31-10-2022, 01:29 PM
– John, vous ici! Quelle bonne surprise mais que nous vaut l'honneur de votre visite ?
– Il y a quelqu'un qui voulait vous rencontrer et vous remercier.
– Ah bon, mais de quoi ?
– De ce que vous avez fait pour lui.
– Mais, je n'ai rien fait pour personne.
– En êtes-vous si sûr ?
– Bah, à part l’av… Heu, non je n'ai rien fait de spécial.
– Justement l’av… ion, vous avez sauvé la vie à un jeune homme en fâcheuse position.
– Mais comment êtes-vous au courant de ça. C’est censé être secret pour l’instant.
– Mais ça l'est Jean-François, sauf que le jeune homme que vous avez sauvé est le fils aîné de notre Émir et le neveu de son Altesse.
Ils voudraient s'entretenir avec vous.
– Heu oui, mais là tout de suite, ça va pas être possible, parce qu'à la maison j'ai déjà un sénateur, deux députés, un préfet et un gars des services secrets sans compter le consul des Etats-Unis.
– Un moment, je reviens.
Il grimpa dans la voiture et quelques instants plus tard, il en redescendit suivi d'un jeune homme tandis que le chauffeur ouvrait l’autre porte à l’Émir.
– Vous nous invitez chez vous ?
– Oui, bien sûr, suivez-moi.
Dans la cour, John Smith me présenta l'émir et son fils. On monta et en ouvrant la porte je dis :
– On a de la visite. Laissez-moi vous présenter son Altesse l’Émir Abdelaziz Ben Lazout Al Tatoumi, son fils Abdel et monsieur John Smith.
Puis je présentais chaque personne à l'émir, son fils et à John. Les présentations finies l'émir prit la parole.
– Jean-François, je voulais vous remercier de ce que vous avez fait pour Abdel. Il a fallu un peu de temps aux autorités américaines pour nous donner votre nom. Et quelle ne fut pas la surprise de mon frère quand il a su que c'était vous qui aviez sauvé mon fils.
Ça a permis d'accélérer les choses.
Nous sommes venus, mon fils et moi, vous remercier de ce que vous avez fait pour notre famille.
Aussi, permettez-moi de vous remettre cette décoration, la plus haute décernée dans notre pays pour service rendu à la maison royale. Il s'agit de la médaille de l'ordre du roi.
Je sais que plusieurs de vos amis ici présent ont pris part à la défense de l'avion aussi je vous invite tous les six à venir visiter mon pays.
Je laisse le soin à notre ami John Smith d'organiser ça avec vous.
Après encore quelques banalités d'usage ils partirent. Ils, c'est le trio inattendu. Les autres ne tardèrent pas à les suivre.
– Tu crois que c'est de l’or ?
– On dirait bien, vu son poids.
– En tout cas t'es tout beau avec, Bébé.
– Ça me fait une belle jambe. Sauf que grosse comme elle est je vais être obligé de la laisser dans sa boite. Je ne vais pas pouvoir faire comme Cyprien, la mettre dans une boite de cigares. LOL!
Mon téléphone vibra. C'était John Smith qui m'envoyait un SMS.
«il faut que je vous vois en privé rapidement. Demain 9 h est-ce possible ?»
je lus le message à mes amis. Et sur leurs conseils je répondis oui. Et on se donna rendez-vous chez nous pour 9 h.
Vu l’heure, on n'avait plus le temps de faire grand-chose alors on descendit prendre l'air dans le jardin où on rencontra Pierre et Jean qui bricolaient au jardin.
Ça faisait un moment qu'on ne les avait vus et on discuta avec eux en les aidant. On nous avait demandé d'être discret du coup on ne leur avait pas parlé de ce qui nous était arrivé.
Et c'est Pierre qui mit les pieds dans le plat.
– Vous savez que nous ne sommes pas des commères… mais là, une question nous tarabuste Jean et moi. Je me trouvais sur le balcon quand tu as ouvert à un groupe d’officiels puis quand tu es allé ouvrir à un homme qui est entré suivi de deux autres et j'ai reconnu l'émir Ben Lazout, je ne savais pas que tu le connaissais pareil personnage. Comment se fait-il ?
