NDA J’ai remarqué quelque chose en essayant de corriger les épisodes précédents : j’ai eu autant de plaisir à le faire que pour la première mouture. Je pourrais donc réécrire indéfiniment les mêmes scènes, avec de nombreuses variations, sans que je ne sois jamais satisfait.
Je suis en train de lire les œuvres complètes d’un poète suisse du 20ème siècle, Gustave Roud, homosexuel. Il a repris très souvent les mêmes thèmes, par exemple la beauté des corps des paysans de sa région, à moitié nus. J’ai plus de chance que lui, je peux décrire les détails anatomiques de mes personnages qu’il devait pudiquement passer sous silence ; j’ai moins de chance car jamais personne ne publiera et ne lira mes œuvres complètes.
Lui aussi n’était jamais content de ce qu’il écrivait, je suis donc en bonne compagnie avec mes doutes, mais, rassurez-vous, je vais bientôt inventer nouvelles occasions pour mes personnages de se donner du plaisir et je vais arrêter de tourner en rond.
En attendant, voici une deuxième correction : c’est la scène sous la douche après le sport que je n’avais pas encore décrite.
Amaury regarda derrière lui, ne vit personne, il baissa son sous-vêtement, révélant un bel organe, pas très long, mais bien proportionné, sans défaut, droit, dur et pointant haut, le gland totalement découvert. Koen l’apprécia en connaisseur :
— Elle est magnifique, ta bite ! Tu t’es branlé ce matin ?
— Non, ma sœur était déjà réveillée et je n’ai pas osé, je suis dans la même cabine qu’elle.
— Tu t’es déjà fait branler par un autre homme ?
— Non, jamais.
— Je pourrais le faire, pour voir si tout fonctionne bien.
— Tu peux refuser, Amaury, dit Frédéric, Koen n’est pas encore médecin et ce serait contraire à l’éthique de masturber ses patients.
— Je pense qu’il a d’autres motivations, dit le Français en riant.
— Nous devrions aller sous la douche, fit Frédéric, je n’aimerais pas qu’on nous surprenne.
Ils entrèrent dans le local des douches, fermèrent la porte et la verrouillèrent. La cabine avait deux pommeaux de chaque côté, sans séparations. Koen se plaça derrière Amaury, dos au mur, sans ouvrir les robinets ; il se serra contre lui en l’entourant de son bras gauche, tandis qu’il approchait le droit du membre dressé. Un frisson parcourut le corps du Français lorsque Koen prit le gland dans sa main, il crut qu’il allait éjaculer, mais ce n’était que du précum qui avait parcouru son urètre. Il sentait le pénis dressé de Koen entre ses fesses.
Amaury était un peu crispé, Koen lui chuchota de se détendre, de respirer profondément, il n’allait pas le pénétrer, il se contentait de frotter son membre dans la raie en donnant des petits coups de reins synchronisés avec les va-et-vient sur la bite.
Les trois autres se douchaient, ne perdant rien du spectacle à travers la vapeur. Ils s’étaient levés tard et n’avaient pas eu le temps d’honorer leurs érections matinales, c’est donc naturellement que leurs pénis avaient repris du volume. Interrompant leurs ablutions, ils se caressèrent. Amaury les regardait, tout en se laissant emporter par les mouvements de Koen, qui devenaient de plus en plus appuyés et rapides. La tension devenait trop forte, il jouit en laissant échapper un râle.
Koen, toujours derrière lui, le serra entre ses deux bras et lui dit :
— Tu peux aussi me branler.
Amaury prit le membre dressé dans sa main, c’était la première fois qu’il touchait celui d’un autre homme. Le geste lui parut naturel, il avait oublié les questions qu’il se posait d’habitude au sujet de ses préférences ; les quatre amis qui se masturbaient sans complexes, sans honte, l’encourageaient à accepter sa différence.
Je suis en train de lire les œuvres complètes d’un poète suisse du 20ème siècle, Gustave Roud, homosexuel. Il a repris très souvent les mêmes thèmes, par exemple la beauté des corps des paysans de sa région, à moitié nus. J’ai plus de chance que lui, je peux décrire les détails anatomiques de mes personnages qu’il devait pudiquement passer sous silence ; j’ai moins de chance car jamais personne ne publiera et ne lira mes œuvres complètes.
Lui aussi n’était jamais content de ce qu’il écrivait, je suis donc en bonne compagnie avec mes doutes, mais, rassurez-vous, je vais bientôt inventer nouvelles occasions pour mes personnages de se donner du plaisir et je vais arrêter de tourner en rond.
En attendant, voici une deuxième correction : c’est la scène sous la douche après le sport que je n’avais pas encore décrite.
Amaury regarda derrière lui, ne vit personne, il baissa son sous-vêtement, révélant un bel organe, pas très long, mais bien proportionné, sans défaut, droit, dur et pointant haut, le gland totalement découvert. Koen l’apprécia en connaisseur :
— Elle est magnifique, ta bite ! Tu t’es branlé ce matin ?
— Non, ma sœur était déjà réveillée et je n’ai pas osé, je suis dans la même cabine qu’elle.
— Tu t’es déjà fait branler par un autre homme ?
— Non, jamais.
— Je pourrais le faire, pour voir si tout fonctionne bien.
— Tu peux refuser, Amaury, dit Frédéric, Koen n’est pas encore médecin et ce serait contraire à l’éthique de masturber ses patients.
— Je pense qu’il a d’autres motivations, dit le Français en riant.
— Nous devrions aller sous la douche, fit Frédéric, je n’aimerais pas qu’on nous surprenne.
Ils entrèrent dans le local des douches, fermèrent la porte et la verrouillèrent. La cabine avait deux pommeaux de chaque côté, sans séparations. Koen se plaça derrière Amaury, dos au mur, sans ouvrir les robinets ; il se serra contre lui en l’entourant de son bras gauche, tandis qu’il approchait le droit du membre dressé. Un frisson parcourut le corps du Français lorsque Koen prit le gland dans sa main, il crut qu’il allait éjaculer, mais ce n’était que du précum qui avait parcouru son urètre. Il sentait le pénis dressé de Koen entre ses fesses.
Amaury était un peu crispé, Koen lui chuchota de se détendre, de respirer profondément, il n’allait pas le pénétrer, il se contentait de frotter son membre dans la raie en donnant des petits coups de reins synchronisés avec les va-et-vient sur la bite.
Les trois autres se douchaient, ne perdant rien du spectacle à travers la vapeur. Ils s’étaient levés tard et n’avaient pas eu le temps d’honorer leurs érections matinales, c’est donc naturellement que leurs pénis avaient repris du volume. Interrompant leurs ablutions, ils se caressèrent. Amaury les regardait, tout en se laissant emporter par les mouvements de Koen, qui devenaient de plus en plus appuyés et rapides. La tension devenait trop forte, il jouit en laissant échapper un râle.
Koen, toujours derrière lui, le serra entre ses deux bras et lui dit :
— Tu peux aussi me branler.
Amaury prit le membre dressé dans sa main, c’était la première fois qu’il touchait celui d’un autre homme. Le geste lui parut naturel, il avait oublié les questions qu’il se posait d’habitude au sujet de ses préférences ; les quatre amis qui se masturbaient sans complexes, sans honte, l’encourageaient à accepter sa différence.
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Récits de Lange128 indisponibles sur Slygame
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