26-12-2022, 01:16 PM
Un petit minou vint s'installer non loin de nous. Mais il jouait les stars. Pas mal de monde, des deux sexes , vint me tourner autour mais devant mon manque d’intérêt flagrant, le manège stoppa. J'allais me baigner et je vis le petit minou ramasser ses affaires et se diriger vers les bois. Mes neveux qui venaient de goûter somnolaient, j'allais à mon tour faire une balade dans les bois.
Le petit minou suçait un papy. Je continuais ma promenade en espérant trouver chaussure à mon pied, enfin, plutôt une bouche ou un cul pour ma bite mais personne ne m’interpellait. Et en rentrant je recroisais le petit minou qui cette fois se faisait enculer par un quinqua.
C'était soit un tapin, soit un gérontophile. Je choisis la première possibilité.
On rentra vers dix-huit heures et on passa par les douches pour se dessaler.
— Encore les douches ? Mais on y est déjà allé ce matin.
— Oui, je sais Louis mais il faut aller enlever le sel qu'on a sur la peau et le sable que tu as dans le cucu et sur ton zizi. Sinon cette nuit ça va te gratter dans le lit.
— Ha d'accord, c'est pour ça qu'on se douche alors, pour enlever le sable pour pas que ça nous gratte ?
— Et oui c'est pour ça.
Comme d'habitude les douches individuelles étaient occupées et on alla au douches collectives.
J'entendis un gars qui demandait à un autre:
— Tu as bientôt fini ?
Ça fit tilt dans ma tête. C'était la voix de…
— Joris, c'est toi ?
Je n'avais pas fini de parler qu'une douche s'ouvrit brutalement et Joris se retrouva planté devant moi les larmes aux yeux. La première chose qu'il fit ce fut de me coller une gifle puis il se jeta dans mes bras en sanglots.
Puis je vis sortir Rémi, Titouan et Alexis des autres cabines, qui vinrent s'agglutiner à nous.
— C'est qui eux papa ?
— C'est des amis à tonton Bé.
— Il les a connu où ses amis ?
— Tu lui demanderas plus tard.
Mon frère partit avec les garçons. Je reposais Joris par terre. Il me regarda droit dans les yeux.
— tu vois Bé, cette baffe tu la méritais depuis un moment. Je m'étais promis de te la donner. C'est pour tout le souci que tu nous as fait faire.
— Je suis désolé Joris de vous avoir fait faire du souci. Mais je vous avertis, ça fait la troisième que je reçois sans la rendre. Il n'y en aura pas une quatrième.
À partir de là ce fut la cacophonie. On parlait tous en même temps.
— STOP ! Un à la fois. Je me rince et j’arrive. On aura le temps de discuter.
Pendant que je me douchais, je les voyais qui me regardaient et faisaient des commentaires entre eux.
— Ça va, je ne vous plais plus ?
— Bé, il s'est passé quoi ? Tu as tellement changé. Tu pourrais faire modèle ou mannequin.
— C'est une longue histoire, faite de peines et de privations et vous comment ça se fait que vous soyez là ?
— C'est de ta faute. Tu nous as tellement parlé du camping qu'on a décidé d'y venir. C'est une première pour Titouan et Alexis. Mais ils ont l'air de s'y faire. À part, comme en ce moment, Alexis qui bande comme un âne, au moindre stimuli.
— J'y peux rien moi, je suis jeune.
Je lui pris sa serviette des mains et je la posais sur son épaule. Cachant ainsi son érection.
— voilà Alexis, ni vu ni connu.
— Putain pourquoi j'y ai pas pensé avant. J'aurai pas eu la honte, au moins.
— Et devant des filles en plus.
— C'est pas de ma faute, c'est Titou qui me caressait les fesses.
Je les raccompagnais jusque chez eux. Ils étaient trois mobile-home plus loin que celui de mon frère.
