13-08-2020, 11:12 PM
Voilà la suite, j'espère qu'elle vous plaira.
J’étais allongé dans mon lit, avec mon caleçon aux chevilles. Je dirigeai ma main droite vers mon sexe pendant que la gauche caressait en douceur mon torse. Je me suis emparé de mon sexe, et j’ai commencé un lent va-et-vient. Au bout d’un moment, je ressentis une sensation bizarre : comme une deuxième main qui se posait sur mon sexe. Je me réveillai en sursaut, et je restais bouche bée.
Nicolas était en train de me masturber, tout en me caressant le corps. Son sourire en disait long sur le plaisir qu'il prenait à me réveiller comme ça. Ayant repris mes esprits, je pris à mon tour son sexe en main pour lui rendre la pareille. Il était déjà très en forme : je ne savais pas depuis combien de temps il me masturbait mais ça l'avait bien excité. Il me caressait le corps de sa main droite pendant que l'autre s'activait sur mon sexe. Il était très délicat dans ses mouvements. Il ne me fallut pas longtemps pour me répandre, j’eus tout juste le temps de le prévenir avant que mon sperme vienne s’échouer sur son ventre.
J’allais pouvoir m'occuper de lui et lui rendre la monnaie de sa pièce. Je me mis à califourchon sur lui pour l'embrasser pendant que ma main droite le masturbait et que ma main gauche caressait sa nuque. Je descendais petit à petit, je lui léchais les tétons au passage et caressais son torse de ma main gauche en étalant mon sperme. J’arrivais au niveau de son sexe que je masturbais toujours. Voir ma tête à proximité de son membre devait lui faire quelque chose, car il atteignit le point de non-retour à ce moment-là et éjacula quelques jets qui allèrent rejoindre les miens.
J'attrapai la boite de mouchoir située sur la table de nuit, afin de nettoyer nos sexes et son ventre. Heureusement que nous ne nous étions pas sucés, car je ne pense pas que nous aurions réussi à rester discrets.
Soudainement, on toqua à la porte. Il se remit rapidement à côté de moi tandis que je remettais la couverture sur nous.
— Les garçons ? Venez vite déjeuner, car après on se met au boulot !
— D’accord. On arrive.
Nous nous sommes embrassés une dernière fois, et nous sommes descendus pour déjeuner. Après un rapide passage dans la salle de bain, nous nous sommes tous mis au travail.
Au début, Nicolas et moi étions assignés au dessert. Mais vu qu’on arrêtait pas de mettre de la crème, du chocolat et du toutes autres choses sur la visage l’un de l’autre, nous avons été réassignés aux entrées. Super décorticage de crevettes en masse !
Après avoir décortiqué je ne sais combien de crevettes, préparé une dizaine de crabes et un autre truc dont je ne connaissais absolument pas le nom, ma mère, qui était devenue une vraie dictatrice, nous a autorisé une pose de cinq minutes et pas une seconde de plus.
Le stress la rendait terrible ! Dans ces moments ; je lui donnais un petit surnom affectif : Fidel casse-couille. J’avoue ce n’était pas forcément gentil, mais ça me faisait rire.
Suite à cette pause, nous avons repris notre labeur jusqu’au déjeuner. Après celui-ci, nous nous sommes tous accordé une petite pause d’une heure et on l’avait bien mérité. Je n’en pouvais plus des fruits de mer, je me disais que je ne pourrais plus jamais regarder une crevette en face.
Une fois la pause terminée, nous somme passés aux plats, car évidemment un ne suffisait pas : dinde aux marrons, suivie de caille rôtie au foie gras et, pour couronner tout ça, escalopes de foie gras accompagnées de purée truffée. Si ça n’est pas de la gastronomie, qu’est-ce que c’est ?
Nous avons cuisiné jusqu’en fin d’après-midi, puis nous avons dressé la table (encore).
La table dressée, les dernières guirlandes attachées et après l’inspection quasi militaire des plats par ma mère, bous avons eu l’autorisation de ma mère d’aller nous préparer : pour moi, une chemise blanche avec un pantalon noir, chemise rentrée dans le pantalon (sinon ma mère allait faire un scandale) ; Nicolas a mis un polo rouge foncé avec un jean noir.
Nous sommes redescendus, et nous avons pu voir ma mère qui avait opté pour une longue robe noire pailletée, qui à mon avis mettait en valeur ses yeux noisette et sa chevelure blonde.
Le scénario des vingt-cinq minutes qui ont suivi était simple : Nicolas et moi mangions discrètement des petits fours, et ma mère faisait un scandale d’état quand elle s’en rendait compte.
Enfin vers 19h00, la sonnette de Noël que ma mère avait installée le matin même retentit dans toute la maison. Ma mère se recoiffa en vitesse dans le reflet du four, et courut à la porte :
— Bonsoir et Bienvenue…. Jeanne, vous êtes seule ?
