20-01-2023, 10:56 AM
— Tu es joueur Jean-François ?
— Ça dépend du jeu que tu proposes.
— On pourrait aller dans une cabine et discuter des règles.
— Je te suis.
On s'enferma dans une cabine, on grimpa sur le 'lit’.
— Alors tu proposes quoi comme règles Sacha ?
— Tu me suces, je te bouffe le cul et je t’encule. T'en penses quoi ?
— Que tu regardes trop de pornos. Je ne suis pas ton petit minou.
— Alors tu proposes quoi ?
— Déjà on enlève nos serviettes, puis tu me suces, je te bouffe le cul et je t’encule.
— Ok pour les serviettes. De toute façon on s'est bien maté aux vestiaires. Je peux toucher ? Tu peux toucher aussi si elle te fait envie.
— Et si je te propose on se suce, on se bouffe le cul et on s'encule à tour de rôle, ça te va ça ?
— C'est déjà mieux. Et j'aurai rien contre sauf que je ne sais pas si je suis clean si tu vois ce que je veux dire.
— Ha, c'est chiant ça. Bon Jean-François, je vais faire une exception avec toi pour une fois. On se suce, on se bouffe le cul et tu me baises. Mais la prochaine fois c'est moi qui te baise.
— Ok, ça marche.
De son bras musclé il tira ma tête à lui et m’embrassa. Il embrassait bien. Dommage que sa bouche aie le goût de la bière. On était à genoux, nos corps étaient collés l'un à l’autre. Je lui caressais le dos, je jouais avec la pointe de ses seins et je remarquais que quand je le pinçais bien et que je la faisais rouler entre mes doigts il se reculait un peu pour que ça tire plus fort dessus.
Après de longs préliminaires on passa en 69 direct. Il avait une queue juste un petit peu plus fine et moins longue que la mienne. Mais c'était quand même un gros morceau. Autant lui que moi, on était endurant. Et on était obligé de faire des pauses parce qu'on avait mal à la mâchoire à force de se sucer.
Oh, ne croyez pas qu'on arrêtait, non mais on s'occupait des couilles ou du cul de l’autre. Je venais de lui bouffer le cul bien comme il faut et j'avais deux doigts qui jouaient avec sa prostate. Je remis sa queue dans ma bouche et je recommençais à le sucer. Il se retira.
— Tu vas me faire jouir. encule-moi.
— Attend, je vais te bouffer le cul avant.
— Tu me l'as ouvert c'est bon.
— C'est pas pour te l'ouvrir plus, c'est parce que ton cul me plaît et qu'il me fait envie. Mets-toi à quatre pattes.
Je lui bouffais le cul en pétrissant ses fesses, je jouais aussi avec ses couilles que je malmenais un peu. Je tirais fort sur ses seins et je lui donnais mes doigts à sucer. Ça a un avantage d'être grand.
Sacha prit une capote et me l’enfila. Il mit du lubrifiant dessus, s'en tartina le cul et se remit à quatre pattes.
— Allonge toi sur le dos Sacha, je veux te voir de face quand ma queue va s'enfoncer dans ton cul.
Il fit ce que je lui demandais, il mit ses jambes de chaque côté de ma tête, je posais mon gland contre son trou et je donnais une petite poussée. Le gland entra. Je sentis sa main se poser sur ma cuisse. Je stoppais. Quand il l'enleva je redonnais une petite poussée. Il la remit. Et c'est seulement là que je me rendis compte qu'il était vraiment serré. Il ne devait pas se faire prendre si souvent que ça. Ça m'excita encore plus. Finalement mon pubis toucha ses fesses. Je le laissais se reprendre un instant avant de faire quelques allers retours. Il grimaçait un peu. Puis son visage se détendit et je commençais à aller plus vite, à varier la profondeur et la puissance des coups de rein. Il commença à gémir. Sa queue recommençait à durcir. Il bandait et son méat laissait échapper de plus en plus de liquide séminal.
On avait déjà changé trois fois de position et chaque fois que Sacha avait voulu se branler, je lui avais enlevé la main de sa queue. Ses gémissements se faisaient plus grave et plus forts.
— Allez, allez, plus vite… plus fort!
