J'ai réécrit cet épisode, vous trouverez la nouvelle version plus bas. Je laisse celle-ci pour que vous puissiez comparer si vous le désirez, et aussi par égard pour les personnes qui on fait des commentaires.
Chapitre 2 - La traversée (4)
Mardi 13 juillet 1965, à bord du France
L’orchestre fit une pause. Les deux couples retournèrent s’asseoir à côté de Daniel et Frédéric, ce dernier proposa :
— Je commande une bouteille de champagne pour fêter notre rencontre ?
— Non, pas ici, fit Koen, on pourrait aller la boire dans notre cabine.
— Tu as déjà assez dansé ?
— Ce n’est pas mon activité préférée.
— Je sais que tu préfères tripoter des bites, mais Aurianne n’en a pas.
— Tu t’avances un peu vite, fit Dominique.
— Non, je n’en ai pas, dit la Française en riant, juste un clitoris.
— Pouvons-nous vous inviter à terminer la soirée avec nous, demanda Frédéric, papa maman seront-ils d’accord ?
— On leur dira où nous sommes, par politesse. Je suis chaperonnée par mon frère, ils ne s’inquièteront pas.
Ils quittèrent le salon après avoir pris congé des parents, sortirent sur le pont pour respirer l’air marin et contempler l’immensité étoilée de la voûte céleste.
— Les hommes exploreront peut-être l’univers entier dans quelques décennies, fit Koen.
— Tu aimerais être cosmonaute ? demanda Amaury.
— Pourquoi pas ? Explorer une planète et découvrir ses habitants.
— Koen n’a pas encore de statistiques sur la longueur de la bite des extraterrestres, fit Frédéric. Tu crois qu’elles sont plus longues que les nôtres ?
— Je n’ai jamais lu de roman qui parle de cela.
Dominique demanda aux Français :
— Vous passez vos vacances en Amérique du Nord ?
— Oui, soupira la fille, je préférerais être avec vous qu’avec nos parents. Nous aurons toutes les visites habituelles, alors que vous, vous serez libres de faire ce que vous désirez.
— Nous n’avons pas de programme, mais, finalement, je ne sais pas si nous verrons autre chose que vous.
— Il fait frais, dit Koen, on rentre ?
— Tu es bien impatient, fit Frédéric.
— Il ne s’est pas branlé ce matin ? questionna Daniel.
— Nous nous sommes réveillés trop tard, c’était l’heure du petit déjeuner.
Ils se rendirent dans la cabine de Frédéric, celui-ci commanda du champagne par téléphone, en précisant à Koen qu’il ne devait pas draguer le garçon d’étage. Ce fut homme un homme d’âge moyen qui l’apporta et le Néerlandais n’eut aucune peine à se retenir. Ils trinquèrent à leur nouvelle amitié.
— On pourrait se mettre à l’aise, dit Koen, il fait chaud.
Joignant le geste à la parole, il enlève ses chaussures, ses chaussettes, sa veste, sa cravate, puis déboutonne sa chemise.
— Attends avant de te mettre à poil, fait Frédéric, nous avons des invités.
— Vous savez, dit Aurianne, je dois partager la chambre de mon frère pendant notre voyage, j’ai l’habitude de la promiscuité. Il a laissé son caleçon pour sortir de la salle de bain, mais il s’est branlé hier soir dans son lit.
— Tu as entendu ? s’étonne son frère, j’ai pourtant été discret.
— Je sais bien que les garçons le font tous les jours, les filles aussi, mais elles en parlent moins.
Frédéric éteint la lumière, à part les lampes de chevet, allume la radio de bord en sourdine, choisissant un programme de musique douce. Ils se déshabillent, laissant leurs sous-vêtements : les hommes sont torse nu, en slip ou en caleçon pour Amaury ; les femmes gardent leur jupon. Aurianne demande ensuite :
— Vous avez un style de vie hippie, pas de joints ?
— Non, dit Frédéric, le professeur Koen professe que la fumée est mauvaise pour la santé.
— Il a raison, nous ne fumons pas, contrairement à nos parents.
— Et nous mettons toujours des préservatifs pour baiser, ajoute le professeur.
— C’est mieux avec les filles, dit Aurianne en riant, il peut y avoir des effets collatéraux. Vivement que la pilule soit autorisée en France.
Daniel pense à son fils, mais il ne dit rien, il ne désire pas en parler, ne sachant pas quelle est l’opinion des leurs invités à ce sujet, ils pourraient avoir une opinion traditionnelle de la famille.
— Koen m’a dit que vous pratiquiez l’amour libre, dit Aurianne, vous faites des échanges entre vous ?
