21-07-2020, 11:04 AM
Nous nous dirigions vers la classe pour le cours d’histoire. Nous nous étions installés à nos places. Joseph, qui était à mes côtés, il me demandait de temps à autre si ça allait. Je voyais aussi que Jacques me regardait d’un œil de temps à autre. Jacques se posait donc des questions suite à mon attitude un peu effacée. Jean de son côté restait attentif aux explications de la prof.
La matinée s’est déroulée très lentement à mon goût, ça n’en finissait pas. Enfin l’heure du midi.
Nous nous retrouvions tous les quatre à la même table dans le réfectoire pour y prendre notre déjeuner.
Une fois de plus Jacques me demandait : « He, Phil, tu n’es pas dans ton assiette, si il y a quelque chose qui ne va pas, tu peux me le dire. »
Jean et Joseph : « Oui, nous sommes là pour toi ! »
Moi : « Non, ça va, je suis juste un peu vaseux aujourd’hui. »
Après le repas, un petit passage aux toilettes pour y satisfaire un besoin tout naturel.
Nous revoilà aux cours pour l’après-midi. Une après-midi qui n’avançait pas, c’était aussi long que la matinée. Les minutes étaient interminables.
Dring, dring, dring !!! La fin des cours, ouf, il était grand temps !
Jean et Joseph se dépêchaient pour ne pas rater leur bus. Jacques et moi nous avions un peu plus temps. Nous étions sortis du bahut en discutant. Puis avant d’arriver à notre arrêt de bus, Jacques se tourne vers moi et me dit en me regardant droit dans les yeux : « Toi tu es amoureux que ça ne m’étonnerait pas ! »
Moi : « Mais non ! » Sans trop de conviction et en piquant un phare.
Jac : « Tu rougis Phil, je te connais bien, tu as rencontré quelqu’un durant les vacances et tu n’as plus de contact avec cette personne. »
Moi : « Mais non. »
Jac : « Tu sais Phil, tu peux tout me dire, c’est une fille ou un mec ? »
Moi : « Ben, euh, »
Jac : « Je pense que c’est un mec à ta façon de ne pas me répondre ouvertement. »
Moi : « Mais, je…ne sais ...pas…si… »
Jac : « Ne te casses pas la tête, j’ai compris va ! »
Moi : « Ca fait 5 jours que j’ai plus de nouvelle ! »
Jac : « T’as pas son numéro de téléphone ? »
Moi : « Non, comme un con j’ai oublié de le lui demander ! »
Jac : « Ne t’en fais pas, s’il tient à toi, il te contactera. »
Moi : « Merci Jacques, t’es un chouette copain tu sais. Merci de ne rien dire aux autres et surtout pas à Jean, car je n’ai pas confiance en lui ! »
Jac : « Tu as raison Phil, sur ce plan-là, je n’ai pas confiance en ses réactions. Il doit être homophobe que je n’en serais pas surpris ! »
Moi : « C’est juste ce que je pensais. »
Voilà mon bus.
J’avais donné une bise à Jacques et j’étais monté dans mon bus.
Sur le trajet de retour je pensais à Julien, bien sûr, mais encore à ce Jacques m’avait dit pour me réconforter. Jacques était un super copain, même un ami pour moi. Il était toujours présent pour donner un coup de main ou même réconforter un ami, j’étais très heureux de faire partie de ses amis et connaissances Puis je repensais à Julien, j’allais surement avoir des nouvelles de Julien ce soir, j’en étais de plus en plus convaincu.
J’arrivais enfin à la maison et une nouvelle fois je me retrouvais seul. Pas de message sur le répondeur du téléphone, pas de petit mot laissé sur la table de la cuisine comme c’est l’habitude si on veut laisser un message.
Comme il faisait encore bon j’avais décidé de piquer une tête dans la piscine. Je me désape et nu, comme d’habitude, je plonge et me voilà à l’eau. J’avais fait quelques longueurs pour décompresser. Je pensais toujours à Julien et j’en étais de plus en plus certain de pouvoir enfin lui parler avant ce soir.