Je fis ce qu'il me demandait et il se tendit me faisant reculer contre la parois. Je poussais plus fort. Il serra ses fesses puis son premier jet de sperme atterrit sur le mur derrière lui. Le second lui macula la figure. Les autres se perdirent entre son menton et son pubis.
Pendant qu'il jouissait je n'avais pas arrêté de le pistonner. Je me retirais, j'enlevais la capote et je me masturbais. Mon premier jet arriva sur sa figure et les autres se répartirent sur son corps.
Putain que c'était bon ! Je m'allongeais à côté de lui le temps de reprendre mon souffle.
— Tu peux me passer du papier pour que je m’essuie ?
Je me tournais vers lui et j'éclatais de rire. Son corps ruisselait de sperme. Je l'aidais à se 'débarbouiller’. Et oui j'ai mis des guillemets parce que les verbes 'désenspermer' ou déspermer' n'existent pas encore et pourtant ils étaient les plus adaptés à ce qu'on faisait.
On alla prendre la douche ensemble et cette fois il accepta la bière que je lui offrais. On s'installa sur un des canapés et on discuta pour apprendre à se connaître.
Je lui parlais de moi, et il me parla de lui. Il était russe et légionnaire. Il avait 23 ans et ça faisait cinq ans qu'il était dans la légion, où il comptait faire carrière. Il était parti pour fuir le régime mais surtout parce qu'il était gay et qu'être gay en Russie signifiait souvent la mort. On resta une heure à discuter.
— Jean-François, tu n'as pas envie de retourner baiser ? Je voudrais bien baiser un cul moi aussi.
— Si j'ai encore envie mais je ne sais pas si je suis propre, tu le sais.
— Je ne parlais pas du tien mais de celui de Marc. Ça te dit qu'on se le fasse à deux ?
— Je ne sais pas de qui tu parles Sacha.
— Ne te fatigue pas à mentir, c'est lui qui m'a dit que tu l'avais baisé et que tu l'avais fait jouir. Il a envie qu'on le prenne en double toi et moi.
— Le minou, mais on va lui éclater le cul !
Il éclata de rire.
— Tu vois mon avant-bras ? Il le prend jusqu'au coude. Alors c'est pas nos deux queues qui vont lui faire du mal. Alors ça te branche ?
— Grave oui.
— Alors on y va. Il nous attend à côté de la pièce noire.
On y alla et en effet il nous attendait là. Le sling était vide. D'un geste Sacha lui fit comprendre de s'installer dessus. On entra et on ferma la porte. On régla la hauteur en ajustant les chaînes, puis Sacha se fit sucer et quand il fut bien raide il alla vers le cul de Marc. Il lui quitta son jockstrap ce qui le fit râler.
— Tu fermes ta gueule petite bite et tu suces mon pote. Je vais m'occuper de ton cul de salope.
Et on commença, moi à lui bourrer la bouche et Sacha le cul. Puis on changea de trou. Notre petit manège dura un bon moment. Puis Sacha fit descendre Marc du sling. Il s'installa à sa place et j'aidais Marc à monter et il s'empala sur la queue de Sacha. D'où j'étais j’avais une jolie vue. J'avais la rosette de Sacha juste à mon niveau et celle de Marc juste un peu plus haut.
J'enfilais un doigt puis un deuxième entre la bite de Sacha et le cul de Marc qui couina.
— Vas y Jeff, baise-le. Il n'attend que ça.
Ça forçait mais finalement mon gland passa et tout le reste de ma queue suivit. Je commençais à bouger.
— Sers toi des chaînes Jeff, tu vas voir c'est plus facile.
Je fis comme Sacha me disait et c'est vrai que c'était plus pratique. Marc couinait. Il se gamellait avec Sacha et moi je donnais le rythme.
Très vite je sentis le cul de Marc se contracter. Il devait jouir. Tant pis pour lui. Je m'échauffais juste. Je continuais à pilonner son cul. De temps en temps je ressortais pour mieux rentrer et le faire gémir.
