21-10-2022, 10:37 AM
Bonjour mes amis lecteurs,
voilà, nous reprenons les publications des suites du récit après ce moment particulier de bug suite au changement de serveur.
Je vous souhaite donc une très bonne lecture des suites du récit.
Je vous embrasse!
Philou
-----------------------------------------
J’ouvre les yeux et je vois mon chéri qui lui aussi a les yeux ouverts, il me regarde avec tendresse. Nos regards parlent d’eux-mêmes, nous nous transmettons des ondes de bonheur. Nos visages se rapprochent et nos lèvres se soudent pour le premier baiser de la journée. Nos langues sont parties à leur rencontre pour entamer une danse mille fois répétée. Je suis si bien avec mon Ben d’amour. Ma main droite part à la recherche du pénis dressé de mon amant, bingo, l’objet de mes recherches est bandé au maximum. Je sens alors au niveau de mon propre organe une main experte qui s’en empare.
Nous cessons notre baiser torride et sans dire le moindre mot, je prends le gel dans le tiroir de la table de nuit. J’enduis mon doigt, Ben place ses fesses de façon à me laisser avoir accès à sa rondelle. Je m’occupe de préparer l’entrée de sa grotte d’amour. Ensuite je mets un peu de gel sur mon appendice gorgé de sang. Mon gland dépasse déjà du prépuce qui l’a laissé passer. Je le place à l’entrée de l’antre d’amour de Ben. J’introduis doucement mon boute-joie, avec délicatesse. Une fois bien ancré dans cet étui bien chaud, je débute les mouvements d’aller et retour. Ben laisse déjà échapper de petits cris de bonheur. Je fais l’amour à mon chéri. J’arrive alors à l’orgasme et déverse au fond de sa caverne l’élixir d’amour par saccades. Ben râle de bonheur tout comme moi d’ailleurs.
Nous inversons les rôles, c’est maintenant Ben qui s’occupe de ma rondelle. Je me sens tellement bien, je sais qu’il m’aime mon chéri. Le voilà prêt, je sens son bâton de chair entrer doucement dans mon fondement. Je ressens déjà toute la chaleur qui réchauffe mon étui d’amour. Les mouvements de va et vient m’apportent plein de bonheur et de joie. Ressentir ainsi tout l’amour qu’éprouve Ben à mon égard me comble de joie. Je sens bien qu’il va bientôt éjaculer dans mes intestins, il se cabre et laisse sa semence tapisser le fond de ma grotte.
Nous nous affalons côte à côte. Nos visages se tournent l’un vers l’autre et nos lèvres se retrouvent une nouvelle fois en contact pour nous embrasser. Nous sommes une nouvelle fois sur notre nuage, dans notre monde, planant ivre du bonheur que nous venons de partager.
Nous sommes rappelés à l’ordre par la voix de Jean qui nous signale que le petit déjeuner est servi. Nous passons par la douche avant de nous vêtir et rejoindre le reste de la famille. Comme d’habitude nous avons droit à des pistolets et des viennoiseries. Bien entendu il y a du café, du thé, du lait avec du Nesquik et du jus d’orange, bref de quoi abreuver un escadron !
Nous sommes tous à table et nous terminons notre petit-déjeuner. Je regarde Ben et je lui demande de nous raconter son camp avec la meute. Mon chéri commence alors la relation de ce qu’il a vécu avec les louveteaux, mais aussi avec les trois jeunes moins valides. Je sens qu’il est pris par son propre récit. Par moment il a le sourire aux lèvres et par la suite il a les larmes aux yeux. C’est Pierric qui l’a le plus marqué. Il raconte ce qu’il a fait pour aider ce garçon ainsi que le courant d’amitié qui est passé entre lui et ce jeune. Je me rends compte, à son visage si expressif, que qu’il a vécu quelque chose de très particulier et de très important. J’ai moi aussi parfois les larmes qui me viennent à l’entendre expliquer ce qu’il a connu avec Pierric et les autres loups. Il y a ce spectacle d’expression corporelle exécuté lors de la dernière soirée du camp. Je me souviens avoir fait aussi deux spectacles lorsque j’étais louveteau, j’en ai gardé d’excellents souvenirs !
Moi : « Oh Ben, tu as vécu un super camp. Je suis certain que tu vas en garder un excellent souvenir !
Ben : Bien entendu que je vais m’en souvenir de ce camp. Je dois vous dire que j’ai ressenti quelque chose de particulier avec Pierric et aussi les deux autres jeunes moins valides. C’est difficile à expliquer mais je pense que je vais changer mon orientation au point de vue étude : je veux devenir éducateur spécialisé pour pouvoir m’occuper de jeunes comme Pierric, Marc ou Pierre-Jean !
