J'ai réécrit cet épisode, vous trouverez la nouvelle version plus bas. Je laisse celle-ci pour que vous puissiez comparer si vous le désirez, et aussi par égard pour les personnes qui on fait des commentaires.
Chapitre 2 - La traversée (5)
Mardi 13 juillet 1965, à bord du France
Les deux filles caressent les pénis érigés des quatre garçons, sans précipitation. Aurianne compare celui de Daniel, circoncis, et celui de Koen, intact, elle joue avec le prépuce. Elle a soudain une idée, hésite, puis lâche les bites afin de chuchoter quelque chose à l’oreille de Dom qui rit et répond :
— Essaie, tu verras bien sa réaction.
Aurianne revient vers le Néerlandais, s’agenouille, lui lèche le gland et le frein, ce qui semble lui plaire. Elle enfonce la hampe dans sa bouche.
— Tu me laisses tomber ? dit Daniel.
— T’inquiète pas, fait Frédéric, ton super-héros préféré Batman arrive à la rescousse. Couche-toi sur le lit, Robin.
Les deux cousins se mettent tête-bêche et débutent un 69. Dominique reste seule avec Amaury qui regarde sa sœur avec intérêt.
— Je te fais la même chose ? demande-t-elle au jeune homme.
— Aurianne n’a pas demandé à Koen avant de commencer.
— C’était mieux de le faire par surprise. Toi, tu sais à quelle sauce tu vas être mangé.
— C’est moi qui vais devoir lâcher la sauce. C’est bon, vas-y.
Dom s’agenouille devant Amaury, serre la base de son pénis en titillant le gland de la langue avant de le gober, puis le suce sur toute sa longueur. Le jeune homme est passablement excité et ne peut se retenir très longtemps, il éjacule dans la bouche sa partenaire. Il veut s’en excuser, mais Dom l’entraîne dans sa cabine et fait signe à Aurianne de les suivre avec Koen. Elle dit aux deux hommes de se coucher sur le dos, l’un à côté de l’autre.
— Ils sont mignons, tu aimerais que nous les dépucelions ? demande Dom à Aurianne en parlant bas.
— Koen est toujours puceau ?
— Avec une femme, certainement.
— J’hésite…
— Je ne t’oblige pas.
— Que mijotez-vous ? questionne Koen.
— Rien, continue à bander et tais-toi. Amaury, tu peux le sucer pour le faire patienter.
Le Français ne se le fait pas dire deux fois, ravi de prendre dans sa bouche une bite pour la première fois. Dom chuchote encore avec Aurianne pendant quelques instants, puis elles finissent par se déshabiller mutuellement, elles ont de la lingerie classique, blanche. Amaury n’avait jamais vu sa sœur nue depuis sa puberté, elle n’a ni des gros seins, ni des grosses fesses, sans être pourtant androgyne. La femme idéale s’il n’était pas homosexuel.
Koen réalise lentement que c’est avec lui qu’Aurianne va faire l’amour, puisque son frère a déjà joui et que ce serait de l’inceste. Il n’a pas le temps de cogiter longtemps, Dom déroule un préservatif sur son pénis dressé et Aurianne l’enfonce dans son vagin en le chevauchant. Il se concentre sur l’étrangeté de la situation plus que sur son plaisir.
— À nous deux, dit Dom à Amaury, si tu le veux bien. Je serai active, compte tenu des circonstances.
— Toujours d’accord.
— Couche-toi sur le côté. Je vais te prendre en cuillère.
Amaury ne sait pas ce que cela signifie, il laisse Dom le pénétrer, elle le fait avec douceur et lenteur, s’efforçant de pas lui faire mal après l’avoir abondamment lubrifié.
Pendant ce temps, Aurianne chevauche toujours Koen qui a du mal à se détendre, il met du temps pour éjaculer et débande immédiatement, il tient le préservatif pour éviter toute fuite. Il regarde ensuite son entrejambe, ainsi que la capote, elles ont des taches rouges.
— Tu as tes règles ? demande-t-il à Aurianne.
— Non, c’était mon hymen, j’étais vierge.
— Vierge ? J’ai défloré une fille ?
— Pour un premier coup, c’était un coup de maître.
Frédéric a fait cette remarque, il est avec Daniel sur le pas de porte ; hilares, ils ont assisté à toute la scène, leurs membres sont encore à moitié bandés, luisants de salive, de précum et de sperme.
— Ouais, fait Koen, je n’aurais pas pensé être capable de faire une chose pareille.
— Ne t’inquiète pas, dit Aurianne, c’est moi qui ai voulu le faire avec toi.
— Mais ne compte pas sur moi pour le refaire, avoir couché une fois avec une fille me suffira pour le reste de ma vie, je ne mourrai pas idiot.
— Rien ne presse, dit Frédéric, prends tout ton temps.
— Je ne suis pas pressé, le monde a encore besoin de mon génie.
Dom a terminé de dépuceler Amaury, ils restent quelques minutes couchés sur le lit, puis le frère et la sœur retournent dans leur cabine. Ils ont de la peine à trouver le sommeil. Ils se sont déshabillés entièrement — d’habitude ils mettaient un pyjama — et se serrent l’un contre l’autre.
NDA N’attendez pas le prochain épisode avec trop d’impatience, je ne raconterai pas la suite de la nuit et personne ne saura jamais s’ils se sont simplement endormis ou s’il s’est passé autre chose. Je laisse mes lectrices et lecteurs à leurs fantasmes.
Cet épisode était plus court que d’habitude car je ne sais pas encore de quoi le lendemain sera fait, à chaque jour suffit sa peine. J’ai l’impression d’avoir déjà épuisé mes idées avec Aurianne et Amaury. Il est très probable que je crée un ou des nouveaux personnages.
