de vous être arrêté, je suis trempé.
- Attend, mets ma serviette comme ça tu ne mouilleras pas le siège.
- Vous me guidez pour votre camping ?
— C'est tout droit et au deuxième rond-point tu tournes à gauche. Le code de l'entrée c'est la date du jour.
— Tu as le temps de boire un verre avec nous ?
— Oui pas de problème, je n'ai rien d’urgent à faire.
Je me garais devant leur mobile-home. Steph et Frank me firent entrer. Ils se mirent directement à poil.
— On t'as pas dit mais c'est naturiste ici aussi.
— Si c'est que ça.
Je quittais mon short sous lequel je n'avais rien et mon tee-shirt.
— Wow, ton dos te cuit pas trop ?
— Un peu mais pas vraiment.
— Si tu veux, tu prends une douche et on te passera de la crème après solaire.
— Pourquoi pas. Je vais chercher mes affaires de toilette et je reviens.
— Pas la peine, on a tout ce qu'il faut sur place.
— D’accord, vous me montrez où est la salle de bain.
— C'est la porte au fond. Les serviettes sous le lavabo sont propres.
J'y allais et je me lavais bien de partout parce que je ne pense pas que ça s'arrêtera au passage de crème. Ça frappa à la porte.
— On peut rentrer ?
— Faites comme si vous étiez chez vous. J'ai bientôt fini.
Ils entrèrent. Je finissais de me rincer.
— La vue vous plaît ?
— Faudrait être difficile pour ne pas aimer. Tu fais quoi pour être gaulé comme ça ?
— Je cours beaucoup, un peu d’exercices et mon boulot m'aide pour le haut. Je porte beaucoup de poids.
— Tu fais quoi comme boulot ?
— Je bosse dans une carrière et je passe ma journée à empiler des moellons sur des palettes.
— Et vous vous faites quoi ?
— On est étudiant en médecine. On vient de finir notre deuxième année. On attend les résultats avant d'aller bosser. On s'est trouvé un job dans une clinique privée.
— Vous y allez comme infirmiers ?
— Non, on n'a pas le niveau encore mais on va dans les bureaux.
— Vous êtes pistonnés ?
— Oui. Franck, on se douche ensemble ?
— Bien sûr.
— Dommage que vous n'ayez pas votre mobile-home au camp naturiste du Cap d’Agde.
— Ah bon, et pourquoi ça ?
— Il y a des douches collectives dans les blocs sanitaires.
— Tu as l'air de bien connaître.
— J'y suis allé plusieurs fois, oui.
— Bon on se douche nous ?
— Tu peux nous aider si tu veux.
— Si je rentre avec vous on va éclater la cabine.
Ils me présentèrent leurs dos à laver. Et je lavais aussi entre leurs fesses. Ils sortirent et se séchèrent. Puis ils me firent allonger sur le clic-clac qu'ils avaient ouvert et, flacon d’après solaire en mains, ils commencèrent à m'en passer dans le dos. Un avait commencé par mes pieds et l'autre par mes épaules. Ils se rejoignirent au niveau de mes fesses et ils ne se privèrent pas de me les masser. J'eus même droit à un doigt fureteur. Ils me firent allonger sur le dos et là aussi ils se rejoignirent au niveau central… sur ma queue, qui jouait le mât de cocagne.
Et le pire, c'est que sa bite qui bandouillait jusqu'à présent était maintenant collée à son ventre.
Ça m'excitait trop, j'étais serré. Son cul pulsait et plaquait encore plus ma bite contre le plug d'un côté et son intestin de l’autre. Je n'allais pas durer. Il se branlait et il marmonna entre deux délires qu'il allait jouir.
Il se tétanisa et je sentais les soubresauts chaque fois que son sexe éjectait une giclée de sperme.
Il avait joui en égoïste, tant pis pour lui. Je continuais à le baiser mais moins hard et en faisant plus coulisser sur mon sexe. Juste avant de jouir je me retirais, j'enlevais la capote et je me branlais. J'envoyais plusieurs giclées bien dosées sur son cul, ses fesses et son dos.
Putain que ça faisait du bien une bonne baise.
Quand je revins le mec du sauna discutait avec un quinquagénaire. J'allais me baigner et je revins.
— Tu surveilles nos affaires, on va faire un tour.
— Pas de souci, je ne bouge pas de là.
Ils partirent vers les bois. Je dus m'endormir un moment, parce que mon dos me chauffait un peu. Le soleil était voilé à présent et au loin des nuages pas très sympathiques se pointaient. Le gars du sauna et le quinqua revinrent, ramassèrent leurs affaires et partirent en me remerciant.
Je fis comme eux et au lieu de me diriger vers le parking, je fis un détour par les bois, au cas où …
Et je crois que j'avais bien fait. Un mec, tout aussi mignon que le premier, passait par là. On se tourna autour quelques minutes et comme je n'étais pas loin de l'endroit où j'avais baisé l'autre gars, je m'enfonçais dans le fourré. Il me suivit.
On se roula des pelles un petit moment en se tripotant puis il me demanda si j'étais actif ou passif.
Après avoir entendu ma réponse il tomba à genoux et me suça. Je lui baisais la bouche un petit moment puis il m'enfila un capote, sortit sa serviette, l'étala sur le sol et se coucha sur le dos. Il releva ses jambes et je posais ma queue sur sa rondelle, je poussais un peu et mon rondin s'enfonça d'un seul coup. Il gémit. Je me mis à le baiser tranquillement pour qu'il s'habitue à ma queue… et j'y allais de bon cœur.
