11-11-2022, 06:41 AM
J’étais noyé dans son regard émeraude et j'eus envie de l’embrasser. Je l’attirais et entamais une salade de langue. Nos corps se collèrent, nos jambes se croisèrent, pendant que nos mains couraient sur nos corps. Kaleb et Will ne furent pas longs à faire de même. Et Will n’était pas le moins motivé des novices, je vous l’assure !
Après de longs baisers et beaucoup de caresses, Kaleb continua à m’imiter, puisque Will semblait aimer cet effet miroir, on descendit quasi simultanément jusqu'au sexe de nos chéris et on commença à les sucer. Je tournais la tête vers Kaleb et je lui fis un clin d’œil. Will gémissait et Kaleb accéléra sa caresse. Je m'occupais de Liam qui, bien vite, gémit à son tour. D'une main je m'occupais de ses seins et de l'autre je lui massais les couilles. Ce ne fut pas trop long pour que chacun avala le sperme de son partenaire. Bien sur nos chéris nous rendirent la gentillesse mais je demandais assez vite à Liam de me présenter ses fesses en 69 et commençais à lui bouffer le cul. Puis j'y introduisis un doigt et je jouais avec sa prostate, le branlant de l’autre mains. Liam était en transe !
La voix de Kaleb perturba ma concentration.
– Tu lui fais quoi, Jeff, pour le mettre dans cet état ?
– On ne te l'as jamais fait ?
– Me bouffer le cul, si bien sûr, et les doigts pour m’élargir, aussi. Mais comme ça, je ne crois pas !
– Personne n'a jamais joué avec ta prostate ?
– Non ! C'est bon quand on joue avec ta prostate ?
Liam arrêta de me sucer et dit :
– C'est le pied total. Tu devrais essayer.
– Et c'est encore mieux quand on te le fait en te branlant ou en te suçant.
– Will, tu veux bien me le faire ?
– Je veux bien essayer mais comment je la trouve ta prostate.
Je lui expliquais comment faire.
Kaleb se mit à quatre pattes et Will lui bouffa le cul un petit moment. Il chercha ensuite la prostate du majeur et, suivant mes gestes, il y réussit assez vite.
Je fis relever Liam et le suçais en rejouant avec sa boule à étincelles. Kaleb se leva aussi et Will se mit à genoux devant lui, commençant par le sucer. Puis il enfila un doigt dans les fesses de Kaleb. Celui-ci se mit à gémir rapidement. Will et moi rebandions bien dur, rien que d’entendre ce concert.
C'est en 69, ‘’amélioré’’ de phalanges, que Liam et moi on jouit. Tandis que Will avala le sperme de Kaleb qui but le sien juste après.
Ensuite, on partit se baigner. Revenu sur la berge, je m’étonnais de la course avancée du soleil et par curiosité je regardais l’heure, je dis :
– Les vaches doivent attendre.
– Pourquoi, c'est quelle heure ?
– L'heure de la traite est passée depuis plus d’une heure déjà.
– Et bien tant pis, elles attendront qu’on arrive. Ce n'est pas tous les jours que j'apprends des choses si agréables. Et quand j'ai joui j'ai eu l'impression que je lâchais des litres de sperme. Et pour être franc j'ai eu du mal à avaler celui de Will.
– C'est l'effet prostate ça. Vous verrez, si vous vous entraînez un peu vous arriverez à gérer, à faire durer et à jouir encore plus fort.
– Bon, c'est pas tout ça mais, comme tu dis, les vaches attendent. Vous venez nous aider à traire ?
– On y va Liam ?
– Si tu veux mais on ne traîne pas. Tu n'oublies pas qu'on repart demain de bonne heure.
– Vous partez déjà ?
– Hé oui, après demain on repart en France.
Chemin faisant on parla de nos arrières grands-pères et Kaleb me dit :
– tu sais depuis que Joé est mort, mon arrière-grand-père se laisse aller. Il n'a plus envie de vivre. Le tien, il l'a pris comment la mort de Joé ?
