NDA Voici une première modification à leur arrivée à Paris dans l’épisode « Chapitre 1 - Le départ (2) ». J’avais évoqué une « branlette hygiénique » proposée par Koen, sans la décrire. C’était assez logique que Koen utilise ce terme, mais cela ne suggérait pas quelque chose de très sensuel. Je vais donc essayer d’imaginer le contraire.
J'ai fait la correction dans le post original, je la publie aussi séparément car cette nouvelle scène pourrait se passer n’importe quand et peut être lue séparément. Désolé pour l’aspect « work in progress » de ce récit.
Koen proposa une petite branlette hygiénique avant de se coucher.
— Je constate que tu es toujours aussi insatiable, dit Dominique. Pourquoi une branlette hygiénique ? Tu ne prends pas de plaisir à le faire ? Ce n’est que pour te vider les couilles, si tu me passes cette expression vulgaire ?
— Je pensais que vous étiez trop fatigués après ce long voyage, expliqua Koen, c’était juste pour votre santé prostatique. J’ai lu qu’éjaculer souvent diminuerait les problèmes de prostate, lorsqu’on vieillit.
— Tu lis trop de traités médicaux, fait Frédéric, on va prendre notre temps, on fera la grasse matinée demain. Il faut fêter nos retrouvailles, il y a longtemps que nous ne nous étions pas vus. Parle-leur du Cercle du Désir que tu avais organisé à l’école.
— Avec plaisir. Une fois par semaine, je réunissais les élèves qui désiraient se branler ensemble, c’était justement le samedi soir. J’avais limité le nombre de participants à dix par séance et je devais refuser du monde.
— Et ça se passait comment ? demande Dom.
— Je m’étais inspiré d’un article paru dans le magazine Der Ring : favoriser le sexe sans tabou, c’est dans l’air du temps, mais sans drogue, le règlement de l’école l’interdisait.
— Il n’y avait que des gays ? questionne Daniel.
— Non, c’était ouvert à tous, je crois que chaque élève y est venu au moins une fois, par simple curiosité.
— Ils devaient se déshabiller, en gardant leurs slips au début, dit Frédéric. On va faire la même chose.
Dominique porte un slip étonnant, de coupe masculine, mais en étoffe rose satinée.
— Très original, dit Frédéric. Tu l’as acheté où ?
— Je l’ai cousu moi-même. Tu en aimerais aussi un ?
— Euh… Je n’oserais pas le porter.
— Personne ne le verrait, à part moi, ironise Koen.
— Tu pourrais le mettre pour aller au recrutement militaire, dit Daniel en riant, ils te réformeront d’office.
Ils s’asseyent sur le sol, l’épaisse moquette de la chambre est plus confortable que le parquet des salles de l’école. Frédéric distribue des serviettes roulées à mettre sous le périnée afin de le stimuler. Koen dit :
— On leur demandait de nous parler de leur vie sexuelle s’ils le désiraient, de leur première masturbation ou de leur première fois, ou de n’importe quoi d’autre d’érotique.
— Ce sera difficile pour nous de le faire, fait Daniel, tu sais déjà tout, ou alors c’est trop intime pour en parler, ce sont nos jardins secrets.
— On va raccourcir cette étape. Ensuite, il fallait se rapprocher, se toucher.
— Parfois des hétéros partaient à ce moment-là car ils n’osaient pas toucher un autre homme, explique Frédéric, toujours la peur de passer pour des pédés, alors que cette école est un des lieux les plus tolérants que je connaisse.
Les quatre amis se relèvent, se serrent les uns contre les autres, s’entourant de leurs bras. Ils restent comme cela pendant quelques minutes, Dom les aide à contrôler leur respiration, un exercice de yoga qu’elle pratique souvent.
— Ensuite, dit Koen, c’était l’heure de vérité car chacun devait baisser son slip et oser montrer sa queue aux autres.
— On les avait déjà vues sous la douche, pour la plupart, ajouta Frédéric, mais pas bandées. Cela permettait surtout un mélange des élèves, sinon ils se branlaient seuls ou avec leurs compagnons de chambres.
— Très intéressant pour moi de faire des comparaisons.
— Il n’y aura vraiment pas de surprise ce soir, dit Daniel.
— Dommage, dit Koen, on pourrait inviter le garçon d’étage.
— Je ne sais pas s’il serait d’accord. Restons entre nous, pour une fois.
Ils enlèvent leurs slips, les discussions les ont déjà excités, des caresses mutuelles finissent de dresser leurs membres au maximum. Ils se branlent lentement, sensuellement, savourant chaque sensation ; ils laissent le plaisir montrer très lentement, le précum lubrifie naturellement leurs glands. Ils pourraient passer la nuit ainsi, mais il faut bien laisser échapper la semence, presque à regret. Ils ne sentent pas prêts à la retenir, comme le tantrisme le prescrit, et Koen a dit qu’il fallait éjaculer.
Ils jouissent presqu’en même temps, le sperme tombe sur la moquette. Elle doit en avoir vu d’autres.
— À notre voyage ! dit Frédéric.
