13-01-2023, 09:38 PM
On avait sorti les tables pour délimiter notre emplacement et on commençait à installer les plants. Tim avait fait ça bien. Chaque variété avait une couleur de pots. Et en plus il y avait des photos des produits.
Il n'avait pris que des variétés anciennes et rares. Et les plans étaient magnifiques. On finissait quand je vis Tim sauter de joie et courir vers un fourgon. La vitre se baissa et une fille se pencha. Il se firent un bisou. Il l'aida à se garer et dès qu'elle descendit il se colla à elle et lui roula la méga pelle. Puis il partit en courant.
Il revint quelques minutes après avec un sac de croissants et trois cafés.
— Bé, viens nous rejoindre. Ne fait pas bande à part.
Mary, je te présente mon meilleur ami Jean-François. Jean-François, je te présente Mary.
On se fit la bise. Tim avait très bon goût. Mary était juste splendide. On l'aida à installer son stand sous ses ordres.
Tim passait plus de temps sur le stand de Mary que le nôtre. Un groupe de gars arriva, des babas cool à leur dégaine. Je les voyais tous taper sur leur téléphone. Ils ont discuté quelques minutes entre eux puis ils se sont dirigés vers le stand.
— Salut, tes plants sont bio ?
— Oui 100% bio. Ils viennent des Fourches.
— On le connaît le gars des Fourches, c'est pas toi.
— Oui j’avoue. Le gars des Fourches comme tu dis, il est en train de butiner juste derrière toi avec la marchande de miel.
— C'est quoi ces variétés, je les connais pas.
— Ça je peux te le dire. C'est des graines que mon arrière-grand-père avait et qu'il ne faisait plus. Il les a donné à Tim. L'an dernier il en a planté et il les a faites pousser. D'où les photos des fruits.
— Ok et ils valent combien ?
— Cinq euros la barquette de six ou un euro le plant.
— Ok, on te les prend.
— Pas de souci, combien vous en voulez.
— On prend le tout.
— Wow, vous allez en faire quoi ?
— On est un groupe de producteurs indépendants. On vend nos fruits et légumes sur les marchés. Et tes variétés ne sont vraiment pas communes et le peu qu'on en a vu sur le net c'est des variétés rustiques sans OGM. C'est cool. Combien on te doit ?
— vingt euros la cagette, y'a trente cagettes, ça fait six-cents euros.
— Tu nous fais un prix ?
— J'ai trois cagettes encore dans le fourgon, c'est des melons et des pastèques. Si je vous les donne, ça marche ?
— Pas de soucis. Je te paye. On va chercher le camion et on charge.
C'est quand il nous vit faire la chaîne et vider le stand que Tim vint voir ce qu'il se passait.
— Vous faites quoi, Bé ?
— Je les aide à charger ce qu'ils viennent d’acheter.
— Mais ils ont acheté quoi ?
— Bin tout.
— Et tu leur as fait un prix ?
— J’ai donné les cagettes qui étaient dans le camion.
— C'est tout ?
— Bin tu m'avais rien dit. J'ai mal fait ?
— Non. Pas du tout. En plus j'ai emmené ça ici parce que c'est pas des variétés connues et comme les gens de la ville sont des 'taberlots' (imbéciles) je pensais que je les vendrai plus facilement ici. Pour eux un plan de tomate, c'est un plant de tomate. Pareil pour des aubergines ou des poivrons.
Bon, il ne nous reste plus qu'à ranger les tables.
Je devrais t'emmener plus souvent avec moi, Bé.
— Et pourquoi ça ?
— C'est la première fois que je reviens le fourgon vide. Et c'est grâce à toi.
— Au fait, tiens .
— Tu n'avais qu'à le mettre dans la caisse. En plus, ils t'ont payé en liquide ?
— Bin oui.
— Allez viens, je te paye un coup à boire.
— Non ça va merci mais j'ai pas soif. Par contre tu sais où il y a des pissotières ?
— Oui… au bistrot, justement.
Quand on revint, on alla directement au stand de Mary.
— Tim, tu ne veux pas aller me chercher un grand café ? Attends, je te donne l’argent.
— Si tu veux Mary, je peux surveiller ton stand pendant que vous allez boire un café à deux.
— Tu es sûr Jean-François, ça ne te dérange pas ?
— Non c'est bon allez-y.
— les prix sont sur les pots. On traînera pas.
Ils sont partis vers dix heures et ce n'est qu'à onze heures trente passées qu’ils revinrent en se tenant par la main. J'avais vendu pas mal de pots.