— Parfois, ou du sexe de groupe, dit Frédéric, ou alors nous couchons avec d’autres, sans être ensemble. On se raconte tout après, c’est la condition.
— Même entre cousins ? fait Amaury.
— Ce n’est pas de l’inceste. C’est librement consenti et nous sommes majeurs.
— Nous aussi…
Frédéric pense à d’autres relations incestueuses, il ne les évoque pas. La tension monte, les pénis démangent, mais personne n’ose faire le premier pas, est-ce la présence de la jeune femme qui les intimide ? Elle s’en rend compte et dit :
— Vous me paraissez empruntés, les gars, je vous impressionne ? Je ne suis pas une mère castratrice.
— On va prendre les choses en main, dit Dom. Levez-vous et alignez-vous au bord du lit.
Ils obéissent, Koen et Daniel sont l’un à côté de l’autre, Aurianne se met en face d’eux tandis que Dom se place devant Frédéric et Amaury. Elles caressent leurs queues sur l’étoffe des sous-vêtements, constatant avec plaisir qu’elles grossissent, même celle de Koen, alors que c’est une femme qui le masse. Elles malaxent aussi délicatement les couilles, puis glissent leurs doigts à l’intérieur pour sentir la douceur de la peau, contrastant avec la dureté des hampes.
Elles finissent par dénuder entièrement les quatre hommes. Aurianne s’intéresse également à la bite dressée de son frère, qu’elle trouve un peu trop petite.
— On fait quoi ? demande-t-elle à Dom.
— On pourrait les faire jouir, vous êtes d’accord, les gars ?
— Nous n’avons pas le choix, dit Frédéric, ce sont les femmes qui ont pris le pouvoir ce soir.
— Cela préfigure l’avenir, dit Aurianne, les mouvements féministes.
— Nous saurons aussi défendre la cause des gays et des autres minorités.
Koen est satisfait, il peut aussi bander sous les caresses d’une femme, une promesse de nouvelles découvertes, même si cela restera exceptionnel.
Amaury est satisfait, il sait que Dom cache un corps masculin sous son jupon et il éprouve du plaisir à cette branlette, cela confirme qu’il est bien homosexuel, même s’il hésite encore à vivre pleinement sa gaytitude. Sa sœur sera au moins au courant, il partagera avec elle ce lourd secret. Il se demande pourquoi elle l’a accompagné, probablement la curiosité de découvrir les corps des garçons, il mate aussi les bites bandées de ses compagnons de fortune.
Chapitre 2 - La traversée (4)
Mardi 13 juillet 1965, à bord du France
L’orchestre fit une pause. Les deux couples retournèrent s’asseoir à côté de Daniel et Frédéric, ce dernier proposa :
— Je commande une bouteille de champagne pour fêter notre rencontre ?
— Non, pas ici, fit Koen, on pourrait aller la boire dans notre cabine.
— Tu as déjà assez dansé ?
— Ce n’est pas mon activité préférée.
— Je sais que tu préfères tripoter des bites, mais Aurianne n’en a pas.
— Tu t’avances un peu vite, fit Dominique.
— Non, je n’en ai pas, dit la Française en riant, juste un clitoris.
— Pouvons-nous vous inviter à terminer la soirée avec nous, demanda Frédéric, papa maman seront-ils d’accord ?
— On leur dira où nous sommes, par politesse. Je suis chaperonnée par mon frère, ils ne s’inquièteront pas.
Ils quittèrent le salon après avoir pris congé des parents, sortirent sur le pont pour respirer l’air marin et contempler l’immensité étoilée de la voûte céleste.
— Les hommes exploreront peut-être l’univers entier dans quelques décennies, fit Koen.
— Tu aimerais être cosmonaute ? demanda Amaury.
— Pourquoi pas ? Explorer une planète et découvrir ses habitants.
— Koen n’a pas encore de statistiques sur la longueur de la bite des extraterrestres, fit Frédéric. Tu crois qu’elles sont plus longues que les nôtres ?
— Je n’ai jamais lu de roman qui parle de cela.
Dominique demanda aux Français :
— Vous passez vos vacances en Amérique du Nord ?
— Oui, soupira la fille, je préférerais être avec vous qu’avec nos parents. Nous aurons toutes les visites habituelles, alors que vous, vous serez libres de faire ce que vous désirez.
— Nous n’avons pas de programme, mais, finalement, je ne sais pas si nous verrons autre chose que vous.
— Il fait frais, dit Koen, on rentre ?
— Tu es bien impatient, fit Frédéric.
— Il ne s’est pas branlé ce matin ? questionna Daniel.
— Nous nous sommes réveillés trop tard, c’était l’heure du petit déjeuner.