— À notre amitié ! dit Daniel.
— N’ayons pas peur des mots, à nos amours ! dit Dom.
— Et surtout, à nos orgasmes ! dit Koen.
J'ai fait la correction dans le post original, je la publie aussi séparément car cette nouvelle scène pourrait se passer n’importe quand et peut être lue séparément. Désolé pour l’aspect « work in progress » de ce récit.
Koen proposa une petite branlette hygiénique avant de se coucher.
— Je constate que tu es toujours aussi insatiable, dit Dominique. Pourquoi une branlette hygiénique ? Tu ne prends pas de plaisir à le faire ? Ce n’est que pour te vider les couilles, si tu me passes cette expression vulgaire ?
— Je pensais que vous étiez trop fatigués après ce long voyage, expliqua Koen, c’était juste pour votre santé prostatique. J’ai lu qu’éjaculer souvent diminuerait les problèmes de prostate, lorsqu’on vieillit.
— Tu lis trop de traités médicaux, fait Frédéric, on va prendre notre temps, on fera la grasse matinée demain. Il faut fêter nos retrouvailles, il y a longtemps que nous ne nous étions pas vus. Parle-leur du Cercle du Désir que tu avais organisé à l’école.
— Avec plaisir. Une fois par semaine, je réunissais les élèves qui désiraient se branler ensemble, c’était justement le samedi soir. J’avais limité le nombre de participants à dix par séance et je devais refuser du monde.
— Et ça se passait comment ? demande Dom.
— Je m’étais inspiré d’un article paru dans le magazine Der Ring : favoriser le sexe sans tabou, c’est dans l’air du temps, mais sans drogue, le règlement de l’école l’interdisait.
— Il n’y avait que des gays ? questionne Daniel.
— Non, c’était ouvert à tous, je crois que chaque élève y est venu au moins une fois, par simple curiosité.
— Ils devaient se déshabiller, en gardant leurs slips au début, dit Frédéric. On va faire la même chose.
Dominique porte un slip étonnant, de coupe masculine, mais en étoffe rose satinée.
— Très original, dit Frédéric. Tu l’as acheté où ?
— Je l’ai cousu moi-même. Tu en aimerais aussi un ?
— Euh… Je n’oserais pas le porter.
— Personne ne le verrait, à part moi, ironise Koen.
— Tu pourrais le mettre pour aller au recrutement militaire, dit Daniel en riant, ils te réformeront d’office.
Ils s’asseyent sur le sol, l’épaisse moquette de la chambre est plus confortable que le parquet des salles de l’école. Frédéric distribue des serviettes roulées à mettre sous le périnée afin de le stimuler. Koen dit :
— On leur demandait de nous parler de leur vie sexuelle s’ils le désiraient, de leur première masturbation ou de leur première fois, ou de n’importe quoi d’autre d’érotique.
— Ce sera difficile pour nous de le faire, fait Daniel, tu sais déjà tout, ou alors c’est trop intime pour en parler, ce sont nos jardins secrets.
— On va raccourcir cette étape. Ensuite, il fallait se rapprocher, se toucher.
— Parfois des hétéros partaient à ce moment-là car ils n’osaient pas toucher un autre homme, explique Frédéric, toujours la peur de passer pour des pédés, alors que cette école est un des lieux les plus tolérants que je connaisse.
Les quatre amis se relèvent, se serrent les uns contre les autres, s’entourant de leurs bras. Ils restent comme cela pendant quelques minutes, Dom les aide à contrôler leur respiration, un exercice de yoga qu’elle pratique souvent.
— Ensuite, dit Koen, c’était l’heure de vérité car chacun devait baisser son slip et oser montrer sa queue aux autres.
— On les avait déjà vues sous la douche, pour la plupart, ajouta Frédéric, mais pas bandées. Cela permettait surtout un mélange des élèves, sinon ils se branlaient seuls ou avec leurs compagnons de chambres.
— Très intéressant pour moi de faire des comparaisons.
— Il n’y aura vraiment pas de surprise ce soir, dit Daniel.
— Dommage, dit Koen, on pourrait inviter le garçon d’étage.
— Je ne sais pas s’il serait d’accord. Restons entre nous, pour une fois.
Ils enlèvent leurs slips, les discussions les ont déjà excités, des caresses mutuelles finissent de dresser leurs membres au maximum. Ils se branlent lentement, sensuellement, savourant chaque sensation ; ils laissent le plaisir montrer très lentement, le précum lubrifie naturellement leurs glands. Ils pourraient passer la nuit ainsi, mais il faut bien laisser échapper la semence, presque à regret. Ils ne sentent pas prêts à la retenir, comme le tantrisme le prescrit, et Koen a dit qu’il fallait éjaculer.
Ils jouissent presqu’en même temps, le sperme tombe sur la moquette. Elle doit en avoir vu d’autres.
— À notre voyage ! dit Frédéric.
— À notre amitié ! dit Daniel.
— N’ayons pas peur des mots, à nos amours ! dit Dom.
— Et surtout, à nos orgasmes ! dit Koen.
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