J'étais ressorti une fois de plus j'allais entrer à nouveau rejoindre la queue de Sacha quand je sentis une main attraper ma queue et mettre au niveau de la rosette de Sacha. Ça força un peu mais ça rentra. Et au bout de quelques vas et viens ça coulissait aussi bien que dans le cul de Marc. Je sentis que Sacha jouissait. Je l'entendis aussi aux soupirs qu'il poussa. Marc se redressa, se branla et jouit à son tour. Je me retirais et une fois la capote enlevée je me branlais quelques secondes avant d'arroser le cul de Marc où la queue de Sacha était encore enfoncée.
— Putain j'en ai pris plein le cul. Merci mon Chacha d’amour. Mais surtout, de ceux que tu as choisi pour moi jusqu’à présent, Jean-François c'est le meilleur.
— Merci mais les sujets m'ont inspiré.
— Toi aussi tu nous as inspiré c'est rare qu'un aussi joli garçon que toi vienne au sauna. C'est la première fois que je te vois ici.
— C'est la première fois que j'y viens.
— Tu vas revenir ?
— Si c'est pour te voir toi ou Sacha, pourquoi pas.
— Je te présenterai d'autres mecs mignons qui sauront apprécier ta bite.
— Tu as l'air de connaître pas mal de monde Marc.
— Normal, je travaille ici. Je file me doucher. C'est bientôt l'heure où je dois commencer.
— C'est quelle heure ?
— Bientôt six heures.
— Putain faut que je me dépêche aussi. J'ai rendez-vous avec un pote à la maison carrée.
On alla se doucher. Marc avait remis son jockstrap avant de sortir.
— Alors Jeff, tu en penses quoi de mon petit minou ?
— C'est vraiment ton petit Minou ?
— Oui, je vis chez lui quand je suis sur Nîmes. Je suis son régulier. Avec toi on est trois maintenant à l'avoir fait jouir sans qu'il se touche.
J'allais aux vestiaires où je m’habillais. Je rejoignis Sacha qui discutait avec Marc au bar. Je payais mes consommations et Sacha me donna un papier avec son tel et celui de Marc.
— Tu nous plais à tous les deux alors si tu reviens on pourra toujours se refaire un plan. Et autant Marc que moi, on a des potes qui seraient heureux de te connaître.
Je leur tapais la bise et j'arrivais devant la Maison carrée. Il était dix-huit heures vingt. Tim arriva cinq minutes après.
— Désolé Bé, mais ça a été plus long que prévu.
— Pas grave Tim, je viens juste d’arriver.
— Tu es allé voir quoi comme film.
— Je suis pas vraiment allé au cinéma.
— Ah et tu as fait quoi ?
— Je suis allé au sauna.
— Ah bon, je ne savais pas que tu aimais ça.
— Moi non plus mais j'y retournerai, ça c'est sûr.
— Ça t'a tant plu que ça ?
— Ho que oui. Je m'y suis tapé un petit minou et un beau légionnaire.
— Mais ça baise dans les saunas ?
— Les autres, je ne sais pas mais celui-là oui. J'ai oublié de te préciser que c'est un sauna gay.
Il fallut que je lui raconte comment c'était fait dedans, ce qu'il y avait comme installations, il n'alla pas jusqu'à me demander ce que j'avais fait avec les mecs… mais presque!
— Et toi avec Mary, ça c'est bien passé ?
— De ouf, tu me connais. On n'a pas baisé autant que toi mais c’était chaud! Puis on a continué notre conversation du matin.
— Ah ok. Tu m'en parles où c'est privé de chez privé ?
— Non, c'est pas privé autant que ça. Mary et moi on voudrait bien se mettre ensemble. Le hic c'est que son boulot c'est ses ruches et qu'elles sont toutes dans la plaine de la Crau.
— Jusque-là ça va. C'est quoi le hic ?
— Bin les ruches justement.
— Elle peut pas les monter aux Fourches ses ruches ?
— Oui ça doit pouvoir se faire parce qu'elle m'a dit qu'elles les déplaçait.
— Et bin elle les monte aux Fourches et l'affaire est réglée.
— Après y'a le problème du logement. Je me vois mal vivre avec elle chez mes parents.
— Hé, hé! Surtout si tu fais toujours autant de bruit quand tu baises.
— Bin oui et Mary, c'est aussi une bruyante.
— La maison d'hôtes que tes parents louent tu pourrais pas la prendre pour toi ?
