CHAPITRE XI
Tôt ce matin, j’ai laissé Alice au lit. Un bras est venu m’enlacer furtivement, très vite pelotonné sous le drap pour vaincre la fraîcheur matinale.
Sept heures quarante cinq pétantes, je suis devant la guitoune. Fermée. J’attends une bonne dizaine de minutes avant de voir Julie passer.
- Bonjour Pascal. Toujours décidé ?
- Bonjour Julie. Oui évidemment sinon je ne serais pas ici à cette heure là.
Julie sourit. C’est la première fois que je la vois sourire, ce qui rend beaucoup plus sympathique son visage de femme acariâtre. Un sourire, ça vous change une femme. Y a pas à dire.
J’ai l’impression qu’elle a remis les vêtements qu’elle portait la veille. Le même haut. Le même pantalon moulant. Je me demande en mon fort intérieur si elle a conservé aussi le même string et les mêmes chaussettes et l’image m’amuse.
Après le formalités d’usage, Julie m’amène à la sellerie. Je découvre un univers totalement inconnu et je commence à me rendre compte de l’immensité du domaine à appréhender. Il faut savoir manipuler les différents ustensiles à commencer par le licol, la selle, le filet. J’en prends vite plein la tête.
Julie est patiente même si son côté autoritaire est parfois revenu au galop. Et tout compte fait, ce premier cours s’est bien passé, dans une ambiance plutôt sympathique. Je prends congé. Rendez-vous est fixé au lendemain à 18h00.
Tôt ce matin, j’ai laissé Alice au lit. Un bras est venu m’enlacer furtivement, très vite pelotonné sous le drap pour vaincre la fraîcheur matinale.
Sept heures quarante cinq pétantes, je suis devant la guitoune. Fermée. J’attends une bonne dizaine de minutes avant de voir Julie passer.
- Bonjour Pascal. Toujours décidé ?
- Bonjour Julie. Oui évidemment sinon je ne serais pas ici à cette heure là.
Julie sourit. C’est la première fois que je la vois sourire, ce qui rend beaucoup plus sympathique son visage de femme acariâtre. Un sourire, ça vous change une femme. Y a pas à dire.
J’ai l’impression qu’elle a remis les vêtements qu’elle portait la veille. Le même haut. Le même pantalon moulant. Je me demande en mon fort intérieur si elle a conservé aussi le même string et les mêmes chaussettes et l’image m’amuse.
Après le formalités d’usage, Julie m’amène à la sellerie. Je découvre un univers totalement inconnu et je commence à me rendre compte de l’immensité du domaine à appréhender. Il faut savoir manipuler les différents ustensiles à commencer par le licol, la selle, le filet. J’en prends vite plein la tête.
Julie est patiente même si son côté autoritaire est parfois revenu au galop. Et tout compte fait, ce premier cours s’est bien passé, dans une ambiance plutôt sympathique. Je prends congé. Rendez-vous est fixé au lendemain à 18h00.
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