08-02-2023, 12:04 PM
— C'est souvent que tu te fous à poil devant les mecs toi ?
— Tu sais, je fais du naturisme alors ça me dérange pas. Et puis on est entre mecs. Tu as déjà dû voir le cul de tes potes dans les vestiaires.
— Oui c'est vrai. Excuse-moi je suis con.
— Tu veux un café ?
— Tu es sérieux ? Tu as du café ?
— Oui, enfin, faut faire chauffer l’eau.
Je mis le fourgon en route, je branchais la bouilloire sur l'allume cigare et quand l'eau fut chaude je sortis deux gobelets, j'y mis un peu de café dedans et j'y versais l'eau chaude. J'en donnais un à Romuald.
— Désolé, je n'ai ni les croissants, ni le sucre. Mais si tu veux j'ai des biscuits.
— Ah oui je veux bien, j'ai la dalle.
— Prends ce que tu veux, ils sont dans la glacière verte.
— T'es sûr que t'en veux pas ?
— Non je mange pas le matin.
Il torcha le paquet, on but un autre café, je donnais quelques fringues- trop grandes pour lui - à Romuald et on partit voir les alentours.
D'en bas ce n'était même pas la peine d'y songer. La rivière était encore en crue et seul le parapet du pont dépassait. On remonta la route sur un ou deux kilomètres, avant d'arriver à la fameuse coulée de boue qui avait emporté la voiture de Romuald. Elle était plus bas dans le champ enfoncée jusqu'au milieu des roues.
Et d’où on était on ne voyait pas où elle commençait. Je sortis mon téléphone et j'appelais mes parents. Quand j'eus rassuré ma mère sur mon sort elle me dit que c'était la catastrophe de partout dans la région. Mon père et mon oncle étaient parti à la carrière récupérer les engins pour aller aider à dégager les routes pleines de boue.
Je passais mon téléphone à Romuald qui appela chez lui. Un hélicoptère nous survola puis partit.
— Ma mère m'a dit que les secours arrivent.
— bon et comment elle sait ça ?
— Elle a dit à mon frère où on était et il vient nous dégager.
— Il risque d'en avoir pour un moment.
— Il a pris la chargeuse des maçons. Ils l'ont laissé vendredi en partant à la maison.
On retourna au fourgon. On n'avait plus qu'à attendre. On avait mis ses fringues à sécher. On s'était assis sur les bancs qu'il y avait sur l'aire de pique-nique. On avait refait du café et cette fois j'avais mangé des biscuits. On fit connaissance. Il avait tout juste 18 ans, il passait le bac.
Au loin on entendait le ronflement d'un moteur. Ça devait être le frangin de Romuald qui arrivait.
Le bruit du moteur se faisait de plus en plus proche et on vit bientôt apparaître la chargeuse au haut de la pente. Moins d'une demie heure plus tard Romuald serrait son frère entre ses bras. Il avait la trentaine et s'appelait Denis. Il me serra la main et me remercia de ce que j'avais fait pour son frangin.
Il remonta dans la chargeuse et on le suivit en fourgon. Il avait fait ça bien. Et quand on se gara devant chez eux leur mère sortit en courant et se jeta dans les bras de Romuald en pleurant. Puis elle vint me faire la bise et me remercia.
Je restais manger avec eux et je repartis avec plusieurs cartons de vin parce qu'ils étaient viticulteurs et qu'ils voulaient me remercier. Il me fallut quatre heures pour rentrer au lieu des deux habituelles. Et quand j'arrivais dans la zone commerciale de la plaine on voyait que les champs regorgeaient d’eau. Sur la petite place du village il y avait deux camions plein de ruches. Mary s'était décidée finalement.
Mon père était rentré. Je leur racontais mes péripéties et il m'aida à charrier les cartons de vin dans le cellier. Je fis une machine pour laver mes affaires de la semaine et j'avertis mes parents que le mercredi je ne serai pas là puisque je devais aller passer les épreuves physiques à Marseille.
Le lundi et le mardi passèrent vite. Le mercredi je trouvais facilement la caserne où je devais me présenter à sept heures trente précise. On était cinquante en tout. le gars nous conduisit dans un gymnase et nous demanda de nous mettre en tenue de sport.
La première épreuve consistait à courir d'un côté à l'autre d'un gymnase, le tout rythmé par une sonnerie qui donnait le tempo. Au début ça allait bien mais très vite l'allure accéléra et les rangs s’éclaircirent. Je fus dans les derniers à arrêter. Il n'y en avait plus que deux devant moi et ils perdirent le coup suivant, fin de l’épreuve.