— Bonsoir, et oui, Patrick est parti chercher Thomas chez sa copine. Ils nous rejoindront plus tard.
— D’accord, oh, et entrez.
— Oui merci, on pourrait se tutoyer, non ?
— Oui, c’est une bonne idée.
Et elles se sont mises à rire, puis elles nous ont rejoint au salon. Nous avons discuté en attendant Patrick, Thomas et sa copine dont
personne ne savait rien, même pas Jeanne. Du coup, le sujet de discussion principal était la copine de Thomas : était-elle blonde ou
brune voire rousse, quelle était la couleur de ses yeux, son prénom. Jeanne avait eu beau questionner Patrick, la seule chose qu’il disait
été :
— C’est un secret père fils. S’il veut te parler d’elle, il t’en parlera.
Un secret père-fils ! Après, s’il ne veut pas en parler, ça peut se comprendre : j’ai réussi à cacher à ma mère ma relation avec Justine pendant deux mois. Avec Nicolas…. même pas une seconde.
Vers 20h, les trois manquants à cette fête de Noël sont arrivés. Heureusement, car les ragots de ma mère et de Jeanne devenaient un peu nuls !
Ma mère ouvrit à Patrick, mais elle ne vit pas Thomas et sa copine, elle le questionna donc :
— Oh, bonsoir, Patrick. Nous n’attendions plus que vous ! Où est Thomas et l’élue de son cœur ?
— Bonsoir, ils arrivent. Ils voulaient se parler un peu en privé avant.
— D’accord, pas de soucis, rentre.
— Ah, on se tutoie ?!
— Oh, excusez-moi, vu qu’avec Jeanne on se tutoie…
— Je te taquine, je suis totalement d’accord avec ma femme.
Thomas arriva à la porte, et ma mère s’est presque jetée sur lui :
— Ah, tu dois être Thomas, ravie de te rencontrer.
— Oui, moi aussi. Je peux vous présenter la personne que j’aime ?
— Mais avec plaisir !
Nous nous sommes tous approchés de l’entrée pour la voir.
— Roulement de tambours…1, 2, 3 !
Une personne arriva dans l’entrée et nous avons tous été surpris, mis à part Patrick bien sûr.
— Salut ! Moi c’est Thibaut.
Voila c'est tout pour aujourd'hui, j'attends vos retours avec impatiente.
Petite annonce au passage, je risque de publier un peu moins prochainement étant en vacance désolé
J’étais allongé dans mon lit, avec mon caleçon aux chevilles. Je dirigeai ma main droite vers mon sexe pendant que la gauche caressait en douceur mon torse. Je me suis emparé de mon sexe, et j’ai commencé un lent va-et-vient. Au bout d’un moment, je ressentis une sensation bizarre : comme une deuxième main qui se posait sur mon sexe. Je me réveillai en sursaut, et je restais bouche bée.
Nicolas était en train de me masturber, tout en me caressant le corps. Son sourire en disait long sur le plaisir qu'il prenait à me réveiller comme ça. Ayant repris mes esprits, je pris à mon tour son sexe en main pour lui rendre la pareille. Il était déjà très en forme : je ne savais pas depuis combien de temps il me masturbait mais ça l'avait bien excité. Il me caressait le corps de sa main droite pendant que l'autre s'activait sur mon sexe. Il était très délicat dans ses mouvements. Il ne me fallut pas longtemps pour me répandre, j’eus tout juste le temps de le prévenir avant que mon sperme vienne s’échouer sur son ventre.
J’allais pouvoir m'occuper de lui et lui rendre la monnaie de sa pièce. Je me mis à califourchon sur lui pour l'embrasser pendant que ma main droite le masturbait et que ma main gauche caressait sa nuque. Je descendais petit à petit, je lui léchais les tétons au passage et caressais son torse de ma main gauche en étalant mon sperme. J’arrivais au niveau de son sexe que je masturbais toujours. Voir ma tête à proximité de son membre devait lui faire quelque chose, car il atteignit le point de non-retour à ce moment-là et éjacula quelques jets qui allèrent rejoindre les miens.
J'attrapai la boite de mouchoir située sur la table de nuit, afin de nettoyer nos sexes et son ventre. Heureusement que nous ne nous étions pas sucés, car je ne pense pas que nous aurions réussi à rester discrets.
Soudainement, on toqua à la porte. Il se remit rapidement à côté de moi tandis que je remettais la couverture sur nous.
— Les garçons ? Venez vite déjeuner, car après on se met au boulot !
— D’accord. On arrive.
Nous nous sommes embrassés une dernière fois, et nous sommes descendus pour déjeuner. Après un rapide passage dans la salle de bain, nous nous sommes tous mis au travail.
