11-01-2023, 10:44 AM
Après le verre de l’amitié offert par l’établissement scolaire aux élèves de rhétorique, nous quittons les lieux non sans avoir salué tous mes compagnons de classe et mes professeurs. Bien sûr, avant de partir, je dis à Marie et Isabelle qu’il serait bien que nous pussions rester en contact. Elles approuvent. Je suis très heureux de savoir que nous nous reverrons par la suite ! C’est donc le cœur léger que je rentre avec mes parents à la maison.
Alors que je suis sur la terrasse, occupé à dresser la table, j’entends le téléphone sonner. Je suis certain que c’est Ben qui veut savoir comment s’est passée la remise des diplômes. Je décroche, c’est bien mon chéri. Il me dit qu’il est second de classe et qu’il a obtenu septante-cinq pour cent. Je le félicite et je lui dis que je suis premier avec septante-sept pour cent. Nous sommes heureux tous les deux ! Nous nous félicitons l’un l’autre. Nous savons que nous allons passer de très bonnes vacances et que nous allons rentrer à l’université pour suivre les études que nous avons choisies. Nous pensons que nous allons pouvoir nous rencontrer dans le courant de l’après-midi.
J’ai à peine fini de discuter avec Ben que ma sœur et mon frère, accompagnés d’Amandine et d’André, entrent dans le hall de la maison. Je vois qu’ils sont très souriants. Anne et Jean viennent de finir leurs derniers examens ; il en est de même pour Amandine. Nous nous faisons la bise avant de rejoindre les parents sur la terrasse. Je vois que maman a préparé quelques toasts et que papa a sorti trois bouteilles de champagne. Une fois installés, mes parents me félicitent pour ma réussite. Nous buvons une gorgée de bulles. Je prends ensuite la parole :
Moi : « Voilà, je suis enfin diplômé. J’ai obtenu septante-sept pour cent et je suis premier de classe !
Tous : Bravo Phil, félicitations, tu le mérites !
Moi : Merci, je suis super content. Ce n’est pas tout, cerise sur le gâteau, Ben lui aussi a réussi, il est second de sa classe avec septante-cinq pour cent !
Tous : Mais c’est génial !
Moi : J’ai hâte de le voir pour le féliciter de vive voix.
Papa : Tu vas pouvoir le voir bientôt, ne t’inquiète pas mon grand.
Mam : Ce soir nous allons nous retrouver avec la famille de Ben pour un bon repas ! Bien entendu, Amandine et André vous êtes aussi conviés à ce souper !
Moi : Oh, c’est super génial, j’ai déjà envie d’être à ce soir !
Aman : Merci, je vais prévenir mes parents.
And : Merci, ça me fait très plaisir. Je me réjouis de vous accompagner et d’être aux côtés de ma chérie.
Mam : Je suis heureuse de vous compter parmi nous ! »
Des éclats de rire se font entendre. Nous prenons cet apéro tout en mangeant les zakouskis préparés par maman. André discute avec moi et il me trouve très joyeux, il est content que je me sois tourné vers l’avenir et que Ben partage celui-ci avec moi. Il ajoute qu’Henri est sûrement très fier de moi également. Je dépose un bisou sur la joue droite d’André en lui disant : « Merci mon frère de cœur ! ».
Jean a tout entendu et me regarde. Il voit que je ne pleure pas, certes que je suis ému, mais que je prends bien l’allusion faite à mon cher Henri. Nos regards se croisent et en une fraction de seconde, je comprends que mon petit frère est lui aussi très fier de moi, mais aussi que j’ai fait mon deuil.
Il est treize heures passées, nous mangeons quelques sandwichs préparés pour remplir les estomacs. Nous savons que nous mangerons très bien au soir. Je fais attention de ne pas trop boire de boissons alcoolisées, je me tourne vers les softs qui sont aussi à disposition sur la table. Je vois que maman m’observe et qu’elle est ravie de voir que je suis si responsable. Elle me fait un clin d’œil qui en dit long. Pas besoin de mots pour se comprendre.
L’après-midi se passe tranquillement, je profite du soleil, j’ai mis au préalable de la crème solaire avant de m’exposer. Je suis bien entendu nu et rejoint par Anne, Jean, Amandine et André qui sont tous dans la même tenue que moi. Nous profitons de ce moment de calme et discutons de choses et d’autres, particulièrement de nos vacances. Je pense alors au camp scout qui va bientôt débuter, soit début juillet.
Maman vient me trouver, j’ai un appel téléphonique. Je me rends dans le hall et je prends le combiné :
Moi : « Allô.
Bon : Bonjour Phil, c’est monsieur Bonjean à l’appareil.