– Je ne peux rien vous dire pour l’instant. On nous a demandé de garder le silence sur un fait qui s'est passé lors de nos vacances aux Etats-Unis, pour faire court j'ai sorti son fils d'un mauvais pas. Et il est venu me remercier.
– Ça a un rapport avec les événements du 11 septembre, c'est ça ?
– On ne peut pas en dire plus, désolé.
– On ne vous en demandera pas plus Jean-François sauf que si Michel revient vous voir, tu peux lui dire que son cousin serait heureux de le voir, depuis tout ce temps.
– Vous êtes cousins avec Michel ? Je ne le savais pas.
– Nos mères étaient sœurs. Mais on s'est perdus de vue il y a longtemps. Et toi tu le connais d’où ?
– De chez nous aux Fourches, sa famille est de là-bas. Il a gardé la maison familiale, enfin le château plutôt.
On discuta encore un peu avec eux puis on rentra chez nous. Tranquillement on préparait le repas quand la sonnette du portail tinta. J'allais voir sur le visiophone et je reconnus Alexis.
– Je t'ouvre et c'est au premier la deuxième porte.
Une minute après il était là.
– Salut! Oups, je pensais pas qu'il y avait autant de monde, je repasserai.
– Tu peux rester si tu veux, tu sais on se dit tout.
– Oui, mais bon, ce que j'ai à vous dire n'est pas si urgent que ça, ça peut attendre.
– Ok, comme tu veux.
– Bon à plus, ciao.
Il repartit aussi vite qu'il était venu, le rouge aux joues. Le repas traîna un peu en longueur parce qu'on discutait beaucoup et que Joris et Tim avaient mangé du clown ! Je vous parle même pas du nombre de fou rires qu'on prit en les écoutant. Puis chacun regagna sa chambre.
Avec Liam on se faisait des câlins qui se transformèrent vite en caresses et c'est en se masturbant l'un l'autre qu'on se fit plaisir.
Ce soir-là on n'avait pas envie de faire l’amour de façon conventionnelle, juste de se caresser, de s’embrasser. Et c'est lors d'une étreinte plus serrée qu'enlacés on jouit une deuxième fois. On se donna un dernier baiser et on s’endormit.
À sept heures je partis courir et je croisais Alexis qui faisait de même.
– Salut, ça va ce matin ?
– Oui, et toi ?
– Pleine forme aussi. On court ensemble ?
– Oui si tu veux. On peut discuter ?
– Bien sûr.
– Bon hier j'étais passé pour vous dire à Liam et à toi que ça y est, je ne suis plus puceau.
– Tu as fait ça quand ?
– En plusieurs étapes. Au parc j'ai rencontré un gars qui m'a proposé de me sucer. Il me plaisait alors je lui ai dit oui.
On est allé chez lui, on a commencé par s'embrasser puis il m'a quitté mon tee-shirt, je lui ai quitté le sien. Puis il s'est mis à me lécher le corps, jouer avec mes tétons, je lui ai fait pareil puis il m'a quitté mon short et mon boxer et il a commencé à me lécher les boules, il les a avalé l'une après l'autre en les faisant rouler dans sa bouche puis il a commencé à me sucer.
Je lui ai joui de suite dans la bouche. Il a tout avalé et comme je bandais toujours, il s'est remis à me sucer.
– Et toi tu lui as fait quoi ?
– Rien, jusqu’à là, il ne voulait pas que je le touche. Après on est allé prendre une douche puis il m'a fait mettre à quatre pattes sur le lit et il m'a bouffé le cul.
Puis il a pris ma place et je lui ai fait pareil. La langue puis avec les doigts comme il m'avait fait mais après il a voulu que je le baise. Et il m'a enfilé une capote.
Je sais pas comment j'ai fait pour tenir mais il a joui pendant que je le baisais et ses contractions m'on fait jouir.