On s'installa sur la terrasse et on commença à tour de rôle à se raconter les neuf mois qui venaient de passer. Titouan se leva et il alluma le barbecue. Peu après Joris me dit que j'allais avoir de la visite. Et en effet Louis et Camille arrivaient.
— Tonton Bé, Papa demande si tu manges avec nous où avec tes amis ?
— Je sais pas moi. Tu fais quoi à manger Titouan ?
— Ce soir c'est entrée froide, saucisses et merguez au barbecue avec de la purée. Et des cerises en dessert.
— Toutane on peut rester moi et Louis zaussi, on aime bien les saucisses et la purée… et les cerises!
— Mais oui mon joli! Si ton papa est d'accord, vous pouvez rester.
Louis partit en courant, je le vis parler avec Antho et finalement c'est mon frère qui se déplaça. On allait tout mettre sur la table et chacun mangerait ce qui lui plairait.
C'est pendant le repas que mon frère m'avertit que le lendemain il partirait de bonne heure en Espagne voir des amis et ils ne remonteraient que le samedi matin. Je lui fis une liste de courses.
Des sachets de poudre jaune pour ma mère et ma grand-mère, des fioles pour Cyprien, du Touron pour mon grand-père, une grosse bouteille d'eau de Cologne pour ma grand-mère - à la violette. Des olives farcies, aux anchois pour mon père et aux poivrons pour mon oncle, de l'huile d'olives pour ma tante et des gels douches en litre pour moi. Et je lui donnais 200 euros.
— Bé, tu nous payeras plus tard.
— Antho, je suis plus riche que toi. Depuis que je suis chez les parents je dépense rien. J'ai proposé de leur verser une pension et je me suis fait engueuler, alors à part l'abonnement de mon téléphone, l'assurance de la voiture et un peu d'essence c'est tout mes frais.
— Ha, ha! Alors, si tu es riche, ça va.
Léa tirait un peu la gueule parce qu'on bouda ses salades et qu'on bouffa la charcuterie des garçons ainsi que la purée, les saucisses et les merguez. Mais elle se vengea en leur donnant les restes parce qu'ils ne seraient pas là le lendemain.
Les petits s’étaient endormis sur leurs parents. Ils nous souhaitèrent bonne nuit et allèrent se coucher. On partit faire une promenade digestive sur la plage. On parlait encore de ce qu'on avait fait pendant ces mois de séparation. Et on arriva là, où pour la première fois de ma vie je m'étais fait sucer par un garçon, par Frantz. Je ne pensais pas que le tronc serait toujours là.
— Bé tu penses à quoi ?
— Rien… enfin si, c'est sur ce tronc d'arbre que je me suis fait sucer par un mec pour la première fois de ma vie.
— Vas y raconte nous.
— Je veux bien mais vous aussi vous me raconterez vos premières fois, après-ça.
Après avoir raconté, ce fut Rémi qui nous parla de sa first. Elle n'avait rien de bien glorieuse. Il passait des vacances chez son cousin à Paris, il l'avait fait boire et avait abusé de lui… en quelque sorte. Puisque c’était resté basique et sans pénétration.
Il avait rencontré peu après un garçon qui avait deux ans de plus que lui et qui lui avait tout appris.
Pour Titouan c'était guère joyeux. Il avait longtemps été baladé de foyers d'accueil en foyers d’accueil. La règle était simple les plus jeunes suçaient les plus vieux avant de se faire enculer ...
Joris comme vous le savez déjà avait tout appris de Rémi et c'est Rémi le premier qui l'avait sodomisé.
Puis ce fut Alexis qui nous raconta sa première fois avec Titouan. On était tous un peu excité par ce qu'on venait d'entendre parce que je ne vous ai que résumé ce qu'on s'était dit. En fait on en avait tous une bien raide et dure.
Alexis fit la proposition: — On se branle!
Et tout en disant ça, il avait attrapé la queue de Titouan qu'il commençait à secouer. Titouan prit celle d'Alexis et fit pareil. Joris et Rémi firent de même. Alexis dit quelque chose à l'oreille de Titouan qui avança sa main en direction de mes couilles.