J’étais sorti de l’eau et je m’étais allongé sur une chaise longue. J’m’étais mis à rêvasser. Je me remémorais les baignades que nous avions faites Julien et moi en compagnie de ma sœur Delphine et de sa copine Stéphanie. Nous n’avions aucun complexe entre nous. Rien que de penser à ces bons moments mon sexe s’était redressé. Je m’étais dit, non, pas maintenant, quelqu’un pouvait rentrer à tout moment et je ne voulais pas me retrouver dans cet état devant elle et encore moins en étant en train de me donner du plaisir. Je m’étais levé et j’avais décidé d’aller dans ma chambre.
J’ai directement mis un disque des Beatles (évidement, pas un disque de Mireille Mathieu) « Let It Be ». Je m’étais couché sur le lit, nu et je rêvassais une nouvelle fois en pensant à Julien, à ce que Jacques m’avait dit et à ce con de Jean. Je m’en méfiais comme de la peste et pourtant il avait été un super copain quand nous étions plus jeunes. Ma tête était pleines de pensées tantôt positives et parfois négatives Comment allait donc se poursuivre notre histoire, si histoire il y avait, Julien avait-il connu d’autres mecs avant de me connaître, etc.
Ah, enfin, j’entendais que quelqu’un était rentré à la maison. J’avais passé un short et j’avais descendu les marches d’escalier quatre à quatre. Maman était rentrée, j’étais content de la voir. Je lui avais demandé si elle avait des nouvelles de ma sœur Delphine. Maman m’avait alors dit que normalement Delphine allait nous téléphoner au soir. J’étais content d’apprendre cette nouvelle, je pensais qu’elle allait pourvoir me dire comment allait Julien, s’il se portait bien et s’il avait demandé de mes nouvelles. J’en profitais pour encore m’excuser pour l’état de mon lit après « mon petit accident » comme maman disait parfois. Elle m’avait une nouvelle fois dit que ce n’était rien, le linge avait été mis à la machine et voilà, c’est tout. Je lui donnais alors un gros bisou sur la joue. Elle faisait de même avec moi en me donnant un bisou sur le front.
Vers 19h45 le téléphone sonne. Hop, ni une ni deux je courais vers l’appareil et je décrochais directement en disant : « Allo, c’est toi Delphine ! »
Del : « Oui petit frérot, c’est bien moi, alors comment vas-tu ? »
Moi : « Bonjour, moi ça va, et toi tu es où, tu es avec Stéphanie ? »
Del : « Oui, je suis chez elle. Pourquoi cette question ? »
Moi : « C’est pour avoir des nouvelles de Julien, je ne sais pas le contacter, je n’ai pas son numéro de téléphone. Comment va-t-il ? »
Del : « Ah, c’est donc ça que tu es si pressé de parler, (à voix basse elle ajoute) il te manque ton petit copain, ton amoureux ! »
Moi : « T’es conne, bien sûr qu’il me manque. Dis-moi, il est là Julien ? »
Del : « Oui grand béta, je vais te le passer mais passe-moi d’abord maman, Julien c’est après. »
Moi : « Ok, mais t’es vache tu sais, me laisser pas languir comme ça, quelle torture (sur un ton humoristique). Voilà, j’appelle maman. »
Mamannnn, mamannnn, téléphone, c’est Delphine !
Maman prenait alors le combiné et je lui avais dit que je devais le reprendre car j’avais encore quelque chose à dire à Delphine.
Après dix bonnes minutes de blabla entre filles, maman m’avait appelé : « Philippe, tu peux venir pour ravoir ta sœur, elle est au téléphone ».
Enfin j’allais pouvoir entendre Julien, lui parler, lui poser un tas de questions.
