28-10-2022, 06:50 AM
Tim et Marie s'étaient mis un peu en retrait de notre groupe pour lutiner comme ils nous avaient dit. Et Tim qui avait une main dans la culotte de Marie et qui la masturbait vit arriver vers lui un des futurs terroristes. Il le vit entrer dans les toilettes et en ressortir presque aussitôt, tenant quelque chose dans la main. Le mec les dépassa et Tim devina une lame qui dépassait de sa main. Et puis l'homme se pencha vers Joris qui dormait.
D'un bon, Tim se leva, retint le bras du mec puis coinça le terroriste et cria à Liam de l’aider. Et c'est là que Liam lui shoota dans les valseuses.
…
On nous avait demandé de ne pas parler de ce qu'il s'était passé dans l’avion à nos familles auxquelles on téléphonait tous les jours.
Et quand on posait des questions aux gars du FBI pour savoir si les gars qu'on avait neutralisé avaient parlé, on ne nous répondait pas. On sut juste que leur objectif était d'écraser l'avion sur la Maison Blanche.
Huit jours après, on put rentrer en France. On avait raté le début des cours mais nos familles avaient prévenu de notre empêchement.
Liam et Rémi qui ne commençaient que fin septembre restèrent avec nous jusqu'au dernier jour.
Ce fut long pour nous remettre de notre traumatisme mais la routine reprit petit à petit et on 'oublia' ce qu'il s'était passé. Enfin on le rangea dans une boite au fin fond de notre cerveau même si les médias en parlaient tous les jours.
Comme l'an dernier j'allais aller passer Noël avec Liam dans ma famille puis on irait passer le jour de l'an dans la sienne. Enfin c'est ce qu'on avait prévu. Mais courant novembre, le même jour, Liam, Tim, Joris et moi, on reçut une invitation officielle de la Maison Blanche pour le 22 décembre. Ça nous surprit et on ne savait pas trop quoi faire. J'en parlais à mes parents et quelques jours après mon père m'appela pour me dire de téléphoner rapidement à Michel - le sénateur - qui voulait nous parler.
Il n'était pas très tard aussi je le fis dans la foulée.
– Allô, Michel! Bonsoir, c'est Jean-François des Fourches vous me remettez ?
– Mais bien sûr Jean-François que je te remets, comme tu dis. Je voudrais te parler, enfin, vous parler de vive voix à toi et à tes amis Timéo, Joris et Liam. Quand peut-on faire ça ?
– Ce week-end, si vous voulez, on est tous à Valence.
– D'accord, pour ce week-end c’est parfait! Alors, on dit samedi à quatorze heures, ça ira ?
– Ok, on vous attendra samedi, je vous envoie notre adresse. Mais de quoi vous voulez nous parler ?
– C’est trop long par téléphone, on en parle samedi. Bonne soirée!
On discuta de sa réponse, ou plutôt de sa non réponse et on décida d'attendre le samedi pour être fixé.
Je ne sais pas ce que j'avais mais le vendredi j'ai été excité toute la journée et le soir je trouvais que le repas et les discussions n'en finissaient pas. Et chaque fois que je proposais d'aller se coucher, la discussion repartait sur un autre sujet.
C'est finalement vers minuit qu'on alla au lit après une bonne douche coquine où on jouit en se masturbant l'un l’autre. Puis on se fit une nouvelle fois jouir en se faisant un bon 69 et une troisième fois encore en se prenant l'un l'autre et une dernière fois mais cette fois Liam ne voulut être que passif. Je regardais le réveil avant de m'endormir lové contre mon chéri; 03:59.
exceptionnellement je me réveillais à dix heures.
Liam dormait toujours. Joris et Rémi étaient allés chercher du pain et des croissants. Je me fis réchauffer un bol de café au micro-onde. Je finissais mon deuxième bol quand Joris, Rémi, Tim et Marie entrèrent dans l'appartement en riant.
– Ah, enfin tu es réveillé. Et tu es tout calme aujourd’hui.