— Je peux ?
Je ne répondis pas mais j'écartais un peu mes jambes pour qu'il puisse les toucher plus facilement. Joris qui était à côté de moi commença par jouer avec mes seins avant de passer son bras dans mon dos qu'il caressa et de descendre me caresser les fesses.
Puis les couples changèrent de place et cette fois c'est Rémi et Alexis qui s'occupèrent de moi. Bien vite le sable devant nous absorba notre trop plein de vitalité.
Ce soir-là fut la seule et unique fois où mes amis me touchèrent, sexuellement.
On rentra et j'allais me coucher chez mon frangin.
Je me levais en même temps que mon frère et Léa. Je regardais l'heure, à peine six heures. Je bus mon café avec eux et je mis un short pour partir courir hors des limites naturiste. Ça me permettra aussi d’éviter le drame de la séparation avec mes neveux qui ne comprenaient pas pourquoi je n'allais pas avec eux.
Je passais par les toilettes et quand j’en sortis je faillis ramasser la porte d’une douche dans le nez. Je me lavais les mains et dans le miroir je vis par la porte entrebâillée que la cabine était occupée… par une paire de fesses plaisante. J'ouvris la porte et je tombais nez à nez cul avec Gary.
— Je peux ?
— Oui, entre et ferme la porte.
Il se mit directement à genoux, entrainant mon short dans son mouvement et commença à sucer ma bite molle qui grossit vite dans sa bouche. Quand elle fut bien raide il commença de longs va et viens jusqu'à me faire des gorges profondes. Je poussais derrière sa tête pour l'aider et au bout d'un moment il se releva, fouilla dans sa trousse de toilette et en sortit une capote qu'il m’enfila. Il se retourna en cambrant bien ses fesses. Enfin j'allais niquer !
Je m'enfonçais d'un coup le faisant gémir. La cavalcade pouvait commencer.
Je suivais les indications qu'il me donnait et finalement je le sentis éjaculer.
Il se remit à genoux, enleva la capote et me reprit en bouche pour une fellation d’expert.
— … Ohhh, je vais jouir!
Au lieu de se retirer il me suça avec plus d'ardeur et avala mon jus.
— Merci Gary!
— Pas de quoi, c'est moi qui te remercie. Je suis là tous les matins si ça te dit de repasser, demain ou plus tard.
Je sortis et partis en courant. Je pris le chemin qui menait au lieu de drague. On ne savait jamais… si des fois un joli joggeur gay avait eu la même idée que moi …
ça faisait une bonne demie heure que je courais quand je m'arrêtais pour pisser. Je m'enfonçais un peu dans le bois parce que du monde arrivait. Le temps de faire ma vidange, de remette mon outil en place, j’allais repartir quand j'entendis une voix effrayée qui disait :
— Tu me fais mal, arrête s'il te plaît.
— Ta gueule connasse, tu fais ce que je te dis.
Et là j'entendis le bruit d'une claque mais la méga claque. Je sortis mon téléphone et commençais à filmer en m’avançant. Je m'approchais sans faire de bruit. Le petit minou que j'avais vu la veille était à poil les bras attaché à une branche haute.
Le gars lui recolla une gifle. Je continuais à filmer. Je ne savais pas si c'était vrai ou si c'était un jeu de rôle.
— je t'avais dit 100 euros par jour pour pas que je mette tes vidéos en ligne. Tu me dois 300 euros.
Tu crois que je vais laisser passer ça ? Tu es ma pute et je suis ton mac. Tu me dois du pognon et je te punis, je continuerai à te punir tant que tu ne m'auras pas remboursé c'est clair ?
— Je fais ce que je peux mais mon père...
— Ta gueule je me fous de ta vie. Tu vas me sucer et je vais t'enculer à sec, pour te montrer ce que c'est la vie. T’as intérêt à saliver un max!
Il le détacha, sortit son téléphone et commença à filmer. Il lui colla une autre gifle et lui dit :
— allez suce moi salope.