Moi : Je suis certain que tu as toutes les dispositions pour y arriver. Je suis très heureux de te voir ainsi te projeter dans l’avenir et surtout de t’investir pour les personnes qui sont différentes et qui ont besoin de soutien.
Ben : Merci Phil. Tu sais, je souhaite que l’unité s’engage à accueillir des jeunes moins valides, je suis prêt à suivre une formation et de toute façon je veux faire les études d’éducateur spécialisé.
Moi : Je pense qu’on peut faire cette demande qui te tient à cœur.
Ben : Merci Phil, j’en ressens le besoin. Si le conseil d’unité n’accepte pas cette demande d’accueil, je trouverai une autre unité qui œuvre pour l’intégration des moins valides !
Moi : On va faire notre maximum pour que ce soit accepté.
Papa : Je suis très heureux d’entendre tes propos Ben. Je peux comprendre que ce que tu as vécu durant ce camp avec les trois jeunes soit une très belle expérience. Je partage ton enthousiasme, mais ne brûle pas les étapes.
Ben : Je le sais Jean-Claude, mes parents m’ont dit la même chose, je dois d’abord terminer mes études secondaires avant de songer à concrétiser mes souhaits.
Mam : Je sens très bien Benoît que tu sais où tu veux en venir, tu as un but dans la vie et je te souhaite de le poursuivre le plus loin possible. N’oublie pas que tu as l’avenir devant toi. Reste cependant conscient que tout n’est pas si facile et qu’il va te falloir du courage pour y arriver.
Ben : Merci Jacqueline. Vous comprenez, je l’espère, que j’ai découvert quelque chose qui m’a chamboulé et m’a ouvert l’esprit. Ce que je veux faire dans la vie : m’occuper de jeunes moins valides !
Moi : Je suis de tout cœur avec toi Ben. Je pense qu’on peut arriver à faire passer le message dans toutes les sections et que nous pourrons à tous les niveaux accueillir des jeunes qui ne demandent qu’à s’intégrer avec les autres jeunes de leur âge.
Jean : Tu sais Ben, je suis certain que tu trouveras la force d’arriver à ton but. Je t’admire car c’est quelque chose qui n’est pas toujours évident. Je suis vraiment admiratif.
Ben : Merci. Je suis si heureux de voir que vous me suivez dans ma démarche.
Des larmes de joie coulent sur les joues de mon chéri. Je me penche vers lui et je le prends dans mes bras. Maman se lève et nous rejoint. Nous nous faisons un gros câlin ensemble.
voilà, nous reprenons les publications des suites du récit après ce moment particulier de bug suite au changement de serveur.
Je vous souhaite donc une très bonne lecture des suites du récit.
Je vous embrasse!
Philou
-----------------------------------------
J’ouvre les yeux et je vois mon chéri qui lui aussi a les yeux ouverts, il me regarde avec tendresse. Nos regards parlent d’eux-mêmes, nous nous transmettons des ondes de bonheur. Nos visages se rapprochent et nos lèvres se soudent pour le premier baiser de la journée. Nos langues sont parties à leur rencontre pour entamer une danse mille fois répétée. Je suis si bien avec mon Ben d’amour. Ma main droite part à la recherche du pénis dressé de mon amant, bingo, l’objet de mes recherches est bandé au maximum. Je sens alors au niveau de mon propre organe une main experte qui s’en empare.
Nous cessons notre baiser torride et sans dire le moindre mot, je prends le gel dans le tiroir de la table de nuit. J’enduis mon doigt, Ben place ses fesses de façon à me laisser avoir accès à sa rondelle. Je m’occupe de préparer l’entrée de sa grotte d’amour. Ensuite je mets un peu de gel sur mon appendice gorgé de sang. Mon gland dépasse déjà du prépuce qui l’a laissé passer. Je le place à l’entrée de l’antre d’amour de Ben. J’introduis doucement mon boute-joie, avec délicatesse. Une fois bien ancré dans cet étui bien chaud, je débute les mouvements d’aller et retour. Ben laisse déjà échapper de petits cris de bonheur. Je fais l’amour à mon chéri. J’arrive alors à l’orgasme et déverse au fond de sa caverne l’élixir d’amour par saccades. Ben râle de bonheur tout comme moi d’ailleurs.
Nous inversons les rôles, c’est maintenant Ben qui s’occupe de ma rondelle. Je me sens tellement bien, je sais qu’il m’aime mon chéri. Le voilà prêt, je sens son bâton de chair entrer doucement dans mon fondement. Je ressens déjà toute la chaleur qui réchauffe mon étui d’amour. Les mouvements de va et vient m’apportent plein de bonheur et de joie. Ressentir ainsi tout l’amour qu’éprouve Ben à mon égard me comble de joie. Je sens bien qu’il va bientôt éjaculer dans mes intestins, il se cabre et laisse sa semence tapisser le fond de ma grotte.