– Mais hier aussi j'étais calme. Qu'est-ce que vous allez inventer ?
Ils éclatèrent de rire.
– C'est Liam qui a dû en prendre pour son grade cette nuit. Il doit avoir le c…
– Liam n'a rien du tout ! On ne peut plus dormir en paix dans cette baraque !
– Tiens, quand on parle du loup! Tu es enfin réveillé Mister marmotte. N'oubliez pas qu'on a de la visite dans deux heures et demi, les deux satyres.
– Merde, j'ai pas vu qu’il est déjà onze heures et demi passé. Faut qu'on se bouge. On va se doucher et on revient vous aider.
– Va te doucher d'abord Bé, il faut que je boive un café pour me réveiller.
– Oui et comme ça, ça vous évitera de remettre ça sous la douche.
– Joris si je t'attrape je te fais mourir en te chatouillant !
– Bé, ça non plus, tu n'as pas le temps. Tu essayeras de me trucider plus tard.
Quatorze heures précises ça sonnait au portail. J'allais ouvrir et Michel n'était pas venu seul. On se serra la main et il me dit :
– On te suit, on fera les présentations en réunion. Ça sera plus simple.
Une fois tous installés dans le salon, je présentais mes amis et Michel nous présenta les personnes qui étaient avec lui. Il y avait le préfet de la Drome - représentant le Président de la république -, le député de notre circonscription, celui de la circonscription de Valence, un gars de la sécurité intérieure et enfin le consul des Etats-Unis. Pas moins!
– Bien! Comme vous vous en doutez, le gouvernement américain nous a mis au courant du rôle que vous avez joué dans le sauvetage de cet avion, empêchant de fait son détournement et ses graves conséquences.
Jean-François, tu me demandais mon avis au sujet de l'invitation que vous avez reçu du président des Etats-Unis. Je laisserai Monsieur le Consul vous en parler, dans un moment. Dans l’immédiat, je vais laisser la parole à Monsieur le Préfet qui a une annonce à vous faire. Monsieur le préfet, c’est à vous.
– Jeune gens, je tiens à vous féliciter pour votre acte de bravoure lors de cette sinistre tentative. Sans vous et votre intervention héroïque, il se serait sûrement écrasé sur la Maison Blanche.
Aussi Monsieur le Président de la République a décidé de vous décorer pour votre acte de bravoure. Samedi prochain vous êtes tous invités au Palais de l’Élysée pour la remise de vos médailles. Nous nous chargeons de prévenir vos familles qui sont bien sûr invitées elles aussi et nous nous chargeons de leur transport. Vous avez des questions ?
– On va tous avoir une médaille ? Parce que moi j'ai rien fait dans l’histoire.
– Non, Rémi, seuls Joris, Liam, Timéo et Jean-François en recevront une. Mais si je ne me trompe pas vous êtes en couple avec Joris, tout comme mademoiselle Marie l’est avec Timéo. Les familles proches des récipiendaires sont invitées et vous en faites partie. D'autres questions ?
– Ma famille aussi est invitée ?
– Mais oui Liam, le consulat s'est déjà chargé de le faire et ils ont accepté de venir. Une autre question ?
Face à notre silence il passa la parole au consul des Etats-Unis.
– Comme votre gouvernement, le gouvernement américain tient à vous remercier de votre action héroïque en vous décernant une médaille. C'est pourquoi nous tenons à votre présence le 22 décembre.
Bien sûr nous nous chargeons de votre transport et de votre hébergement. Nous prévoyons de vous faire voyager le 20 décembre comme ça vous aurez presque deux jours pour vous remettre du décalage horaire.
– Mais ça va nous faire manquer les cours. En plus le 20 et le 21 on est en partiels. On ne peut pas se permettre de les manquer.
– Monsieur le Préfet, y aurait-il une solution ?
– Je vais en référer à Monsieur le Président de la république et nous allons vous en trouver une.
– Bien, je n'ai plus rien à rajouter sauf que nous vous tiendrons au courant pour votre voyage dès que possible.