Le petit minou se mit à genoux en pleurant, baissa le short du mec et recula la tête.
— Quoi, la merde de ton pote te dégoutte ? Allez suce salope.
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Le petit minou suçait un papy. Je continuais ma promenade en espérant trouver chaussure à mon pied, enfin, plutôt une bouche ou un cul pour ma bite mais personne ne m’interpellait. Et en rentrant je recroisais le petit minou qui cette fois se faisait enculer par un quinqua.
C'était soit un tapin, soit un gérontophile. Je choisis la première possibilité.
On rentra vers dix-huit heures et on passa par les douches pour se dessaler.
— Encore les douches ? Mais on y est déjà allé ce matin.
— Oui, je sais Louis mais il faut aller enlever le sel qu'on a sur la peau et le sable que tu as dans le cucu et sur ton zizi. Sinon cette nuit ça va te gratter dans le lit.
— Ha d'accord, c'est pour ça qu'on se douche alors, pour enlever le sable pour pas que ça nous gratte ?
— Et oui c'est pour ça.
Comme d'habitude les douches individuelles étaient occupées et on alla au douches collectives.
J'entendis un gars qui demandait à un autre:
— Tu as bientôt fini ?
Ça fit tilt dans ma tête. C'était la voix de…
— Joris, c'est toi ?
Je n'avais pas fini de parler qu'une douche s'ouvrit brutalement et Joris se retrouva planté devant moi les larmes aux yeux. La première chose qu'il fit ce fut de me coller une gifle puis il se jeta dans mes bras en sanglots.
Puis je vis sortir Rémi, Titouan et Alexis des autres cabines, qui vinrent s'agglutiner à nous.
— C'est qui eux papa ?
— C'est des amis à tonton Bé.
— Il les a connu où ses amis ?
— Tu lui demanderas plus tard.
Mon frère partit avec les garçons. Je reposais Joris par terre. Il me regarda droit dans les yeux.
— tu vois Bé, cette baffe tu la méritais depuis un moment. Je m'étais promis de te la donner. C'est pour tout le souci que tu nous as fait faire.
— Je suis désolé Joris de vous avoir fait faire du souci. Mais je vous avertis, ça fait la troisième que je reçois sans la rendre. Il n'y en aura pas une quatrième.
À partir de là ce fut la cacophonie. On parlait tous en même temps.
— STOP ! Un à la fois. Je me rince et j’arrive. On aura le temps de discuter.
Pendant que je me douchais, je les voyais qui me regardaient et faisaient des commentaires entre eux.
— Ça va, je ne vous plais plus ?
— Bé, il s'est passé quoi ? Tu as tellement changé. Tu pourrais faire modèle ou mannequin.
— C'est une longue histoire, faite de peines et de privations et vous comment ça se fait que vous soyez là ?
— C'est de ta faute. Tu nous as tellement parlé du camping qu'on a décidé d'y venir. C'est une première pour Titouan et Alexis. Mais ils ont l'air de s'y faire. À part, comme en ce moment, Alexis qui bande comme un âne, au moindre stimuli.
— J'y peux rien moi, je suis jeune.
Je lui pris sa serviette des mains et je la posais sur son épaule. Cachant ainsi son érection.
— voilà Alexis, ni vu ni connu.
— Putain pourquoi j'y ai pas pensé avant. J'aurai pas eu la honte, au moins.
— Et devant des filles en plus.
— C'est pas de ma faute, c'est Titou qui me caressait les fesses.
Je les raccompagnais jusque chez eux. Ils étaient trois mobile-home plus loin que celui de mon frère.
On s'installa sur la terrasse et on commença à tour de rôle à se raconter les neuf mois qui venaient de passer. Titouan se leva et il alluma le barbecue. Peu après Joris me dit que j'allais avoir de la visite. Et en effet Louis et Camille arrivaient.
— Tonton Bé, Papa demande si tu manges avec nous où avec tes amis ?