Plus tard, j'ai voulu qu'il me baise mais il n’est que passif. Aussi, il m'a présenté un pote à lui qui est versatile.
Du coup, on a fait un plan à trois. Bon, c'est vrai que se faire sodo, au début, c'est pas le pied. Mais il a été très attentif à mon ‘confort’ si j’ose dire et maintenant, j’apprécie vraiment.
– Dis donc! T'es devenu un vrai petit pédé, alors ?
– Hé, hé! Oui, on peut dire ça. Et je me suis même tapé le mec qui me faisait fantasmer, tu sais le gars de mon équipe de foot.
– Ah, raconte-moi ça.
– Avec mes parents on est parti deux semaines en vacances à la mer et sur qui je tombe au camping… sur Ludo !
Du coup on est allé à la plage ensemble, on s'est trouvé des potes et des copines. Mais bon, juste des amis, pas des partenaires sexuels si tu vois ce que je veux dire.
– Oui je vois, mais comment tu as fait pour te le taper ?
– En fait ça a commencé un soir alors qu'on rentrait se coucher. On était les derniers à partir quand Ludo a dit :
« putain fait chier, j'ai trop la queue raide là. Je peux même pas me branler à l’aise en rentrant, y'a mon frangin qui dort dans la même chambre que moi et mes parents juste à côté.
Fait chier ! J'ai trop envie de me faire sucer…
Et en rigolant il a ajouté :
–… Alex t'aurais pas envie de me tailler une pipe par hasard ?»
– Je savais plus trop où me mettre, pourtant je me suis pas dégonflé. Et je lui ai répondu : si tu veux je te le fais.
Il est resté silencieux quelques secondes puis, incertain, demanda :
– T'es sérieux quand tu dis ça ?
Et là, j'ai joué les faux culs.
– Oui, J'ai envie d'essayer avec un mec, pour voir ce que ça fait… Et autant que ce soit avec un pote! Donc, je veux bien essayer avec toi.
– Moi aussi je me demande ce que ça fait de le faire avec un mec, mais je voudrais pas qu'on me prenne pour un PD. On le fait mais ça reste entre nous.
– Evidemment, ça restera entre nous.
Je me suis rapproché de lui, il m'a pris dans ses bras et m'a roulé une pelle, il embrassait bien, très bien même. Puis je lui ai ôté son tee-shirt et je me suis mis à le palper, le lécher, à mordiller ses seins, jusqu'à ce qu'il me supplie de le sucer.
Je suis donc allé jusqu'à sa queue, je lui ai baissé son short et j'ai commencé par lui lécher les couilles, il est complètement rasé en plus. Après, c’est sa hampe que j’ai léchouillée puis sucée, tout en caressant son corps. Lui me caressait le dos et les cheveux, puis il a appuyé sur ma tête et il m'a dit «ça vient retire toi» mais j'ai continué et tout avalé. Il avait l’air béat, quand il réussit à parler:
– Wow tu assures grave. Je sais pas si je vais pouvoir te sucer, je suis pas prêt, mais je veux bien te branler si tu veux.
Du coup je me suis relevé, il m'a baissé le short et très vite j'ai giclé mais si fort qu'il en avait de partout.
– Je suis bon pour aller prendre une douche. Tu viens en prendre une aussi ?
– On n'a pas nos affaires.
– T'inquiète pas en passant devant chez moi je prendrai les miennes.
Ainsi fut fait, on y est allé et on est entré dans la même douche. On s'est lavé, se savonnant l’un l’autre et comme l’excitation était revenue on rebandait ferme, grâce à ça, Ludo a pris son courage à deux mains et ma bite en bouche pour me sucer et je lui ai demandé de me mettre un doigt aussi. Il a mis du gel douche et c'est rentré tout seul. Puis il en a mis un autre et au final je lui ai demandé de me baiser. Il a sorti une capote de sa trousse de toilette l'a enfilé et il y est allé en douceur.
Il m'a baisé un bon moment et on a jouit presque en même temps parce qu'il me branlait en me prenant.