Moi : « Allo, Julien ! »
Del : « Attend, je te le passe. »
Jul : « Allo, Philippe. Il y a longtemps. »
Moi : « Salut Julien, oui même trop longtemps. Et toi comment vas-tu ? »
Jul : « Moi ça va, j’ai repris les cours, mais je ne suis pas bien, je déprime un peu ! »
Moi : « Ah, mais pourquoi, tu as des problèmes avec tes parents ou autre chose ? »
Jul : « Non, ce n’est pas ça. Je…ne…sais pas…comment te dire, je…tu…me manques ! »
Moi : « Julien…si tu savais…je ne pense qu’à toi…tu es dans ma tête tout le temps ! »
Jul : « Je pensais que tu ne voulais plus de moi, je m’aperçois qu’il n’en est rien. Je t’aime ! »
Moi : « Oh tu sais Julien, je t’aime aussi. C’est moi qui suis con, je ne t’avais même pas demandé ton numéro de téléphone, qu’est-ce que je peux être con des fois ! »
Jul : « Ne dis pas ça, j’aurais du y penser aussi. Tu vois Phil, on est con tous les deux ! »
(Eclats de rire des deux côtés de la ligne)
Moi : « Eh, donne-le-moi, car si je dois attendre ma sœur, on n’est pas encore sorti de l’auberge ! »
Jul : « Tu as de quoi noter ! »
Moi : « Oui, vas-y »
Jul : « Voilà : ------------. »
Moi : « Merci Julien, comme ça on pourra se parler sans devoir attendre des plombes ! »
Jul : « Que je suis content de t’entendre. Dis c’est quand que tu peux venir à la maison ? »
Moi : « Je ne sais pas, le prochain week-end, si ça va pour tes parents. »
Jul : « Ok, ils ne sont pas ici maintenant, je te contacte d’ici peu. Mais je pense que ça va le faire. »
Moi : « Oh, je t’aime tu sais mon Juju, vivement qu’on puisse se voir, se toucher, se branler et même plus mon petit cochon que j’aime. »
Jul : « T’es un gros malade Phil, mais je suis partant pour faire toutes des cochonneries avec toi mon petit cochon pervers d’amour. »
Moi : « Salut mon homme, je t’aime, à plus ! »
Jul : « Salut mon Phil d’amour, je t’aime aussi. A plus. »
Nous avions raccroché en même temps.
La matinée s’est déroulée très lentement à mon goût, ça n’en finissait pas. Enfin l’heure du midi.
Nous nous retrouvions tous les quatre à la même table dans le réfectoire pour y prendre notre déjeuner.
Une fois de plus Jacques me demandait : « He, Phil, tu n’es pas dans ton assiette, si il y a quelque chose qui ne va pas, tu peux me le dire. »
Jean et Joseph : « Oui, nous sommes là pour toi ! »
Moi : « Non, ça va, je suis juste un peu vaseux aujourd’hui. »
Après le repas, un petit passage aux toilettes pour y satisfaire un besoin tout naturel.
Nous revoilà aux cours pour l’après-midi. Une après-midi qui n’avançait pas, c’était aussi long que la matinée. Les minutes étaient interminables.
Dring, dring, dring !!! La fin des cours, ouf, il était grand temps !
Jean et Joseph se dépêchaient pour ne pas rater leur bus. Jacques et moi nous avions un peu plus temps. Nous étions sortis du bahut en discutant. Puis avant d’arriver à notre arrêt de bus, Jacques se tourne vers moi et me dit en me regardant droit dans les yeux : « Toi tu es amoureux que ça ne m’étonnerait pas ! »
Moi : « Mais non ! » Sans trop de conviction et en piquant un phare.