– Mal aussi, pour mon anniversaire il m'a offert ses médailles en me disant qu'il n'était pas éternel.
On les regarda plus qu’on les aida à faire la traite, on resta manger avec eux puis on repartit à pied en se tenant par la main. On rangea nos affaires, et on monta se coucher.
Le lendemain c'est Liam qui me réveilla. Il faisait encore nuit mais le jour n'allait pas tarder à se lever. On but le café et on ferma la maison.
À dix heures on arrivait chez les parents de Liam. Il y avait Tony à poil, au bord de la piscine. Il avait l'air perdu dans ses pensées et même de broyer du noir.
– Ça va pas ?
– Bof, sans plus.
– Tu veux en parler, frangin ?
– Je ne sais pas. De toute façon Liam, toi, tu peux pas comprendre. Bé, sûrement, mais bon c'est pas évident à dire non plus.
– On va se mettre à l’aise et on revient causer.
On monta dans la chambre de Liam et, pour traverser la maison, on enfila un short de bain qu'on quitta en arrivant à la piscine. Je me mis sur un transat d'un côté de Tony et Liam de l’autre.
– Bon, alors, qu'est-ce qu'il y a que je peux comprendre et Liam non ?
– Depuis que je ne suis plus avec Gaële je papillonne à droite ou à gauche. Il y a deux semaines j'étais au Star et j'ai rencontré une bombasse de ouf qui m'a allumé grave. Du coup, on est allé chez elle et on a commencé à baiser.
Tout d'un coup, la porte s'ouvre et un mec entre. Il nous découvre, un grand sourire aux lèvres, il se fout à poil en trois secondes et vient nous rejoindre. Là, la meuf me dit comme ça, que c'est son mec et qu'ils sont un couple ouvert et qu'elle aime bien les plans à trois.
– Oui bon, jusque-là, rien de bien grave. C'est ce qu'il s'est passé après, qui te pose un problème, on dirait ?
– Oui, c'est ça. Bon, j’étais par-dessus la meuf et je lui faisais un broute minou en 69, quand son mec est venu me bouffer le cul. Dans l’action, j’ai laissé faire. Puis j'ai trop kiffé, surtout quand il m'a mis un doigt et qu'il a joué à l’intérieur, insistant sur un point précis… La fille n'a pas pu avaler tout ce que je lui ai joui dans la bouche, tant j’en déversais. Puis, pendant que je redescendais de mon nuage, il s'est fait sucer par la nana et elle a tout avalé à nouveau.
Mais ça, ça allait encore. Un peu plus tard, on rebandait ferme tous les deux et on a ressauté la meuf, chacun son tour, pour faire durer au max et au bout d'un moment, il m'a demandé de le niquer en même temps qu’il la niquait. Je sais pas trop pourquoi mais je l'ai fait. Et ça me plaisais, grave trop.
La meuf a crié son plaisir en duo avec son gus et là, il a voulu sa dose de vitamines. Il m’a fait une gorge profonde qui m’a laissé sur les rotules…
Mais merde ! je suis pas gay, moi !!
– Ah, c'est que ça !
– Que ça, tu dis ! Mais, Liam, tu te rends pas compte de ce que j'ai fait, non ?
– Bah si, tu as baisé avec un mec et alors, où est le problème ?
– Bon ok, ne te prend pas la tête pour ça. Ton frère a raison, tu as été curieux, tu as baisé un mec, tu as testé et tu as apprécié l’expérience, c'est tout.
– Oui, mais si ça se sait ?
– Tu dis aux cons qu'un trou, c'est un trou et que ta bite n'a pas d’œil ou tu dis que tu as fait ça parce que la meuf voulait voir si en tu avais le cran.
Mais ne t'en fait pas, ni le mec, ni la fille n’en parleront, tu dois être un parmi tant d'autres et ils n’ont rien à gagner de s’en vanter.