Le lendemain on a fait comme si rien ne s'était passé et ce n'est que deux jours plus tard qu'on en a reparlé. C'est Ludo qui a attaqué le sujet, alors qu'on était seuls.
– Tu sais Alex, j'ai pas mal réfléchi à ce qu'on a fait et je crois que je suis bi. Mais toi, tu l'avais déjà fait avec des mecs, pas vrai ?
– Oui Ludo, je l'avais déjà fait et je sais depuis longtemps que je suis gay.
– J'ai envie de recommencer avec toi, ça te dit ?
– Grave, oui, mais on va faire ça où ?
– Chez moi, mes parents et mon frangin sont partis pour la journée. On sera tranquille!
…
– Bon, je vais pas rentrer dans les détails mais on a baisé toute la journée. Il m'a même bouffé le cul avant de me baiser et moi je lui ai bouffé le sien et je lui ai même mis un doigt pendant que je le suçais.
On est sexfriends maintenant et même s'il a une copine, il vient me voir tous les mercredis après-midi après l'entraînement du foot.
Merde! De te raconter tout ça, ça m'a fait bander.
– Moi aussi je bande.
– Soulève ton tee-shirt que je puisse voir ? Putain Jeff, c'est pas une queue que tu as mais une matraque !
C'est vrai que mon short de running en Lycra ne cachait pas grand-chose et mon tee-shirt ne couvrait pas tout ! J'étais mal, là.
– Ça te dit qu'on se branle avant de rentrer ? Je connais un coin tranquille pas loin.
– Oui je crois que c'est la meilleure solution, mais chacun sa queue Alex.
– Oui, pas de soucis, mais je pourrai voir ?
– Bien sûr et moi aussi je vais te regarder.
Il nous fallut trois minutes pour rejoindre le coin tranquille d’Alex, encore cinq minutes pour envoyer la sauce en se matant l'un l'autre et puis dix minutes pour rentrer en passant par la boulangerie.
Le temps de me doucher pendant que le café passait, de prendre un petit déjeuner copieux et il était déjà neuf heures.
John Smith sonnait. Je descendis lui ouvrir. Il refusa le café que je lui proposais et on alla s'installer au salon.
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– Il y a quelqu'un qui voulait vous rencontrer et vous remercier.
– Ah bon, mais de quoi ?
– De ce que vous avez fait pour lui.
– Mais, je n'ai rien fait pour personne.
– En êtes-vous si sûr ?
– Bah, à part l’av… Heu, non je n'ai rien fait de spécial.
– Justement l’av… ion, vous avez sauvé la vie à un jeune homme en fâcheuse position.
– Mais comment êtes-vous au courant de ça. C’est censé être secret pour l’instant.
– Mais ça l'est Jean-François, sauf que le jeune homme que vous avez sauvé est le fils aîné de notre Émir et le neveu de son Altesse.
Ils voudraient s'entretenir avec vous.
– Heu oui, mais là tout de suite, ça va pas être possible, parce qu'à la maison j'ai déjà un sénateur, deux députés, un préfet et un gars des services secrets sans compter le consul des Etats-Unis.
– Un moment, je reviens.
Il grimpa dans la voiture et quelques instants plus tard, il en redescendit suivi d'un jeune homme tandis que le chauffeur ouvrait l’autre porte à l’Émir.
– Vous nous invitez chez vous ?
– Oui, bien sûr, suivez-moi.
Dans la cour, John Smith me présenta l'émir et son fils. On monta et en ouvrant la porte je dis :
– On a de la visite. Laissez-moi vous présenter son Altesse l’Émir Abdelaziz Ben Lazout Al Tatoumi, son fils Abdel et monsieur John Smith.
Puis je présentais chaque personne à l'émir, son fils et à John. Les présentations finies l'émir prit la parole.
– Jean-François, je voulais vous remercier de ce que vous avez fait pour Abdel. Il a fallu un peu de temps aux autorités américaines pour nous donner votre nom. Et quelle ne fut pas la surprise de mon frère quand il a su que c'était vous qui aviez sauvé mon fils.
Ça a permis d'accélérer les choses.