Un des deux gars se tordit la cheville. On l'aida à regagner les vestiaires. Le gars se lamentait parce qu'il allait être obligé de déclarer forfait pour la suite.
— si tu veux je jette un coup d’œil à ta cheville. Si ça se trouve c'est juste des tendons qui ont sauté .je te les remets en place, je te mets une bande et tu pourras continuer les épreuves. Le plus dur ça sera d'aller d'un côté à l’autre.
— Ok, vas y regarde si tu peux faire quelque chose.
je lui remis les tendons en place tandis que les autres se changeaient. Deux instructeurs me regardaient faire. On sortit les derniers et de là on alla à la piscine. Il fallait faire 100 m en un temps déterminé. On se mit en maillot de bain. Et j'en profitais pour zieuter, bien sûr. Il n'y avait que de beaux spécimens masculins.
On ressemblait tous à des extraterrestres avec nos bonnets et nos lunettes. J'étais encore dans les meilleurs temps. On nous changea encore de place et là on dut faire le plus d'abdos possible.
Il y avait plusieurs 'escaliers' de différentes hauteurs. On nous fit ranger par taille et bien sûr j'étais le plus grand. L'examinateur me prit comme volontaire et montra aux autres comment faire pour s’installer. Le gars juste après moi vint pour me tenir les jambes.
Quand on fut tous en place, on commença. Là aussi je fus l'un des derniers à arrêter. Et de là on passa aux tractions. Il y avait des barres à différentes hauteurs il fallait s'y suspendre paume des mains tournées vers soi et faire des tractions pour que nos épaules arrivent au niveau de la barre. Encore une fois je fus l'un des meilleurs. on put prendre une douche avant de partir. Ça avait duré toute la matinée.
Je mangeais un bout vite fait et je rentrais. Je tombais sur Tim et Mary. Ils avaient fini de mettre les ruches en place. Je discutais un moment avec eux. Ils me firent visiter leur chez eux et Mary profita que je sois là pour nous faire déplacer des meubles. En fait ce qui était à droite passa à gauche et ‘lycée de Versailles’ comme disait Cyprien.
J'eus droit à mon coca et Tim me demanda comment s'étaient passées mes épreuves. Je le lui dis.
Puis je m'arrêtais chez mes grands-parents où je racontais une fois de plus ma journée. Ma grand-mère insista pour que je reste goûter. Je ne me fis pas trop prier et je rentrais chez moi.
Le jeudi et le vendredi passèrent vite et le samedi je repartais.
J'étais tiraillé entre le sauna et la plage. Finalement je finis au sauna. Il n'y avait presque personne.
Je réussis à me faire sucer une fois et à baiser un mec. Même Marc n'était pas là. Le barman m'apprit que comme c'était le dernier samedi du mois, ce soir de minuit à six heures demain matin, il y avait une soirée hard et que les clients se réservaient pour cette nuit.
Bon le hard c'était pas mon truc. Je partis en direction de Montpellier en m'arrêtant partout où je savais qu'il y avait des lieux de drague gay.
Là non plus rien de bien transcendent. Une pipe, deux culs qu'en d'autres temps je n'aurais même pas touché ...
Garé, je filais jusqu'à la plage bien au fond du parking. Même là, il n'y avait plus personne. Je m'installais pour passer la nuit. Dans la nuit quelques voitures vinrent tourner mais je n'avais pas envie de me lever. C'est la chaleur qui me réveilla et pourtant il n'était que six heures vingt du matin.
Je bus mon café et après avoir satisfait un besoin naturel je partis courir le long de la plage. Je coulais l'eau en revenant. Le coin était sympa. Je bus un autre café et j'allais à la plage. Je me tartinais de crème solaire et je commençais à me faire bronzer.
Vers midi les premiers cas intéressants arrivèrent. Et quand un beau gosse passa devant moi il ralentit le pas, me mata bien et se retourna plusieurs fois. Bon, j'aurai au moins un beau gosse avec qui m’amuser. J'avais chaud et j'allais me baigner un bon moment.
Quand je revins le beau gosse avait changé de place et il s'était mis pas loin de moi. Jouer les indifférents, ça payait. Un gars que je connaissais du sauna, sympa mais dont je n'étais pas le genre - il préférait les mecs matures et passifs - se posa à côté de moi. On discuta un petit moment et il me demanda de jeter un œil sur ses affaires. Il allait en repérage dans les bois. Il ne serait pas long. C'est vrai, il revint une heure après.