Nous nous affalons côte à côte. Nos visages se tournent l’un vers l’autre et nos lèvres se retrouvent une nouvelle fois en contact pour nous embrasser. Nous sommes une nouvelle fois sur notre nuage, dans notre monde, planant ivre du bonheur que nous venons de partager.
Nous sommes rappelés à l’ordre par la voix de Jean qui nous signale que le petit déjeuner est servi. Nous passons par la douche avant de nous vêtir et rejoindre le reste de la famille. Comme d’habitude nous avons droit à des pistolets et des viennoiseries. Bien entendu il y a du café, du thé, du lait avec du Nesquik et du jus d’orange, bref de quoi abreuver un escadron !
Nous sommes tous à table et nous terminons notre petit-déjeuner. Je regarde Ben et je lui demande de nous raconter son camp avec la meute. Mon chéri commence alors la relation de ce qu’il a vécu avec les louveteaux, mais aussi avec les trois jeunes moins valides. Je sens qu’il est pris par son propre récit. Par moment il a le sourire aux lèvres et par la suite il a les larmes aux yeux. C’est Pierric qui l’a le plus marqué. Il raconte ce qu’il a fait pour aider ce garçon ainsi que le courant d’amitié qui est passé entre lui et ce jeune. Je me rends compte, à son visage si expressif, que qu’il a vécu quelque chose de très particulier et de très important. J’ai moi aussi parfois les larmes qui me viennent à l’entendre expliquer ce qu’il a connu avec Pierric et les autres loups. Il y a ce spectacle d’expression corporelle exécuté lors de la dernière soirée du camp. Je me souviens avoir fait aussi deux spectacles lorsque j’étais louveteau, j’en ai gardé d’excellents souvenirs !
Moi : « Oh Ben, tu as vécu un super camp. Je suis certain que tu vas en garder un excellent souvenir !
Ben : Bien entendu que je vais m’en souvenir de ce camp. Je dois vous dire que j’ai ressenti quelque chose de particulier avec Pierric et aussi les deux autres jeunes moins valides. C’est difficile à expliquer mais je pense que je vais changer mon orientation au point de vue étude : je veux devenir éducateur spécialisé pour pouvoir m’occuper de jeunes comme Pierric, Marc ou Pierre-Jean !
Moi : Je suis certain que tu as toutes les dispositions pour y arriver. Je suis très heureux de te voir ainsi te projeter dans l’avenir et surtout de t’investir pour les personnes qui sont différentes et qui ont besoin de soutien.
Ben : Merci Phil. Tu sais, je souhaite que l’unité s’engage à accueillir des jeunes moins valides, je suis prêt à suivre une formation et de toute façon je veux faire les études d’éducateur spécialisé.
Moi : Je pense qu’on peut faire cette demande qui te tient à cœur.
Ben : Merci Phil, j’en ressens le besoin. Si le conseil d’unité n’accepte pas cette demande d’accueil, je trouverai une autre unité qui œuvre pour l’intégration des moins valides !
Moi : On va faire notre maximum pour que ce soit accepté.
Papa : Je suis très heureux d’entendre tes propos Ben. Je peux comprendre que ce que tu as vécu durant ce camp avec les trois jeunes soit une très belle expérience. Je partage ton enthousiasme, mais ne brûle pas les étapes.
Ben : Je le sais Jean-Claude, mes parents m’ont dit la même chose, je dois d’abord terminer mes études secondaires avant de songer à concrétiser mes souhaits.
Mam : Je sens très bien Benoît que tu sais où tu veux en venir, tu as un but dans la vie et je te souhaite de le poursuivre le plus loin possible. N’oublie pas que tu as l’avenir devant toi. Reste cependant conscient que tout n’est pas si facile et qu’il va te falloir du courage pour y arriver.
Ben : Merci Jacqueline. Vous comprenez, je l’espère, que j’ai découvert quelque chose qui m’a chamboulé et m’a ouvert l’esprit. Ce que je veux faire dans la vie : m’occuper de jeunes moins valides !
Moi : Je suis de tout cœur avec toi Ben. Je pense qu’on peut arriver à faire passer le message dans toutes les sections et que nous pourrons à tous les niveaux accueillir des jeunes qui ne demandent qu’à s’intégrer avec les autres jeunes de leur âge.
Jean : Tu sais Ben, je suis certain que tu trouveras la force d’arriver à ton but. Je t’admire car c’est quelque chose qui n’est pas toujours évident. Je suis vraiment admiratif.
Ben : Merci. Je suis si heureux de voir que vous me suivez dans ma démarche.
Des larmes de joie coulent sur les joues de mon chéri. Je me penche vers lui et je le prends dans mes bras. Maman se lève et nous rejoint. Nous nous faisons un gros câlin ensemble.