Nous sommes venus, mon fils et moi, vous remercier de ce que vous avez fait pour notre famille.
Aussi, permettez-moi de vous remettre cette décoration, la plus haute décernée dans notre pays pour service rendu à la maison royale. Il s'agit de la médaille de l'ordre du roi.
Je sais que plusieurs de vos amis ici présent ont pris part à la défense de l'avion aussi je vous invite tous les six à venir visiter mon pays.
Je laisse le soin à notre ami John Smith d'organiser ça avec vous.
Après encore quelques banalités d'usage ils partirent. Ils, c'est le trio inattendu. Les autres ne tardèrent pas à les suivre.
– Tu crois que c'est de l’or ?
– On dirait bien, vu son poids.
– En tout cas t'es tout beau avec, Bébé.
– Ça me fait une belle jambe. Sauf que grosse comme elle est je vais être obligé de la laisser dans sa boite. Je ne vais pas pouvoir faire comme Cyprien, la mettre dans une boite de cigares. LOL!
Mon téléphone vibra. C'était John Smith qui m'envoyait un SMS.
«il faut que je vous vois en privé rapidement. Demain 9 h est-ce possible ?»
je lus le message à mes amis. Et sur leurs conseils je répondis oui. Et on se donna rendez-vous chez nous pour 9 h.
Vu l’heure, on n'avait plus le temps de faire grand-chose alors on descendit prendre l'air dans le jardin où on rencontra Pierre et Jean qui bricolaient au jardin.
Ça faisait un moment qu'on ne les avait vus et on discuta avec eux en les aidant. On nous avait demandé d'être discret du coup on ne leur avait pas parlé de ce qui nous était arrivé.
Et c'est Pierre qui mit les pieds dans le plat.
– Vous savez que nous ne sommes pas des commères… mais là, une question nous tarabuste Jean et moi. Je me trouvais sur le balcon quand tu as ouvert à un groupe d’officiels puis quand tu es allé ouvrir à un homme qui est entré suivi de deux autres et j'ai reconnu l'émir Ben Lazout, je ne savais pas que tu le connaissais pareil personnage. Comment se fait-il ?
– Je ne peux rien vous dire pour l’instant. On nous a demandé de garder le silence sur un fait qui s'est passé lors de nos vacances aux Etats-Unis, pour faire court j'ai sorti son fils d'un mauvais pas. Et il est venu me remercier.
– Ça a un rapport avec les événements du 11 septembre, c'est ça ?
– On ne peut pas en dire plus, désolé.
– On ne vous en demandera pas plus Jean-François sauf que si Michel revient vous voir, tu peux lui dire que son cousin serait heureux de le voir, depuis tout ce temps.
– Vous êtes cousins avec Michel ? Je ne le savais pas.
– Nos mères étaient sœurs. Mais on s'est perdus de vue il y a longtemps. Et toi tu le connais d’où ?
– De chez nous aux Fourches, sa famille est de là-bas. Il a gardé la maison familiale, enfin le château plutôt.
On discuta encore un peu avec eux puis on rentra chez nous. Tranquillement on préparait le repas quand la sonnette du portail tinta. J'allais voir sur le visiophone et je reconnus Alexis.
– Je t'ouvre et c'est au premier la deuxième porte.
Une minute après il était là.
– Salut! Oups, je pensais pas qu'il y avait autant de monde, je repasserai.
– Tu peux rester si tu veux, tu sais on se dit tout.
– Oui, mais bon, ce que j'ai à vous dire n'est pas si urgent que ça, ça peut attendre.
– Ok, comme tu veux.
– Bon à plus, ciao.
Il repartit aussi vite qu'il était venu, le rouge aux joues. Le repas traîna un peu en longueur parce qu'on discutait beaucoup et que Joris et Tim avaient mangé du clown ! Je vous parle même pas du nombre de fou rires qu'on prit en les écoutant. Puis chacun regagna sa chambre.
Avec Liam on se faisait des câlins qui se transformèrent vite en caresses et c'est en se masturbant l'un l'autre qu'on se fit plaisir.