— Je sais pas moi. Tu fais quoi à manger Titouan ?
— Ce soir c'est entrée froide, saucisses et merguez au barbecue avec de la purée. Et des cerises en dessert.
— Toutane on peut rester moi et Louis zaussi, on aime bien les saucisses et la purée… et les cerises!
— Mais oui mon joli! Si ton papa est d'accord, vous pouvez rester.
Louis partit en courant, je le vis parler avec Antho et finalement c'est mon frère qui se déplaça. On allait tout mettre sur la table et chacun mangerait ce qui lui plairait.
C'est pendant le repas que mon frère m'avertit que le lendemain il partirait de bonne heure en Espagne voir des amis et ils ne remonteraient que le samedi matin. Je lui fis une liste de courses.
Des sachets de poudre jaune pour ma mère et ma grand-mère, des fioles pour Cyprien, du Touron pour mon grand-père, une grosse bouteille d'eau de Cologne pour ma grand-mère - à la violette. Des olives farcies, aux anchois pour mon père et aux poivrons pour mon oncle, de l'huile d'olives pour ma tante et des gels douches en litre pour moi. Et je lui donnais 200 euros.
— Bé, tu nous payeras plus tard.
— Antho, je suis plus riche que toi. Depuis que je suis chez les parents je dépense rien. J'ai proposé de leur verser une pension et je me suis fait engueuler, alors à part l'abonnement de mon téléphone, l'assurance de la voiture et un peu d'essence c'est tout mes frais.
— Ha, ha! Alors, si tu es riche, ça va.
Léa tirait un peu la gueule parce qu'on bouda ses salades et qu'on bouffa la charcuterie des garçons ainsi que la purée, les saucisses et les merguez. Mais elle se vengea en leur donnant les restes parce qu'ils ne seraient pas là le lendemain.
Les petits s’étaient endormis sur leurs parents. Ils nous souhaitèrent bonne nuit et allèrent se coucher. On partit faire une promenade digestive sur la plage. On parlait encore de ce qu'on avait fait pendant ces mois de séparation. Et on arriva là, où pour la première fois de ma vie je m'étais fait sucer par un garçon, par Frantz. Je ne pensais pas que le tronc serait toujours là.
— Bé tu penses à quoi ?
— Rien… enfin si, c'est sur ce tronc d'arbre que je me suis fait sucer par un mec pour la première fois de ma vie.
— Vas y raconte nous.
— Je veux bien mais vous aussi vous me raconterez vos premières fois, après-ça.
Après avoir raconté, ce fut Rémi qui nous parla de sa first. Elle n'avait rien de bien glorieuse. Il passait des vacances chez son cousin à Paris, il l'avait fait boire et avait abusé de lui… en quelque sorte. Puisque c’était resté basique et sans pénétration.
Il avait rencontré peu après un garçon qui avait deux ans de plus que lui et qui lui avait tout appris.
Pour Titouan c'était guère joyeux. Il avait longtemps été baladé de foyers d'accueil en foyers d’accueil. La règle était simple les plus jeunes suçaient les plus vieux avant de se faire enculer ...
Joris comme vous le savez déjà avait tout appris de Rémi et c'est Rémi le premier qui l'avait sodomisé.
Puis ce fut Alexis qui nous raconta sa première fois avec Titouan. On était tous un peu excité par ce qu'on venait d'entendre parce que je ne vous ai que résumé ce qu'on s'était dit. En fait on en avait tous une bien raide et dure.
Alexis fit la proposition: — On se branle!
Et tout en disant ça, il avait attrapé la queue de Titouan qu'il commençait à secouer. Titouan prit celle d'Alexis et fit pareil. Joris et Rémi firent de même. Alexis dit quelque chose à l'oreille de Titouan qui avança sa main en direction de mes couilles.
— Je peux ?
Je ne répondis pas mais j'écartais un peu mes jambes pour qu'il puisse les toucher plus facilement. Joris qui était à côté de moi commença par jouer avec mes seins avant de passer son bras dans mon dos qu'il caressa et de descendre me caresser les fesses.