— J'y ai bien pensé aussi mais ça leur rapporte quelques sous.
— Si tu leur donnes un petit loyer tous les mois pour compenser leurs pertes tu crois qu'ils n'accepteraient pas ?
— Heu… Je pense que si. Mais il faut d'abord que Mary monte et voit combien de ruches elle peut mettre.
— Un bon paquet je pense. Entre toi et ton père vous avez pas mal de surface. Et si vous demandez à Cyprien je ne pense pas qu'il soit contre que vous en mettiez aussi chez lui. Mon père il a que le bout de terrain perdu en dessus du champ clos mais si Marie veut je ne pense pas que lui non plus refuse. Y'a plus que le père Mathieu et je vois pas pourquoi il serait contre.
— Oui moi non plus, mais ça ne dit pas combien de ruches elle pourra y mettre. Il faut qu'elle vienne voir. Et puis si elle vient s’installer, il faudra aussi qu'elle trouve un local qu'elle pourra transformer en miellerie et aussi qu'elle achète tout le matériel parce que là elle utilise celui qu'ils ont en commun son père, son frère et elle.
— Au pire les premiers temps elle pourra redescendre ses cadres pour en extraire le miel. Attends! Je lui téléphone de suite… (quelques blablas plus tard) … Elle monte mercredi pour voir si c'est faisable. Et elle a dit qu'elle restait passer la nuit.
— Heureusement que j'habite à 500 m de chez toi. Je pourrais dormir tranquille.
— N'importe quoi! Bé, t'as pas faim toi ?
— Si un peu. J'ai juste mangé un sandwich ce midi.
— C'est toujours ça de plus que moi. On n'est pas allé au resto. On était trop pressés. Y'a un Mac Do plus loin ça ira ?
— Oui pas de souci.
On s'y arrêta et au retour on parla de tout et de rien. Je lui parlais de ma discussion avec mes parents et lui aussi pensait qu'ils avaient raison. Que j'aurai bien le temps de bosser à la carrière quand mon père et mon oncle auraient pris leur retraite.
Il me déposa devant chez moi et partit. C'était vingt-deux heures. j'allais me coucher.
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— Ça dépend du jeu que tu proposes.
— On pourrait aller dans une cabine et discuter des règles.
— Je te suis.
On s'enferma dans une cabine, on grimpa sur le 'lit’.
— Alors tu proposes quoi comme règles Sacha ?
— Tu me suces, je te bouffe le cul et je t’encule. T'en penses quoi ?
— Que tu regardes trop de pornos. Je ne suis pas ton petit minou.
— Alors tu proposes quoi ?
— Déjà on enlève nos serviettes, puis tu me suces, je te bouffe le cul et je t’encule.
— Ok pour les serviettes. De toute façon on s'est bien maté aux vestiaires. Je peux toucher ? Tu peux toucher aussi si elle te fait envie.
— Et si je te propose on se suce, on se bouffe le cul et on s'encule à tour de rôle, ça te va ça ?
— C'est déjà mieux. Et j'aurai rien contre sauf que je ne sais pas si je suis clean si tu vois ce que je veux dire.
— Ha, c'est chiant ça. Bon Jean-François, je vais faire une exception avec toi pour une fois. On se suce, on se bouffe le cul et tu me baises. Mais la prochaine fois c'est moi qui te baise.
— Ok, ça marche.
De son bras musclé il tira ma tête à lui et m’embrassa. Il embrassait bien. Dommage que sa bouche aie le goût de la bière. On était à genoux, nos corps étaient collés l'un à l’autre. Je lui caressais le dos, je jouais avec la pointe de ses seins et je remarquais que quand je le pinçais bien et que je la faisais rouler entre mes doigts il se reculait un peu pour que ça tire plus fort dessus.
Après de longs préliminaires on passa en 69 direct. Il avait une queue juste un petit peu plus fine et moins longue que la mienne. Mais c'était quand même un gros morceau. Autant lui que moi, on était endurant. Et on était obligé de faire des pauses parce qu'on avait mal à la mâchoire à force de se sucer.