Moi : Bonjour monsieur, je ne m’attendais pas à vous avoir au bout du fil !
Bon : J’ai appris par ta maman que tu as très bien réussi tes examens et que tu vas rentrer à l’université, je te félicite.
Moi : Merci, c’est très gentil.
Bon : Je te téléphone pour te demander si tu serais d’accord de venir travailler comme étudiant durant les deux dernières semaines du mois d’août car j’ai deux désistements !
Moi : Oui, pourquoi pas, je suis disponible.
Bon : Je suis ravi que ça t’intéresse.
Moi : Pour l’autre étudiant, vous avez déjà trouvé ?
Bon : Non, je pensais à ton ami Benoît ! Peux-tu me dire, d’une part si vous êtes toujours ensemble et d’autre part si c’est oui, de me communiquer son numéro de téléphone pour que je puisse lui proposer la place qui reste pour la même période ?
Moi : Bien sûr nous sommes toujours ensembles. Voilà, je vous donne le numéro d’appel, c’est le -------.
Bon : Merci à toi. Donc je compte sur toi pour la dernière quinzaine du mois d’août.
Moi : Oui, bien entendu et je suis certain que ce sera oui pour Ben.
Bon : Merci Phil, bonnes vacances à vous deux et à vos familles.
Moi : Merci, bonne fin de journée à vous.
Bon : Aurevoir.
Moi : Aurevoir. »
Alors là, je ne m’y attendais pas. Je vois que maman attend à l’entrée du salon. Elle a probablement entendu la conversation avec monsieur Bonjean. Elle affiche un large sourire, tout comme moi d’ailleurs. Elle est contente pour moi. Je vais annoncer la bonne nouvelle au reste de la famille. C’est bras dessus bras dessous que maman et moi rejoignons papa et mes frère et sœur ainsi que leurs compagne et compagnon. Ils se rendent compte que nous sommes tout sourires. Je leur dis alors :
Moi : « Bien voilà, j’ai un job d’étudiant pour la seconde quinzaine du mois d’août !
Tous : Super !
Moi : Normalement Ben sera aussi de la partie.
Papa : Je suis très heureux pour vous.
Moi : Merci pour votre enthousiasme. »
Je m’allonge sur mon transat et nous reprenons nos conversations entre nous, ayant tous le sourire aux lèvres. Je suis très heureux, tout se passe au mieux, j’aime mon Ben d’amour, nous avons réussi nos études secondaires, nous allons passer de bonnes vacances, nous sommes choyés par nos deux familles et nous avons de très bons amis. La vie nous offre un avenir exempt de nuages. Que demander de plus !
Alors que je suis sur la terrasse, occupé à dresser la table, j’entends le téléphone sonner. Je suis certain que c’est Ben qui veut savoir comment s’est passée la remise des diplômes. Je décroche, c’est bien mon chéri. Il me dit qu’il est second de classe et qu’il a obtenu septante-cinq pour cent. Je le félicite et je lui dis que je suis premier avec septante-sept pour cent. Nous sommes heureux tous les deux ! Nous nous félicitons l’un l’autre. Nous savons que nous allons passer de très bonnes vacances et que nous allons rentrer à l’université pour suivre les études que nous avons choisies. Nous pensons que nous allons pouvoir nous rencontrer dans le courant de l’après-midi.
J’ai à peine fini de discuter avec Ben que ma sœur et mon frère, accompagnés d’Amandine et d’André, entrent dans le hall de la maison. Je vois qu’ils sont très souriants. Anne et Jean viennent de finir leurs derniers examens ; il en est de même pour Amandine. Nous nous faisons la bise avant de rejoindre les parents sur la terrasse. Je vois que maman a préparé quelques toasts et que papa a sorti trois bouteilles de champagne. Une fois installés, mes parents me félicitent pour ma réussite. Nous buvons une gorgée de bulles. Je prends ensuite la parole :
Moi : « Voilà, je suis enfin diplômé. J’ai obtenu septante-sept pour cent et je suis premier de classe !
Tous : Bravo Phil, félicitations, tu le mérites !
Moi : Merci, je suis super content. Ce n’est pas tout, cerise sur le gâteau, Ben lui aussi a réussi, il est second de sa classe avec septante-cinq pour cent !
Tous : Mais c’est génial !
Moi : J’ai hâte de le voir pour le féliciter de vive voix.
Papa : Tu vas pouvoir le voir bientôt, ne t’inquiète pas mon grand.
Mam : Ce soir nous allons nous retrouver avec la famille de Ben pour un bon repas ! Bien entendu, Amandine et André vous êtes aussi conviés à ce souper !
Moi : Oh, c’est super génial, j’ai déjà envie d’être à ce soir !