Du café avait été offert à nos visiteurs.
Il n'était pas loin de quinze heures, ça sonnait au portail. Je descendis ouvrir et John Smith se tenait devant moi, une grosse berline aux vitres teintées garée derrière lui.
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D'un bon, Tim se leva, retint le bras du mec puis coinça le terroriste et cria à Liam de l’aider. Et c'est là que Liam lui shoota dans les valseuses.
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On nous avait demandé de ne pas parler de ce qu'il s'était passé dans l’avion à nos familles auxquelles on téléphonait tous les jours.
Et quand on posait des questions aux gars du FBI pour savoir si les gars qu'on avait neutralisé avaient parlé, on ne nous répondait pas. On sut juste que leur objectif était d'écraser l'avion sur la Maison Blanche.
Huit jours après, on put rentrer en France. On avait raté le début des cours mais nos familles avaient prévenu de notre empêchement.
Liam et Rémi qui ne commençaient que fin septembre restèrent avec nous jusqu'au dernier jour.
Ce fut long pour nous remettre de notre traumatisme mais la routine reprit petit à petit et on 'oublia' ce qu'il s'était passé. Enfin on le rangea dans une boite au fin fond de notre cerveau même si les médias en parlaient tous les jours.
Comme l'an dernier j'allais aller passer Noël avec Liam dans ma famille puis on irait passer le jour de l'an dans la sienne. Enfin c'est ce qu'on avait prévu. Mais courant novembre, le même jour, Liam, Tim, Joris et moi, on reçut une invitation officielle de la Maison Blanche pour le 22 décembre. Ça nous surprit et on ne savait pas trop quoi faire. J'en parlais à mes parents et quelques jours après mon père m'appela pour me dire de téléphoner rapidement à Michel - le sénateur - qui voulait nous parler.
Il n'était pas très tard aussi je le fis dans la foulée.
– Allô, Michel! Bonsoir, c'est Jean-François des Fourches vous me remettez ?
– Mais bien sûr Jean-François que je te remets, comme tu dis. Je voudrais te parler, enfin, vous parler de vive voix à toi et à tes amis Timéo, Joris et Liam. Quand peut-on faire ça ?
– Ce week-end, si vous voulez, on est tous à Valence.
– D'accord, pour ce week-end c’est parfait! Alors, on dit samedi à quatorze heures, ça ira ?
– Ok, on vous attendra samedi, je vous envoie notre adresse. Mais de quoi vous voulez nous parler ?
– C’est trop long par téléphone, on en parle samedi. Bonne soirée!
On discuta de sa réponse, ou plutôt de sa non réponse et on décida d'attendre le samedi pour être fixé.
Je ne sais pas ce que j'avais mais le vendredi j'ai été excité toute la journée et le soir je trouvais que le repas et les discussions n'en finissaient pas. Et chaque fois que je proposais d'aller se coucher, la discussion repartait sur un autre sujet.
C'est finalement vers minuit qu'on alla au lit après une bonne douche coquine où on jouit en se masturbant l'un l’autre. Puis on se fit une nouvelle fois jouir en se faisant un bon 69 et une troisième fois encore en se prenant l'un l'autre et une dernière fois mais cette fois Liam ne voulut être que passif. Je regardais le réveil avant de m'endormir lové contre mon chéri; 03:59.
exceptionnellement je me réveillais à dix heures.
Liam dormait toujours. Joris et Rémi étaient allés chercher du pain et des croissants. Je me fis réchauffer un bol de café au micro-onde. Je finissais mon deuxième bol quand Joris, Rémi, Tim et Marie entrèrent dans l'appartement en riant.
– Ah, enfin tu es réveillé. Et tu es tout calme aujourd’hui.
– Mais hier aussi j'étais calme. Qu'est-ce que vous allez inventer ?
Ils éclatèrent de rire.
– C'est Liam qui a dû en prendre pour son grade cette nuit. Il doit avoir le c…
– Liam n'a rien du tout ! On ne peut plus dormir en paix dans cette baraque !
