19-01-2023, 12:52 PM
Nous nous retrouvons au restaurant, soit au Restaurant du Prince d’Orange à Uccle. Ben et sa famille sont déjà arrivés. Je rejoins Ben et nous nous sautons carrément dans les bras l’un de l’autre. Nous faisons attention car il y a d’autres clients qui sont présents, nous évitons de nous embrasser, pourtant l’envie est bel et bien présente. Nous sommes accueillis par le maître d’hôtel qui nous dirige vers la terrasse pour prendre l’apéritif. L’endroit est en partie ombragé et nous nous installons sur des chaises blanches dont l’assise est recouverte d’un coussin bleu-ciel.
Nous avons du champagne et bien entendu toutes sortes de limonades et autres bières trappistes ou d’abbayes. Nous prenons presque tous du champagne. Nous avons nos flûtes en main et c’est le moment choisi pour nos pères pour faire leur petit discours. En fait ils se sont arrangés pour dire chacun une phrase après l’autre. Ils parlent de nous, de nos études, de notre engagement chez les scouts et de notre avenir tant au niveau scolaire qu’au niveau de notre relation particulière. Nous buvons alors à notre santé et à celle des deux familles réunies.
Inutile de dire que le repas est succulent. Deux entrées, un entremet, le plat de résistance, le plateau de fromages et pour clôturer, le dessert. Les plats sont accompagnés d’excellents vins. Décidément nos parents n’ont pas lésiné pour nous féliciter de notre réussite. C’est vrai que c’est un passage, une étape franchie, nous sortons presque de l’adolescence pour entrer dans notre vie d’adulte. Nous savons l’un et l’autre que nous pouvons compter sur nos parents et nos familles.
Il se fait tard et nous retournons à la maison. Nous n’avons pas encore décidé chez qui nous allions passer la nuit. Bien sûr je souhaite rester avec Ben, que ce soit chez mes parents ou chez les siens. C’est Anne qui nous propose de décider en jouant à pile ou face. Je prends pile et Ben face ! La pièce est lancée par ma sœur et elle retombe sur face ! Je vais donc loger chez Ben. Mon chéri affiche alors un large sourire, moi aussi d’ailleurs, je suis heureux d’être avec mon amour, peu importe où. Je salue ma famille et je prends place dans la voiture d’Arlette avec Ben.
Une fois arrivés à la maison, Ben et moi attendons l’arrivée d’Yves qui a lieu un quart d’heure après. Il sort de l’auto ainsi que Christine et Denis. Nous remarquons alors que les mains d’Yves et celles de Denis sont noires. En fait un pneu de la voiture d’Yves a crevé en quittant le parking du restaurant. Nous nous sommes mis à rire de même que Christine. Yves affiche un sourire en demi-teinte et Denis pouffe de rire ne sachant pas s’il peut rire à gorge déployée en voyant son beau-père « vexé » !
Finalement après avoir récuré leurs mimines, les deux « mécanos » se joignent à nous. C’est alors qu’Arlette apporte de quoi fêter un nouvelle fois nos belles réussites. C’est le champagne qui coule une nouvelle fois.
Nous parlons ensemble de nos projets. Denis nous pose quelques questions sur notre futur et entre autres sur les camps d’été au cours desquels nous ne serons pas ensemble. Ben explique que c’est peut-être un bien, car comme ça nous ne serons pas tentés de nous retrouver en couple à certains moments. C’est une bonne chose pour la cohésion des groupes et cela nous permettra, au retour, de nous abreuver de nombreuses anecdotes.
Christine dit qu’elle trouve ça très bien. Cette séparation momentanée n’aura aucune incidence sur notre amour, que du contraire cela le renforcera. Je vois qu’Arlette et Yves se regardent : ils ne disent rien mais n’en pensent pas moins. Je sais qu’ils découvrent que leurs enfants et beaux-enfants savent discuter comme des « grands » et qu’ils ont une certaine maturité.
Nous allons nous coucher après avoir pris une bonne douche. Nous sommes enlacés et nous nous embrassons. Nos regards se plongent l’un dans l’autre. Puis comme par magie, nos paupières se ferment et nous rejoignons le pays des rêves. Est-ce dû à la fatigue, à l’alcool ou bien aux deux, mais nous dormons l’esprit libre, comme dans un décor de plage avec une mer calme et un beau ciel bleu sans nuage !
Le soleil brille de mille feux, il fait très clair dans la chambre de Ben. Nous n’avions pas fermé les tentures avant de nous glisser sous les draps au moment du coucher. J’ouvre les yeux et je vois les yeux bleu océan de mon chéri qui se plongent dans les miens. Nos visages se rejoignent et enfin nos lèvres s’effleurent. Elles se retrouvent et s’entre-ouvrent pour laisser nos langues entrer dans la danse. Nous nous caressons les joues, la nuque, les tétons, … etc. Inutile de dire que nos phallus ne sont pas en reste, ils sont dressés tels des mâts de Cocagne. Nous entendons Arlette nous appeler. Ben répond que nous allons arriver. Nous arrêtons donc notre étreinte pour aller prendre une bonne douche.