Aman : Merci, je vais prévenir mes parents.
And : Merci, ça me fait très plaisir. Je me réjouis de vous accompagner et d’être aux côtés de ma chérie.
Mam : Je suis heureuse de vous compter parmi nous ! »
Des éclats de rire se font entendre. Nous prenons cet apéro tout en mangeant les zakouskis préparés par maman. André discute avec moi et il me trouve très joyeux, il est content que je me sois tourné vers l’avenir et que Ben partage celui-ci avec moi. Il ajoute qu’Henri est sûrement très fier de moi également. Je dépose un bisou sur la joue droite d’André en lui disant : « Merci mon frère de cœur ! ».
Jean a tout entendu et me regarde. Il voit que je ne pleure pas, certes que je suis ému, mais que je prends bien l’allusion faite à mon cher Henri. Nos regards se croisent et en une fraction de seconde, je comprends que mon petit frère est lui aussi très fier de moi, mais aussi que j’ai fait mon deuil.
Il est treize heures passées, nous mangeons quelques sandwichs préparés pour remplir les estomacs. Nous savons que nous mangerons très bien au soir. Je fais attention de ne pas trop boire de boissons alcoolisées, je me tourne vers les softs qui sont aussi à disposition sur la table. Je vois que maman m’observe et qu’elle est ravie de voir que je suis si responsable. Elle me fait un clin d’œil qui en dit long. Pas besoin de mots pour se comprendre.
L’après-midi se passe tranquillement, je profite du soleil, j’ai mis au préalable de la crème solaire avant de m’exposer. Je suis bien entendu nu et rejoint par Anne, Jean, Amandine et André qui sont tous dans la même tenue que moi. Nous profitons de ce moment de calme et discutons de choses et d’autres, particulièrement de nos vacances. Je pense alors au camp scout qui va bientôt débuter, soit début juillet.
Maman vient me trouver, j’ai un appel téléphonique. Je me rends dans le hall et je prends le combiné :
Moi : « Allô.
Bon : Bonjour Phil, c’est monsieur Bonjean à l’appareil.
Moi : Bonjour monsieur, je ne m’attendais pas à vous avoir au bout du fil !
Bon : J’ai appris par ta maman que tu as très bien réussi tes examens et que tu vas rentrer à l’université, je te félicite.
Moi : Merci, c’est très gentil.
Bon : Je te téléphone pour te demander si tu serais d’accord de venir travailler comme étudiant durant les deux dernières semaines du mois d’août car j’ai deux désistements !
Moi : Oui, pourquoi pas, je suis disponible.
Bon : Je suis ravi que ça t’intéresse.
Moi : Pour l’autre étudiant, vous avez déjà trouvé ?
Bon : Non, je pensais à ton ami Benoît ! Peux-tu me dire, d’une part si vous êtes toujours ensemble et d’autre part si c’est oui, de me communiquer son numéro de téléphone pour que je puisse lui proposer la place qui reste pour la même période ?
Moi : Bien sûr nous sommes toujours ensembles. Voilà, je vous donne le numéro d’appel, c’est le -------.
Bon : Merci à toi. Donc je compte sur toi pour la dernière quinzaine du mois d’août.
Moi : Oui, bien entendu et je suis certain que ce sera oui pour Ben.
Bon : Merci Phil, bonnes vacances à vous deux et à vos familles.
Moi : Merci, bonne fin de journée à vous.
Bon : Aurevoir.
Moi : Aurevoir. »
Alors là, je ne m’y attendais pas. Je vois que maman attend à l’entrée du salon. Elle a probablement entendu la conversation avec monsieur Bonjean. Elle affiche un large sourire, tout comme moi d’ailleurs. Elle est contente pour moi. Je vais annoncer la bonne nouvelle au reste de la famille. C’est bras dessus bras dessous que maman et moi rejoignons papa et mes frère et sœur ainsi que leurs compagne et compagnon. Ils se rendent compte que nous sommes tout sourires. Je leur dis alors :
Moi : « Bien voilà, j’ai un job d’étudiant pour la seconde quinzaine du mois d’août !
Tous : Super !
Moi : Normalement Ben sera aussi de la partie.
Papa : Je suis très heureux pour vous.
Moi : Merci pour votre enthousiasme. »
Je m’allonge sur mon transat et nous reprenons nos conversations entre nous, ayant tous le sourire aux lèvres. Je suis très heureux, tout se passe au mieux, j’aime mon Ben d’amour, nous avons réussi nos études secondaires, nous allons passer de bonnes vacances, nous sommes choyés par nos deux familles et nous avons de très bons amis. La vie nous offre un avenir exempt de nuages. Que demander de plus !