Jac : « Tu rougis Phil, je te connais bien, tu as rencontré quelqu’un durant les vacances et tu n’as plus de contact avec cette personne. »
Moi : « Mais non. »
Jac : « Tu sais Phil, tu peux tout me dire, c’est une fille ou un mec ? »
Moi : « Ben, euh, »
Jac : « Je pense que c’est un mec à ta façon de ne pas me répondre ouvertement. »
Moi : « Mais, je…ne sais ...pas…si… »
Jac : « Ne te casses pas la tête, j’ai compris va ! »
Moi : « Ca fait 5 jours que j’ai plus de nouvelle ! »
Jac : « T’as pas son numéro de téléphone ? »
Moi : « Non, comme un con j’ai oublié de le lui demander ! »
Jac : « Ne t’en fais pas, s’il tient à toi, il te contactera. »
Moi : « Merci Jacques, t’es un chouette copain tu sais. Merci de ne rien dire aux autres et surtout pas à Jean, car je n’ai pas confiance en lui ! »
Jac : « Tu as raison Phil, sur ce plan-là, je n’ai pas confiance en ses réactions. Il doit être homophobe que je n’en serais pas surpris ! »
Moi : « C’est juste ce que je pensais. »
Voilà mon bus.
J’avais donné une bise à Jacques et j’étais monté dans mon bus.
Sur le trajet de retour je pensais à Julien, bien sûr, mais encore à ce Jacques m’avait dit pour me réconforter. Jacques était un super copain, même un ami pour moi. Il était toujours présent pour donner un coup de main ou même réconforter un ami, j’étais très heureux de faire partie de ses amis et connaissances Puis je repensais à Julien, j’allais surement avoir des nouvelles de Julien ce soir, j’en étais de plus en plus convaincu.
J’arrivais enfin à la maison et une nouvelle fois je me retrouvais seul. Pas de message sur le répondeur du téléphone, pas de petit mot laissé sur la table de la cuisine comme c’est l’habitude si on veut laisser un message.
Comme il faisait encore bon j’avais décidé de piquer une tête dans la piscine. Je me désape et nu, comme d’habitude, je plonge et me voilà à l’eau. J’avais fait quelques longueurs pour décompresser. Je pensais toujours à Julien et j’en étais de plus en plus certain de pouvoir enfin lui parler avant ce soir.
J’étais sorti de l’eau et je m’étais allongé sur une chaise longue. J’m’étais mis à rêvasser. Je me remémorais les baignades que nous avions faites Julien et moi en compagnie de ma sœur Delphine et de sa copine Stéphanie. Nous n’avions aucun complexe entre nous. Rien que de penser à ces bons moments mon sexe s’était redressé. Je m’étais dit, non, pas maintenant, quelqu’un pouvait rentrer à tout moment et je ne voulais pas me retrouver dans cet état devant elle et encore moins en étant en train de me donner du plaisir. Je m’étais levé et j’avais décidé d’aller dans ma chambre.
J’ai directement mis un disque des Beatles (évidement, pas un disque de Mireille Mathieu) « Let It Be ». Je m’étais couché sur le lit, nu et je rêvassais une nouvelle fois en pensant à Julien, à ce que Jacques m’avait dit et à ce con de Jean. Je m’en méfiais comme de la peste et pourtant il avait été un super copain quand nous étions plus jeunes. Ma tête était pleines de pensées tantôt positives et parfois négatives Comment allait donc se poursuivre notre histoire, si histoire il y avait, Julien avait-il connu d’autres mecs avant de me connaître, etc.
Ah, enfin, j’entendais que quelqu’un était rentré à la maison. J’avais passé un short et j’avais descendu les marches d’escalier quatre à quatre. Maman était rentrée, j’étais content de la voir. Je lui avais demandé si elle avait des nouvelles de ma sœur Delphine. Maman m’avait alors dit que normalement Delphine allait nous téléphoner au soir. J’étais content d’apprendre cette nouvelle, je pensais qu’elle allait pourvoir me dire comment allait Julien, s’il se portait bien et s’il avait demandé de mes nouvelles. J’en profitais pour encore m’excuser pour l’état de mon lit après « mon petit accident » comme maman disait parfois. Elle m’avait une nouvelle fois dit que ce n’était rien, le linge avait été mis à la machine et voilà, c’est tout. Je lui donnais alors un gros bisou sur la joue. Elle faisait de même avec moi en me donnant un bisou sur le front.