— On est désolés Jean-François, on n'a pas vu le temps filer. Wow, mais c'est vrai que tu es doué comme vendeur toi.
— Pas grave. J'ai eu deux demandes en mariage. Bon c'était pas des jeunesses non plus. Je t'ai mis l'argent dans ta caisse.
Il y eut du monde jusqu'à midi et demi. Puis on aida Mary à ranger son stand et je refusais leur invitation à manger avec eux. On se donna rendez-vous à dix-huit heures devant la Maison Carrée. Ça tombait bien c'était à deux pas du sauna.
Le temps se couvrait. Et l'orage grondait au loin.
Je mangeais un sandwich sur une terrasse de bistrot en buvant un coca. Puis je me rendis au sauna. L'entrée était discrète une sonnerie teinta et un gars assez mignon parut au guichet. Il me demanda le prix de l'entrée et me donna une serviette et une clef. Le gars me précisa que les vestiaires étaient à gauche après la porte.
J'y entrais, je trouvais mon casier et je me changeais. Et quand je ressortis, le gars qui m'avait fait payer l'entrée me fit faire la visite de l’établissement. La première pièce avait tout d'un bar avec en plus des canapés pour discuter. Il y avait aussi une vitrine où ils vendaient des gadgets sexuels. On entra dans un couloir où une porte donnait sur une grande pièce où il y avait une piscine et au fond le hammam. On revint sur nos pas, on prit le couloir qui était bordé de cabines de relaxation ou autre. Une salle télé qui passait des pornos en boucle. Puis une pièce où il y avait quelques accessoires SM comme une croix de Saint André, un pilori, et une autre petite pièce où il y avait un sling avec des miroirs sur tous les côtés y compris au plafond. Plus loin une pièce noire, puis le sauna, les douches et les toilettes.
— Bon après-midi.
— Merci.
Bien sûr j'étais comme le miel qui attire les mouches. Beaucoup me tournaient autour, certains osaient mais comme ils ne me plaisaient pas, gentiment je leur disais non. Je profitais un grand moment du hammam, puis du sauna. J'allais m'asseoir au bar et je commandais un coca. Je le buvais tranquillement quand un beau garçon sortit du hammam et vint s'asseoir sur le siège à côté du mien. Bon, c'était le seul qui était libre aussi.
Il devait avoir ses habitudes parce qu'il connaissait un grand nombre de clients. Il me matait en utilisant les miroirs du bar.
— Salut, je suis Jean-François et toi ?
— Marc.
— Enchanté Marc, alors je suis à ton goût ou pas ?
— Mais pourquoi tu me demandes ça ?
— Depuis le temps que tu me mates et que tu essaies de voir ce que j'ai de caché par ma serviette que …
— Oh, j'ai cru que j'étais discret.
— Bin non, pas tant que ça. Après si tu veux voir, j'ai rien contre mais c'est à tes risques et périls.
— Je fais pas dans le SM moi.
— Moi non plus. Je voulais juste dire que si tu m'allumes, tu m’éteins.
— Pas de souci dans la mesure où tu m'offres un dîner et pas juste un amuse-gueule.
— Sans me vanter ça tient plus du routier que du resto gastronomique.
— Ok, va pour le routier mec, je préfère un hamburger.
— C'est un big mac que je te propose.
— Ok, on y va.
On entra dans une cabine dont il verrouilla la porte, on grimpa sur la banquette, il me dit de rester debout. Il enleva ma serviette, siffla en voyant ma mi molle qu'il avala de suite. Et quand elle fut bien raide il me demanda de m’allonger. Je lui quittais sa serviette et dessous il portait un jockstrap. Je voulus le lui enlever mais il refusa.
— Tu as mon cul et ma bouche pour te satisfaire, ma queue est sans intérêt pour moi et encore moins pour toi.
— Vas y suce moi.
Et y'a pas à dire mais avec sa bouche il faisait des merveilles et avec son cul des miracles. En un peu plus d'une heure je lui avais dosé la bouche et le cul. Et lui avait joui du cul une fois. Je dis joui du cul, c'est vrai et faux à la fois. C'est parce que j'avais bien stimulé sa prostate qu'il avait juté. Son jockstrap était descendu. Et j'avais pu voir sa queue quelques secondes. Il avait une toute petite bite. chaque couille avaient la taille d'une cerise et mon petit doigt était aussi gros que sa queue en érection.