– Oui, c’est probable. De toute façon maintenant c'est fait, alors, tant pis… Puis c'est vrai que les mecs sucent mieux que les filles !
– Ah tu vois, il y a au moins du positif dans ton expérience.
– Au fait, à quelle heure vous prenez l'avion demain ?
– À sept heures et quelques. du coup il faut qu'on parte à cinq et donc, qu'on se lève à quatre.
– Putain, les mecs, vous voulez me tuer ou quoi ?
…
Avec Liam on appela les gens qu'on connaissait pour leur dire au revoir, on chargea les valises dans la voiture de Tony et on mangea notre dernier barbecue américain en famille. Ensuite on fit une dernière fois l'amour dans le lit de Liam, au moins jusqu'aux prochaines vacances de Noël.
Tony nous déposa et on entra dans l’aéroport. Liam consultait le tableau d'affichage pour savoir où on allait embarquer quand mon regard tomba sur Daniel et Marien qui traversaient le hall.
J'allais vers eux.
– Salut Daniel, salut Marien. Ça va ?
– Hé, Jean-François, ça va et toi ? Liam n'est pas avec toi ?
– Si, il regarde le panneau d'affichage pour savoir d'où on décolle. C'est vous le vol pour Lyon ?
– Oui c'est nous. Embarquez dans les derniers, il y a peu de monde en première, on va vous surclasser, la compagnie vous doit bien ça.
– Tu sais c'est pas obligé Daniel.
– Mais si, j'y tiens, d'ailleurs je vous présenterai quelqu'un pendant le vol.
On passa les contrôles sans problème et on entra bons derniers dans l’avion. Marien nous avait réservé des places de choix où on s’installa confortablement. On était les deux seuls jeunes en première. L'avion décolla et quand on survola le Grand Canyon, la porte de la cabine de pilotage s'ouvrit et Daniel vint nous voir.
– Venez avec moi, je voudrais vous présenter quelqu’un.
On avança de quelques places et il tapa sur l'épaule d'un cinquantenaire qui semblait dormir.
– Je suis désolé de vous réveiller, monsieur le directeur. Mais je voulais absolument vous présenter ces deux messieurs qui font partie des français ayant pris une part active pour empêcher le détournement d'avion le 11 septembre.
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Après de longs baisers et beaucoup de caresses, Kaleb continua à m’imiter, puisque Will semblait aimer cet effet miroir, on descendit quasi simultanément jusqu'au sexe de nos chéris et on commença à les sucer. Je tournais la tête vers Kaleb et je lui fis un clin d’œil. Will gémissait et Kaleb accéléra sa caresse. Je m'occupais de Liam qui, bien vite, gémit à son tour. D'une main je m'occupais de ses seins et de l'autre je lui massais les couilles. Ce ne fut pas trop long pour que chacun avala le sperme de son partenaire. Bien sur nos chéris nous rendirent la gentillesse mais je demandais assez vite à Liam de me présenter ses fesses en 69 et commençais à lui bouffer le cul. Puis j'y introduisis un doigt et je jouais avec sa prostate, le branlant de l’autre mains. Liam était en transe !
La voix de Kaleb perturba ma concentration.
– Tu lui fais quoi, Jeff, pour le mettre dans cet état ?
– On ne te l'as jamais fait ?
– Me bouffer le cul, si bien sûr, et les doigts pour m’élargir, aussi. Mais comme ça, je ne crois pas !
– Personne n'a jamais joué avec ta prostate ?
– Non ! C'est bon quand on joue avec ta prostate ?
Liam arrêta de me sucer et dit :
– C'est le pied total. Tu devrais essayer.
– Et c'est encore mieux quand on te le fait en te branlant ou en te suçant.
– Will, tu veux bien me le faire ?
– Je veux bien essayer mais comment je la trouve ta prostate.
Je lui expliquais comment faire.
Kaleb se mit à quatre pattes et Will lui bouffa le cul un petit moment. Il chercha ensuite la prostate du majeur et, suivant mes gestes, il y réussit assez vite.