Chapitre 2 - La traversée (5)
Mardi 13 juillet 1965, à bord du France
Les deux filles caressent les pénis érigés des quatre garçons, sans précipitation. Aurianne compare celui de Daniel, circoncis, et celui de Koen, intact, elle joue avec le prépuce. Elle a soudain une idée, hésite, puis lâche les bites afin de chuchoter quelque chose à l’oreille de Dom qui rit et répond :
— Essaie, tu verras bien sa réaction.
Aurianne revient vers le Néerlandais, s’agenouille, lui lèche le gland et le frein, ce qui semble lui plaire. Elle enfonce la hampe dans sa bouche.
— Tu me laisses tomber ? dit Daniel.
— T’inquiète pas, fait Frédéric, ton super-héros préféré Batman arrive à la rescousse. Couche-toi sur le lit, Robin.
Les deux cousins se mettent tête-bêche et débutent un 69. Dominique reste seule avec Amaury qui regarde sa sœur avec intérêt.
— Je te fais la même chose ? demande-t-elle au jeune homme.
— Aurianne n’a pas demandé à Koen avant de commencer.
— C’était mieux de le faire par surprise. Toi, tu sais à quelle sauce tu vas être mangé.
— C’est moi qui vais devoir lâcher la sauce. C’est bon, vas-y.
Dom s’agenouille devant Amaury, serre la base de son pénis en titillant le gland de la langue avant de le gober, puis le suce sur toute sa longueur. Le jeune homme est passablement excité et ne peut se retenir très longtemps, il éjacule dans la bouche sa partenaire. Il veut s’en excuser, mais Dom l’entraîne dans sa cabine et fait signe à Aurianne de les suivre avec Koen. Elle dit aux deux hommes de se coucher sur le dos, l’un à côté de l’autre.
— Ils sont mignons, tu aimerais que nous les dépucelions ? demande Dom à Aurianne en parlant bas.
— Koen est toujours puceau ?
— Avec une femme, certainement.
— J’hésite…
— Je ne t’oblige pas.
— Que mijotez-vous ? questionne Koen.
— Rien, continue à bander et tais-toi. Amaury, tu peux le sucer pour le faire patienter.
Le Français ne se le fait pas dire deux fois, ravi de prendre dans sa bouche une bite pour la première fois. Dom chuchote encore avec Aurianne pendant quelques instants, puis elles finissent par se déshabiller mutuellement, elles ont de la lingerie classique, blanche. Amaury n’avait jamais vu sa sœur nue depuis sa puberté, elle n’a ni des gros seins, ni des grosses fesses, sans être pourtant androgyne. La femme idéale s’il n’était pas homosexuel.
Koen réalise lentement que c’est avec lui qu’Aurianne va faire l’amour, puisque son frère a déjà joui et que ce serait de l’inceste. Il n’a pas le temps de cogiter longtemps, Dom déroule un préservatif sur son pénis dressé et Aurianne l’enfonce dans son vagin en le chevauchant. Il se concentre sur l’étrangeté de la situation plus que sur son plaisir.
— À nous deux, dit Dom à Amaury, si tu le veux bien. Je serai active, compte tenu des circonstances.
— Toujours d’accord.
— Couche-toi sur le côté. Je vais te prendre en cuillère.
Amaury ne sait pas ce que cela signifie, il laisse Dom le pénétrer, elle le fait avec douceur et lenteur, s’efforçant de pas lui faire mal après l’avoir abondamment lubrifié.
Pendant ce temps, Aurianne chevauche toujours Koen qui a du mal à se détendre, il met du temps pour éjaculer et débande immédiatement, il tient le préservatif pour éviter toute fuite. Il regarde ensuite son entrejambe, ainsi que la capote, elles ont des taches rouges.
— Tu as tes règles ? demande-t-il à Aurianne.
— Non, c’était mon hymen, j’étais vierge.
— Vierge ? J’ai défloré une fille ?
— Pour un premier coup, c’était un coup de maître.
Frédéric a fait cette remarque, il est avec Daniel sur le pas de porte ; hilares, ils ont assisté à toute la scène, leurs membres sont encore à moitié bandés, luisants de salive, de précum et de sperme.
— Ouais, fait Koen, je n’aurais pas pensé être capable de faire une chose pareille.
— Ne t’inquiète pas, dit Aurianne, c’est moi qui ai voulu le faire avec toi.
— Mais ne compte pas sur moi pour le refaire, avoir couché une fois avec une fille me suffira pour le reste de ma vie, je ne mourrai pas idiot.
— Rien ne presse, dit Frédéric, prends tout ton temps.
— Je ne suis pas pressé, le monde a encore besoin de mon génie.
Dom a terminé de dépuceler Amaury, ils restent quelques minutes couchés sur le lit, puis le frère et la sœur retournent dans leur cabine. Ils ont de la peine à trouver le sommeil. Ils se sont déshabillés entièrement — d’habitude ils mettaient un pyjama — et se serrent l’un contre l’autre.
NDA N’attendez pas le prochain épisode avec trop d’impatience, je ne raconterai pas la suite de la nuit et personne ne saura jamais s’ils se sont simplement endormis ou s’il s’est passé autre chose. Je laisse mes lectrices et lecteurs à leurs fantasmes.
Cet épisode était plus court que d’habitude car je ne sais pas encore de quoi le lendemain sera fait, à chaque jour suffit sa peine. J’ai l’impression d’avoir déjà épuisé mes idées avec Aurianne et Amaury. Il est très probable que je crée un ou des nouveaux personnages.
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Récits de Lange128 indisponibles sur Slygame
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