Ce soir-là on n'avait pas envie de faire l’amour de façon conventionnelle, juste de se caresser, de s’embrasser. Et c'est lors d'une étreinte plus serrée qu'enlacés on jouit une deuxième fois. On se donna un dernier baiser et on s’endormit.
À sept heures je partis courir et je croisais Alexis qui faisait de même.
– Salut, ça va ce matin ?
– Oui, et toi ?
– Pleine forme aussi. On court ensemble ?
– Oui si tu veux. On peut discuter ?
– Bien sûr.
– Bon hier j'étais passé pour vous dire à Liam et à toi que ça y est, je ne suis plus puceau.
– Tu as fait ça quand ?
– En plusieurs étapes. Au parc j'ai rencontré un gars qui m'a proposé de me sucer. Il me plaisait alors je lui ai dit oui.
On est allé chez lui, on a commencé par s'embrasser puis il m'a quitté mon tee-shirt, je lui ai quitté le sien. Puis il s'est mis à me lécher le corps, jouer avec mes tétons, je lui ai fait pareil puis il m'a quitté mon short et mon boxer et il a commencé à me lécher les boules, il les a avalé l'une après l'autre en les faisant rouler dans sa bouche puis il a commencé à me sucer.
Je lui ai joui de suite dans la bouche. Il a tout avalé et comme je bandais toujours, il s'est remis à me sucer.
– Et toi tu lui as fait quoi ?
– Rien, jusqu’à là, il ne voulait pas que je le touche. Après on est allé prendre une douche puis il m'a fait mettre à quatre pattes sur le lit et il m'a bouffé le cul.
Puis il a pris ma place et je lui ai fait pareil. La langue puis avec les doigts comme il m'avait fait mais après il a voulu que je le baise. Et il m'a enfilé une capote.
Je sais pas comment j'ai fait pour tenir mais il a joui pendant que je le baisais et ses contractions m'on fait jouir.
Plus tard, j'ai voulu qu'il me baise mais il n’est que passif. Aussi, il m'a présenté un pote à lui qui est versatile.
Du coup, on a fait un plan à trois. Bon, c'est vrai que se faire sodo, au début, c'est pas le pied. Mais il a été très attentif à mon ‘confort’ si j’ose dire et maintenant, j’apprécie vraiment.
– Dis donc! T'es devenu un vrai petit pédé, alors ?
– Hé, hé! Oui, on peut dire ça. Et je me suis même tapé le mec qui me faisait fantasmer, tu sais le gars de mon équipe de foot.
– Ah, raconte-moi ça.
– Avec mes parents on est parti deux semaines en vacances à la mer et sur qui je tombe au camping… sur Ludo !
Du coup on est allé à la plage ensemble, on s'est trouvé des potes et des copines. Mais bon, juste des amis, pas des partenaires sexuels si tu vois ce que je veux dire.
– Oui je vois, mais comment tu as fait pour te le taper ?
– En fait ça a commencé un soir alors qu'on rentrait se coucher. On était les derniers à partir quand Ludo a dit :
« putain fait chier, j'ai trop la queue raide là. Je peux même pas me branler à l’aise en rentrant, y'a mon frangin qui dort dans la même chambre que moi et mes parents juste à côté.
Fait chier ! J'ai trop envie de me faire sucer…
Et en rigolant il a ajouté :
–… Alex t'aurais pas envie de me tailler une pipe par hasard ?»
– Je savais plus trop où me mettre, pourtant je me suis pas dégonflé. Et je lui ai répondu : si tu veux je te le fais.
Il est resté silencieux quelques secondes puis, incertain, demanda :
– T'es sérieux quand tu dis ça ?
Et là, j'ai joué les faux culs.
– Oui, J'ai envie d'essayer avec un mec, pour voir ce que ça fait… Et autant que ce soit avec un pote! Donc, je veux bien essayer avec toi.
– Moi aussi je me demande ce que ça fait de le faire avec un mec, mais je voudrais pas qu'on me prenne pour un PD. On le fait mais ça reste entre nous.
– Evidemment, ça restera entre nous.