Je fis relever Liam et le suçais en rejouant avec sa boule à étincelles. Kaleb se leva aussi et Will se mit à genoux devant lui, commençant par le sucer. Puis il enfila un doigt dans les fesses de Kaleb. Celui-ci se mit à gémir rapidement. Will et moi rebandions bien dur, rien que d’entendre ce concert.
C'est en 69, ‘’amélioré’’ de phalanges, que Liam et moi on jouit. Tandis que Will avala le sperme de Kaleb qui but le sien juste après.
Ensuite, on partit se baigner. Revenu sur la berge, je m’étonnais de la course avancée du soleil et par curiosité je regardais l’heure, je dis :
– Les vaches doivent attendre.
– Pourquoi, c'est quelle heure ?
– L'heure de la traite est passée depuis plus d’une heure déjà.
– Et bien tant pis, elles attendront qu’on arrive. Ce n'est pas tous les jours que j'apprends des choses si agréables. Et quand j'ai joui j'ai eu l'impression que je lâchais des litres de sperme. Et pour être franc j'ai eu du mal à avaler celui de Will.
– C'est l'effet prostate ça. Vous verrez, si vous vous entraînez un peu vous arriverez à gérer, à faire durer et à jouir encore plus fort.
– Bon, c'est pas tout ça mais, comme tu dis, les vaches attendent. Vous venez nous aider à traire ?
– On y va Liam ?
– Si tu veux mais on ne traîne pas. Tu n'oublies pas qu'on repart demain de bonne heure.
– Vous partez déjà ?
– Hé oui, après demain on repart en France.
Chemin faisant on parla de nos arrières grands-pères et Kaleb me dit :
– tu sais depuis que Joé est mort, mon arrière-grand-père se laisse aller. Il n'a plus envie de vivre. Le tien, il l'a pris comment la mort de Joé ?
– Mal aussi, pour mon anniversaire il m'a offert ses médailles en me disant qu'il n'était pas éternel.
On les regarda plus qu’on les aida à faire la traite, on resta manger avec eux puis on repartit à pied en se tenant par la main. On rangea nos affaires, et on monta se coucher.
Le lendemain c'est Liam qui me réveilla. Il faisait encore nuit mais le jour n'allait pas tarder à se lever. On but le café et on ferma la maison.
À dix heures on arrivait chez les parents de Liam. Il y avait Tony à poil, au bord de la piscine. Il avait l'air perdu dans ses pensées et même de broyer du noir.
– Ça va pas ?
– Bof, sans plus.
– Tu veux en parler, frangin ?
– Je ne sais pas. De toute façon Liam, toi, tu peux pas comprendre. Bé, sûrement, mais bon c'est pas évident à dire non plus.
– On va se mettre à l’aise et on revient causer.
On monta dans la chambre de Liam et, pour traverser la maison, on enfila un short de bain qu'on quitta en arrivant à la piscine. Je me mis sur un transat d'un côté de Tony et Liam de l’autre.
– Bon, alors, qu'est-ce qu'il y a que je peux comprendre et Liam non ?
– Depuis que je ne suis plus avec Gaële je papillonne à droite ou à gauche. Il y a deux semaines j'étais au Star et j'ai rencontré une bombasse de ouf qui m'a allumé grave. Du coup, on est allé chez elle et on a commencé à baiser.
Tout d'un coup, la porte s'ouvre et un mec entre. Il nous découvre, un grand sourire aux lèvres, il se fout à poil en trois secondes et vient nous rejoindre. Là, la meuf me dit comme ça, que c'est son mec et qu'ils sont un couple ouvert et qu'elle aime bien les plans à trois.
– Oui bon, jusque-là, rien de bien grave. C'est ce qu'il s'est passé après, qui te pose un problème, on dirait ?