Nous sommes sous le jet d’eau bien chaude et nous reprenons nos caresses où elles en étaient restées peu avant. Ma main droite descend vers le pubis de mon chéri, elle se pose sur son sexe dressé et entame des mouvements de va et vient. Ben calque alors ses gestes sur les miens et vient lui aussi s’emparer de mon bâton de chair.
Nous nous masturbons ainsi lascivement tout en nous embrassant. Je sens mon bas ventre qui chauffe, je sais que je vais bientôt arriver au point de non-retour. Je vais jouir dans pas longtemps, ça y est, je laisse ma semence s’écraser dans la main de Ben et presque en même temps celle de Ben dans la mienne. Je ne sais pas, mais j’ai comme un flash, ça me rappelle notre douche un matin avant d’aller à la réunion chez les scouts. C’est alors qu’on frappe à la porte et je vois la tête d’Yves qui passe. Je crois rêver, mais non c’est bel et bien réel. Yves dit alors : « Oh pardon mes garçons, ne traînez pas trop, on vous attend pour le petit déjeuner. » La porte se referme. Ben est immobile, moi aussi je ne bouge plus. Je suis pétrifié sur place. Je revois alors la scène qui s’est déroulée dans cette même salle de bain il y a des mois. Ben me sort de ma torpeur. Je réagis, je sors de la douche. Ben me suit sans dire un mot. Nous nous essuyons machinalement.
Alors que nous nous habillons dans la chambre je dis à Ben :
Moi : « Tu sais que j’ai revu la scène d’il y a des mois lorsque ton père est entré dans la salle de bain et nous a surpris en train de nous branler mutuellement !
Ben : Oui Phil, je m’en suis douté, ton visage a changé en une fraction de seconde. Tu es devenu blanc comme un linge. J’ai eu peur.
Moi : Je pensais que c’était un rêve, mais non c’est bien ton papa qui est venu et qui a ouvert la porte.
Ben : Oui Phil, c’était bien réel.
Moi : C’est quand il a dit : « Oh pardon mes garçons, ne traînez pas trop, on vous attend pour le petit déjeuner. » que je me suis calmé.
Ben : Désolé Phil, ça a dû te rappeler toutes les choses qui se sont déroulées ensuite.
Moi : Oui, en une fraction de seconde, j’ai revu une bonne partie de mon errance et de mon séjour à l’hosto.
Ben : C’est fini Phil, n’y pense plus. On va aller manger un bout. Tu verras ça ira mieux.
Moi : Merci Ben. Je t’aime !
Ben : Moi aussi je t’aime mon Philou d’amour ! »
Nous nous embrassons et quittons la chambre pour rejoindre le reste de la famille attablée devant un petit-déjeuner bien garni.
Nous avons du champagne et bien entendu toutes sortes de limonades et autres bières trappistes ou d’abbayes. Nous prenons presque tous du champagne. Nous avons nos flûtes en main et c’est le moment choisi pour nos pères pour faire leur petit discours. En fait ils se sont arrangés pour dire chacun une phrase après l’autre. Ils parlent de nous, de nos études, de notre engagement chez les scouts et de notre avenir tant au niveau scolaire qu’au niveau de notre relation particulière. Nous buvons alors à notre santé et à celle des deux familles réunies.
Inutile de dire que le repas est succulent. Deux entrées, un entremet, le plat de résistance, le plateau de fromages et pour clôturer, le dessert. Les plats sont accompagnés d’excellents vins. Décidément nos parents n’ont pas lésiné pour nous féliciter de notre réussite. C’est vrai que c’est un passage, une étape franchie, nous sortons presque de l’adolescence pour entrer dans notre vie d’adulte. Nous savons l’un et l’autre que nous pouvons compter sur nos parents et nos familles.
Il se fait tard et nous retournons à la maison. Nous n’avons pas encore décidé chez qui nous allions passer la nuit. Bien sûr je souhaite rester avec Ben, que ce soit chez mes parents ou chez les siens. C’est Anne qui nous propose de décider en jouant à pile ou face. Je prends pile et Ben face ! La pièce est lancée par ma sœur et elle retombe sur face ! Je vais donc loger chez Ben. Mon chéri affiche alors un large sourire, moi aussi d’ailleurs, je suis heureux d’être avec mon amour, peu importe où. Je salue ma famille et je prends place dans la voiture d’Arlette avec Ben.
Une fois arrivés à la maison, Ben et moi attendons l’arrivée d’Yves qui a lieu un quart d’heure après. Il sort de l’auto ainsi que Christine et Denis. Nous remarquons alors que les mains d’Yves et celles de Denis sont noires. En fait un pneu de la voiture d’Yves a crevé en quittant le parking du restaurant. Nous nous sommes mis à rire de même que Christine. Yves affiche un sourire en demi-teinte et Denis pouffe de rire ne sachant pas s’il peut rire à gorge déployée en voyant son beau-père « vexé » !