On resta allongés quelques minutes le temps de se reprendre, on nettoya la cabine et on alla se doucher. Le sauna étant tout proche j'y entrais tandis que le petit minou repartait vers le bar.
Je suais comme une bête et en m'essuyant vigoureusement avec ma serviette j'enlevais toute les cellules mortes de mon corps. Ça faisait des petites boules grises dégueulasses. Je pris une douche à l'eau froide et quand je voulus m'essuyer ma serviette était toute mouillée.
— Il y en a des sèches dans les vestiaires si tu veux.
— Ok, merci.
J'y allais, j'en pris une nouvelle. Un gars se changeait, en fait il se foutait à poil. Il était penché et je ne voyais que son cul musclé et ses jambes. Quand il se releva je vis son dos massif, ses épaules larges, et ma queue fit un bond. Je mis vite ma serviette pour cacher mon émoi.
Le gars se retourna et je pus voir que le devant n'avait rien à envier à l’arrière. Une belle gueule, de jolis pecs musclés, un ventre plat et une bite et des couilles qui laissaient deviner du lourd.
Il plia sa serviette dans le sens de la longueur et l'enroula autour de sa taille fine. Dès qu’il bougeait, on voyait ses couilles et son gland qui dépassaient devant et le bas de ses fesses derrière.
J'allais au bar où je bus un coca. Je refusais deux offres tarifées, la première pour laisser un mec me sucer et la deuxième pour en baiser un autre.
Le beau gosse revint. Il avait dû aller prendre une douche. Il se posa à côté de moi au bar. Il commanda une bière et m'offrit un coca.
Il me tendit la main et dit simplement «Sacha» et je lui répondis pareillement «Jean-François». Il but une gorgée de bière.
— Il paraît que tu t'es tapé mon petit minou.
— Je ne vois pas de quoi tu veux parler.
— Un petit minou en jockstrap, ça te dit rien ?
— Si j'en ai vu un qui traîne dans le sauna mais ça fait un moment que je ne l'ai plus recroisé. Tu es de quelle origine Sacha.
— Je suis Russe. Oui je sais j'ai un accent.
— Il te vas bien.
— Qu'est-ce que tu veux dire par là ?
— C'est un compliment. Il ajoute un charme au beau gosse que tu es. Ton accent te donne un côté exotique, mystérieux.
Ça le fit sourire et il me fit un clin d’œil. Il avait fini sa bière. Je lui demandais s'il en voulait une autre mais il refusa.
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Il n'avait pris que des variétés anciennes et rares. Et les plans étaient magnifiques. On finissait quand je vis Tim sauter de joie et courir vers un fourgon. La vitre se baissa et une fille se pencha. Il se firent un bisou. Il l'aida à se garer et dès qu'elle descendit il se colla à elle et lui roula la méga pelle. Puis il partit en courant.
Il revint quelques minutes après avec un sac de croissants et trois cafés.
— Bé, viens nous rejoindre. Ne fait pas bande à part.
Mary, je te présente mon meilleur ami Jean-François. Jean-François, je te présente Mary.
On se fit la bise. Tim avait très bon goût. Mary était juste splendide. On l'aida à installer son stand sous ses ordres.
Tim passait plus de temps sur le stand de Mary que le nôtre. Un groupe de gars arriva, des babas cool à leur dégaine. Je les voyais tous taper sur leur téléphone. Ils ont discuté quelques minutes entre eux puis ils se sont dirigés vers le stand.
— Salut, tes plants sont bio ?
— Oui 100% bio. Ils viennent des Fourches.
— On le connaît le gars des Fourches, c'est pas toi.
— Oui j’avoue. Le gars des Fourches comme tu dis, il est en train de butiner juste derrière toi avec la marchande de miel.
— C'est quoi ces variétés, je les connais pas.
— Ça je peux te le dire. C'est des graines que mon arrière-grand-père avait et qu'il ne faisait plus. Il les a donné à Tim. L'an dernier il en a planté et il les a faites pousser. D'où les photos des fruits.
— Ok et ils valent combien ?
— Cinq euros la barquette de six ou un euro le plant.
— Ok, on te les prend.
— Pas de souci, combien vous en voulez.
— On prend le tout.
— Wow, vous allez en faire quoi ?
— On est un groupe de producteurs indépendants. On vend nos fruits et légumes sur les marchés. Et tes variétés ne sont vraiment pas communes et le peu qu'on en a vu sur le net c'est des variétés rustiques sans OGM. C'est cool. Combien on te doit ?
— vingt euros la cagette, y'a trente cagettes, ça fait six-cents euros.