– Tiens, quand on parle du loup! Tu es enfin réveillé Mister marmotte. N'oubliez pas qu'on a de la visite dans deux heures et demi, les deux satyres.
– Merde, j'ai pas vu qu’il est déjà onze heures et demi passé. Faut qu'on se bouge. On va se doucher et on revient vous aider.
– Va te doucher d'abord Bé, il faut que je boive un café pour me réveiller.
– Oui et comme ça, ça vous évitera de remettre ça sous la douche.
– Joris si je t'attrape je te fais mourir en te chatouillant !
– Bé, ça non plus, tu n'as pas le temps. Tu essayeras de me trucider plus tard.
Quatorze heures précises ça sonnait au portail. J'allais ouvrir et Michel n'était pas venu seul. On se serra la main et il me dit :
– On te suit, on fera les présentations en réunion. Ça sera plus simple.
Une fois tous installés dans le salon, je présentais mes amis et Michel nous présenta les personnes qui étaient avec lui. Il y avait le préfet de la Drome - représentant le Président de la république -, le député de notre circonscription, celui de la circonscription de Valence, un gars de la sécurité intérieure et enfin le consul des Etats-Unis. Pas moins!
– Bien! Comme vous vous en doutez, le gouvernement américain nous a mis au courant du rôle que vous avez joué dans le sauvetage de cet avion, empêchant de fait son détournement et ses graves conséquences.
Jean-François, tu me demandais mon avis au sujet de l'invitation que vous avez reçu du président des Etats-Unis. Je laisserai Monsieur le Consul vous en parler, dans un moment. Dans l’immédiat, je vais laisser la parole à Monsieur le Préfet qui a une annonce à vous faire. Monsieur le préfet, c’est à vous.
– Jeune gens, je tiens à vous féliciter pour votre acte de bravoure lors de cette sinistre tentative. Sans vous et votre intervention héroïque, il se serait sûrement écrasé sur la Maison Blanche.
Aussi Monsieur le Président de la République a décidé de vous décorer pour votre acte de bravoure. Samedi prochain vous êtes tous invités au Palais de l’Élysée pour la remise de vos médailles. Nous nous chargeons de prévenir vos familles qui sont bien sûr invitées elles aussi et nous nous chargeons de leur transport. Vous avez des questions ?
– On va tous avoir une médaille ? Parce que moi j'ai rien fait dans l’histoire.
– Non, Rémi, seuls Joris, Liam, Timéo et Jean-François en recevront une. Mais si je ne me trompe pas vous êtes en couple avec Joris, tout comme mademoiselle Marie l’est avec Timéo. Les familles proches des récipiendaires sont invitées et vous en faites partie. D'autres questions ?
– Ma famille aussi est invitée ?
– Mais oui Liam, le consulat s'est déjà chargé de le faire et ils ont accepté de venir. Une autre question ?
Face à notre silence il passa la parole au consul des Etats-Unis.
– Comme votre gouvernement, le gouvernement américain tient à vous remercier de votre action héroïque en vous décernant une médaille. C'est pourquoi nous tenons à votre présence le 22 décembre.
Bien sûr nous nous chargeons de votre transport et de votre hébergement. Nous prévoyons de vous faire voyager le 20 décembre comme ça vous aurez presque deux jours pour vous remettre du décalage horaire.
– Mais ça va nous faire manquer les cours. En plus le 20 et le 21 on est en partiels. On ne peut pas se permettre de les manquer.
– Monsieur le Préfet, y aurait-il une solution ?
– Je vais en référer à Monsieur le Président de la république et nous allons vous en trouver une.
– Bien, je n'ai plus rien à rajouter sauf que nous vous tiendrons au courant pour votre voyage dès que possible.
Du café avait été offert à nos visiteurs.
Il n'était pas loin de quinze heures, ça sonnait au portail. Je descendis ouvrir et John Smith se tenait devant moi, une grosse berline aux vitres teintées garée derrière lui.
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