Oh, ne croyez pas qu'on arrêtait, non mais on s'occupait des couilles ou du cul de l’autre. Je venais de lui bouffer le cul bien comme il faut et j'avais deux doigts qui jouaient avec sa prostate. Je remis sa queue dans ma bouche et je recommençais à le sucer. Il se retira.
— Tu vas me faire jouir. encule-moi.
— Attend, je vais te bouffer le cul avant.
— Tu me l'as ouvert c'est bon.
— C'est pas pour te l'ouvrir plus, c'est parce que ton cul me plaît et qu'il me fait envie. Mets-toi à quatre pattes.
Je lui bouffais le cul en pétrissant ses fesses, je jouais aussi avec ses couilles que je malmenais un peu. Je tirais fort sur ses seins et je lui donnais mes doigts à sucer. Ça a un avantage d'être grand.
Sacha prit une capote et me l’enfila. Il mit du lubrifiant dessus, s'en tartina le cul et se remit à quatre pattes.
— Allonge toi sur le dos Sacha, je veux te voir de face quand ma queue va s'enfoncer dans ton cul.
Il fit ce que je lui demandais, il mit ses jambes de chaque côté de ma tête, je posais mon gland contre son trou et je donnais une petite poussée. Le gland entra. Je sentis sa main se poser sur ma cuisse. Je stoppais. Quand il l'enleva je redonnais une petite poussée. Il la remit. Et c'est seulement là que je me rendis compte qu'il était vraiment serré. Il ne devait pas se faire prendre si souvent que ça. Ça m'excita encore plus. Finalement mon pubis toucha ses fesses. Je le laissais se reprendre un instant avant de faire quelques allers retours. Il grimaçait un peu. Puis son visage se détendit et je commençais à aller plus vite, à varier la profondeur et la puissance des coups de rein. Il commença à gémir. Sa queue recommençait à durcir. Il bandait et son méat laissait échapper de plus en plus de liquide séminal.
On avait déjà changé trois fois de position et chaque fois que Sacha avait voulu se branler, je lui avais enlevé la main de sa queue. Ses gémissements se faisaient plus grave et plus forts.
— Allez, allez, plus vite… plus fort!
Je fis ce qu'il me demandait et il se tendit me faisant reculer contre la parois. Je poussais plus fort. Il serra ses fesses puis son premier jet de sperme atterrit sur le mur derrière lui. Le second lui macula la figure. Les autres se perdirent entre son menton et son pubis.
Pendant qu'il jouissait je n'avais pas arrêté de le pistonner. Je me retirais, j'enlevais la capote et je me masturbais. Mon premier jet arriva sur sa figure et les autres se répartirent sur son corps.
Putain que c'était bon ! Je m'allongeais à côté de lui le temps de reprendre mon souffle.
— Tu peux me passer du papier pour que je m’essuie ?
Je me tournais vers lui et j'éclatais de rire. Son corps ruisselait de sperme. Je l'aidais à se 'débarbouiller’. Et oui j'ai mis des guillemets parce que les verbes 'désenspermer' ou déspermer' n'existent pas encore et pourtant ils étaient les plus adaptés à ce qu'on faisait.
On alla prendre la douche ensemble et cette fois il accepta la bière que je lui offrais. On s'installa sur un des canapés et on discuta pour apprendre à se connaître.
Je lui parlais de moi, et il me parla de lui. Il était russe et légionnaire. Il avait 23 ans et ça faisait cinq ans qu'il était dans la légion, où il comptait faire carrière. Il était parti pour fuir le régime mais surtout parce qu'il était gay et qu'être gay en Russie signifiait souvent la mort. On resta une heure à discuter.
— Jean-François, tu n'as pas envie de retourner baiser ? Je voudrais bien baiser un cul moi aussi.
— Si j'ai encore envie mais je ne sais pas si je suis propre, tu le sais.
— Je ne parlais pas du tien mais de celui de Marc. Ça te dit qu'on se le fasse à deux ?
— Je ne sais pas de qui tu parles Sacha.
— Ne te fatigue pas à mentir, c'est lui qui m'a dit que tu l'avais baisé et que tu l'avais fait jouir. Il a envie qu'on le prenne en double toi et moi.
— Le minou, mais on va lui éclater le cul !
Il éclata de rire.