— Désolé, il a été plus long que je le prévoyais.
— Je crois que je vais aller faire un tour aussi. Tu surveilles mes affaires ?
— Tu vas perdre ton temps. Il n'y a rien pour toi.
— Je reviendrai plus vite.
Au moment où je me levais, le beau gosse se leva et se dirigea vers les bois. Je le suivis. Il devait connaître le coin comme sa poche parce qu'il fallut qu'il se gratte la gorge pour que je vois l'entrée du bosquet où il m’attendait.
On se roula des pelles de ouf tout en se caressant de partout. Je commençais à lui mordiller les seins il devait aimer parce que quand je serrais un peu il reculait son torse pour que ça tire encore plus. Du coup je m'occupais des deux avec mes doigts en tirant aussi fort que je pouvais dessus. Il se branlait comme un fou. Puis il stoppa. Il se baissa et ouvrit la bouche pour me gober la bite. Il attaqua directement en gorge profonde. Et quand je posais ma main derrière sa tête et que je commençais à le forcer à rester plus longtemps, que je voyais que son visage devenait écarlate et que je relâchais la pression, ses yeux exprimaient sa joie.
Je le vis chercher quelque chose dans la sacoche qu'il avait avec lui. Il en sortit une capote qu'il déroula sur ma queue. Il se mit à quatre pattes et je vis une rondelle de silicone noire à la place de sa rosette. Je tirais un peu dessus et ça résistait. Finalement un plug de bonne taille sortit. Je m'amusais un petit moment à le faire entrer et sortir. Et ma queue remplaça le plug.
Il gémissait déjà pas mal quand je jouais avec le plug mais quand je commençais à le baiser en lui donnant des grands coups de rein qui faisaient claquer mon pubis contre ses fesses il n'était plus du tout discret. Ça tenait du film porno mal sonorisé avec le son bien trop fort. Je lui demandais une autre capote. Il me la donna. Je la déroulais sur le plug. Je me retirais et j'enfilais le plug à la place de ma queue. Quand il fut bien en place je commençais à forcer le passage avec ma queue. Et à ma grande surprise le gland entra. C'est lui qui recula sur ma queue pour que je m'enfonce à fond.
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— Tu sais, je fais du naturisme alors ça me dérange pas. Et puis on est entre mecs. Tu as déjà dû voir le cul de tes potes dans les vestiaires.
— Oui c'est vrai. Excuse-moi je suis con.
— Tu veux un café ?
— Tu es sérieux ? Tu as du café ?
— Oui, enfin, faut faire chauffer l’eau.
Je mis le fourgon en route, je branchais la bouilloire sur l'allume cigare et quand l'eau fut chaude je sortis deux gobelets, j'y mis un peu de café dedans et j'y versais l'eau chaude. J'en donnais un à Romuald.
— Désolé, je n'ai ni les croissants, ni le sucre. Mais si tu veux j'ai des biscuits.
— Ah oui je veux bien, j'ai la dalle.
— Prends ce que tu veux, ils sont dans la glacière verte.
— T'es sûr que t'en veux pas ?
— Non je mange pas le matin.
Il torcha le paquet, on but un autre café, je donnais quelques fringues- trop grandes pour lui - à Romuald et on partit voir les alentours.
D'en bas ce n'était même pas la peine d'y songer. La rivière était encore en crue et seul le parapet du pont dépassait. On remonta la route sur un ou deux kilomètres, avant d'arriver à la fameuse coulée de boue qui avait emporté la voiture de Romuald. Elle était plus bas dans le champ enfoncée jusqu'au milieu des roues.
Et d’où on était on ne voyait pas où elle commençait. Je sortis mon téléphone et j'appelais mes parents. Quand j'eus rassuré ma mère sur mon sort elle me dit que c'était la catastrophe de partout dans la région. Mon père et mon oncle étaient parti à la carrière récupérer les engins pour aller aider à dégager les routes pleines de boue.
Je passais mon téléphone à Romuald qui appela chez lui. Un hélicoptère nous survola puis partit.
— Ma mère m'a dit que les secours arrivent.
— bon et comment elle sait ça ?
— Elle a dit à mon frère où on était et il vient nous dégager.
— Il risque d'en avoir pour un moment.
— Il a pris la chargeuse des maçons. Ils l'ont laissé vendredi en partant à la maison.