Vers 19h45 le téléphone sonne. Hop, ni une ni deux je courais vers l’appareil et je décrochais directement en disant : « Allo, c’est toi Delphine ! »
Del : « Oui petit frérot, c’est bien moi, alors comment vas-tu ? »
Moi : « Bonjour, moi ça va, et toi tu es où, tu es avec Stéphanie ? »
Del : « Oui, je suis chez elle. Pourquoi cette question ? »
Moi : « C’est pour avoir des nouvelles de Julien, je ne sais pas le contacter, je n’ai pas son numéro de téléphone. Comment va-t-il ? »
Del : « Ah, c’est donc ça que tu es si pressé de parler, (à voix basse elle ajoute) il te manque ton petit copain, ton amoureux ! »
Moi : « T’es conne, bien sûr qu’il me manque. Dis-moi, il est là Julien ? »
Del : « Oui grand béta, je vais te le passer mais passe-moi d’abord maman, Julien c’est après. »
Moi : « Ok, mais t’es vache tu sais, me laisser pas languir comme ça, quelle torture (sur un ton humoristique). Voilà, j’appelle maman. »
Mamannnn, mamannnn, téléphone, c’est Delphine !
Maman prenait alors le combiné et je lui avais dit que je devais le reprendre car j’avais encore quelque chose à dire à Delphine.
Après dix bonnes minutes de blabla entre filles, maman m’avait appelé : « Philippe, tu peux venir pour ravoir ta sœur, elle est au téléphone ».
Enfin j’allais pouvoir entendre Julien, lui parler, lui poser un tas de questions.
Moi : « Allo, Julien ! »
Del : « Attend, je te le passe. »
Jul : « Allo, Philippe. Il y a longtemps. »
Moi : « Salut Julien, oui même trop longtemps. Et toi comment vas-tu ? »
Jul : « Moi ça va, j’ai repris les cours, mais je ne suis pas bien, je déprime un peu ! »
Moi : « Ah, mais pourquoi, tu as des problèmes avec tes parents ou autre chose ? »
Jul : « Non, ce n’est pas ça. Je…ne…sais pas…comment te dire, je…tu…me manques ! »
Moi : « Julien…si tu savais…je ne pense qu’à toi…tu es dans ma tête tout le temps ! »
Jul : « Je pensais que tu ne voulais plus de moi, je m’aperçois qu’il n’en est rien. Je t’aime ! »
Moi : « Oh tu sais Julien, je t’aime aussi. C’est moi qui suis con, je ne t’avais même pas demandé ton numéro de téléphone, qu’est-ce que je peux être con des fois ! »
Jul : « Ne dis pas ça, j’aurais du y penser aussi. Tu vois Phil, on est con tous les deux ! »
(Eclats de rire des deux côtés de la ligne)
Moi : « Eh, donne-le-moi, car si je dois attendre ma sœur, on n’est pas encore sorti de l’auberge ! »
Jul : « Tu as de quoi noter ! »
Moi : « Oui, vas-y »
Jul : « Voilà : ------------. »
Moi : « Merci Julien, comme ça on pourra se parler sans devoir attendre des plombes ! »
Jul : « Que je suis content de t’entendre. Dis c’est quand que tu peux venir à la maison ? »
Moi : « Je ne sais pas, le prochain week-end, si ça va pour tes parents. »
Jul : « Ok, ils ne sont pas ici maintenant, je te contacte d’ici peu. Mais je pense que ça va le faire. »
Moi : « Oh, je t’aime tu sais mon Juju, vivement qu’on puisse se voir, se toucher, se branler et même plus mon petit cochon que j’aime. »
Jul : « T’es un gros malade Phil, mais je suis partant pour faire toutes des cochonneries avec toi mon petit cochon pervers d’amour. »
Moi : « Salut mon homme, je t’aime, à plus ! »
Jul : « Salut mon Phil d’amour, je t’aime aussi. A plus. »
Nous avions raccroché en même temps.