On changea de position quatre ou cinq fois et, là, il était appuyé contre un arbre, je le tenais par les hanche pour pouvoir le baiser à grands coups de reins. Mon pubis claquait contre ses fesses. J'allais bientôt jouir.
— Je ne vais pas tarder.
— Tu peux tenir encore un peu ? Ça vient pour moi aussi.
— Oui mais pas une éternité.
— Vas y… baise moi comme ça… va plus profond, oui, c'est bon… ça vient !!!
Le sable et le tronc d'arbre reçurent les giclées de sperme qu'il envoya. Il se dégagea et se mit à genoux devant moi en ouvrant la bouche. J'approchais mon gland de sa bouche et il avala tout ce qui en sortait. Il me nettoya même le gland en pressant sur ma queue.
Je ramassais la capote et l’emballage. Le ciel commençait à faire des gouttes.
— Merde, je vais me mouiller pour rentrer.
— Si tu veux je te dépose, je n'ai rien de mieux à faire.
— Cool sympa.
On fit les derniers mètres en courant. On grimpa dans le fourgon où on dut se tortiller, d'abord pour s'essuyer et ensuite pour s’habiller. Car oui, on avait rejoint et traversé le parking à poil.
C'était un gros orage qui nous tombait sur la gueule.
— C'est marrant, j'aurai jamais cru que tu avais ça comme voiture.
— Ha bon et selon toi je devrais avoir quoi comme voiture ?
— Plutôt une décapotable ou un gros 4X4.
— Si j'avais les moyens, pourquoi pas ! Mais bon, mon fourgon me sert de camping-car de temps en temps aussi. Derrière j'ai un matelas, de quoi boire le café, de quoi manger un peu aussi, enfin de quoi tenir un jour ou deux. Pour me laver je vais dans un camping, en passant par la plage.
On passait l’entrée.
— Tu peux prendre, Franck, mon pote ? C'est lui qui fait du stop, là, au bord de la route.
— Oui pas de souci.
Je stoppais quelques mètres après lui. Le mec dans le fourgon se serra contre moi et son pote grimpa.
— Salut ! Ho, Steph, t’es là ! Merci de vous être arrêté, je suis trempé.
- Attend, mets ma serviette comme ça tu ne mouilleras pas le siège.
- Vous me guidez pour votre camping ?
— C'est tout droit et au deuxième rond-point tu tournes à gauche. Le code de l'entrée c'est la date du jour.
— Tu as le temps de boire un verre avec nous ?
— Oui pas de problème, je n'ai rien d’urgent à faire.
Je me garais devant leur mobile-home. Steph et Frank me firent entrer. Ils se mirent directement à poil.
— On t'as pas dit mais c'est naturiste ici aussi.
— Si c'est que ça.
Je quittais mon short sous lequel je n'avais rien et mon tee-shirt.
— Wow, ton dos te cuit pas trop ?
— Un peu mais pas vraiment.
— Si tu veux, tu prends une douche et on te passera de la crème après solaire.
— Pourquoi pas. Je vais chercher mes affaires de toilette et je reviens.
— Pas la peine, on a tout ce qu'il faut sur place.
— D’accord, vous me montrez où est la salle de bain.
— C'est la porte au fond. Les serviettes sous le lavabo sont propres.
J'y allais et je me lavais bien de partout parce que je ne pense pas que ça s'arrêtera au passage de crème. Ça frappa à la porte.
— On peut rentrer ?
— Faites comme si vous étiez chez vous. J'ai bientôt fini.
Ils entrèrent. Je finissais de me rincer.
— La vue vous plaît ?
— Faudrait être difficile pour ne pas aimer. Tu fais quoi pour être gaulé comme ça ?
— Je cours beaucoup, un peu d’exercices et mon boulot m'aide pour le haut. Je porte beaucoup de poids.
— Tu fais quoi comme boulot ?
— Je bosse dans une carrière et je passe ma journée à empiler des moellons sur des palettes.
— Et vous vous faites quoi ?
— On est étudiant en médecine. On vient de finir notre deuxième année. On attend les résultats avant d'aller bosser. On s'est trouvé un job dans une clinique privée.
— Vous y allez comme infirmiers ?
— Non, on n'a pas le niveau encore mais on va dans les bureaux.
— Vous êtes pistonnés ?
— Oui. Franck, on se douche ensemble ?
— Bien sûr.
— Dommage que vous n'ayez pas votre mobile-home au camp naturiste du Cap d’Agde.
— Ah bon, et pourquoi ça ?
— Il y a des douches collectives dans les blocs sanitaires.
— Tu as l'air de bien connaître.
— J'y suis allé plusieurs fois, oui.
— Bon on se douche nous ?
— Tu peux nous aider si tu veux.
— Si je rentre avec vous on va éclater la cabine.
Ils me présentèrent leurs dos à laver. Et je lavais aussi entre leurs fesses. Ils sortirent et se séchèrent. Puis ils me firent allonger sur le clic-clac qu'ils avaient ouvert et, flacon d’après solaire en mains, ils commencèrent à m'en passer dans le dos. Un avait commencé par mes pieds et l'autre par mes épaules. Ils se rejoignirent au niveau de mes fesses et ils ne se privèrent pas de me les masser. J'eus même droit à un doigt fureteur. Ils me firent allonger sur le dos et là aussi ils se rejoignirent au niveau central… sur ma queue, qui jouait le mât de cocagne.