On retourna au fourgon. On n'avait plus qu'à attendre. On avait mis ses fringues à sécher. On s'était assis sur les bancs qu'il y avait sur l'aire de pique-nique. On avait refait du café et cette fois j'avais mangé des biscuits. On fit connaissance. Il avait tout juste 18 ans, il passait le bac.
Au loin on entendait le ronflement d'un moteur. Ça devait être le frangin de Romuald qui arrivait.
Le bruit du moteur se faisait de plus en plus proche et on vit bientôt apparaître la chargeuse au haut de la pente. Moins d'une demie heure plus tard Romuald serrait son frère entre ses bras. Il avait la trentaine et s'appelait Denis. Il me serra la main et me remercia de ce que j'avais fait pour son frangin.
Il remonta dans la chargeuse et on le suivit en fourgon. Il avait fait ça bien. Et quand on se gara devant chez eux leur mère sortit en courant et se jeta dans les bras de Romuald en pleurant. Puis elle vint me faire la bise et me remercia.
Je restais manger avec eux et je repartis avec plusieurs cartons de vin parce qu'ils étaient viticulteurs et qu'ils voulaient me remercier. Il me fallut quatre heures pour rentrer au lieu des deux habituelles. Et quand j'arrivais dans la zone commerciale de la plaine on voyait que les champs regorgeaient d’eau. Sur la petite place du village il y avait deux camions plein de ruches. Mary s'était décidée finalement.
Mon père était rentré. Je leur racontais mes péripéties et il m'aida à charrier les cartons de vin dans le cellier. Je fis une machine pour laver mes affaires de la semaine et j'avertis mes parents que le mercredi je ne serai pas là puisque je devais aller passer les épreuves physiques à Marseille.
Le lundi et le mardi passèrent vite. Le mercredi je trouvais facilement la caserne où je devais me présenter à sept heures trente précise. On était cinquante en tout. le gars nous conduisit dans un gymnase et nous demanda de nous mettre en tenue de sport.
La première épreuve consistait à courir d'un côté à l'autre d'un gymnase, le tout rythmé par une sonnerie qui donnait le tempo. Au début ça allait bien mais très vite l'allure accéléra et les rangs s’éclaircirent. Je fus dans les derniers à arrêter. Il n'y en avait plus que deux devant moi et ils perdirent le coup suivant, fin de l’épreuve.
Un des deux gars se tordit la cheville. On l'aida à regagner les vestiaires. Le gars se lamentait parce qu'il allait être obligé de déclarer forfait pour la suite.
— si tu veux je jette un coup d’œil à ta cheville. Si ça se trouve c'est juste des tendons qui ont sauté .je te les remets en place, je te mets une bande et tu pourras continuer les épreuves. Le plus dur ça sera d'aller d'un côté à l’autre.
— Ok, vas y regarde si tu peux faire quelque chose.
je lui remis les tendons en place tandis que les autres se changeaient. Deux instructeurs me regardaient faire. On sortit les derniers et de là on alla à la piscine. Il fallait faire 100 m en un temps déterminé. On se mit en maillot de bain. Et j'en profitais pour zieuter, bien sûr. Il n'y avait que de beaux spécimens masculins.
On ressemblait tous à des extraterrestres avec nos bonnets et nos lunettes. J'étais encore dans les meilleurs temps. On nous changea encore de place et là on dut faire le plus d'abdos possible.
Il y avait plusieurs 'escaliers' de différentes hauteurs. On nous fit ranger par taille et bien sûr j'étais le plus grand. L'examinateur me prit comme volontaire et montra aux autres comment faire pour s’installer. Le gars juste après moi vint pour me tenir les jambes.
Quand on fut tous en place, on commença. Là aussi je fus l'un des derniers à arrêter. Et de là on passa aux tractions. Il y avait des barres à différentes hauteurs il fallait s'y suspendre paume des mains tournées vers soi et faire des tractions pour que nos épaules arrivent au niveau de la barre. Encore une fois je fus l'un des meilleurs. on put prendre une douche avant de partir. Ça avait duré toute la matinée.
Je mangeais un bout vite fait et je rentrais. Je tombais sur Tim et Mary. Ils avaient fini de mettre les ruches en place. Je discutais un moment avec eux. Ils me firent visiter leur chez eux et Mary profita que je sois là pour nous faire déplacer des meubles. En fait ce qui était à droite passa à gauche et ‘lycée de Versailles’ comme disait Cyprien.
J'eus droit à mon coca et Tim me demanda comment s'étaient passées mes épreuves. Je le lui dis.