Ils se rendirent dans la cabine de Frédéric, celui-ci commanda du champagne par téléphone, en précisant à Koen qu’il ne devait pas draguer le garçon d’étage. Ce fut homme un homme d’âge moyen qui l’apporta et le Néerlandais n’eut aucune peine à se retenir. Ils trinquèrent à leur nouvelle amitié.
— On pourrait se mettre à l’aise, dit Koen, il fait chaud.
Joignant le geste à la parole, il enlève ses chaussures, ses chaussettes, sa veste, sa cravate, puis déboutonne sa chemise.
— Attends avant de te mettre à poil, fait Frédéric, nous avons des invités.
— Vous savez, dit Aurianne, je dois partager la chambre de mon frère pendant notre voyage, j’ai l’habitude de la promiscuité. Il a laissé son caleçon pour sortir de la salle de bain, mais il s’est branlé hier soir dans son lit.
— Tu as entendu ? s’étonne son frère, j’ai pourtant été discret.
— Je sais bien que les garçons le font tous les jours, les filles aussi, mais elles en parlent moins.
Frédéric éteint la lumière, à part les lampes de chevet, allume la radio de bord en sourdine, choisissant un programme de musique douce. Ils se déshabillent, laissant leurs sous-vêtements : les hommes sont torse nu, en slip ou en caleçon pour Amaury ; les femmes gardent leur jupon. Aurianne demande ensuite :
— Vous avez un style de vie hippie, pas de joints ?
— Non, dit Frédéric, le professeur Koen professe que la fumée est mauvaise pour la santé.
— Il a raison, nous ne fumons pas, contrairement à nos parents.
— Et nous mettons toujours des préservatifs pour baiser, ajoute le professeur.
— C’est mieux avec les filles, dit Aurianne en riant, il peut y avoir des effets collatéraux. Vivement que la pilule soit autorisée en France.
Daniel pense à son fils, mais il ne dit rien, il ne désire pas en parler, ne sachant pas quelle est l’opinion des leurs invités à ce sujet, ils pourraient avoir une opinion traditionnelle de la famille.
— Koen m’a dit que vous pratiquiez l’amour libre, dit Aurianne, vous faites des échanges entre vous ?
— Parfois, ou du sexe de groupe, dit Frédéric, ou alors nous couchons avec d’autres, sans être ensemble. On se raconte tout après, c’est la condition.
— Même entre cousins ? fait Amaury.
— Ce n’est pas de l’inceste. C’est librement consenti et nous sommes majeurs.
— Nous aussi…
Frédéric pense à d’autres relations incestueuses, il ne les évoque pas. La tension monte, les pénis démangent, mais personne n’ose faire le premier pas, est-ce la présence de la jeune femme qui les intimide ? Elle s’en rend compte et dit :
— Vous me paraissez empruntés, les gars, je vous impressionne ? Je ne suis pas une mère castratrice.
— On va prendre les choses en main, dit Dom. Levez-vous et alignez-vous au bord du lit.
Ils obéissent, Koen et Daniel sont l’un à côté de l’autre, Aurianne se met en face d’eux tandis que Dom se place devant Frédéric et Amaury. Elles caressent leurs queues sur l’étoffe des sous-vêtements, constatant avec plaisir qu’elles grossissent, même celle de Koen, alors que c’est une femme qui le masse. Elles malaxent aussi délicatement les couilles, puis glissent leurs doigts à l’intérieur pour sentir la douceur de la peau, contrastant avec la dureté des hampes.
Elles finissent par dénuder entièrement les quatre hommes. Aurianne s’intéresse également à la bite dressée de son frère, qu’elle trouve un peu trop petite.
— On fait quoi ? demande-t-elle à Dom.
— On pourrait les faire jouir, vous êtes d’accord, les gars ?
— Nous n’avons pas le choix, dit Frédéric, ce sont les femmes qui ont pris le pouvoir ce soir.
— Cela préfigure l’avenir, dit Aurianne, les mouvements féministes.
— Nous saurons aussi défendre la cause des gays et des autres minorités.
Koen est satisfait, il peut aussi bander sous les caresses d’une femme, une promesse de nouvelles découvertes, même si cela restera exceptionnel.
Amaury est satisfait, il sait que Dom cache un corps masculin sous son jupon et il éprouve du plaisir à cette branlette, cela confirme qu’il est bien homosexuel, même s’il hésite encore à vivre pleinement sa gaytitude. Sa sœur sera au moins au courant, il partagera avec elle ce lourd secret. Il se demande pourquoi elle l’a accompagné, probablement la curiosité de découvrir les corps des garçons, il mate aussi les bites bandées de ses compagnons de fortune.
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