– Oui, c'est ça. Bon, j’étais par-dessus la meuf et je lui faisais un broute minou en 69, quand son mec est venu me bouffer le cul. Dans l’action, j’ai laissé faire. Puis j'ai trop kiffé, surtout quand il m'a mis un doigt et qu'il a joué à l’intérieur, insistant sur un point précis… La fille n'a pas pu avaler tout ce que je lui ai joui dans la bouche, tant j’en déversais. Puis, pendant que je redescendais de mon nuage, il s'est fait sucer par la nana et elle a tout avalé à nouveau.
Mais ça, ça allait encore. Un peu plus tard, on rebandait ferme tous les deux et on a ressauté la meuf, chacun son tour, pour faire durer au max et au bout d'un moment, il m'a demandé de le niquer en même temps qu’il la niquait. Je sais pas trop pourquoi mais je l'ai fait. Et ça me plaisais, grave trop.
La meuf a crié son plaisir en duo avec son gus et là, il a voulu sa dose de vitamines. Il m’a fait une gorge profonde qui m’a laissé sur les rotules…
Mais merde ! je suis pas gay, moi !!
– Ah, c'est que ça !
– Que ça, tu dis ! Mais, Liam, tu te rends pas compte de ce que j'ai fait, non ?
– Bah si, tu as baisé avec un mec et alors, où est le problème ?
– Bon ok, ne te prend pas la tête pour ça. Ton frère a raison, tu as été curieux, tu as baisé un mec, tu as testé et tu as apprécié l’expérience, c'est tout.
– Oui, mais si ça se sait ?
– Tu dis aux cons qu'un trou, c'est un trou et que ta bite n'a pas d’œil ou tu dis que tu as fait ça parce que la meuf voulait voir si en tu avais le cran.
Mais ne t'en fait pas, ni le mec, ni la fille n’en parleront, tu dois être un parmi tant d'autres et ils n’ont rien à gagner de s’en vanter.
– Oui, c’est probable. De toute façon maintenant c'est fait, alors, tant pis… Puis c'est vrai que les mecs sucent mieux que les filles !
– Ah tu vois, il y a au moins du positif dans ton expérience.
– Au fait, à quelle heure vous prenez l'avion demain ?
– À sept heures et quelques. du coup il faut qu'on parte à cinq et donc, qu'on se lève à quatre.
– Putain, les mecs, vous voulez me tuer ou quoi ?
…
Avec Liam on appela les gens qu'on connaissait pour leur dire au revoir, on chargea les valises dans la voiture de Tony et on mangea notre dernier barbecue américain en famille. Ensuite on fit une dernière fois l'amour dans le lit de Liam, au moins jusqu'aux prochaines vacances de Noël.
Tony nous déposa et on entra dans l’aéroport. Liam consultait le tableau d'affichage pour savoir où on allait embarquer quand mon regard tomba sur Daniel et Marien qui traversaient le hall.
J'allais vers eux.
– Salut Daniel, salut Marien. Ça va ?
– Hé, Jean-François, ça va et toi ? Liam n'est pas avec toi ?
– Si, il regarde le panneau d'affichage pour savoir d'où on décolle. C'est vous le vol pour Lyon ?
– Oui c'est nous. Embarquez dans les derniers, il y a peu de monde en première, on va vous surclasser, la compagnie vous doit bien ça.
– Tu sais c'est pas obligé Daniel.
– Mais si, j'y tiens, d'ailleurs je vous présenterai quelqu'un pendant le vol.
On passa les contrôles sans problème et on entra bons derniers dans l’avion. Marien nous avait réservé des places de choix où on s’installa confortablement. On était les deux seuls jeunes en première. L'avion décolla et quand on survola le Grand Canyon, la porte de la cabine de pilotage s'ouvrit et Daniel vint nous voir.
– Venez avec moi, je voudrais vous présenter quelqu’un.
On avança de quelques places et il tapa sur l'épaule d'un cinquantenaire qui semblait dormir.
– Je suis désolé de vous réveiller, monsieur le directeur. Mais je voulais absolument vous présenter ces deux messieurs qui font partie des français ayant pris une part active pour empêcher le détournement d'avion le 11 septembre.
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