— Tu vois mon avant-bras ? Il le prend jusqu'au coude. Alors c'est pas nos deux queues qui vont lui faire du mal. Alors ça te branche ?
— Grave oui.
— Alors on y va. Il nous attend à côté de la pièce noire.
On y alla et en effet il nous attendait là. Le sling était vide. D'un geste Sacha lui fit comprendre de s'installer dessus. On entra et on ferma la porte. On régla la hauteur en ajustant les chaînes, puis Sacha se fit sucer et quand il fut bien raide il alla vers le cul de Marc. Il lui quitta son jockstrap ce qui le fit râler.
— Tu fermes ta gueule petite bite et tu suces mon pote. Je vais m'occuper de ton cul de salope.
Et on commença, moi à lui bourrer la bouche et Sacha le cul. Puis on changea de trou. Notre petit manège dura un bon moment. Puis Sacha fit descendre Marc du sling. Il s'installa à sa place et j'aidais Marc à monter et il s'empala sur la queue de Sacha. D'où j'étais j’avais une jolie vue. J'avais la rosette de Sacha juste à mon niveau et celle de Marc juste un peu plus haut.
J'enfilais un doigt puis un deuxième entre la bite de Sacha et le cul de Marc qui couina.
— Vas y Jeff, baise-le. Il n'attend que ça.
Ça forçait mais finalement mon gland passa et tout le reste de ma queue suivit. Je commençais à bouger.
— Sers toi des chaînes Jeff, tu vas voir c'est plus facile.
Je fis comme Sacha me disait et c'est vrai que c'était plus pratique. Marc couinait. Il se gamellait avec Sacha et moi je donnais le rythme.
Très vite je sentis le cul de Marc se contracter. Il devait jouir. Tant pis pour lui. Je m'échauffais juste. Je continuais à pilonner son cul. De temps en temps je ressortais pour mieux rentrer et le faire gémir.
J'étais ressorti une fois de plus j'allais entrer à nouveau rejoindre la queue de Sacha quand je sentis une main attraper ma queue et mettre au niveau de la rosette de Sacha. Ça força un peu mais ça rentra. Et au bout de quelques vas et viens ça coulissait aussi bien que dans le cul de Marc. Je sentis que Sacha jouissait. Je l'entendis aussi aux soupirs qu'il poussa. Marc se redressa, se branla et jouit à son tour. Je me retirais et une fois la capote enlevée je me branlais quelques secondes avant d'arroser le cul de Marc où la queue de Sacha était encore enfoncée.
— Putain j'en ai pris plein le cul. Merci mon Chacha d’amour. Mais surtout, de ceux que tu as choisi pour moi jusqu’à présent, Jean-François c'est le meilleur.
— Merci mais les sujets m'ont inspiré.
— Toi aussi tu nous as inspiré c'est rare qu'un aussi joli garçon que toi vienne au sauna. C'est la première fois que je te vois ici.
— C'est la première fois que j'y viens.
— Tu vas revenir ?
— Si c'est pour te voir toi ou Sacha, pourquoi pas.
— Je te présenterai d'autres mecs mignons qui sauront apprécier ta bite.
— Tu as l'air de connaître pas mal de monde Marc.
— Normal, je travaille ici. Je file me doucher. C'est bientôt l'heure où je dois commencer.
— C'est quelle heure ?
— Bientôt six heures.
— Putain faut que je me dépêche aussi. J'ai rendez-vous avec un pote à la maison carrée.
On alla se doucher. Marc avait remis son jockstrap avant de sortir.
— Alors Jeff, tu en penses quoi de mon petit minou ?
— C'est vraiment ton petit Minou ?
— Oui, je vis chez lui quand je suis sur Nîmes. Je suis son régulier. Avec toi on est trois maintenant à l'avoir fait jouir sans qu'il se touche.
J'allais aux vestiaires où je m’habillais. Je rejoignis Sacha qui discutait avec Marc au bar. Je payais mes consommations et Sacha me donna un papier avec son tel et celui de Marc.
— Tu nous plais à tous les deux alors si tu reviens on pourra toujours se refaire un plan. Et autant Marc que moi, on a des potes qui seraient heureux de te connaître.
Je leur tapais la bise et j'arrivais devant la Maison carrée. Il était dix-huit heures vingt. Tim arriva cinq minutes après.