Finalement après avoir récuré leurs mimines, les deux « mécanos » se joignent à nous. C’est alors qu’Arlette apporte de quoi fêter un nouvelle fois nos belles réussites. C’est le champagne qui coule une nouvelle fois.
Nous parlons ensemble de nos projets. Denis nous pose quelques questions sur notre futur et entre autres sur les camps d’été au cours desquels nous ne serons pas ensemble. Ben explique que c’est peut-être un bien, car comme ça nous ne serons pas tentés de nous retrouver en couple à certains moments. C’est une bonne chose pour la cohésion des groupes et cela nous permettra, au retour, de nous abreuver de nombreuses anecdotes.
Christine dit qu’elle trouve ça très bien. Cette séparation momentanée n’aura aucune incidence sur notre amour, que du contraire cela le renforcera. Je vois qu’Arlette et Yves se regardent : ils ne disent rien mais n’en pensent pas moins. Je sais qu’ils découvrent que leurs enfants et beaux-enfants savent discuter comme des « grands » et qu’ils ont une certaine maturité.
Nous allons nous coucher après avoir pris une bonne douche. Nous sommes enlacés et nous nous embrassons. Nos regards se plongent l’un dans l’autre. Puis comme par magie, nos paupières se ferment et nous rejoignons le pays des rêves. Est-ce dû à la fatigue, à l’alcool ou bien aux deux, mais nous dormons l’esprit libre, comme dans un décor de plage avec une mer calme et un beau ciel bleu sans nuage !
Le soleil brille de mille feux, il fait très clair dans la chambre de Ben. Nous n’avions pas fermé les tentures avant de nous glisser sous les draps au moment du coucher. J’ouvre les yeux et je vois les yeux bleu océan de mon chéri qui se plongent dans les miens. Nos visages se rejoignent et enfin nos lèvres s’effleurent. Elles se retrouvent et s’entre-ouvrent pour laisser nos langues entrer dans la danse. Nous nous caressons les joues, la nuque, les tétons, … etc. Inutile de dire que nos phallus ne sont pas en reste, ils sont dressés tels des mâts de Cocagne. Nous entendons Arlette nous appeler. Ben répond que nous allons arriver. Nous arrêtons donc notre étreinte pour aller prendre une bonne douche.
Nous sommes sous le jet d’eau bien chaude et nous reprenons nos caresses où elles en étaient restées peu avant. Ma main droite descend vers le pubis de mon chéri, elle se pose sur son sexe dressé et entame des mouvements de va et vient. Ben calque alors ses gestes sur les miens et vient lui aussi s’emparer de mon bâton de chair.
Nous nous masturbons ainsi lascivement tout en nous embrassant. Je sens mon bas ventre qui chauffe, je sais que je vais bientôt arriver au point de non-retour. Je vais jouir dans pas longtemps, ça y est, je laisse ma semence s’écraser dans la main de Ben et presque en même temps celle de Ben dans la mienne. Je ne sais pas, mais j’ai comme un flash, ça me rappelle notre douche un matin avant d’aller à la réunion chez les scouts. C’est alors qu’on frappe à la porte et je vois la tête d’Yves qui passe. Je crois rêver, mais non c’est bel et bien réel. Yves dit alors : « Oh pardon mes garçons, ne traînez pas trop, on vous attend pour le petit déjeuner. » La porte se referme. Ben est immobile, moi aussi je ne bouge plus. Je suis pétrifié sur place. Je revois alors la scène qui s’est déroulée dans cette même salle de bain il y a des mois. Ben me sort de ma torpeur. Je réagis, je sors de la douche. Ben me suit sans dire un mot. Nous nous essuyons machinalement.
Alors que nous nous habillons dans la chambre je dis à Ben :
Moi : « Tu sais que j’ai revu la scène d’il y a des mois lorsque ton père est entré dans la salle de bain et nous a surpris en train de nous branler mutuellement !
Ben : Oui Phil, je m’en suis douté, ton visage a changé en une fraction de seconde. Tu es devenu blanc comme un linge. J’ai eu peur.
Moi : Je pensais que c’était un rêve, mais non c’est bien ton papa qui est venu et qui a ouvert la porte.
Ben : Oui Phil, c’était bien réel.
Moi : C’est quand il a dit : « Oh pardon mes garçons, ne traînez pas trop, on vous attend pour le petit déjeuner. » que je me suis calmé.
Ben : Désolé Phil, ça a dû te rappeler toutes les choses qui se sont déroulées ensuite.
Moi : Oui, en une fraction de seconde, j’ai revu une bonne partie de mon errance et de mon séjour à l’hosto.
Ben : C’est fini Phil, n’y pense plus. On va aller manger un bout. Tu verras ça ira mieux.
Moi : Merci Ben. Je t’aime !
Ben : Moi aussi je t’aime mon Philou d’amour ! »
Nous nous embrassons et quittons la chambre pour rejoindre le reste de la famille attablée devant un petit-déjeuner bien garni.