Je me suis rapproché de lui, il m'a pris dans ses bras et m'a roulé une pelle, il embrassait bien, très bien même. Puis je lui ai ôté son tee-shirt et je me suis mis à le palper, le lécher, à mordiller ses seins, jusqu'à ce qu'il me supplie de le sucer.
Je suis donc allé jusqu'à sa queue, je lui ai baissé son short et j'ai commencé par lui lécher les couilles, il est complètement rasé en plus. Après, c’est sa hampe que j’ai léchouillée puis sucée, tout en caressant son corps. Lui me caressait le dos et les cheveux, puis il a appuyé sur ma tête et il m'a dit «ça vient retire toi» mais j'ai continué et tout avalé. Il avait l’air béat, quand il réussit à parler:
– Wow tu assures grave. Je sais pas si je vais pouvoir te sucer, je suis pas prêt, mais je veux bien te branler si tu veux.
Du coup je me suis relevé, il m'a baissé le short et très vite j'ai giclé mais si fort qu'il en avait de partout.
– Je suis bon pour aller prendre une douche. Tu viens en prendre une aussi ?
– On n'a pas nos affaires.
– T'inquiète pas en passant devant chez moi je prendrai les miennes.
Ainsi fut fait, on y est allé et on est entré dans la même douche. On s'est lavé, se savonnant l’un l’autre et comme l’excitation était revenue on rebandait ferme, grâce à ça, Ludo a pris son courage à deux mains et ma bite en bouche pour me sucer et je lui ai demandé de me mettre un doigt aussi. Il a mis du gel douche et c'est rentré tout seul. Puis il en a mis un autre et au final je lui ai demandé de me baiser. Il a sorti une capote de sa trousse de toilette l'a enfilé et il y est allé en douceur.
Il m'a baisé un bon moment et on a jouit presque en même temps parce qu'il me branlait en me prenant.
Le lendemain on a fait comme si rien ne s'était passé et ce n'est que deux jours plus tard qu'on en a reparlé. C'est Ludo qui a attaqué le sujet, alors qu'on était seuls.
– Tu sais Alex, j'ai pas mal réfléchi à ce qu'on a fait et je crois que je suis bi. Mais toi, tu l'avais déjà fait avec des mecs, pas vrai ?
– Oui Ludo, je l'avais déjà fait et je sais depuis longtemps que je suis gay.
– J'ai envie de recommencer avec toi, ça te dit ?
– Grave, oui, mais on va faire ça où ?
– Chez moi, mes parents et mon frangin sont partis pour la journée. On sera tranquille!
…
– Bon, je vais pas rentrer dans les détails mais on a baisé toute la journée. Il m'a même bouffé le cul avant de me baiser et moi je lui ai bouffé le sien et je lui ai même mis un doigt pendant que je le suçais.
On est sexfriends maintenant et même s'il a une copine, il vient me voir tous les mercredis après-midi après l'entraînement du foot.
Merde! De te raconter tout ça, ça m'a fait bander.
– Moi aussi je bande.
– Soulève ton tee-shirt que je puisse voir ? Putain Jeff, c'est pas une queue que tu as mais une matraque !
C'est vrai que mon short de running en Lycra ne cachait pas grand-chose et mon tee-shirt ne couvrait pas tout ! J'étais mal, là.
– Ça te dit qu'on se branle avant de rentrer ? Je connais un coin tranquille pas loin.
– Oui je crois que c'est la meilleure solution, mais chacun sa queue Alex.
– Oui, pas de soucis, mais je pourrai voir ?
– Bien sûr et moi aussi je vais te regarder.
Il nous fallut trois minutes pour rejoindre le coin tranquille d’Alex, encore cinq minutes pour envoyer la sauce en se matant l'un l'autre et puis dix minutes pour rentrer en passant par la boulangerie.
Le temps de me doucher pendant que le café passait, de prendre un petit déjeuner copieux et il était déjà neuf heures.
John Smith sonnait. Je descendis lui ouvrir. Il refusa le café que je lui proposais et on alla s'installer au salon.
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