Puis je m'arrêtais chez mes grands-parents où je racontais une fois de plus ma journée. Ma grand-mère insista pour que je reste goûter. Je ne me fis pas trop prier et je rentrais chez moi.
Le jeudi et le vendredi passèrent vite et le samedi je repartais.
J'étais tiraillé entre le sauna et la plage. Finalement je finis au sauna. Il n'y avait presque personne.
Je réussis à me faire sucer une fois et à baiser un mec. Même Marc n'était pas là. Le barman m'apprit que comme c'était le dernier samedi du mois, ce soir de minuit à six heures demain matin, il y avait une soirée hard et que les clients se réservaient pour cette nuit.
Bon le hard c'était pas mon truc. Je partis en direction de Montpellier en m'arrêtant partout où je savais qu'il y avait des lieux de drague gay.
Là non plus rien de bien transcendent. Une pipe, deux culs qu'en d'autres temps je n'aurais même pas touché ...
Garé, je filais jusqu'à la plage bien au fond du parking. Même là, il n'y avait plus personne. Je m'installais pour passer la nuit. Dans la nuit quelques voitures vinrent tourner mais je n'avais pas envie de me lever. C'est la chaleur qui me réveilla et pourtant il n'était que six heures vingt du matin.
Je bus mon café et après avoir satisfait un besoin naturel je partis courir le long de la plage. Je coulais l'eau en revenant. Le coin était sympa. Je bus un autre café et j'allais à la plage. Je me tartinais de crème solaire et je commençais à me faire bronzer.
Vers midi les premiers cas intéressants arrivèrent. Et quand un beau gosse passa devant moi il ralentit le pas, me mata bien et se retourna plusieurs fois. Bon, j'aurai au moins un beau gosse avec qui m’amuser. J'avais chaud et j'allais me baigner un bon moment.
Quand je revins le beau gosse avait changé de place et il s'était mis pas loin de moi. Jouer les indifférents, ça payait. Un gars que je connaissais du sauna, sympa mais dont je n'étais pas le genre - il préférait les mecs matures et passifs - se posa à côté de moi. On discuta un petit moment et il me demanda de jeter un œil sur ses affaires. Il allait en repérage dans les bois. Il ne serait pas long. C'est vrai, il revint une heure après.
— Désolé, il a été plus long que je le prévoyais.
— Je crois que je vais aller faire un tour aussi. Tu surveilles mes affaires ?
— Tu vas perdre ton temps. Il n'y a rien pour toi.
— Je reviendrai plus vite.
Au moment où je me levais, le beau gosse se leva et se dirigea vers les bois. Je le suivis. Il devait connaître le coin comme sa poche parce qu'il fallut qu'il se gratte la gorge pour que je vois l'entrée du bosquet où il m’attendait.
On se roula des pelles de ouf tout en se caressant de partout. Je commençais à lui mordiller les seins il devait aimer parce que quand je serrais un peu il reculait son torse pour que ça tire encore plus. Du coup je m'occupais des deux avec mes doigts en tirant aussi fort que je pouvais dessus. Il se branlait comme un fou. Puis il stoppa. Il se baissa et ouvrit la bouche pour me gober la bite. Il attaqua directement en gorge profonde. Et quand je posais ma main derrière sa tête et que je commençais à le forcer à rester plus longtemps, que je voyais que son visage devenait écarlate et que je relâchais la pression, ses yeux exprimaient sa joie.
Je le vis chercher quelque chose dans la sacoche qu'il avait avec lui. Il en sortit une capote qu'il déroula sur ma queue. Il se mit à quatre pattes et je vis une rondelle de silicone noire à la place de sa rosette. Je tirais un peu dessus et ça résistait. Finalement un plug de bonne taille sortit. Je m'amusais un petit moment à le faire entrer et sortir. Et ma queue remplaça le plug.
Il gémissait déjà pas mal quand je jouais avec le plug mais quand je commençais à le baiser en lui donnant des grands coups de rein qui faisaient claquer mon pubis contre ses fesses il n'était plus du tout discret. Ça tenait du film porno mal sonorisé avec le son bien trop fort. Je lui demandais une autre capote. Il me la donna. Je la déroulais sur le plug. Je me retirais et j'enfilais le plug à la place de ma queue. Quand il fut bien en place je commençais à forcer le passage avec ma queue. Et à ma grande surprise le gland entra. C'est lui qui recula sur ma queue pour que je m'enfonce à fond.
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