Puis les couples changèrent de place et cette fois c'est Rémi et Alexis qui s'occupèrent de moi. Bien vite le sable devant nous absorba notre trop plein de vitalité.
Ce soir-là fut la seule et unique fois où mes amis me touchèrent, sexuellement.
On rentra et j'allais me coucher chez mon frangin.
Je me levais en même temps que mon frère et Léa. Je regardais l'heure, à peine six heures. Je bus mon café avec eux et je mis un short pour partir courir hors des limites naturiste. Ça me permettra aussi d’éviter le drame de la séparation avec mes neveux qui ne comprenaient pas pourquoi je n'allais pas avec eux.
Je passais par les toilettes et quand j’en sortis je faillis ramasser la porte d’une douche dans le nez. Je me lavais les mains et dans le miroir je vis par la porte entrebâillée que la cabine était occupée… par une paire de fesses plaisante. J'ouvris la porte et je tombais nez à nez cul avec Gary.
— Je peux ?
— Oui, entre et ferme la porte.
Il se mit directement à genoux, entrainant mon short dans son mouvement et commença à sucer ma bite molle qui grossit vite dans sa bouche. Quand elle fut bien raide il commença de longs va et viens jusqu'à me faire des gorges profondes. Je poussais derrière sa tête pour l'aider et au bout d'un moment il se releva, fouilla dans sa trousse de toilette et en sortit une capote qu'il m’enfila. Il se retourna en cambrant bien ses fesses. Enfin j'allais niquer !
Je m'enfonçais d'un coup le faisant gémir. La cavalcade pouvait commencer.
Je suivais les indications qu'il me donnait et finalement je le sentis éjaculer.
Il se remit à genoux, enleva la capote et me reprit en bouche pour une fellation d’expert.
— … Ohhh, je vais jouir!
Au lieu de se retirer il me suça avec plus d'ardeur et avala mon jus.
— Merci Gary!
— Pas de quoi, c'est moi qui te remercie. Je suis là tous les matins si ça te dit de repasser, demain ou plus tard.
Je sortis et partis en courant. Je pris le chemin qui menait au lieu de drague. On ne savait jamais… si des fois un joli joggeur gay avait eu la même idée que moi …
ça faisait une bonne demie heure que je courais quand je m'arrêtais pour pisser. Je m'enfonçais un peu dans le bois parce que du monde arrivait. Le temps de faire ma vidange, de remette mon outil en place, j’allais repartir quand j'entendis une voix effrayée qui disait :
— Tu me fais mal, arrête s'il te plaît.
— Ta gueule connasse, tu fais ce que je te dis.
Et là j'entendis le bruit d'une claque mais la méga claque. Je sortis mon téléphone et commençais à filmer en m’avançant. Je m'approchais sans faire de bruit. Le petit minou que j'avais vu la veille était à poil les bras attaché à une branche haute.
Le gars lui recolla une gifle. Je continuais à filmer. Je ne savais pas si c'était vrai ou si c'était un jeu de rôle.
— je t'avais dit 100 euros par jour pour pas que je mette tes vidéos en ligne. Tu me dois 300 euros.
Tu crois que je vais laisser passer ça ? Tu es ma pute et je suis ton mac. Tu me dois du pognon et je te punis, je continuerai à te punir tant que tu ne m'auras pas remboursé c'est clair ?
— Je fais ce que je peux mais mon père...
— Ta gueule je me fous de ta vie. Tu vas me sucer et je vais t'enculer à sec, pour te montrer ce que c'est la vie. T’as intérêt à saliver un max!
Il le détacha, sortit son téléphone et commença à filmer. Il lui colla une autre gifle et lui dit :
— allez suce moi salope.
Le petit minou se mit à genoux en pleurant, baissa le short du mec et recula la tête.
— Quoi, la merde de ton pote te dégoutte ? Allez suce salope.
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