— Désolé Bé, mais ça a été plus long que prévu.
— Pas grave Tim, je viens juste d’arriver.
— Tu es allé voir quoi comme film.
— Je suis pas vraiment allé au cinéma.
— Ah et tu as fait quoi ?
— Je suis allé au sauna.
— Ah bon, je ne savais pas que tu aimais ça.
— Moi non plus mais j'y retournerai, ça c'est sûr.
— Ça t'a tant plu que ça ?
— Ho que oui. Je m'y suis tapé un petit minou et un beau légionnaire.
— Mais ça baise dans les saunas ?
— Les autres, je ne sais pas mais celui-là oui. J'ai oublié de te préciser que c'est un sauna gay.
Il fallut que je lui raconte comment c'était fait dedans, ce qu'il y avait comme installations, il n'alla pas jusqu'à me demander ce que j'avais fait avec les mecs… mais presque!
— Et toi avec Mary, ça c'est bien passé ?
— De ouf, tu me connais. On n'a pas baisé autant que toi mais c’était chaud! Puis on a continué notre conversation du matin.
— Ah ok. Tu m'en parles où c'est privé de chez privé ?
— Non, c'est pas privé autant que ça. Mary et moi on voudrait bien se mettre ensemble. Le hic c'est que son boulot c'est ses ruches et qu'elles sont toutes dans la plaine de la Crau.
— Jusque-là ça va. C'est quoi le hic ?
— Bin les ruches justement.
— Elle peut pas les monter aux Fourches ses ruches ?
— Oui ça doit pouvoir se faire parce qu'elle m'a dit qu'elles les déplaçait.
— Et bin elle les monte aux Fourches et l'affaire est réglée.
— Après y'a le problème du logement. Je me vois mal vivre avec elle chez mes parents.
— Hé, hé! Surtout si tu fais toujours autant de bruit quand tu baises.
— Bin oui et Mary, c'est aussi une bruyante.
— La maison d'hôtes que tes parents louent tu pourrais pas la prendre pour toi ?
— J'y ai bien pensé aussi mais ça leur rapporte quelques sous.
— Si tu leur donnes un petit loyer tous les mois pour compenser leurs pertes tu crois qu'ils n'accepteraient pas ?
— Heu… Je pense que si. Mais il faut d'abord que Mary monte et voit combien de ruches elle peut mettre.
— Un bon paquet je pense. Entre toi et ton père vous avez pas mal de surface. Et si vous demandez à Cyprien je ne pense pas qu'il soit contre que vous en mettiez aussi chez lui. Mon père il a que le bout de terrain perdu en dessus du champ clos mais si Marie veut je ne pense pas que lui non plus refuse. Y'a plus que le père Mathieu et je vois pas pourquoi il serait contre.
— Oui moi non plus, mais ça ne dit pas combien de ruches elle pourra y mettre. Il faut qu'elle vienne voir. Et puis si elle vient s’installer, il faudra aussi qu'elle trouve un local qu'elle pourra transformer en miellerie et aussi qu'elle achète tout le matériel parce que là elle utilise celui qu'ils ont en commun son père, son frère et elle.
— Au pire les premiers temps elle pourra redescendre ses cadres pour en extraire le miel. Attends! Je lui téléphone de suite… (quelques blablas plus tard) … Elle monte mercredi pour voir si c'est faisable. Et elle a dit qu'elle restait passer la nuit.
— Heureusement que j'habite à 500 m de chez toi. Je pourrais dormir tranquille.
— N'importe quoi! Bé, t'as pas faim toi ?
— Si un peu. J'ai juste mangé un sandwich ce midi.
— C'est toujours ça de plus que moi. On n'est pas allé au resto. On était trop pressés. Y'a un Mac Do plus loin ça ira ?
— Oui pas de souci.
On s'y arrêta et au retour on parla de tout et de rien. Je lui parlais de ma discussion avec mes parents et lui aussi pensait qu'ils avaient raison. Que j'aurai bien le temps de bosser à la carrière quand mon père et mon oncle auraient pris leur retraite.
Il me déposa devant chez moi et partit. C'était vingt-deux heures. j'allais me coucher.
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