Au début, Nicolas et moi étions assignés au dessert. Mais vu qu’on arrêtait pas de mettre de la crème, du chocolat et du toutes autres choses sur la visage l’un de l’autre, nous avons été réassignés aux entrées. Super décorticage de crevettes en masse !
Après avoir décortiqué je ne sais combien de crevettes, préparé une dizaine de crabes et un autre truc dont je ne connaissais absolument pas le nom, ma mère, qui était devenue une vraie dictatrice, nous a autorisé une pose de cinq minutes et pas une seconde de plus.
Le stress la rendait terrible ! Dans ces moments ; je lui donnais un petit surnom affectif : Fidel casse-couille. J’avoue ce n’était pas forcément gentil, mais ça me faisait rire.
Suite à cette pause, nous avons repris notre labeur jusqu’au déjeuner. Après celui-ci, nous nous sommes tous accordé une petite pause d’une heure et on l’avait bien mérité. Je n’en pouvais plus des fruits de mer, je me disais que je ne pourrais plus jamais regarder une crevette en face.
Une fois la pause terminée, nous somme passés aux plats, car évidemment un ne suffisait pas : dinde aux marrons, suivie de caille rôtie au foie gras et, pour couronner tout ça, escalopes de foie gras accompagnées de purée truffée. Si ça n’est pas de la gastronomie, qu’est-ce que c’est ?
Nous avons cuisiné jusqu’en fin d’après-midi, puis nous avons dressé la table (encore).
La table dressée, les dernières guirlandes attachées et après l’inspection quasi militaire des plats par ma mère, bous avons eu l’autorisation de ma mère d’aller nous préparer : pour moi, une chemise blanche avec un pantalon noir, chemise rentrée dans le pantalon (sinon ma mère allait faire un scandale) ; Nicolas a mis un polo rouge foncé avec un jean noir.
Nous sommes redescendus, et nous avons pu voir ma mère qui avait opté pour une longue robe noire pailletée, qui à mon avis mettait en valeur ses yeux noisette et sa chevelure blonde.
Le scénario des vingt-cinq minutes qui ont suivi était simple : Nicolas et moi mangions discrètement des petits fours, et ma mère faisait un scandale d’état quand elle s’en rendait compte.
Enfin vers 19h00, la sonnette de Noël que ma mère avait installée le matin même retentit dans toute la maison. Ma mère se recoiffa en vitesse dans le reflet du four, et courut à la porte :
— Bonsoir et Bienvenue…. Jeanne, vous êtes seule ?
— Bonsoir, et oui, Patrick est parti chercher Thomas chez sa copine. Ils nous rejoindront plus tard.
— D’accord, oh, et entrez.
— Oui merci, on pourrait se tutoyer, non ?
— Oui, c’est une bonne idée.
Et elles se sont mises à rire, puis elles nous ont rejoint au salon. Nous avons discuté en attendant Patrick, Thomas et sa copine dont
personne ne savait rien, même pas Jeanne. Du coup, le sujet de discussion principal était la copine de Thomas : était-elle blonde ou
brune voire rousse, quelle était la couleur de ses yeux, son prénom. Jeanne avait eu beau questionner Patrick, la seule chose qu’il disait
été :
— C’est un secret père fils. S’il veut te parler d’elle, il t’en parlera.
Un secret père-fils ! Après, s’il ne veut pas en parler, ça peut se comprendre : j’ai réussi à cacher à ma mère ma relation avec Justine pendant deux mois. Avec Nicolas…. même pas une seconde.
Vers 20h, les trois manquants à cette fête de Noël sont arrivés. Heureusement, car les ragots de ma mère et de Jeanne devenaient un peu nuls !
Ma mère ouvrit à Patrick, mais elle ne vit pas Thomas et sa copine, elle le questionna donc :
— Oh, bonsoir, Patrick. Nous n’attendions plus que vous ! Où est Thomas et l’élue de son cœur ?
— Bonsoir, ils arrivent. Ils voulaient se parler un peu en privé avant.
— D’accord, pas de soucis, rentre.
— Ah, on se tutoie ?!
— Oh, excusez-moi, vu qu’avec Jeanne on se tutoie…
— Je te taquine, je suis totalement d’accord avec ma femme.
Thomas arriva à la porte, et ma mère s’est presque jetée sur lui :
— Ah, tu dois être Thomas, ravie de te rencontrer.
— Oui, moi aussi. Je peux vous présenter la personne que j’aime ?
— Mais avec plaisir !
Nous nous sommes tous approchés de l’entrée pour la voir.
— Roulement de tambours…1, 2, 3 !
Une personne arriva dans l’entrée et nous avons tous été surpris, mis à part Patrick bien sûr.
— Salut ! Moi c’est Thibaut.
Voila c'est tout pour aujourd'hui, j'attends vos retours avec impatiente.
Petite annonce au passage, je risque de publier un peu moins prochainement étant en vacance désolé