— Tu nous fais un prix ?
— J'ai trois cagettes encore dans le fourgon, c'est des melons et des pastèques. Si je vous les donne, ça marche ?
— Pas de soucis. Je te paye. On va chercher le camion et on charge.
C'est quand il nous vit faire la chaîne et vider le stand que Tim vint voir ce qu'il se passait.
— Vous faites quoi, Bé ?
— Je les aide à charger ce qu'ils viennent d’acheter.
— Mais ils ont acheté quoi ?
— Bin tout.
— Et tu leur as fait un prix ?
— J’ai donné les cagettes qui étaient dans le camion.
— C'est tout ?
— Bin tu m'avais rien dit. J'ai mal fait ?
— Non. Pas du tout. En plus j'ai emmené ça ici parce que c'est pas des variétés connues et comme les gens de la ville sont des 'taberlots' (imbéciles) je pensais que je les vendrai plus facilement ici. Pour eux un plan de tomate, c'est un plant de tomate. Pareil pour des aubergines ou des poivrons.
Bon, il ne nous reste plus qu'à ranger les tables.
Je devrais t'emmener plus souvent avec moi, Bé.
— Et pourquoi ça ?
— C'est la première fois que je reviens le fourgon vide. Et c'est grâce à toi.
— Au fait, tiens .
— Tu n'avais qu'à le mettre dans la caisse. En plus, ils t'ont payé en liquide ?
— Bin oui.
— Allez viens, je te paye un coup à boire.
— Non ça va merci mais j'ai pas soif. Par contre tu sais où il y a des pissotières ?
— Oui… au bistrot, justement.
Quand on revint, on alla directement au stand de Mary.
— Tim, tu ne veux pas aller me chercher un grand café ? Attends, je te donne l’argent.
— Si tu veux Mary, je peux surveiller ton stand pendant que vous allez boire un café à deux.
— Tu es sûr Jean-François, ça ne te dérange pas ?
— Non c'est bon allez-y.
— les prix sont sur les pots. On traînera pas.
Ils sont partis vers dix heures et ce n'est qu'à onze heures trente passées qu’ils revinrent en se tenant par la main. J'avais vendu pas mal de pots.
— On est désolés Jean-François, on n'a pas vu le temps filer. Wow, mais c'est vrai que tu es doué comme vendeur toi.
— Pas grave. J'ai eu deux demandes en mariage. Bon c'était pas des jeunesses non plus. Je t'ai mis l'argent dans ta caisse.
Il y eut du monde jusqu'à midi et demi. Puis on aida Mary à ranger son stand et je refusais leur invitation à manger avec eux. On se donna rendez-vous à dix-huit heures devant la Maison Carrée. Ça tombait bien c'était à deux pas du sauna.
Le temps se couvrait. Et l'orage grondait au loin.
Je mangeais un sandwich sur une terrasse de bistrot en buvant un coca. Puis je me rendis au sauna. L'entrée était discrète une sonnerie teinta et un gars assez mignon parut au guichet. Il me demanda le prix de l'entrée et me donna une serviette et une clef. Le gars me précisa que les vestiaires étaient à gauche après la porte.
J'y entrais, je trouvais mon casier et je me changeais. Et quand je ressortis, le gars qui m'avait fait payer l'entrée me fit faire la visite de l’établissement. La première pièce avait tout d'un bar avec en plus des canapés pour discuter. Il y avait aussi une vitrine où ils vendaient des gadgets sexuels. On entra dans un couloir où une porte donnait sur une grande pièce où il y avait une piscine et au fond le hammam. On revint sur nos pas, on prit le couloir qui était bordé de cabines de relaxation ou autre. Une salle télé qui passait des pornos en boucle. Puis une pièce où il y avait quelques accessoires SM comme une croix de Saint André, un pilori, et une autre petite pièce où il y avait un sling avec des miroirs sur tous les côtés y compris au plafond. Plus loin une pièce noire, puis le sauna, les douches et les toilettes.
— Bon après-midi.
— Merci.
Bien sûr j'étais comme le miel qui attire les mouches. Beaucoup me tournaient autour, certains osaient mais comme ils ne me plaisaient pas, gentiment je leur disais non. Je profitais un grand moment du hammam, puis du sauna. J'allais m'asseoir au bar et je commandais un coca. Je le buvais tranquillement quand un beau garçon sortit du hammam et vint s'asseoir sur le siège à côté du mien. Bon, c'était le seul qui était libre aussi.
Il devait avoir ses habitudes parce qu'il connaissait un grand nombre de clients. Il me matait en utilisant les miroirs du bar.
— Salut, je suis Jean-François et toi ?
— Marc.
— Enchanté Marc, alors je suis à ton goût ou pas ?
— Mais pourquoi tu me demandes ça ?
— Depuis le temps que tu me mates et que tu essaies de voir ce que j'ai de caché par ma serviette que …
— Oh, j'ai cru que j'étais discret.
— Bin non, pas tant que ça. Après si tu veux voir, j'ai rien contre mais c'est à tes risques et périls.
— Je fais pas dans le SM moi.
— Moi non plus. Je voulais juste dire que si tu m'allumes, tu m’éteins.
— Pas de souci dans la mesure où tu m'offres un dîner et pas juste un amuse-gueule.
— Sans me vanter ça tient plus du routier que du resto gastronomique.
— Ok, va pour le routier mec, je préfère un hamburger.
— C'est un big mac que je te propose.
— Ok, on y va.
On entra dans une cabine dont il verrouilla la porte, on grimpa sur la banquette, il me dit de rester debout. Il enleva ma serviette, siffla en voyant ma mi molle qu'il avala de suite. Et quand elle fut bien raide il me demanda de m’allonger. Je lui quittais sa serviette et dessous il portait un jockstrap. Je voulus le lui enlever mais il refusa.
— Tu as mon cul et ma bouche pour te satisfaire, ma queue est sans intérêt pour moi et encore moins pour toi.
— Vas y suce moi.
Et y'a pas à dire mais avec sa bouche il faisait des merveilles et avec son cul des miracles. En un peu plus d'une heure je lui avais dosé la bouche et le cul. Et lui avait joui du cul une fois. Je dis joui du cul, c'est vrai et faux à la fois. C'est parce que j'avais bien stimulé sa prostate qu'il avait juté. Son jockstrap était descendu. Et j'avais pu voir sa queue quelques secondes. Il avait une toute petite bite. chaque couille avaient la taille d'une cerise et mon petit doigt était aussi gros que sa queue en érection.
On resta allongés quelques minutes le temps de se reprendre, on nettoya la cabine et on alla se doucher. Le sauna étant tout proche j'y entrais tandis que le petit minou repartait vers le bar.
Je suais comme une bête et en m'essuyant vigoureusement avec ma serviette j'enlevais toute les cellules mortes de mon corps. Ça faisait des petites boules grises dégueulasses. Je pris une douche à l'eau froide et quand je voulus m'essuyer ma serviette était toute mouillée.
— Il y en a des sèches dans les vestiaires si tu veux.
— Ok, merci.
J'y allais, j'en pris une nouvelle. Un gars se changeait, en fait il se foutait à poil. Il était penché et je ne voyais que son cul musclé et ses jambes. Quand il se releva je vis son dos massif, ses épaules larges, et ma queue fit un bond. Je mis vite ma serviette pour cacher mon émoi.
Le gars se retourna et je pus voir que le devant n'avait rien à envier à l’arrière. Une belle gueule, de jolis pecs musclés, un ventre plat et une bite et des couilles qui laissaient deviner du lourd.
Il plia sa serviette dans le sens de la longueur et l'enroula autour de sa taille fine. Dès qu’il bougeait, on voyait ses couilles et son gland qui dépassaient devant et le bas de ses fesses derrière.
J'allais au bar où je bus un coca. Je refusais deux offres tarifées, la première pour laisser un mec me sucer et la deuxième pour en baiser un autre.
Le beau gosse revint. Il avait dû aller prendre une douche. Il se posa à côté de moi au bar. Il commanda une bière et m'offrit un coca.
Il me tendit la main et dit simplement «Sacha» et je lui répondis pareillement «Jean-François». Il but une gorgée de bière.
— Il paraît que tu t'es tapé mon petit minou.
— Je ne vois pas de quoi tu veux parler.
— Un petit minou en jockstrap, ça te dit rien ?
— Si j'en ai vu un qui traîne dans le sauna mais ça fait un moment que je ne l'ai plus recroisé. Tu es de quelle origine Sacha.
— Je suis Russe. Oui je sais j'ai un accent.
— Il te vas bien.
— Qu'est-ce que tu veux dire par là ?
— C'est un compliment. Il ajoute un charme au beau gosse que tu es. Ton accent te donne un côté exotique, mystérieux.
Ça le fit sourire et il me fit un clin d’œil. Il avait fini sa bière. Je lui demandais s'il en voulait une autre mais il refusa.
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